Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le projet soutenu par le syndicat de l’immobilier national aurait-il du plomb dans l’aile après la décision prise par son président Jean-Marc TORROLLION de le suspendre contre toute attente ? Une réunion de travail à l’initiative de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a permis d’effectuer un point précis autour de la faisabilité de ce projet. Une étude approfondie de son impact pourrait aider à sa continuité selon le dirigeant de la FNAIM qui reste néanmoins convaincu de son opportunité…

PARIS : Est-ce un retrait définitif ? Une nette reculade ? Un renoncement mûri et réfléchi ? A la lecture du communiqué de presse transmis par la puissante fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), rien de tout cela, en vérité.

La décision de suspendre la création du fichier des incidents de paiements locatifs qui avait provoqué quelques remous il y a peu ressemble plus à un ajournement plutôt qu’à une fin de non-recevoir nette et définitive.

L’explication de Jean-Marc TORROLLION, président de l’institution nationale, est donnée sans l’once d’une ambiguïté : « En l’état des conditions techniques actuelles, nous ne pouvons créer un fichier des impayés locatifs… ».

Du temps sera donc nécessaire. Avant que ne soit programmée la probable mise en exergue de ce système, fait avec professionnalisme et exigence selon le responsable de la FNAIM.

Il aura fallu cette rencontre avec les membres de la CNIL pour accoucher de ce choix qui aura surpris les observateurs. Toutefois, la FNAIM d’ajouter que « son intention a toujours été d’agir dans le strict respect des normes en vigueur (aucun obstacle juridique ne s’y oppose en réalité) au bénéfice d’une plus grande confiance entre propriétaires et locataires, indispensable pour améliorer la fluidité du marché locatif et lutter contre la vacance… ».

 

 

Ce fichier, décrié par les associations de défense des locataires, n’a pas pour objectif de répertorier les accidents de la vie mais de circonscrire le risque de non-solvabilité pour les propriétaires.

La FNAIM justifie sa création pour préserver les garanties des bailleurs qui n’ont cessé depuis vingt ans de voir amoindrir leurs intérêts : dépôt de garantie divisé par deux, suppression du cumul Garantie loyer impayé/cautionnement personnel, abandon de la clause pénale forfaitaire, rallongement des délais de procédure…

Jean-Marc TORROLLION conclut son message à la presse par un rectificatif, un démenti qui exclut tout engagement de la part de la FNAIM d’être liée avec une société spécialisée dans le traitement des données (ARTHEL) ni de posséder de quelconque lien capitalistique et juridique dans ce projet.

Bref : ceci étant précisé, le temps de la concertation commence à la FNAIM, ouverte à tout type de solutions permettant de rétablir la confiance entre propriétaires et locataires…

 

 

 

La sécurité, on le sait, n’a pas de prix. Ni la protection de la ressource humaine sur le lieu de l’emploi. En l’espace d’une petite décennie, le nombre d’accidents au travail a chuté de façon vertigineuse pour la filiale icaunaise du groupe MICHELIN. Une division par dix ! Quant à la cohabitation, d’ordinaire si problématique entre les chariots élévateurs à fourche et les salariés qui évoluent à pied parmi les ateliers, elle n’apparaît désormais plus une problématique ingérable. Grâce à une approche intelligente, ordonnée et pédagogique applicable au quotidien…

AVALLON: Certes, on ne peut se déplacer au cœur de l’immense site industriel de rechapage de pneumatiques qu’en ayant pris au préalable un minimum de précautions lorsque l’on est un visiteur externe. Logique, en somme ! Mais, aujourd’hui, les collaborateurs de Pneu LAURENT qui s’affairent au quotidien sur leurs postes de travail se sentent également en parfaite sécurité.       

La mise en place d’un certain nombre d’initiatives adaptables à la configuration du site industriel aura permis de résoudre un vrai sujet de fonds : celui des risques d’accident. Non seulement, la préservation du personnel est assurée mais en outre les résultats de la structure s’en sont trouvés améliorer. Une forme de pratique de l’excellence, profitable à tous.

Chantre de cette optimisation de la sécurité à ne jamais négliger, Arnaud MALECAMP, directeur du site avallonnais, se dit satisfait par les résultats engrangés de ces expériences positives.

Le premier item dont il fallait en priorité résoudre les effets négatifs se rapportait à la circulation des fameux chariots élévateurs à fourche au sein des ateliers. Indispensables auxiliaires de locomotion pour éviter le poids de charges trop lourdes à l’humain, ces petits engins à la motricité très versatile peuvent parfois se mouvoir sans que les piétons s’en aperçoivent réellement, concentrés sur leurs opérations professionnelles.

 

 

Le piéton est prioritaire sur l’engin dans les règles de circulation…

 

Des cycles de formation à la sécurité ont ainsi vu le jour dans l’entreprise. Les 420 salariés ont pu prendre pleinement conscience des dangers pouvant exister en cas de négligence.

Un plan de circulation a été instauré dans les ateliers avec une signalétique spécifique au sol. Chose paradoxale et contraire à certaines autres habitudes industrielles : le piéton est, ici, prioritaire par rapport à la mobilité de l’engin. Celui-ci ne peut par ailleurs pénétrer sur des secteurs clairement identifiés tant que le personnel à pied s’y trouve.

Sans doute, la direction générale du groupe MICHELIN s’est-elle appuyée dans ses préconisations sur les conclusions alarmantes de deux rapports d’enquête émanant de la CNESST, la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail.

Ces études font état d’accidents graves survenus dans le milieu industriel à la suite du renversement d’un chariot élévateur, d’une part, et de la cohabitation difficile entre piétons et engins, d’autre part.

 

 

 

Depuis, les caristes ont reçu de nombreuses consignes sécuritaires dans le cadre de leur travail. Dans le cas de collision avec du personnel à pied où les informations divulguées ont été très précises.

Par exemple, il faut savoir que le poids d’un chariot élévateur équivaut à environ six voitures automobiles. Conséquence : si un piéton est heurté par ce type d’engin très mobile, il y a peu de chance pour qu’il puisse s’en sortir indemne. Sans omettre que la charge transportée par l’appareil risque aussi de tomber sur le salarié.

Chez Pneu LAURENT, comme devait le préciser Arnaud MALECAMP lors d’une visite du site par les entrepreneurs du réseau Entreprendre Bourgogne, différentes solutions ont été ainsi déclinées pour réduire les risques au maximum.

Ainsi, dans les ateliers, des zones de travail ont été dédiées à la circulation des chariots élévateurs. Laissant le passage aux piétons par le biais de corridors. Ces mesures se sont accompagnées d’installation de barrières de sécurité facilitant la diminution des dommages.

Bref, tous les vecteurs favorables à la sécurité ont été développés. Ils sont complétés par des séances régulières de rappel informatif des normes spécifiques. Pour que l’humain et les machines cohabitent du mieux possible. Et sans aucune anicroche…

 

 

 

Articles

Bannière droite accueil