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L’histoire, insolite, prêterait presque à sourire. S’il n’était question en substance du droit de vie ou de mort exercé sur un pauvre animal sans défense et qui n’a rien demandé à personne. Cela se déroule dans le département voisin de l’Yonne, dans l’Aube, où les choses sont pourtant prises très au sérieux par les autorités de tutelle de l’Etat. La preuve ? C’est que le sort du sanglier « Rillette » - une magnifique laie baptisée d’un prénom pour le moins subtil et gourmand – va se jouer lundi 13 janvier au tribunal d’instance de Châlons-en-Champagne ! Sans doute devant pléthore de journalistes venus de tout l’Hexagone pour en suivre le moindre des éléments devant aboutir à un verdict que l’on souhaite heureux. Comme un procès digne d’intérêt ?

Menacée d’euthanasie, la jolie bestiole qui pèse au bas mot cent kilos et qui vit depuis sa tendre époque de petit marcassin dans un bel enclos de mille mètres carrés chez une éleveuse professionnelle de chevaux en parfaite domestication, est au centre d’une affaire d’Etat où tout le monde s’en mêle : de la préfecture de l’Aube à Brigitte BARDOT en personne via sa Fondation, aux médias grâce à Julien COURBET et aux internautes qui ne cessent de signer la pétition qui a été lancée en ligne depuis plusieurs semaines en France, pour encourager et soutenir la jeune femme, Elodie CAPPE, dans son combat contre…l’imbécilité !

A croire qu’il n’y a pas d’autres sujets plus urgents à traiter dans ce pays qui croule sous sa dette publique abyssale, ne sait toujours pas traiter la récurrente problématique des seniors ayant perdu leur travail et sombre vers une inexorable inertie économique dont il n’est pas près de se relever, foi de Donald TRUMP et d’Elon MUSK, qui s’en frisent déjà les moustaches !

 

Des précédents qui se sont bien terminés

 

C’est à l’âge d’un mois à peine, que « Rillette », marcassin femelle en piteux état, a été découvert sur la propriété de notre éleveuse d’équidés. Elle lui a prodigué des soins salvateurs et lui a offert un havre de paix dans un bel enclos protégé où l’animal ne nuit à personne et peut couler ainsi une existence paisible à l’abri des prédateurs et des chasseurs, toujours à l’affût pour « tirer » du cochon ! Certes, on le sait très bien : l’espèce pullule dans nos bois et provoque de sérieux dégâts très régulièrement dans les plantations des agriculteurs, furibards devant leur prolifération.

Dans le cas présent, ce ne sont pas les chasseurs – ils jouent aussi un rôle de régulateur dans l’équilibre animalier présent dans les zones rurales – qui sont en cause. Mais, bel et bien, l’Etat qui a enclenché une procédure judiciaire pour ôter la laie de sa propriétaire d’adoption et lui réserver un sort des plus funestes à venir. En s’appuyant sur la législation en vigueur – nul ne peut adopter un animal sauvage -, les services de l’Etat et en particulier, l’Office national de la Biodiversité sont entrés dans la danse en 2023 pour obliger Elodie CAPPE à abandonner son animal à une autre destinée.

Mais l’existence d’un décret (celui du 08 octobre 2018) stipule qu’il est possible en effectuant la demande auprès des services de la préfecture de détenir ces fameux mammifères, les sangliers qui n’ont pas d’origine licite puisque animaux sauvages, dans une propriété privée. Un interstice dans lequel s’est engouffré tout naturellement la jeune femme qui considère « Rillette » comme un animal de compagnie, « véritable membre de sa famille » en établissant une déclaration réalisée en bonne et due forme auprès de la préfecture auboise. Une demande rejetée sine die ou presque par les services préfectoraux localisés à Troyes. Alors que dans l’Hexagone, 72 affaires similaires concernant l’adoption d’un sanglier dans un enclos protégé ont obtenu gain de cause avec la bénédiction de l’Etat…

 

 

Et pourquoi pas un retour dans son enclos ?

