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Avis aux cancrelats, blattes et autres cafards, vous avez du souci à vous faire pour vos retraites ! La concurrence est devenue très rude depuis quelque temps chez les nuisibles et autres parasites ; ces fameuses bestioles à multiples pattes et peu ragoûtantes à la vue qui dans la catégorie insectes envahissent de manière très effrontée nos univers cocooning, habituellement si sereins.

Si les rats ont élu domicile dans la plupart des arrondissements de Paris au grand dam de ses habitants, en créant une réelle typicité touristique qui fait rire les visiteurs du monde entier – que l’on se rassure, il n’y a d’ailleurs pas que dans la capitale de l’Hexagone que ces charmants mammifères prolifèrent à tout va à peine la nuit tombée au beau milieu des humains et des immondices qui jonchent certains trottoirs urbains ! -, voilà une nouvelle variante de cette invasion progressive du règne animal qui éclate au grand jour.

Faisant les choux gras de la presse ces jours-ci, provoquant même – ne riez pas, c’est du sérieux ! – une réunion de l’exécutif, cette semaine, en mode interministériel à Matignon, afin d’établir un authentique état des lieux et surtout un plan de bataille devant une situation qui semble déjà échapper à nos gouvernants ! A dix mois à peine de l’accueil des Jeux Olympiques en France : il ne manquait plus que ça !

 

Une hantise nocturne à ne pas en dormir du tout…

 

L’ignoble renégat à l’origine du mal n’est autre que…la punaise de lit ! Depuis lundi, il n’y a pas une manchette de journal, pas une accroche de « une » d’un vingt heures ou d’une radio périphérique qui ne tourne en boucle ou presque sur ce nouveau phénomène de société. Un cas d’école spécifique que la France semble découvrir avec des cris d’orfraie et une consternante innocence : la présence de ces minuscules animaux hétéroptères, avides de sang et de chair fraîche, se ruant sur l’humain la nuit venue !

Brrr, cela fait froid dans le dos rien que d’y penser : sans doute, la moelleuse couche de mon labrador qui ronfle bruyamment devant la chaude quiétude de la cheminée est-elle nettement plus accueillante que mon lit !

Déjà que les chauves-souris n’arrêtent pas de vampiriser nos espaces extérieurs dès la pénombre venue autour des fenêtres, voilà qu’un autre de ces prédateurs sanguinaires – la punaise de lit – va venir nous hanter chaque nuit avec ces petites pattes galopantes sur notre corps et nous incommoder en provoquant à cause de leurs succions malignes d’horribles démangeaisons. Celles-ci seront accompagnées de petites tâches rouge sang – le signe caractéristique de cette présence du démon ! -, à fleur de peau. Quel terrible tableau que celui-ci ! Il nous rendrait presque insomniaque !

 

 

Il y a péril en la demeure avec les punaises !

 

Jamais, les punaises de lit – rendons-leur cet honneur - n’ont connu un tel succès populaire par voie de presse ! L’Etat, on l’a appris de sources officielles, veille au grain Les cinéastes en cruel manque d’inspiration sont déjà sur les rangs pour tourner un biopic, diffusable sans doute sur NETFLIX !

Pensez, donc ! Aujourd’hui, dans cette France fleurant bon la modernité, le progrès technologique et social, l’attractivité à tout crin et le XXIème siècle pleinement assumé, la punaise de lit peut à elle seule mobiliser plusieurs ministères, voire autant de services de l’Etat, afin que l’on traite de son cas de manière hyper urgente, cela va de soi ! Cela change de certains dossiers autrement vitaux qui traînent parfois en longueur !

Y aurait-il péril en la demeure ? A priori, oui ! Car, l’indésirable insecte ne se cantonne pas aux « plumards » aurait savamment écrit Michel AUDIARD mais il batifole un peu partout dans notre environnement proche, investissant les rames de la RATP – il est vrai que ce cher métropolitain parisien est d’une rare propreté à ne pas oser mettre un pied par terre ; et ne parlons pas de l’odeur pestilentielle qui y règne ! -, les wagons de la SNCF – en règle générale, nettement plus accueillant en termes de salubrité que ceux de la RATP ! -, voire les sièges des avions fin prêts à quitter de nos aéroports.

