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Puisaye Forterre

Alors que l’actualité s’accélère au Moyen-Orient, avec l’annonce de l’accord signé cette nuit entre Israël et le Hamas, retour sur deux années de guerre et le fragile espoir qui se lève pour voir deux peuples vivre un jour en paix et se partager un territoire que l’Histoire leur a légué en héritage…

Il faisait déjà chaud en ce samedi matin d’automne. L’été indien avait repeint le ciel en bleu et fait grimper les températures, le week-end s’annonçait bien… Sur France Info, le sport était à la une avec la victoire de la France sur l’Italie en Coupe du monde de rugby, tout comme les affaires politico-judiciaires, avec la double mise en examen de Nicolas SARKOZY dans l’affaire Ziad Takieddine. Il était un peu plus de 9 heures ce 07 octobre 2023, lorsque tomba l’information : une attaque massive du Hamas sur Israël avait débuté aux premières heures de la matinée. On parlait de « plusieurs » victimes et de dizaines de blessés, le massacre le plus meurtrier de l’histoire juive depuis la Shoah venait de commencer…

Les attaques sanglantes perpétrées par les commandos du mouvement islamiste palestinien ont fait au total plus de 1 200 morts dont une majorité de civils et près de 5 000 blessés. Quant aux 251 otages enlevés, la plupart ont disparu en captivité et une vingtaine seulement, présumés encore vivants. L’ironie voulant que le Hamas ait massacré des Israéliens qui, pour beaucoup, que ce soit au Nova Festival à Réïm ou dans les kibboutz de Nir Hoz, Beeri ou Kfar Aza, étaient partisans de la paix et d’une solution à deux Etats. La riposte israélienne fut immédiate et violente, justifiée par le degré de barbarie des exactions commises, mais comment qualifier la punition collective infligée à toute une population qui en deux ans de guerre, a fait plus de 66 000 morts dont 80 % de civils et près de 20 000 enfants, selon des données jugées fiables par l’ONU ? Comment cautionner ces tirs de soldats de Tsahal sur des ambulances battant pavillon du Croissant-Rouge palestinien, tuant quinze secouristes de la défense civile à Rafah, le 23 mars dernier ? Comment avaliser cette frappe sur un camp de « déplacés » gazaouis, faisant 45 victimes, qualifiée par le Premier ministre israélien « d’incident » ? Comment ne pas s’indigner de la mort en mai, de la photojournaliste palestinienne Fatima HASSOUNA et de dix membres de sa famille, dans le bombardement de leur maison ? Alors même qu’elle était au cœur d’un documentaire présenté en sélection officielle quelques jours plus tard, à Cannes… Et comment ne pas accompagner dans ses pleurs, ce couple de médecins qui a vu, un mois plus tard, ses neuf enfants décimés par une frappe aérienne israélienne ? A la riposte justifiée d’Israël, ont succédé la haine et la vengeance, orchestrées par Benyamin NETANYAHOU et son gouvernement. Pas certain qu’en écho, côté palestinien, même après le démantèlement du Hamas, d’autres ne prennent leur place pour continuer un cycle de violence à jamais perpétuel, annihilant tout espoir de paix.

 

 

Un conflit qui divise la société hexagonale

 

Au supplice des victimes du 07 octobre, doit-on se résigner au martyr de la population gazaouie ? Plus divisée que jamais, la société israélienne reste traumatisée par ce « Shabbat noir » du 07 octobre. Un sentiment d’incompréhension accentué par le fait que deux ans après l’attaque, Benjamin NETANYAHOU se refuse toujours à la création d’une commission d’enquête indépendante sur les défaillances ayant permis le massacre, pourtant réclamée par les familles et la classe politique, avec le risque pour lui, de voir rouvrir les débats sur sa responsabilité directe dans la gestion de la sécurité nationale. Le conflit israélo-palestinien s’est très vite exporté sur le sol national, divisant la société française et le monde politique comme jamais, au nom d’une équation des plus simplistes mais aux multiples inconnus : « Israël égal sionisme, Palestine égal terrorisme » ! Une polarisation qui a vu certains « bas du front » interdire l’accès à un parc d’attractions à de jeunes israéliens en vacances dans le sud-ouest de la France, ou profaner différents sites à la mémoire d’Ilan HALIMI, enlevé, torturé et assassiné en 2006, du fait de son appartenance à la communauté juive, pendant que de l’autre coté de l’échiquier, on poussait des cris d’orfraies à la vue du moindre drapeau palestinien, ou à l’évocation du prépuce de NETANYAHOU sur les ondes de France Inter par un humoriste en mal d’inspiration ! Avec de part et d’autre une indignation sélective autorisant de pleurer sur les enfants décharnés de Gaza mourant de faim, ou sur les otages squelettiques sortis des geôles du Hamas, mais jamais de concert. Les mêmes images d’horreur pourtant, que celles enfouies dans la mémoire collective, au sortir de la nuit et du brouillard, il y a quelque 80 ans…