 

Une incompréhension totale pour l’amoureuse des chevaux qui, remonté comme un coucou suisse, devant cet acharnement judiciaire, a décidé de se battre jusqu’au bout pour conserver la laie et sauver la vie de cet animal.

D’une part, elle a largement médiatisé l’affaire et ce, bien au-delà des frontières de l’Hexagone ; d’autre part, quatre pétitions lancées sur la toile – « Presse Evasion » a apporté d’ailleurs sa caution morale en signant l’une d’entre elles ce matin ! – ont déjà recueilli des centaines de milliers de signatures en faveur de « Rillette » ! Un soutien populaire qui fait chaud au cœur et qui mobilise bien au-delà des amoureux de la nature, des animaux et de l’environnement. Les gens civilisés…

Les fondations animalières, l’instar de « Trente Millions d’Amis » et celle de Brigitte BARDOT mobilisent également à tout va l’ensemble de leurs réseaux pour qu’une issue favorable vienne clore ce dossier incongru. Sans compter plusieurs « marches blanches » ayant déjà réuni des milliers de personnes.

Les services de la préfecture, bien en connexion avec la réalité populaire du terrain, rappellent qu’il existe trois possibilités pour le devenir de ce sanglier, stérilisé et vacciné : sa mise à mort pure et simple (au nom de quels arguments ?!!), sa remise en liberté dans la nature – sauf qu’un animal domestiqué depuis aussi longtemps ne saura jamais se nourrir seul dans la forêt, ce serait aussi le condamner à une mort de faim quasi immédiate et être la proie des prédateurs, voire des chasseurs -, et, cerise sur le gâteau, le remettre à un professionnel du dressage exerçant dans le cinéma pour le faire travailler sur des scènes animalières !  

Une aberration totale de la part des technocrates à l’heure où le dressage animalier ne fait plus recette dans les cirques et que viennent de se refermer définitivement les bassins du « Marineland » à Antibes qui accueillaient jusque-là des orques ! On marche sur la tête…

Pour que l’affaire de la laie « Rillette » ne sente pas le pâté et que cet animal continue son existence au beau milieu de son enclos chez sa propriétaire, la mobilisation est donc nécessaire, au nom de la défense du droit animalier…

 

Thierry BRET

 


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La statistique est proprement incroyable. Si 80 % de nos concitoyens suivaient un parcours de formation aux « gestes qui sauvent » durant leur existence, vingt mille vies supplémentaires pourraient ainsi être préservées chaque année dans le pays ! Or, seuls 34 % de nos compatriotes ont bénéficié à ce jour d’une formation certifiée par un cursus : l’un des chiffres les plus bas constatés en Europe. Il n’en fallait pas davantage pour que l’assureur mutualiste GROUPAMA se lance dans la bataille, proposant un plan de sensibilisation à l’échelle hexagonale, avec le concours des sapeurs-pompiers, tant dans les entreprises qu’à destination des scolaires. Jeudi, à Auxerre, ce sont 178 élèves de classes de 4ème du collège Albert-Camus qui ont pu profiter de cet enseignement indispensable…

 

AUXERRE : Un accident de la vie, cela peut arriver à tout moment et en tout lieu. Alors, autant se prémunir en possédant les rudiments des gestes des premiers secours, histoire de faire montre de solidarité et d’efficience pour peut-être sauver une vie. C’est en filigrane ce que les 178 collégiens de l’établissement auxerrois, répondant au nom d’Albert-Camus, auront appris durant cette séance initiatique au secourisme, distillée par une douzaine de sapeurs-pompiers de l’Yonne, jeudi au cours de la journée. Une opération de sensibilisation menée avec la bienveillance de l’assureur mutualiste, GROUPAMA, qui en assure ainsi la promotion depuis plusieurs années, respectant ainsi ses prérogatives d’engagement territorial.