 

 

La psychose de la punaise, priorité hexagonale !

 

La punaise voyage au frais des contribuables, se répandant un peu partout à la vitesse du son en quête de nouvelles proies ! Certains des voyageurs empruntant les transports collectifs n’osent même plus poser leurs têtes sur les reposoirs prévus à cet effet, ni même leurs bagages à main dans les soutes appropriées : bonjour la psychose !

Comme de bien entendu, un nouvel épisode de la COVID nous revient avec force lors de cette excellente période automnale en surchauffe qui accentue la prolifération de toutes les saloperies qui volent dans les airs : le marasme est à son comble chez nos Français qui se sentent « punaisés » à leur triste sort !

Pendant ce temps-là, le monde ne tourne toujours pas rond au quotidien, entre les spasmes des conflits, les soubresauts du réchauffement climatique, les faits divers toujours aussi sordides, les miasmes engendrés par la pénurie d’eau et les catastrophes naturelles, l’inflation expansionniste qui décime les espérances de vie des plus précaires, les dérives des flux migratoires, les états d’âme des puissants qui font et défont la planète, ne pensant qu’à une seule chose : l’exploiter jusqu’au trognon !

S’y besoin, en y employant la force et la méthode impérialiste la plus pérenne : l’autorité !

Bref, il est donc grand temps, pour nous autres Français, de trancher dans le vif sur un vrai sujet de société en proposant le référendum citoyen sur l’acceptation ou pas de la punaise dans notre lit !

 

Thierry BRET

 


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Certes, c’était une promesse de campagne prononcée en 2022. Mais, il semble bien aujourd’hui face à la recrudescence des incivilités et des émeutes à répétition qui secouent régulièrement le pays que le chef de l’Etat ait voulu taper du poing sur la table en prenant cette décision et en l’accélérant coûte que coûte.

Dès le début de la semaine prochaine, en déplacement dans une localité du Lot-et-Garonne, Emmanuel MACRON dévoilera la carte des deux cents nouvelles brigades de gendarmerie qui vont être ainsi constituées dans l’intervalle de 2027 en France.

Qu’elles soient fixes ou mobiles, ces brigades réparties aux quatre coins de l’Hexagone permettront de déployer au plus près des Français plus de deux mille nouvelles recrues, soit 2 144 gendarmes plus exactement, amenées à rassurer et à sécuriser les citoyens dans leur quotidien.

Des citoyens qui n’en peuvent plus de subir les affres des petites frappes dans les banlieues, des dealers et leurs immondes trafics dans les zones urbaines, des cambriolages se densifiant à qui mieux mieux jusqu’aux tréfonds de la rase campagne !

De quoi tordre le cou aux idées reçues et fabriquées parfois de toute pièce concernant le laxisme étatique, et celui de la gouvernance qui ne prendrait pas les mesures adéquates pour endiguer réellement les problèmes.

 

Une mesure historique depuis 1791 !

 

Selon une source élyséenne, cet engagement sécuritaire fort de la Nation n’a d’autre but que d’optimiser les efforts de sécurisation envers les Français. Et, de démontrer en toile de fond que le locataire du Château réaffirme son titre de président des territoires. Même si celui de l’Yonne, en particulier, se sent toujours aussi orphelin de l’absence de visite présidentielle depuis maintenant six ans et le début de la mandature d’Emmanuel MACRON. Il se susurre tout de même dans les chaumières que notre attente ne sera pas vaine très longtemps puisque un prochain congrès national sur la santé, accueilli dans l’antre d’AUXERREXPO le 11 octobre, pourrait voir la venue du chef de l’Etat et d’un quarteron de ministres et secrétaires d’Etat afin d’inaugurer ledit évènementiel ! Mais, là, n’est pas le propos du jour.

Qualifiée « d’effort historique » par le porte-voix de l’Elysée, la mesure est d’importance car jamais une telle décision n’avait été prise depuis l’apparition de la gendarmerie nationale datant de…1791 ! Le 16 février, précisément où fut instaurée la naissance de l’institution nouvelle, résolument plus moderne dans son mode de fonctionnement.

