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Il affiche un sourire radieux, le premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne. D’une part, Mani CAMBEFORT, portant désormais une barbe fournie, est heureux de proposer le tour du propriétaire, le nouveau local auxerrois occupé par le PS, allée du Panier Vert – ce serait plutôt un nom de rue à destiner aux écologistes, non ?! - ; d’autre part, de dévoiler les résultats plutôt prometteurs de la consultation proposée par « Vivre l’Auxerrois » sur le devenir du marché accueillie place de l’Arquebuse. Une enquête à laquelle ont répondu près de 1 925 personnes…

 

AUXERRE : Allée du Panier Vert. Une ruelle située juste en face de l’école Jean Zay, au cœur d’Auxerre. L’une de ses petites rues tranquilles où il fait bon flâner pour se rendre vers la bibliothèque, fréquentée par les férus de bouquins et de culture. Là, au beau milieu de cette rue calme, se situe le nouveau local qui accueille le Parti Socialiste de l’Yonne.

Dans l’unique pièce, faisant office de lieu de réception, Mani CAMBEFORT, son premier secrétaire fédéral, attend en classant quelques feuilles. Il n’est pas tout seul puisque sa collègue de l’opposition au conseil municipal d’Auxerre, la socialiste Sophie FEVRE, est déjà assise.

En l’absence de la troisième élue, également membre fondateur du Collectif « Vivre l’Auxerrois » la conseillère régionale, Isabelle POIFOL-FERREIRA – cette dernière n’est pas apparentée au parti politique qui jadis possédait son siège national rue de Solferino à Paris mais se revendique comme étant une radicale de gauche -, excusée de ce point avec la presse.

Les propos liminaires sur la situation politique hexagonale et locale évacués au plus vite, le tandem de « Vivre l’Auxerrois » se concentre sur le contenu majeur de la soirée : le résultat de la consultation lancée en février dernier par la structure associative – elle se définit comme apolitique, soit dit en passant – sur le devenir de la place de l’Arquebuse et de son marché.

Rappelons que « Vivre L’Auxerrois » est une entité apparue il y a déjà deux ans, regroupant à date plus d’une centaine de personnes de toutes obédiences intellectuelles, très attachées à l’avenir de la capitale de l’Yonne. Les valeurs défendues sont les suivantes : citoyennes, démocratiques, humanistes, sociales, écologiques. L’objectif s’affiche clairement : « vivre mieux dans ce beau territoire qu’est l’Auxerrois ».

 

Plus de 1 900 auxerrois intéressés par la consultation

 

Partant du simple postulat que ce secteur géographique local, la place de l’Arquebuse et son marché, ne suscite aucun nouveau projet depuis quatre ans, le collectif s’est engouffré dans la brèche afin de tâter le pouls de celles et de ceux (les citoyens, les commerçants, les producteurs, bref, toute la population interpellée par la thématique !) qui prennent à cœur de s’y intéresser.

Outre le marché en tant qu’entité commerciale et économique, il était important dans la démarche initiale de cette étude de prendre en compte les usages du lieu, mais aussi son aire de stationnement, ce fameux parking d’une praticabilité complexe et peu avenante dont on entend pis que prendre quant à son utilisation.

Les trois responsables de « Vivre L’Auxerrois » n’ont donc pas ergoté sur les moyens pour lancer la chose. Un site numérique a ainsi été créé. Vingt mille flyers ont été édités avant d’être distribués dans les boîtes aux lettres des habitants et remis en main propre sur ledit marché. C’était sans compter également sur la contribution des réseaux sociaux (Facebook et Instagram) qui relayèrent les informations vers les plus branchés des citoyens auxerrois.

Résultat des courses – il n’y a pas photo comme à l’arrivée du tiercé pour départager les chevaux ! - ; plus de 1 900 réponses (1 925 avec exactitude) ont été collectées par les équipes qui travaillent avec le trio d’élus de l’opposition auxerroise. Ce qui n’empêche nullement Mani CAMBEFORT, un brin ironique et le sourire aux lèvres, de rappeler que la précédente consultation faite par la municipalité sur le renouveau de la place du Maréchal Leclerc n’avait recueilli que…1 371 votants. Les augures y verront-ils un signe de la destinée ?!