 

 

Quid de la paix durable et des deux Etats vivants côte-à-côte

 

C’est dans la joie et dans les larmes que les familles des otages ont accueilli ce matin la nouvelle de l’accord signé cette nuit entre Israël et le Hamas sur la libération des otages contre quelque 2 000 prisonniers palestiniens dont 250 condamnés à la perpétuité. Une joie partagée par le peuple gazaoui, exsangue, après deux années de bombardements. Même satisfecit du côté de la population israélienne et de la communauté internationale. Mais entre espoir et soulagement, de nombreux points du « deal » passé par le locataire de la Maison Blanche, Donald TRUMP, autoproclamé « Prix Nobel de la paix 2025 », restent flous. Aujourd’hui, près de 80 % des bâtiments de l’enclave palestinienne sont détruits ou endommagés, porte ouverte au rêve du président Américain d’en faire une « Riviera » après en avoir expurgé ses habitants ! Quid de l’avenir de Gaza et de ses habitants, du désarmement du Hamas et du devenir de ses combattants ? Quid de l’avenir de Benyamin NETANYAHOU dans l’obligation de composer avec l’extrême droite au sein de son gouvernement pour conserver une majorité, alors que son ministre des Finances Bezalel SMOTRICH, membre du « Parti sioniste religieux », a annoncé ce matin refuser de voter en faveur de l’accord sur le cessez-le-feu à Gaza… ? Quid d’une paix durable au Moyen-Orient, écrite sur fond de haine et de vengeance… ? Quid de ces colons israéliens d’extrême-droite en Cisjordanie, qui sèment la terreur en toute impunité, contrôlent aujourd’hui plus de 42 % du territoire et rêvent d’une nouvelle « Nakba » pour en chasser les Palestiniens… ?

Alors qu’après deux ans de guerre, le « camp de la paix » est fracturé comme jamais, quelques lueurs d’espoir demeurent, à l’image de l’un de ses représentants les plus emblématiques, l’ancien ambassadeur d’Israël en France, Élie BARNAVI, convaincu que seule la reconnaissance d’un Etat Palestinien permettra de mettre un terme au conflit. Ou de ces « Guerrières de la paix », réunies du 19 au 21 septembre dernier à Essaouira, au Maroc, pour la seconde édition d’un Forum mondial des Femmes pour la Paix, rassemblant sous l’égide de l’écrivaine franco-marocaine de confession juive, Hanna ASSOULINE, des militantes du monde entier pour une paix juste et durable… Des millions de juifs dans le monde entier, concluent la Pâque juive par cette prière traditionnelle, « L’an prochain à Jérusalem ». Puisse un jour tout un peuple faire résonner en écho ces quelques mots : « L’an prochain en Palestine ». Shalom ! Salam !

 

Dominique BERNERD

 


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C’est une vision pour le moins insolite qui nous est proposée là. Inhabituelle, aussi, pour celles et ceux qui fréquentent d’ordinaire la cafétéria, accueillie au sein du pôle santé mentale du centre hospitalier local ! Face aux micros, installées autour du petit plateau faisant office de studio radio, trois personnes livrent leurs impressions à l’animatrice faisant office de journaliste d’investigation. L’expérience est novatrice. Elle pourrait bien se renouveler à d’autres occasions. Radio Avallon a posé ses jalons au cœur de l’établissement sanitaire de la ville de Côte d’Or, avec l’objectif de faire témoigner les acteurs de la santé mentale. Capital pour mieux appréhender les mécanismes de la pathologie et l’offre de soins qui y est associée…

 

SEMUR-EN-AUXOIS : Ecouteurs rivés sur la tête (sans doute pour ne pas perdre une miette des conversations qui se disent durant l’entretien), Maria DA SILVA déroule son questionnement afin de recueillir le maximum d’informations de la part de son trio d’intervenants, utiles aux auditrices et auditeurs qui auront la faculté d’entendre ces enregistrements lors de la Semaine nationale d’information autour de la santé mentale, étalée du 06 au 19 octobre prochain. Pas de direct, donc. Mais, bel et bien une session minutieusement préparée avec les différents orateurs devant s’exprimer à la radio sur une thématique aussi capitale.