 

 

Brigades mobiles et fixes selon les besoins

 

Si, aujourd’hui, 3 500 brigades de gendarmerie sont opérationnelles sur la France métropolitaine et les DOM-TOM, cela n’était pas suffisant pour répondre aux nouveaux périples d’une société, davantage orientée vers la violence et l’agressivité. Le lot quotidien des faits divers qui ornementent les colonnes de certaines gazettes est là pour le rappeler à nos mémoires : le monde change de peau, comme l’interprétait en 1978 un certain Alain SOUCHON, et il devient laid plutôt que beau.

Dans l’absolu, et la carte hexagonale qui sera officiellement présentée ce lundi 02 octobre dans le Sud-Ouest de la France le confirmera, ce sont d’une à quatre nouvelles brigades qui fleuriront par département. Toutefois, attention, il y a un sérieux particularisme dans ces créations.

Ces nouvelles brigades pourront être mobiles – la majorité d’entre elles, apparemment, pouvant se constituer autour d’une force d’une demi-douzaine de militaires qui pourront se mouvoir à bord de camions ou de véhicules automobile dans les communes ou fixes où dans ce registre-là, elles accueilleront une dizaine de personnels installés dans des locaux à construire, à rénover ou déjà existants. C’est le choix du roi quant à la formule retenue au cas par cas selon les possibilités offertes par territoire en lien avec les élus.

 

 

Plus de 500 brigades supprimées entre 2009 et 2016

 

Mais, attention, précise la source élyséenne contactée ce vendredi après-midi par voie téléphonique, qui dit brigade mobile, dit qualité et sérieux dans les moyens mis à disposition pour les militaires, tant au plan numérique que technologique ! Il ne manquerait plus que cela que les brigades mobiles soient au rabais par rapport aux autres, les fixes, qui disposeraient des édifices et du matériel adéquats !

Si l’enveloppe budgétaire globale s’élève à quinze milliards d’euros sur cinq ans – la somme est inscrite dans la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur -, il faut savoir qu’à l’unité, le coût d’une brigade mobile à l’année revient à environ 70 000 euros de fonctionnement. Coût nettement plus complexe à calculer pour une brigade fixe qui doit s’appuyer sur les frais inhérents liés aux bâtiments.

C’est à partir de novembre de cette année que les premières brigades mobiles verront le jour. Un sacré pied-de-nez fait aux anciennes gouvernances (surtout celle de Nicolas SARKOZY !) qui avaient largement épuré les forces de l’ordre dite de proximité et supprimé plus de 10 000 fonctionnaires de leurs rôles.

Rendant obsolète et de manière incertaine la présence policière dans les grands ensembles en Ile-de-France ou dans les agglomérations importantes du pays. Sur la période comprise entre 2009 et 2016, ce furent cinq cents brigades qui passèrent de profit à perte, sans crier gare…Or, les mêmes qui avaient pris ces décisions s’étonnent aujourd’hui de la remontée fulgurante des infractions et de l’incivisme dans le pays !

Quant à ces affectations, elles seront déployées dans les territoires ayant besoin de l’Etat et besoin de sécurité. A vrai dire, ce n’est pas ce qui manque dans le landerneau !

Les préfets auront au préalable transmis les dossiers de candidature au ministère de l’Intérieur avant que le verdict ne soit rendu.

Enoncé des réponses : ce 02 octobre avec sans doute des surprises agréables pour certains de nos compatriotes, et son lot de déception pour ceux qui espéraient davantage d’écoute…

 

Thierry BRET

 


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Elles sont 217 victimes de la modernisation technologique. 217 personnes qui auront peut-être un jour leurs noms gravés sur une stèle de marbre, blanc comme un linceul, sur l’autel du souvenir passéiste et du travail mémoriel que l’on sait tant cultiver en France ? Sur l’épitaphe, une formule toute trouvée sera inscrite : « disparu par perte et profit dans l’intérêt de la productivité au nom de la sacro-sainte prédominance technologique ! ».

Même Georges ORWELL n’aurait pas fait mieux dans « 1984 », ouvrage à lire et à relire, sans cesse, dont on pourrait méditer longtemps les théories.