 

Plus de 77 % des votants favorables à une halle à l’ancienne

 

Plus sérieusement, c’est le nombre de propositions et de commentaires qui surprend quelque peu. 429 personnes ont apporté des réflexions lors de ce retour d’information. La plupart réalisés via le papier. C’est mieux : les écrits restent, les réponses digitales s’effacent !

Deux visions de projets de nouvelle halle étaient ainsi suggérées par « Vivre l’Auxerrois ». L’une, traditionnelle. L’autre, résolument moderniste.

Explications de Mani CAMBEFORT : « La halle traditionnelle avait pour vocation de rendre plus visible le marché, commente-t-il, avec plus d’identité et davantage centré sur ses missions. En fait, il s’agit de redonner au marché auxerrois sa majesté, en le dotant de cette halle au design rappelant l’ancienne structure des Cordeliers. Modernisée, l’Arquebuse pourrait accueillir des évènements complémentaires au marché, à l’instar d’évènements ponctuels, tels un marché de Noël, des brunchs lors des journées dominicales, des spectacles ou des expositions… ».

Face à cela, une édification plus contemporaine. Avec des usages renouvelés. Sophie FEVRE l’explicite : « dans un bâtiment moderne et écologique, fonctionnant à énergie positive, l’Arquebuse pourrait intégrer un restaurant qui cuisinerait les produits du marché – voilà une excellente idée de circuit court du producteur au consommateur ! – mais aussi une salle de conférence et, même, une maison des associations ».

Le choix de la population à ces deux propositions n’est guère surprenant in fine. 77,3 % des votants ont opté pour une construction traditionnelle. A l’ancienne, donc, dans ses formes renvoyant largement aux calendes grecques, les adorateurs du projet moderne avec seulement 22,7 % des suffrages !

 

Comment maximiser l’occupation du marché ?

 

On notera aussi parmi les commentaires annexes, des propositions se rapportant à l’aménagement de la place avec la présence de la végétalisation plutôt que du béton, la présence d’un kiosque, etc.

« La libération de l’actuel marché augmentera l’offre de stationnement au cœur de la ville, précise Sophie FEVRE, quant à l’espace extérieur, il bénéficiera de plantation d’arbres et d’une végétalisation en harmonie avec la présence d’espaces ludiques permettant d’accueillir des enfants. Ce sera un lieu de rencontre et de partage aux abords de la nouvelle halle à réaliser… ».

La conclusion revient à Mani CAMBEFORT. Pour lui, c’est simple : il faut un projet multimodal.

« La rénovation du marché engagera la ville sur plusieurs décennies. Il faut donc un temps de concertation et de l’ambition… ».

Et se poser, aussi, quelques judicieuses interrogations. « Que voulons-nous faire au-delà des 104 demi-journées d’occupation du marché ? ».

Une question qui trouve peut-être son lot de réponses appropriées et pertinentes, parmi les 429 suggestions émises par des auxerroises et auxerrois ravis d’y avoir répondu, visiblement…En attendant d’autres initiatives de la sorte car les sujets, on l’aura compris, ne manquent pas !

 

Thierry BRET

 


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Utile ? Inutile ? Depuis le premier choc pétrolier datant de 1973 et l’adoption du changement horaire dans l’Hexagone, la question récurrente revient tous les six mois tel un métronome coutumier. Cela sert-il réellement à quelque chose au niveau économique alors que les métabolismes, tant des humains que des animaux, sont perturbés au quotidien ? Depuis 2019, des débats sur le sujet sont menés au Conseil de l’Union européenne à Bruxelles sans que pour autant les réponses ne fusent ! Ce n’est plus un changement d’heure mais le prolongement du temps suspendu dans les alcôves de la politique européenne !   