La tête de proue de la radio associative avallonnaise, Maria DA SILVA, demeure concentrée. Relançant ses invités pour affiner une réponse. Ou rebondissant pour obtenir le maximum de propos autour d’un témoignage prenant. En ce jeudi 25 septembre, Maria s’est installée, technique et matériels radiophoniques à l’appui, dans l’un des recoins de la salle faisant office de cafétéria. La pièce a conservé malgré tout sa fonction première puisque quelques patients du service santé mentale, accueilli au sein du centre hospitalier de Semur-en-Auxois, prennent le temps de siroter leur petit noir matinal. Une première pour l’équipe de Radio Avallon qui a investi la place !

 

Une expérience radiophonique unique dans une unité de santé mentale

 

A l’initiative du centre hospitalier local, deux journées d’enregistrement autour de la thématique de la santé mentale ont été organisées au sein de l’établissement, dans le cadre de la future Semaine de la santé mentale, ayant lieu début octobre. Nom de baptême de l’émission, proposée avec le concours de la radio associative icaunaise, « Parle-moi de tes maux ». Un partenariat a vu le jour avec Radio Avallon. Se déplaçant jusqu’à Semur-en-Auxois, Maria DA SILVA et son équipe sont venues enregistrer plusieurs témoignages lors de deux sessions, organisées grâce à ce studio mobile les jeudis 18 et 25 septembre, afin d’alimenter à grand renfort de témoignages le contenu de cette émission spéciale. Celle-ci se déclinant par la présentation des services de psychiatrie, du rôle prépondérant des infirmiers, des méthodes thérapeutiques, sans omettre les propos recueillis auprès des praticiens et de leur patientèle.

« Le choix de la cafétéria n’est pas le fruit du hasard, précise Fanny MARTINEAU, chargée de communication de l’établissement sanitaire de Côte d’Or et de la Haute Côte d’Or, c’est un lieu de passage et de rencontre… ».

Cause nationale 2025, la santé mentale demeure une thématique majeure de notre actualité au quotidien. Un sujet qui n’a pas manqué de sensibiliser la cheville ouvrière de Radio Avallon, Maria DA SILVA, qui n’a pas hésité à s’embarquer dans cette aventure radiophonique des plus palpitantes et émotionnelles au vu du sujet.

Derrière les trois micros se succèdent des médecins, des ASH, des infirmiers, des patients, des éducateurs.

« La Semaine de la santé mentale est un évènement sur lequel on va mettre l’accent, ajoute Angélique PEUVRELLE, infirmière, plusieurs opérations vont être déclinées début octobre. En parallèle, une conférence spectacle autour de la danse sera proposée au public le 13 octobre au théâtre ainsi qu’un débat le 16 octobre. Toujours dans le souci de vulgariser tous les aspects de la santé mentale, celle-ci  n’est pas assez vue et reconnue aujourd’hui en France… ».

 

 

Démystifier l’univers de la santé mentale et ses pathologies

 

Parmi les messages forts qui seront passés sur les ondes de Radio Avallon – on capte la station icaunaise sur la fréquence 105.2 FM -, signalons la prévention, tout en cassant les idées reçues autour de la psychiatrie.   

Même s’il n’y a pas habituellement de budget dédié, sauf dans le cadre de cette initiative radiophonique spécifique, le pôle santé mentale du centre hospitalier se fait d’ordinaire le relais de toutes les informations relatives à cette thématique particulièrement complexe et protéiforme. Une stratégie plus largement ouverte vers la communication qui pourrait sans doute perdurer et se professionnaliser à l’avenir, compte tenu de l’importance du thème et de son intérêt vers le public.

La diffusion de ce programme sur Radio Avallon permettra aux usagers de découvrir les potentialités de l’offre de service accueillie au sein de l’établissement du nord de la Côte d’Or, distant il est vrai de peu de kilomètres y compris vu d’Avallon. Quant à Maria, malgré un rhume toujours persistant imputable aux changements de météo de ce début d’automne, elle s’est dite ravie de cette expérience unique et enrichissante. « Ce fut magique bien souvent avec les orateurs, on a ri, on a pleuré, on s’est amusé ! ». La magie de la radio, en vérité !

 

 

En savoir plus :

Le pôle santé mentale du centre hospitalier de Semur-en-Auxois comprend :

 

Deux unités de 18 lits en hospitalisation complète,

Cinq places en hôpital de jour pour adolescents,

Quatre places en hôpital de jour addictologie,

Cinq places en hôpital de jour pour adultes,

Le reste de l’activité étant assuré en consultations externes.

Le taux d’occupation et le nombre exact de patients demeurent toutefois des données confidentielles.