Reconnue par l’État, la sensibilisation aux "gestes qui sauvent" dure en règle générale deux heures et permet pour ses suiveurs d'acquérir les premiers gestes d'urgence dans l'attente des secours. Des notions pédagogiques qui ne peuvent qu’interpeller le sens de la responsabilité citoyenne. Y compris chez les plus jeunes comme ces collégiens, filles et garçons, qui se répartiront en petits groupes équitables pour suivre les exercices pratiques avec les mannequins mis à leur disposition par les membres de l’Union départementale des Sapeurs-Pompiers de l’Yonne.

 

 

La découverte de l’usage des défibrillateurs

 

Mais, avant de démarrer par les exercices au sol avec la manipulation du mannequin faisant office de malheureuse victime, les élèves eurent droit à un long préambule théorique sur les vertus de ces pratiques salvatrices pour la personne en difficulté. Parmi les mots clés énoncés par les pompiers « éducateurs » : la protection, l’alerte, le massage cardiaque, les hémorragies, les positions d’attente en mode latéral, la perte de connaissance, etc. Autant d’éléments abordés pour optimiser du mieux possible la mise en sécurité des individus malchanceux. Des informations transmises en présence de Nathalie ROMANOWSKI, principale de l'établissement et de son adjoint, Antoine GAILLARD.

Grâce à son programme de vulgarisation, GROUPAMA, entend conjurer le sort (ce fameux accident de la vie qui peut survenir à tout moment et n’importe où) afin de former le plus grand nombre de nos concitoyens à cette thématique. Depuis le lancement de cette démarche, ce sont plus de 160 000 personnes qui ont déjà bénéficié en France ce précieux enseignement.

« Non seulement, nous formons les jeunes élèves aux gestes de premiers secours, spécifie Ludovic DAME, directeur d’établissement de l’Yonne et de la Seine-et-Marne, mais nous leur apprenons aussi à se servir d’un défibrillateur, appareils massivement installés dans les lieux publics… ».

A ce propos, l’assureur mutualiste a équipé les dix caisses locales de l’Yonne de ces appareillages pouvant sauver des vies.

 

 

 

42 % de Français en situation de pouvoir prodiguer des secours

 

La sensibilisation des élèves concernant les enjeux des gestes de premiers secours s’est aujourd’hui renforcée en France. Les enseignants dispensent un apprentissage progressif des mesures de prévention et de protection aux apprenants, en fonction de leur niveau de scolarité. Comme pour ces ados, âgés de douze à treize ans, et qui auront découvert avec beaucoup de curiosité et un brin de timidité ces différentes techniques de secourisme. Mais, la démarche est très positive. Comme le souligne Ludovic DAME, « ces sessions aident à développer leur capacité à réagir face à des situations critiques et imprévisibles de la vie courante. Ils peuvent ainsi secourir un membre de leurs familles ou un camarade de classe qui aurait une difficulté… ».

En 2024, GROUPAMA avait déjà initié une séance de découverte au lycée du chevalier d’Eon à Tonnerre avec deux cents personnes suivies par la formation dont des enseignants. In fine, ce seront plus de 500 personnes qui auront profité de ces cours, conçus avec la complicité experte des sapeurs-pompiers de notre territoire.

Le grand public a par le passé profiter de ces séances. Bientôt, ce sera au tour des entreprises d’être les cibles de ce parcours connaissance des gestes qui sauvent. Sachant que 42 % des Français disent avoir vécu un jour dans leur vie une situation où ils auraient pu secourir quelqu’un…

Consacrant une enveloppe budgétaire importante à ces formations, GROUPAMA Yonne entend bien répandre la bonne parole auprès de 600 à 800 personnes désireuses de suivre les stages, chaque année. Au niveau national, l’objectif est encore plus important avec un million de Français bénéficiaires de ces cours. Dans l’attente du planning des sapeurs-pompiers, l’assureur mutualiste devrait proposer plusieurs sessions en 2025 car la demande est élevée.