 

Lundi

 

Certains surveillants pénitentiaires, sans doute soucieux de découvrir toutes les facettes de leur métier, poussent la conscience professionnelle jusqu’à endosser le costume de taulard ! Six surveillants de la prison de Réau en Seine-et-Marne sont accusés d’y avoir fait entrer depuis octobre 2022, de la résine de cannabis, des téléphones portables ou de l’alcool. Ce qui se traduit dans le jargon judiciaire par « accusés d’avoir participé à l’introduction en détention d’objets ou substances interdites… ». Moyennant finances, bien sûr ! Mais, comme l’a déclaré sous couvert d’anonymat un haut cadre de l’administration pénitentiaire, « la population carcérale est très demandeuse ou incitative, et donc il y a une préoccupation sur le rapport à l'argent et sur la relation entre les personnels et les détenus… ». Autrement dit, ces braves « ripoux » n’ont fait que répondre au marché de l’offre et de la demande !

 

Mardi

 

Ancien ministre de la Santé et ex-porte-parole du gouvernement, Olivier VERAN, après s’être vu remercié lors du remaniement de janvier dernier, s’est « découvert » une vocation de « médecin esthétique » ! Et pas n’importe où, mais au sein de la très chic « clinique des Champs-Elysées ». Même si elle relève de la sphère privée, cette reconversion fait débat et soulève pas mal d’indignation, que ce soit dans le landerneau politique ou celui de la santé, concernant un ancien neurologue qui, à longueur de tribune, en sa qualité de ministre, se lamentait sur le sort des déserts médicaux. L’hôpital brûle et les priorités sont ailleurs, mais promis juré, il ne touchera « ni à des pénis, ni à des fessiers » et sera « très loin des prothèses mammaires », privilégiant des soins de confort correspondant entre autres à « une cicatrice sur le visage, un vieillissement lié à la ménopause ou une calvitie précoce… ». On espère qu’il fera un prix à son ancien « patron », Edouard PHILIPPE !

 

 

Mercredi 

 

Bien sûr, l’événement est d’envergure exceptionnelle et suscitera sans nul doute un intérêt planétaire, mais le budget dédié à la masse salariale globale des Jeux de Paris, estimé à plus de 584 millions d’euros commence à faire tousser… Un budget soit dit en passant, supérieur de 115 millions d’euros à celui annoncé dans le dossier de candidature. Avec des salaires ne cessant d’augmenter, à l’exemple de la directrice de la communication, passée de 150 à 195 000 euros en un an ! Quant au président du Comité d’organisation Tony ESTANGUET, ses émoluments dépassent les 286 000 euros annuels, au point que la justice a ouvert une enquête en début d’année sur les conditions d’une telle rétribution. Bien inférieure affirment ses défenseurs à celle de l’ancien champion de demi-fond, Sébastien COE, patron des JO de Londres en 2012, évaluée à plus de 400 000 euros. Ouf, la morale est sauve ! « L’important est de participer » comme disait le baron Pierre de COUBERTIN, il n’avait pas dit à quel prix…

 

 

Jeudi 

 

Fondateur de l’entité « Magictech » où se marient technologie et magie, Samuel GAULAY a fait le show, en ouverture des premiers « Trophées des Entreprises » à Auxerrexpo, usant d’un discours aux accents dithyrambiques pour vanter les vertus de l’Intelligence Artificielle, avec la complicité de quelques spectateurs appelés sur scène. L’occasion pour lui de rappeler d’où l’on vient et se pencher sur un passé pas si lointain, prenant pour exemple la conquête spatiale et la mission Apollo 11, qui permit en juillet 1969 à l’homme de marcher sur la Lune, mais dont l’ordinateur de bord n’était équipé que de 4 ko de mémoire vive et 32 ko de stockage ! De quoi aujourd’hui faire sonner de rire n’importe quel iPhone à la mémoire vive un million de fois supérieure !

 

 

Vendredi

L’on pourrait ranger l’anecdote au rang de « poisson d’avril », si ce n’est qu’elle est hélas bien réelle ! En prévision du déplacement qu’a effectué Emmanuel MACRON au Brésil et en Guyane, un major de la Marine nationale, membre de son intendance, a embarqué à bord d’un avion d’Air France reliant Rio de Janeiro, après réservation de deux sièges en classe affaire, le second étant destiné à faire voyager confortablement deux housses contenant les précieux costumes du chef de l’Etat ! Une dépense estimée à plus de 4 000 euros l’aller-retour, qui a dû, à l’heure de la rigueur budgétaire annoncée, faire s’étrangler Bruno LE MAIRE, qui pourra toujours « tailler un costard » que l’on imagine « présidentiel », à son patron ! Avec de telles dérives, l’on se demande s’il ne serait pas plus simple de remettre tout de suite les clés de l’Elysée à Marine LE  PEN… 