 

Diffusion des émissions par tranche d’une demi-heure du 06 au 11 octobre à 08h15 ; du 13 au 18 octobre à 14 heures, du 20 au 25 octobre à 10 heures sur Radio Avallon (105.2 FM).

 

Thierry BRET

 


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Julien ODOUL, député RN de l’Yonne, a donné le coup d’envoi de la rentrée politique de son parti, en présence de la députée européenne Julie RECHAGNEUX et de Thomas MÉNAGÉ, député du Loiret et porte-parole du groupe à l’Assemblée nationale. Entre ambitions affichées, stratégie d’ancrage local et volonté de conquête dans plusieurs villes clés du département, le Rassemblement National se projette déjà comme acteur central des municipales de 2026.

 

JOIGNY : L’organisation d’une conférence de presse à Joigny dimanche matin ne relevait sans doute pas du hasard, quand on sait que la cité maillotine fait partie des trois villes, avec Sens et Auxerre, que la formation mariniste présidée par Jordan BARDELLA espère bien faire tomber dans son escarcelle aux prochaines municipales ! Une rentrée politique marquée par la préparation de ces futures échéances et d’emblée, le ton est donné : « premier parti de France et du département, nous avons de grandes ambitions pour aborder cette échéance importante. C’est l’élection de la proximité et ce sera la dernière avant la bataille suprême des présidentielles… ».

Contrairement à 2020 où cinq listes seulement étaient présentes dans l’Yonne, la donne a changé et le RN prévoit désormais de s’implanter dans une quinzaine de communes dont plusieurs chefs-lieux majeurs, avertit Julien ODOUL : « nous comptons bien, non pas seulement jouer les trouble-fête, mais l’emporter, que ce soit à Sens, Auxerre ou Joigny où nous aurons des listes estampillées RN… ». Et de rappeler que lors des élections européennes de 2024, le parti souverainiste était arrivé en tête dans la ville préfecture, une première dans l’histoire politique du département.

Selon le conseiller régional d’opposition, les mauvais bilans municipaux des équipes en place offrent des ouvertures, comme à Joigny, dont le maire, Nicolas SORET est pointé du doigt : « sa gestion socialiste montre son incapacité à répondre aux besoins, notamment en termes de sécurité et nous espérons une liste d’unions rassemblant toutes les forces pour l’alternance, tous les patriotes et sommes en bonne voie pour le faire… ».

 

Des boîtes à gifles et des avis convergents !

 

La « boîte à gifles » était ouverte et le maire d’Auxerre, Crescent MARAULT, visé lui aussi : « c’est jouable de remporter la ville, d’une part parce que le RN n’y a jamais été aussi fort et d’autre part, parce que le maire est fébrile, il a un bilan calamiteux. On dit même qu’il réussit à faire regretter les socialistes ! ».

Mais pour l’heure, affirme Julien ODOUL, la tête de liste n’a pas encore été désignée officiellement. Le conseiller régional Pascal BLAISE, longtemps pressenti, aurait-il de la concurrence ? « Il y a d’autres personnes autour de lui et vous serez peut-être surpris ! ». Réponse dans quelques semaines… A ce jour, pas encore de liste non plus à Avallon, même si le message est clair : « il faut soutenir le changement, c’est-à-dire renvoyer la municipalité en place dirigée par Jamilah HABSAOUI… ».

Pas de liste RN en revanche à Migennes et pour cause : « je pense que le maire de Migennes a prouvé aux dernières législatives, avec beaucoup de courage d’ailleurs, qu’il faisait passer ses convictions avant les consignes de parti. Je salue son engagement et le travail qu’il fait depuis son élection, c’est un très bon maire et c’est un maire libre ! ».

L’intéressé, en l’occurrence, François BOUCHER, appréciera ! Même satisfecit à l’adresse du président du conseil départemental et maire de Pont-sur-Yonne, Grégory DORTE, avec qui le dialogue semble ouvert : « on n’a pas la même étiquette politique, il n’appellera jamais à voter pour Marine LE PEN, pour Jordan BARDELLA ou pour moi, pourtant on arrive à défendre et porter des projets communs, comme la construction d’un second lycée dans le nord du département et c’est l’essentiel… ».

Si Julien ODOUL ne sera pas tête de liste l’an prochain à Sens, un nom devrait prochainement être divulgué : « un candidat de grande qualité et avec de belles ambitions… »  

 

 

On attend les actes des Républicains au-delà des mots

 

En interne, le RN veut aussi se prémunir contre les « brebis galeuses ». Echaudé par certaines polémiques autour de candidats ou élus lors des précédents scrutins, à l’image de Daniel GRENON dans l’Yonne, le parti assure avoir renforcé ses procédures de sélection et de formation. Thomas MÉNAGÉ évoquant des « auditions systématiques », des « vérifications poussées » et un accompagnement des candidats. Un dispositif piloté au niveau national par Julien SANCHEZ, maire RN de Beaucaire. Objectif affiché : présenter des listes « solides », éviter les affaires embarrassantes et asseoir davantage la légitimité du parti : « on a pris acte des erreurs passées et on a mis en place des procédures pour s’assurer que nos candidats soient à la hauteur des attentes parce qu’on n'a pas le droit à l’erreur… ».