« Les choses se savent, et c’est tant mieux, ajoute Ludovic DAME.  

On se rappelle que l’an passé, une manifestation importante avait été réalisée avec le soutien de l’AJ Auxerre, au stade de l’Abbé Deschamps, en présence des joueurs et des supporters.

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est une excellente alternative pour réduire son empreinte carbone ! On la doit, du 13 janvier au 02 février, à trois intercommunalités de l’Yonne, soucieuses d’encourager les grandes résolutions de ce début d’année. Comment ? En participant au « Défi KAROS », un challenge judicieux destiné à celles et à ceux qui aimeraient recourir davantage (et plus régulièrement aussi) aux bénéfices du covoiturage pour effectuer leurs trajets quotidiens…L’Auxerrois, l’Aillantais et le Chablisien sont désormais sur les rangs !

 

YONNE : La plateforme se nomme « KAROS ». Hexagonale, elle offre à tout un chacun la possibilité de s’inscrire en tant que conducteur ou comme passager dans le cadre de déplacements par la route sur des trajets similaires et concordants au niveau des horaires. A ce titre, trois intercommunalités de notre territoire nord-bourguignon profitent précisément des avantages proposés par ce dispositif. Il s’agit de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, et des communautés de communes de l’Aillantais et du Chablisien.

Or, conjuguant le vertueux principe des grandes résolutions imputables à l’an neuf et à celui qui l’est tout autant de réduire notre empreinte carbone sur la planète, les trois collectivités ont décidé de faire cause commune en faveur de la promotion du covoiturage, auprès de leurs administrés, soit environ 93 000 habitants !

Comment ? En lançant un véritable défi à la population ! Et quel défi, par ailleurs : celui de voyager de manière collégiale en éradiquant les individualismes habituels et en profitant du covoiturage, un excellent moyen de locomotion automobile de plus en plus dans l’air du temps. A la fois économique et surtout très écologique !

 

Des lots à gagner pour se motiver !

 

Vice-président de la Communauté de communes de l’Aillantais-en-Bourgogne – c’est la vraie appellation de cet EPCI -, Alain CHEVALLIER, en charge de la mobilité et édile de Poilly-sur-Tholon, en rappelle les préceptes judicieux : « Le covoiturage est une excellente solution pour les Aillantais, car il permet non seulement de réduire les coûts de transport, mais aussi de diminuer l'empreinte carbone. KAROS leur permet également de sortir des zones rurales, où les transports en commun sont malheureusement inexistants, pour rejoindre les zones urbaines. Le covoiturage favorise aussi la convivialité et renforce le lien social entre les participants ».

Tout est dit et bien dit, somme toute, pour inciter les habitants de ce secteur occidental de notre département de relever à leur tour le gant de ce défi, un brin original.

 

 

 

Dans l’absolu, ils auront trois bonnes semaines pour le réaliser. Côté pratique, les habitants intéressés par la démarche sont donc invités à télécharger et à créer leur compte en quelques clics sur la fameuse application, à définir ensuite leurs trajets habituels domicile-travail et de joindre l’utile à l’agréable en essayant de gagner de nombreux lots, mis en jeu par les collectivités organisatrices. Simple comme bonjour, en effet !

Ainsi, en plus de limiter leurs émissions de gaz en remplissant davantage des voitures qui habituellement font « à vide » les mêmes trajets, aux mêmes heures, tous les matins et tous les soirs, les participants les plus mobilisés auront peut-être la chance de gagner un smartphone reconditionné d’une valeur de 500 euros, des cartes cadeaux de 30 euros à dépenser dans les commerces locaux indépendants et de nombreux autres lots, comme des entrées de stade nautique ou des places de théâtre pour les férus de culture.