 

Samedi

La fronde des agriculteurs envers la grande distribution semble souvent se limiter à un combat binaire avec une seule enseigne, « LECLERC » ! La faute sans doute au très médiatique président du groupe, Michel-Edouard LECLERC, qui a depuis longtemps son rond de serviette sur tous les plateaux TV de France et de Navarre. A des années-lumière du silence feutré d’un Gérard MULLIEZ, très discret fondateur du groupe AUCHAN, retranché dans son fief du Nord, quand ce n’est pas en Belgique. Cibles favorites du monde agricole, suspectées de tous les maux, les enseignes Leclerc font souvent l’objet de manifestations diverses. On aimerait savoir ce qu’en pensent ces producteurs icaunais, habitués semble-t-il à commercialiser avec cet hypermarché auxerrois sous ce pavillon… 

 

 

Dimanche

 

Près d’un demi-siècle que le changement d’heure a été instauré et pourtant, ils seront encore nombreux à s’interroger ce dimanche : « alors cette fois-ci, on avance ou on recule… ? ». C’est à la suite du premier choc pétrolier en 1973, que l’heure d’été fut rétablie trois ans plus tard, supposée être synonyme d’économies d’énergie. Depuis, chaque année, se rouvre le débat sur son utilité et sa possible suppression. Des travaux ont été menés en ce sens au Parlement européen, bloqués depuis décembre 2019 au Conseil de l’Union Européenne à Bruxelles, faute pour tous les pays de s’entendre sur le sujet. Pas facile de mettre « les pendules à l’heure » !

 

Dominique BERNERD

 


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Quatre-vingts enfants de l’école primaire Victor Hugo à Avallon auront le privilège de représenter la France lors du premier Festival international des Arts à l’école, accueilli en avril 2025 dans le Poitou. C’est dans le complexe ludique et touristique du Futuroscope, situé non loin de Poitiers, que les élèves de l’Yonne et leurs enseignants défendront les couleurs tricolores dans ce défi instrumental insolite, initié par l’Education nationale…

 

AVALLON : C’est sous le regard attendri de la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, que les jeunes apprentis instrumentistes de l’école Victor Hugo d’Avallon démontrèrent leur talent en interprétant deux morceaux, servant de préambule à la cérémonie inaugurale de l’animation « A nous de jouer », qui mêlera un melting-pot de manifestations sportives et culturelles en rapport avec le passage de la flamme olympique, du 07 au 23 juin.

Parmi les deux airs joués par la quarantaine d’enfants très concentrés sur leurs partitions et suivant à la lettre la baguette de l’enseignant chef d’orchestre, l’indémodable titre des BEATLES, « Yellow Submarine », l’une des rares compositions du célèbre quatuor de Liverpool, sortie en 1966, mettant en lumière les vocalises graves du fameux batteur du groupe, Ringo STARR. Comme quoi, les jeunes générations savent puiser leur source d’inspiration dans les mélodies éternelles qui accompagnent leurs existences. Et pas uniquement, sur les réseaux sociaux !

Issus du projet « L’Orchestre à l’école », les deux classes de CE2 – cette initiative concerne également les deux niveaux de cours moyen – furent longuement applaudies par le panel très représentatif de nombreuses personnalités institutionnelles et politiques régionales qui prenaient part à ce lancement en grande pompe d’une manifestation sur laquelle nous nous étendrons plus longuement.

 

 

La présidente de Région salue la performance

 

Articulée autour des arts et du sport, et s’inscrivant dans la logique promotionnelle des Jeux olympiques de Paris de l’été 2024, l’animation « A nous de jouer » - rien que le titre est déjà savoureux pour son sens ! – ponctuera un mois de juin riche et intense en animations mélangeant astucieusement culture et pratique sportive.

Originaire de Besançon (ville natale de Victor HUGO), la franc-comtoise Marie-Guite DUFAY ne manqua pas de saluer la performance de ces jeunes musiciens, vivant une expérience pédagogique surprenante à l’école, et de rappeler le poids de l’écrivain dans le patrimoine hexagonal. Des jeunes gens qui n’effectuaient là que leur second concert officiel !  