Interrogé sur d’éventuelles alliances avec Les Républicains à l’heure des municipales, Julien ODOUL se montre sceptique : « le problème avec LR, c’est qu’ils ont les mots mais pas les actes et on observe toujours chez eux la tentation du macronisme et de la trahison. Bien gentil à Monsieur RETAILLEAU de reprendre les mots de Jordan et de Marine, mais dans les faits, il est où le bilan ? ».

 

 

Peindre le paysage politique de l’Yonne aux couleurs bleu marine !

 

Le parti bleu marine entend toutefois, en vue des élections des 15 et 22 mars prochains, varier les approches selon les territoires. Là où l’ancrage partisan n’est pas jugé pertinent, notamment dans les petites communes rurales, le RN soutiendra des candidats sans étiquette au sein de listes d’intérêt communal. Ailleurs, il apportera son appui à des candidats partageant ses idées, même s’ils ne sont pas issus de ses rangs. En toile de fond des élections municipales, la perspective d’une dissolution de l’Assemblée nationale reste bien présente dans les esprits, rappelle Thomas MÉNAGÉ : « le pays est bloqué, la seule porte de sortie, c’est la dissolution. S’il n’y a pas un changement de cap très fort de la part de Sébastien LECORNU au moment du discours de politique générale et du budget, il devra partir et prendre la même direction que ses prédécesseurs… ». Cette stratégie de double anticipation (municipales 2026 et législatives anticipées), semble conforter un RN en quête d’ancrage local, mais aussi d’élargissement. A l’image de Julie RECHAGNEUX, candidate à Bordeaux, le parti espère percer dans les grandes villes en misant sur un thème cher au mouvement, celui de la sécurité, mis en avant dans toutes les campagnes. « Quand il n’y a pas de sécurité, il n’y a plus rien », affirme Julien ODOUL, rappelant que le maire, même sans compétence régalienne peut agir : « brigades de nuit, éclairage, parc locatif, le sport, la prévention, tout cela ce sont des politiques de sécurité pouvant être mises en œuvre au niveau municipal… ».
Au final, un fil conducteur se dessine : celui d’un RN qui assume sa mue, entendant bien passer de parti contestataire à celui de parti de gestion, ce que le député de l’Yonne a résumé en ces termes : « que ce soit dans nos communes ou nos cantons, le Rassemblement National s’est notabilisé, avant, il faisait partie du paysage électoral, aujourd’hui, il fait partie désormais du paysage politique ».

Avec deux députés dans le département, des ambitions locales renforcées, une stratégie rodée et une base militante étoffée, le parti entend bien le prouver dans les urnes. Pour l’heure, il affiche la couleur, privilégiant bien sûr le bleu marine pour repeindre le paysage politique !   

 

Dominique BERNERD

 

 


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Le niveau de la dette hexagonale reste très préoccupant, à l’instar du budget. Les dirigeants politiques ne semblent pas se précipiter pour trouver des solutions pérennes, stratégiques à long terme, utiles pour le pays et ses habitants. Les Premiers « sinistres », pardon pour ce lapsus volontaire, je voulais dire ministres, ne proposent que des sparadraps pour jambe de bois. Ils ne recherchent qu’à garder le pouvoir, au prix d’une démagogie propre à satisfaire leur égo !  

L’heure est grave, avec une perspective plutôt sombre. En effet, l’agence de notation « Fitch » vient de dégrader la note de la France avec une évolution potentielle négative. Le coût de notre dette est de plus en plus important avec plus de 60 milliards d’intérêts à régler. C’est le premier poste budgétaire que nous assurons bien entendu, avec des emprunts… Les opposants s’emparent du sujet pour réclamer la dissolution de l’Assemblée nationale, voire la démission du Président. Le locataire de l’Elysée a déclaré récemment qu’il resterait à son poste jusqu’au dernier quart d’heure de son mandat. De toute façon, exiger la fin de la présidence au nom de mauvais sondages ou d’une dissidence de certains partis politiques, serait de signer la fin de la Vème République et de la fonction présidentielle. Quant à ceux qui réclament la dissolution, ils espèrent surtout faire un meilleur score et obtenir plus de sièges !