 

Vers une nouvelle façon de se déplacer…

 

Pour Jean-Dominique FRANCK, vice-président à la « 3CVT » en charge de la Mobilité, transports alternatifs, voies douces, politique du logement et du cadre de vie, « avec l’application KAROS, la Communauté de Communes Chablis Villages et Terroirs s’est fixée un double objectif : moins de voitures, plus de convivialité. Le covoiturage, c’est rouler autrement, en rendant les trajets domicile-travail plus agréables et plus économiques ! ». 

De pertinents arguments qui ne laissent pas indifférents au moment où le pouvoir d’achat est en berne et où les effets inexorables du réchauffement climatique se font ressentir aux quatre coins du globe.

Dans les faits, il n’en coûtera par exemple que 0,50 euros à un passager pour être transporté sur un trajet de 15 kilomètres tandis que le conducteur est lui rémunéré 1,50 euro sur ce même trajet.

Ce projet concernera un bassin de population équivalent à près de 93 000 habitants, soit un tiers des Icaunais.

Réaction de Magloire SIOPATHIS, vice-président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois en charge des Mobilités et des Transports, et maire d’Appoigny : « Notre territoire, majoritairement rural, a encore besoin de la voiture. Mais des solutions complémentaires pour nos habitants et nos salariés sont déjà là. Il est de notre devoir de les accompagner vers une nouvelle façon de se déplacer et d’être précurseurs dans ce domaine…».

Le covoiturage comme vecteur essentiel de la décarbonation : un leitmotiv qui sied très bien aux trois collectivités de l’Yonne ; elles espèrent ainsi une mobilisation importante de la part des citoyens, soucieux aussi de réduire leurs factures énergétiques...

 

 

En savoir plus :

 

Spécialisée dans la mise en relation de conducteurs et de passagers qui souhaitent partager leurs déplacements domicile-travail, la plateforme KAROS n’en n’est pas à son coup d’essai puisqu’elle est implantée dans l’Auxerrois depuis déjà trois ans, et élargit progressivement son périmètre en contractualisant d’une part avec les plus gros employeurs (six mois offerts pour tout passager collaborateur d'une entreprise qui adhère à un programme d'accompagnement de KAROS) et d’autre part avec les collectivités locales soucieuses de baisser l’empreinte carbone des transports sur leur territoire en proposant à leurs actifs un service de mobilité durable adapté aux zones rurales, pratique et attractif.

 

Thierry BRET

 


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Les larmes. Elles embuent les regards avant de couler sur les joues de beaucoup d’entre nous, en ce jour funeste de janvier. Au dehors, le ciel est à l’image de l’incommensurable tristesse qui nimbe les cœurs et les esprits de cette assistance nombreuse – plus d’un millier de personnes – venue accompagner pour son ultime voyage en la cathédrale Saint-Etienne à Auxerre, le président du Conseil départemental de l’Yonne, le regretté Patrick GENDRAUD. Parmi les témoignages dans la nef, on notera celui du premier vice-président de l’institution icaunaise, Grégory DORTE. Bouleversant…

 

AUXERRE : Ses feuilles noircies de lignes dans la main gauche, le maire de Pont-sur-Yonne quitte la chaise de la quatrième rangée formant le parterre réservé aux personnalités politiques et institutionnelles de notre territoire, pour gagner en quelques pas le pupitre, placé face au cercueil de bois clair. Recouverte d’une splendide composition florale, la bière où repose le Président Patrick GENDRAUD est illuminée par les trois grandes lumières de la chrétienté, des bougies aux flammes vives, symbolisant la dimension trinitaire représentée par le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

Succédant derrière le micro au Père Joël et à Philippe, le frère du défunt, le premier vice-président du Conseil départemental Grégory DORTE s’accorde encore un peu de répit, avant de prendre la parole, longuement, rendant ainsi un ultime hommage à son président et ami, disparu il y a tout juste une semaine, dans la nuit du Nouvel An. Une nécessaire inspiration et quelques secondes de silence, avant de lire son texte devant une foule importante à l’écoute du moindre de ces mots que l’on imagine de réconfort.