Avec quarante autres camarades qui étaient absents ce jeudi, les élèves de l’orchestre du complexe scolaire Victor Hugo devraient connaître d’autres moments euphoriques, et ce dès le printemps 2025. En effet, ils ont été retenus par le comité d’organisation de l’Education nationale, en charge du premier Festival international des arts à l’école, à participer dans un an à ce rendez-vous de très belle dimension. Non sans fierté, on l’imagine aisément ! Une manifestation accueillie au sein du Futuroscope, afin d’y adjoindre l’utile à l’agréable !

 

Thierry BRET

 

 


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Etonnant concours que celui-ci ! Soit la sélection départementale « d’Un des Meilleurs Apprentis de France », disputé dans la catégorie couverture en bâtiment. L’épreuve était accueillie dans l’un des édifices possédés par le CFA de l’Yonne sur la rive droite d’Auxerre. Elle aura vu au final deux de ses lauréats obtenir la médaille d’or et leurs accessits directs pour la finale nationale ! Tandis que deux des prétendants initiaux s’étaient abstenus de se présenter sur la grille du départ…consternant !

 

AUXERRE : Parfois, les concours à l’estampille d’Un des Meilleurs Apprentis de France (MAF) réservent encore quelques surprises, histoire de sortir du lot des innombrables rendez-vous de ce type qui parsèment la saison au gré des titres et des distinctions ! Bien malin qui aurait pu prévoir ce qui allait réellement se produire dans l’enceinte du pôle couverture du centre de formation du bâtiment (CFA) auxerrois.

L’épreuve accueillie en ces murs, la sélection départementale de l’Yonne, allait révéler quelques surprises afin de pimenter un challenge tout droit promis aux plus véloces et ingénieux de ces apprentis couvreurs dont les entreprises du BTP ont tant besoin afin d’honorer leurs chantiers une fois le précieux sésame – le diplôme et non le titre de MAF – dans la poche !

Primo, ils (les concurrents) devaient être initialement sept, puis cinq au départ de ce défi, d’importance dans l’existence d’un apprenti alternant. Or, à la grande surprise du maître de cérémonie et grand officiant devant l’éternel, Marc LABARDE, président du Comité départemental des Meilleurs Ouvriers de France et président de jury, ils ne furent que cinq, in fine, à s’être inscrits sur la feuille de candidature, dont deux manquaient déjà à l’appel, dès le début du concours !

Un fait surprenant qui laissa un bon moment perplexe, l’ami Marc et sa célèbre écharpe rouge qui aurait presque pu virer au noir de la colère face à ces désistements de dernière minute.

 

Un désengagement reflet de notre société ?

 

Ce 39ème concours MAF couverture aurait même pu laisser un sérieux goût d’amertume au palais du MOF président de jury. Il aurait aimé que tous les jeunes aillent dans le même sens que les deux lauréats, obtenant in fine la médaille d’or, des jeunes gens qui ont su se mettre en danger dans la réalisation de cette pièce de belle taille, soumise à l’appréciation du jury, après coup.

« J’ai constaté un grand nombre de désistements des jeunes candidats sur cette promotion, observa Marc LABARDE, est-ce que les jeunes apprentis n’ont plus envie de se dépasser dans le bâtiment ? Est-ce qu’ils n’ont pas envie de se mettre en compétition avec eux-mêmes ? J’ai peur qu’il y ait désormais un désengagement et que ce soit le reflet de notre société… ».

Sans doute, le président du jury de ce MAF couverture en bâtiment n’est-il pas très loin de la vérité !

« Nous devons en être tous conscients, poursuivit-il, et que nous devons redoubler d’efforts dans l’amélioration de ce dépassement, dans le savoir-faire et le savoir-être… ».

 

 

Deux médailles d’or synonymes de qualification nationale…

 

Un dépassement de soi en matière professionnelle synonyme de bon ouvrier et de bon patron demain mais aussi d’employabilité garantie, selon Marc LABARDE, plutôt soucieux pour l’avenir.

« Ce concours MAF couverture en bâtiment est l’un des rares dans l’Hexagone qui soit reconnu au niveau national, devait ajouter l’homme à l’écharpe rouge.