Il est vraiment irrationnel de ramener le poids de la dette par rapport au PIB. Niveau d’endettement et richesses produites ont peu de rapport. Un banquier peut parfaitement prêter 200 000 euros à un particulier qui gagne 20 000 euros par an (prêt immobilier sur 25 ans). Il n’existe plus aucun rapport entre le niveau de la dette mondiale et le volume du PIB (310 billions de dettes pour 111 billions de PIB). C’est encore un dictat de Bruxelles et de ses technocrates de la finance, mais qui s’en préoccupe ? Les prêteurs qui encaissent les intérêts, consécutifs au rating et à l’éventuelle augmentation des taux…

On peut se demander pourquoi la France trouve encore des prêteurs, d’autant plus que lesdits prêteurs, sont à hauteur de 70 % pour les étrangers et qui, pour beaucoup, sont également emprunteurs. Retenons qu’une faillite de la France mettrait à mal la Communauté européenne, et à cet égard, Christine LAGARDE, patronne de la BCE, soutient la France comme elle peut avec un maintien éhonté des taux directeurs assorti d’une prévision de baisse en 2026 ! La BCE argumente en prévoyant des taux d’inflation en baisse continue jusqu’en 2027. Christine LAGARDE, disciple de Madame Soleil, souhaite-t-elle privilégier la France ou notre Président ?

 

Le maintien de la confiance pour les investisseurs

 

Les investisseurs maintiennent aussi leur confiance pour deux raisons : la première est que le taux d'épargne des Français grimpe à 18,9 % selon l'Insee au deuxième trimestre 2025, un niveau record depuis les années 70. L'encours s'élève désormais à 80,2 milliards d'euros. Par ailleurs, selon les derniers chiffres de la Banque de France, le nombre de LEP a fortement augmenté : 11,9 millions fin 2024, contre 8,3 millions fin 2022 et 6,9 millions fin 2021. On sait également que les derniers gouvernements ont envisagé d’effectuer des prélèvements sur l’épargne des particuliers… Obscure tentation qui pour l’instant a peu de chance de se mettre en place.

Fin 2023, le patrimoine économique national s’est élevé à 18 674 milliards d’euros en France, soit 8,1 fois le produit intérieur net de l’année, en base 2020. Pour l’Etat français, on est à 90 milliards. Le patrimoine financier (en valeur de marché) des Français a encore augmenté : il était estimé à plus de 6 356 milliards d'euros fin 2024, en hausse de 109 milliards sur un an après déjà + 355 milliards en 2023. Un record supérieur à 6 400 milliards a même été atteint à la fin du troisième trimestre 2024. En 2025, la valeur totale des participations cotées de l’État approche les 200 milliards d’euros. Les réserves d'or en France ont en moyenne été de 2 594,31 tonnes de 2000 à 2025, soit plus de 2 500 milliards d’euros.

 

 

Les conséquences de l’instabilité politique permanente  

 

On comprend mieux l’intérêt des investisseurs pour la dette. Le péril n’est pas la dette mais l’instabilité politique prégnante, une crise de régime potentielle et des désordres civils sont possibles. En conséquence, aucune stratégie ne peut se mettre en place : quel gouvernement osera proposer des solutions pérennes et contraignantes, dont les résultats ne pourront être apprécies qu’après dix ans de mise en œuvre, pour redresser une situation qui se dégrade depuis plus de quarante ans !  

On envisage un petit coup à droite en revoyant les conditions d’accessibilité de l’AME, un petit coup à gauche avec la fameuse taxe « Zucman » (économiste d’extrême gauche, qui selon « l’Express » a « marabouté » le PS). Le principe de cette taxe est un impôt plancher permettant de s'assurer que les foyers fiscaux disposant de plus de 100 millions d'euros de patrimoine contribuent chaque année au moins à hauteur de 2 % du montant de leur fortune. Pour de nombreux économistes, cette taxe peut rapporter au mieux 5 milliards !

 

Alors en France, tout va bien et tout va mal ?

 

En France tout va bien nous expliquent certains et pour d’autres tout va très mal. Pour le démontrer, il faut juste établir la justesse du propos avec l’utilisation du raisonnement par l’absurde. Certains dirigeants politiques le maîtrise relativement bien. Le maître à penser de ce type de raisonnement fut Socrate : « Tous les chats sont mortels, Socrate est mortel, donc Socrate est un chat ! ». Autre exemple : les grands dirigeants des Etats-Unis sont restés huit ans au pouvoir. Voici huit ans qu’Emmanuel MACRON est président, donc c’est un grand président !