 

« Nous avions tous envie de le suivre… »

 

Un exercice que l’élu de l’Yonne aura accompli en respectant les usages protocolaires, saluant au passage les présences de la ministre déléguée de l’Aménagement du Territoire et de la Décentralisation, en charge de la Ruralité, Françoise GATEL – la représentante du gouvernement est assise aux côtés du préfet de l’Yonne Pascal JAN, vêtu de son uniforme de cérémonie -, et de l’ensemble des personnalités régionales et départementales réunies en ce lieu. On reconnaitra entre autres, le sénateur de Côte d’Or François PATRIAT, les anciens ministres Jean-Baptiste LEMOYNE (mais toujours sénateur) et Henri de RAINCOURT, les anciens députés Guillaume LARRIVE et André VILLIERS, les trois députés de l’Yonne Sophie-Laurence ROY, Daniel GRENON et Julien ODOUL, la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY, etc. La sénatrice Dominique VERIEN, malade, était représentée par Kevin LEGENDRE-BONIFACE.

La voix forte, amplifiée par la sonorisation audible de l’édifice gothique, Grégory DORTE salua dès les premiers mots la mémoire de « son président bien aimé » que certains des élus du département connaissaient depuis plusieurs décennies. Et de citer les prénoms de ses collègues de l’institution départementale, à l’instar de Marie-Laure (CAPITAIN), d’André (VILLIERS), de François (BOUCHER), etc.

« Vous aviez envie de le suivre ! Il faut dire que Patrick ne laissait pas indifférent. Modéré, raffiné, cultivé, il était l’incarnation de l’honnête homme. Toujours naturel, simple et plein d’humour, il évoluait dans un monde politique parfois loin de ses pensées… ».

Puis, l’orateur continua en évoquant « cette silhouette que l’on retrouve chez certains grands hommes, cette silhouette à l’élégance chiraquienne, un clin d’œil à son mentor… ».

 

 

Laisser à chacune et à chacun sa liberté d’expression

 

Un peu blagueur, Patrick GENDRAUD possédait ce regard déterminé, « il scrutait dans chacun de nous, cherchant dans le fond de notre être le meilleur de nous… ».

Les valeurs humanistes du défunt furent ensuite rappelées par celui qui assure l’intérim de la responsabilité départementale depuis plusieurs mois. Attentif aux autres, Patrick GENDRAUD l’était dans l’exécution de ses mandats. Généreux et humble.

« Il n’en était pas moins un homme engagé, ajouta Grégory DORTE, au service de ce départemental rural. Il disait volontiers qu’il fallait juste un petit coup de main pour faire avancer les choses. Parfois, aussi, un coup de pied au derrière ! C’était sa façon de se construire et de progresser… ».

Homme de consensus, le président du Département était avant tout autre chose un fédérateur dans son approche de la fonction.

 

 

« Il laissait à chacune et à chacun sa liberté d’expression au sein de notre assemblée, et ce quel que soit son opinion. Nous faisons partie de la grande famille au service de l’Yonne, disait-il… ».

Sensible, l’élu trop disparu travaillait avec son cœur au service des autres. « En fin politique » qu’il était.  

Puis, employant le « tu » dans la formulation, Grégory DORTE aura ses mots justes : « tu as été à la hauteur de l’œuvre, mon Président ! ».

« Tu as tout donné à l’Yonne, à ses communes, à ses habitants, à ses élus, à tes agents, avec ta grande bienveillance et ta volonté. Tu as fait le choix de passer des pactes dans les territoires, pour une meilleure offre de santé. Ensemble, nous avons servi l’attractivité de l’Yonne… ».