Quant aux pièces réalisées par Antoine BOBIN et Gabin RINKER LIGAULT, elles ont obtenu les meilleurs suffrages de la part des membres du jury, malgré quelques imperfections. Ingéniosité et maîtrise de la complexité auront été des atouts imparables pour obtenir le maximum d’étanchéité de la pièce de toiture travaillée, dans les règles de l’art. Avec en outre la médaille d’or pour chacun et un billet pour la finale nationale ! Une manière de sauver brillamment la face et d’être l’arbre qui cache la forêt.

 

Thierry BRET

 

 


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Il a décidé de mettre les pieds dans le plat, le député de la première circonscription de l’Yonne. En apportant son total soutien au principal du collège Jean Bertin, Olivier CHOLET, chef d’établissement de ce lieu pédagogique, implanté à Saint-Georges-sur-Baulche, au cœur de l’actualité. Elle n’est d’ailleurs pas sans rappeler celle vécue par le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris, selon le porte-voix du RN…

 

TOUCY : C’est depuis le bureau de sa permanence en terre de Puisaye que le parlementaire à l’estampille bleu marine a décidé de se positionner et de réagir à la suite de l’incident survenu lors des récentes portes ouvertes de l’établissement scolaire de Saint-Georges-sur-Baulche, le 23 mars.

Rappelons les faits qui se sont déroulés la semaine dernière : le directeur du collège Olivier CHOLLET aurait demandé à trois représentantes d’une association auxerroise, « L’Olivier 89 », de quitter l’établissement au cours des portes ouvertes car elles se présentaient à l’entrée vêtues d’un voile.

Connue depuis l’été 2023 par ses activités d’accompagnement à la réussite scolaire et à ses projets de solidarité, l’association intervient auprès des établissements scolaires de l’Auxerrois afin d’y dévoiler ses axes de réflexion auprès des familles.

Le port du voile a visiblement été le facteur déclenchant de la polémique. Si l’une des trois femmes incriminées a bel et bien retiré le tissu au centre des discussions houleuses, il n’en a rien été des deux autres représentantes de la structure associative qui se sont vues interdites l’accès à l’école secondaire. Selon le principe de laïcité, qui doit être privilégié, dixit le rectorat…Toutefois, le directeur académique a exigé que le principal présente ses excuses. Démontrant ainsi une certaine dichotomie au sein de l’Education nationale !

 

« La République ne doit pas céder à l’entrisme islamiste »

 

Il n’en fallait pas davantage pour que ce faits divers, sorte de l’anonymat et suscite des réactions de la part des figures politiques locales. A commencer par le député de l’Yonne, Daniel GRENON.

« Il est inacceptable qu'un principal de collège soit condamné par sa hiérarchie pour avoir défendu les valeurs républicaines et éviter un trouble à l’ordre public, écrit le parlementaire dans un communiqué de presse. Il a pris une décision courageuse, pourtant, au lieu de recevoir un soutien de sa hiérarchie, il est maintenant contraint de présenter des excuses, ce qui est totalement inacceptable… ».

Puis, un peu plus loin de rajouter : « La République ne doit jamais céder face à l'entrisme islamiste encouragé par certaines formations politiques islamo-gauchistes et le laxisme politique au pouvoir depuis tant d’années. Il est urgent de prendre des mesures concrètes pour renforcer la loi de 2004 et sanctuariser toutes les enceintes publiques, notamment les écoles… ».

Daniel GRENON enchaîne : « En tant que représentant élu du peuple, j'appelle fermement le directeur académique de l’Yonne à écouter le recteur de l’Académie de Dijon et à retrouver la raison. Par conséquent, il doit surseoir à cette injonction d'excuses envers le principal du Collège Jean Bertin. Nous devons défendre nos principes républicains avec détermination et fermeté, sans compromis… ».

Ni compromis, ni compromission, donc pour le député RN qui réaffirme « son engagement à soutenir les établissements scolaires du territoire dans leur mission d'enseignement et de préservation des valeurs républicaines ».

Et de conclure par la phrase suivante : « Nous devons rester unis dans la défense de notre modèle laïque et démocratique… ».

C’est dit !

 

Thierry BRET

 


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