Le raisonnement consiste à supposer que l'affirmation contraire est vraie et à en tirer les conséquences que cela pourrait avoir. Une seule conséquence absurde, manifestement fausse ou une contradiction permet d'affirmer que l'affirmation contraire est fausse et donc d'en conclure que l'affirmation initiale est vraie. Dans son interprétation la plus générale, la réduction à l'absurde, est un processus de réfutation fondé sur l'idée que l'acceptation de l'élément en question entraînerait des conséquences absurdes et manifestement intenables.

Les démonstrations mathématiques du raisonnement par l’absurde sont encore plus pertinentes en utilisant les mathématiques (niveau terminale de lycée). Alors nos dirigeants peuvent parfaitement démontrer qu’en France tout va bien et tout va mal. Au-delà de ses considérations intellectuelles les citoyens peuvent démontrer, juste avec le niveau du compte en banque, que les fins de mois sont difficiles (surtout les trente derniers jours, comme le précisait notre ami Coluche), que les rues ne sont plus sûres, que la drogue circule à plein régime sans que l’Etat de droit puisse vraiment y remédier, et qu’enfin, le Président MACRON nous informe de tout et de son contraire, en même de temps.

Il ne sera pas absurde de conclure que les taux d’abstention risquent hélas, d’être très importants, lors de prochaines élections, et il ne s’agit plus d’un raisonnement absurde.

« Dans un univers passablement absurde, il y a quelque chose qui n’est pas absurde, c’est ce que l’on peut faire pour les autres ». André MALRAUX. A méditer plus que jamais !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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C’est l’ouverture vers le champ des possibles. L’additif culinaire idéal, positionné sur la diversité et la proximité, avant de fêter comme il se doit le quatre-vingtième anniversaire de la maison. « La Côte Saint-Jacques », table doublement étoilé à l’universalité reconnue, célèbrera en 2026 ses huit décennies d’existence à Joigny. Et pour couronner le tout, sous le sceau de la modernité et de l’inventivité, quoi de plus naturel en somme que d’y ajouter en ces murs, une nouvelle référence goûteuse en mode « bistronomique » ! Ce « Bistrot des Générations » revisitant à prix plus doux et abordables les recettes fondamentales créées par la famille LORAIN !

 

JOIGNY : Il s’amuse, le souriant chef Alexandre BONDOUX ! Revêtu de son traditionnel habit de toque experte et posant fièrement dans le saint des saints de « La Côte Saint-Jacques » - la cuisine ! -, le neveu de Jean-Michel LORAIN possède dans sa besace plus d’un tour gastronomique dans son sac ! Et il compte bien le partager auprès de sa clientèle habituelle, férue de grandes tables étoilées qui permettent encore à la France de resplendir auprès des touristes étrangers grâce à la gastronomie hors norme, en ces temps de disette sociétale, mais aussi de cette clientèle dite de proximité que le binôme d’entrepreneurs veut désormais capter en adaptant sa stratégie commerciale.

Et justement, ce nouveau concept culinaire, opérationnel depuis une semaine et qui rencontre déjà le succès auprès des aficionados des arts de vivre et des épicuriens du bien-être – les trente couverts s’arrachent du côté des réservations !-, entend bien ouvrir davantage les portes du sémillant établissement qui traverse les âges sans réellement prendre une ride, bien au contraire. Preuve que la jeunesse tenant la barre d’un vaisseau amiral tel que le double étoilé Michelin peut faire preuve d’imagination et de féconde créativité !

 

Ah, les bonnes recettes familiales !

 

Il le dit sans ambages : « je vais puiser parmi les archives culinaires de la maison pour alimenter mes menus proposés à cette nouvelle table, « le Bistrot des Générations ».

A ce titre, on aura remarqué la subtile référence sémantique dans cette appellation officielle de la marque de cette saga familiale qui préside à la destinée des lieux depuis ses origines. Il y a eu Marie LORAIN, la grand-mère, puis, Michel, le fils, après Jean-Michel, le petit-fils, et enfin Alexandre BONDOUX, le neveu ! Alors des recettes de famille, le trentenaire qui dirige dorénavant la grande maison, il en possède quelques-unes d’avance à nous faire découvrir !

A commencer par la succulente recette de « côtelettes de brochet à la jovinienne », que les invités de la séance inaugurale de l’établissement auront pu déguster à satiété en se pourléchant les babines ! Un véritable régal à convertir les inconditionnels « viandards » à la délicatesse exquise du poisson !

« Cette recette était déjà répertoriée dans le guide Michelin de l’année 1971, ajoute Jean-Michel LORAIN, c’est avec ce plat que mon papa a reçu la première étoile et elle est restée très longtemps à la carte ! ».