 

 

Un grand moment vécu ensemble : le passage de la flamme olympique

 

Une « attractivité » qui deviendra la boussole de Patrick GENDRAUD durant toutes ces années à la tête de notre territoire. L’intervenant citera ensuite quelques exemples concrets de ces réussites favorables à l’attractivité de l’Yonne : l’achèvement du contournement de Sens, le déploiement intégral de la fibre optique, la réalisation du contournement sud d’Auxerre, du foyer départemental de l’enfance, l’accélération tant espérée du Grand Site de Vézelay qui aura permis de renforcer la complémentarité entre les collectivités et l’Etat…

« A ce propos, souligne Grégory DORTE, les préfets Pascal JAN et Henri PREVOST savent parfaitement de quoi je parle… ».

Il est question à présent de « la foudre qui tombe ». Un blanc dans les propos lourds de signification avec un orateur qui peine à prononcer les mots.

Des sanglots dans la voix et éprouvé par l’émotion qui lui enserre la gorge, Grégory DORTE évoquera la maladie.

« Il t’aura fallu du courage, Président, et tu l’as démontré tous les jours. Protecteur envers tous, tu l’as été avec nous. Cela ne pouvait pas t’arriver à toi car tu avais encore de nombreux projets à réaliser pour l’Yonne. Nous avons été témoins de ta bravoure : tu t’es battu comme un lion… ».

Le voile de tristesse s’épaissit davantage parmi l’auditoire. Pesant et inexorable.

« Toi qui incarnais l’élégance de l’esprit et l’élégance politique, tu auras lutté jusqu’au bout dans le respect des autres… ».

La flamme olympique et son passage dans l’Yonne arrivent enfin. Un item qui va redonner de la ferveur dans les propos de Grégory DORTE.

« Tu sais, Président, il y a quelque chose qui me tient à cœur : c’est le passage de la flamme sur notre territoire ! Tu t’es battu pour l’avoir, cette flamme ! Ce fut un grand moment vécu ensemble à Chablis… ».

Féru de pétanque – il pratiquait cette discipline aux origines méridionales avec certains de ses collègues de l’hémicycle icaunais -, Patrick GENDRAUD n’en était pas moins un passionné de football. Surtout de l’AJ Auxerre !

Le premier vice-président eut ensuite quelques mots d’encouragement pour la famille de l’être cher (son totem), à son épouse, Marie-Hélène, ses deux filles et ses petits-enfants pour qui Patrick GENDRAUD était tout bonnement le « Papé ».

« Je suis certain que tu gardes le sourire, de là où tu es, sache que tu resteras toujours dans mon cœur… ». Avant de citer quelques phrases empruntées au répertoire d’André MALRAUX.

Peut-être que de là-haut, Patrick GENDRAUD aura apprécié la formule et ce vibrant hommage prononcé par l’édile de Pont-sur-Yonne à fleur d’émotion, un petit verre de chablis à la main et son sourire éclatant d’humaniste au grand cœur qui aimait tellement les gens…Espérons…

 

Thierry BRET

 

 


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Le concept se présente sous la forme d’un plateau conférence. Jusque-là, rien d’extraordinaire sur le principe. Il y a là, en guise de décorum un mange-debout et plusieurs sièges pour accueillir les futurs intervenants. Derrière eux, un grand écran qui permet de visualiser à l’aide de slides les différents aspects de la thématique du soir, devant titiller les neurones du public : l’intelligence artificielle et ses subtilités, entre nous rendre meilleur ou nous effrayer un peu plus ! C’est pourtant le lieu qui intrigue : la concession automobile JEANNIN, en version AUDI, qui propose là, son « AUDI Talk », une déclinaison informative installée dans son nouvel écrin auxerrois pas encore inauguré…   

 

AUXERRE : L’IA et ses conférences savent voyager en occupant tous les espaces possibles et inimaginables ! De la salle des fêtes à l’amphithéâtre qui accueille un syndicat patronal, il n’y a pas à dire mais la thématique interpelle dans les chaumières de la société hexagonale qui n’en demandait pas tant pour se cultiver davantage sur le grand sujet anxiogène ou merveilleux de ce quart de XXIème siècle ! Cette fois-ci, le cadre de cette intervention oratoire ayant duré près de soixante minutes n’est autre qu’une…concession automobile. Celle à l’estampille du groupe JEANNIN à Auxerre, un splendide show-room refait à neuf après plusieurs mois de travaux, que les invités découvrent avec de grands yeux ouverts à la curiosité avant de s’en mettre plein les oreilles au niveau de la conférence.

 

Une belle brochette d’intervenants portant la contradiction

 

En fait, la manifestation est une pure création du constructeur d’outre-Rhin qui en a même assuré la promotion lors de ses envois de mails à ses clients inféodés à la marque afin de les solliciter pour la circonstance : le « Audi Talk » ! Une animation qui se produit aux quatre coins de l’Hexagone, avec la complicité des concessionnaires de l’enseigne automobile qui profitent de cette séance pédagogique et initiatique pour concevoir une belle opération relationnelle, voire de communication. A ne pas négliger par ces temps qui courent où les possesseurs de véhicules et autres consommateurs ont plutôt le regard rivé sur la hausse des prix, la progression de l’inflation, à défaut des évènementiels qui ne sont plus à l’apanage du commun des mortels depuis un moment…Ce qui est fort dommage quand on voit la qualité des intervenants et des débats générés par nos confrères du média USBEK & RICA, qui savent manier le verbe et la parole.

Drôle d’appellation, d’ailleurs, pour ce magazine bien léché qui est remis aux invités du soir ! Apparu en 2010, « USBEK & RICA » tire son singulier patronyme des héros des « Lettres Persanes » de MONTESQUIEU, rédigées en…1721 ! Les deux emblématiques personnages de ces écrits se montrent à la fois naïfs et curieux de tout, sans préjugés. S’étonnant de tout, afin de pouvoir mieux le comprendre.

 

 

« En tant que média attaché à son objet, nous devons donc être intellectuellement réactifs et réinventer notre façon d’écrire, de produire, d’échanger avec nos lecteurs. Le futur est là, non plus devant nous, mais autour de nous. C’est pourquoi nous nous attelons à faire mieux que la prospective… ».

Voilà ce que l’on peut lire sur la carte de visite de ce média qui va entraîner son public auxerrois d’un soir, invité par le groupe JEANNIN Automobiles, dans les arcanes de l’IA, thématique ne pouvant susciter que des questionnements auprès du public.

 

 

L’IA est déjà embarquée à bord de certains véhicules

 

Une intelligence artificielle, forcément embarquée dans la ligne de produits commercialisés via ses différentes marques chez le concessionnaire auxerrois. « C’est le cas chez AUDI dans le nouveau système multimédia, précisa César GASPARETTO, directeur de la concession, d’où la nécessité de vous proposer cette conférence afin de pouvoir lever des freins ou de susciter des interrogations sur le sujet… ».

Après Chambéry, Creil, Toulouse ou Le Puy-en-Velay, c’est donc Auxerre qui reçut pour cette brillante soirée cet « Audi Talk » novateur et inspirant, se voulant très enthousiaste dans sa formulation oratoire autour de l’intelligence artificielle. Une animation qui devait se poursuivre autour du buffet savamment garni de Gaëtan QUILLIN !

L’idéal pour se remettre de ses émotions après avoir explorer le présent afin de mieux préparer l’avenir autour de cette IA qui pourrait peut-être nous rendre meilleurs, tel que le préconisait la thématique de la soirée ! On laissera le soin au journaliste Pierre-Olivier CAZENAVE et à l’universitaire, Laura SIBONY, d’apporter les réponses, lors de « battles » vives et animées, permettant la contradiction. Pour le plus grand plaisir des participants…

 

Thierry BRET

 


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