Qu’en est-il exactement de ce mets à la sauce agréable en bouche ?

Réponse d’Alexandre BONDOUX : « c’est une farce mousseline de brochet avec une duxelles de champignons, agrémentée d’une sauce Nantua. Là, nous l’avons conçue avec des têtes de homard… ».

Fichtre ! On en redemanderait presque une seconde assiette tellement c’est savoureux !

 

 

Un premier menu proposé à 32 euros

 

La naissance de ce « Bistrot des Générations » répond à deux objectifs que nous exposent près des fourneaux et les ustensiles d’un cuivre rutilant les deux chefs de Joigny. Il y a naturellement la réalité économique avec le nécessaire besoin de se diversifier. Il y a surtout le fun et ce plaisir de s’amuser en cuisine qui excite le jeune trentenaire prêt à relever le challenge.

« L’idée avec cette enseigne est de proposer une offre un peu plus diversifiée, et d’offrir l’opportunité aux personnes qui ne pouvaient venir à « La Côte Saint-Jacques » d’ordinaire de pouvoir le faire grâce à une variante culinaire plus appropriée, grâce à des prix plus attractifs tout en conservant notre savoir-faire… ».

Autant dire que désormais, au vu de la palette de tarifs proposés, tout le monde ou presque peut franchir la porte du flamboyant établissement et venir s’installer dans le décor joliment ornementé de la salle faisant office de lieu d’accueil de ce bistrot, dorénavant intégré parmi les murs de « La Côte Saint-Jacques ».

Intervention de Jean-Michel LORAIN qui exprime alors son désir de fidéliser un peu plus la clientèle locale : « par le passé, notre établissement a toujours su créer des possibilités commerciales attractives pour ne pas se couper de la clientèle de proximité, les portes restent grandes ouvertes pour un maximum de personnes en respectant des budgets de plus en plus serrés… ».

Ainsi, au « Bistrot des Générations », il sera possible dès 32 euros de pouvoir se sustenter le midi avec le menu « express », destiné à la clientèle désireuse de déjeuner rapidement (les professionnels) à partir de produits d’exception. Le menu « génération », décliné à 60 euros, comprend entrée, plat et dessert. Avec un choix de trois entrées, quatre plats et trois desserts ! On imagine déjà les gourmands et gourmets se précipiter dans la ville chère à Nicolas SORET !

 

 

L’esprit RSE et des embauches à la clé

 

La carte s’agrémente aussi de plats à partager pour deux ou trois convives, à l’instar de la pièce du boucher ou un poisson.

Stratégiquement, et afin de mutualiser les forces en présence au niveau des collaborateurs, le choix d’intégrer la nouvelle offre gourmande au sein même de la maison mère s’inscrivait parmi les évidences pour le tandem directionnel de l’entreprise.

« Nous possédons la même cuisine et les mêmes collaborateurs, tout en travaillant un peu différemment, ajoute Jean-Michel LORAIN, cela nous permet surtout de ne pas faire des investissements importants ce qui aurait été le cas si nous avions séparé les établissements les uns des autres… ».

Autre aspect attrayant pour les clients : se rendre dans cette institution gastronomique universelle que représente « La Côte Saint-Jacques » et pouvoir y vivre une expérience culinaire forcément inoubliable au palais. Plusieurs étoilés dans l’Hexagone ont d’ailleurs développé ce concept plus moderniste.

Après la réfection du spa et celle des chambres de l’hôtel, « La Côte Saint-Jacques » poursuit une mue des plus agréables qualitativement en conservant son approche chaleureuse et cocooning dont la clientèle est si friande. Prochainement, c’est l’aire de parking qui bénéficiera de l’apport de bornes de recharge électrique pour les automobilistes « vertueux ». Toujours dans l’esprit RSE et développement durable, un chemin qui est emprunté par la grande maison de Joigny depuis quelques années. Avec l’ouverture de ce « Bistrot des Générations », qui prévoit l’embauche de cinq à six collaborateurs supplémentaires à terme, c’est un nouveau pas qui est ainsi franchi par Jean-Michel LORAIN et Alexandre BONDOUX…

 

En savoir plus :

Le « Bistrot des Générations » est ouvert du mardi soir au samedi midi et le dimanche soir.

Le menu « Express » est servi uniquement au déjeuner à 32 euros.

Le menu « Génération » qui comprend une entrée, un plat et dessert, est proposé à 60 euros.

Le menu « Génération » dans une autre variante propose une entrée, deux plats et dessert à 75 euros.

Les planches à partager le sont à partir de 15 euros.

 

Thierry BRET

 

 

 


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