 

Les premiers sacrifiés sur l’autel de la dérive technologique

 

L’information est donc tombée comme une lettre très discrète à La Poste avec un timbre facilitant l’envoi au ralenti : une société spécialisée dans la veille médiatique – c’est très inquiétant pour le devenir de ces métiers intellectuels et de réflexion -, originaire de l’Hexagone, malgré son appellation aux références anglicistes (« ONCLUSIVE »), a pris acte de se séparer cette semaine de 217 de ses collaborateurs, sacrifiés sous le sceau de l’adoption de l’intelligence artificielle.

Cette fameuse abréviation, « IA », dont on nous rabâche tant les oreilles depuis des mois et que l’on porte aux nues de la réussite absolue pour mieux révolutionner le monde du travail à grands coups de modernisme asocial s’avère être un…implacable cancer qui va ronger petit à petit et de manière incurable, la plupart des représentants de l’humanité…

Une humanité, tellement vulnérable et bien trop faible pour réagir devant l’inaltérable alors qu’il est encore temps de bouger et de dire stop à toutes ces dérives que l’homme, premier prédateur de l’homme, sait si bien inventer. Une vulnérabilité qui a atteint son paroxysme comme devant le réchauffement climatique, la dérive totalitaire des autocraties, l’absence de maîtrise de l’inflation voulue par les spéculateurs, la perte des libertés et celle des valeurs civiques qui se font égorgées au coin de la rue.

 

Un XXIème siècle de progrès et d’évolutions sociétales !

 

Les premières victimes en France ont donc chuté cette semaine, dans une relative et discrète indifférence médiatique, entre le voyage papal faisant halte au vélodrome de Marseille – il n’y a donc que les supporters de l’OM à croire encore au miracle alors que leur équipe vit une de ses pires crises entre dirigeants ! - et les fastes culinaires permettant aux monarques de Grande-Bretagne de rejouer les grandes eaux de Versailles en se sustentant richement à nos frais.

Mais, symboliquement, les « grandes eaux », ce sont sans doute les pleurs de ces 217 sacrifiés et de leurs familles dont les têtes sont tombées sur le billot du progrès et de la modernisation à tout crin, de la froide rentabilité et des économies à rationnaliser à tous les étages de la société, et surtout dans les moindres recoins de la vie entrepreneuriale. Mais, dans quel monde vit-on ?! Et, on ose parler de XXIème siècle et de ses évolutions !

La statistique fait froid dans le dos, car évidemment, sur ce sujet qui fait saliver d’aise tous ces petits génies de l’électronique, des « big data » et du numérique déshumanisés, le pire est devant nous. Comme l’inexorable fonte des icebergs et des glaciers devant disparaître d’ici une cinquantaine d’années.

 

 

 

La perte de plus de 300 millions d’emplois à moyenne échéance

 

Plusieurs études l’attestent : il est dit que l’intelligence artificielle remplacera 85 millions d’emplois d’ici 2025 de par le monde. Et, les spécialistes, tout de go, d’ajouter que cette même intelligence artificielle au cœur décharné et au sang de navet (!) devrait créer 97 millions d’emplois sur la même période, soit un différentiel en solde positif de 12 millions de jobs à ajouter dans l’escarcelle de la valeur ajoutée.

Oui mais…cela reste naturellement à prouver et ce ne sont pas les 217 premières victimes officielles de France qui diront le contraire lorsque d’ici quelques jours elles quitteront la tête dans les chaussettes et le moral en berne leur lieu de travail avant de se remettre sur le marché de l’emploi, en tentant de se reconvertir tant bien que mal selon les âges ou à défaut d’aller pointer au chômage jusqu’à percevoir le salvateur RSA, synonyme de précarité et de misère!

Dans l’absolu, toutes les projections réalisées par les plus grandes structures de l’économie américaine se rejoignent dès qu’elles anticipent l’avenir de l’emploi. Ce sont au bas mot plus de 300 millions de postes qui devraient être supplantés par l’intelligence artificielle d’ici une génération. Combien de temps, en fait, dix ans, vingt ans, un peu plus ou un peu moins avant que le couperet ne s’abatte sur les gorges offertes au sacrifice ?

Seul point de satisfaction qui pourrait redonner le sourire – il est plutôt jaune citron acide en vérité -, c’est le coup de booster apporté aux entreprises au niveau de la productivité. L’intelligence artificielle pourrait faire augmenter le produit intérieur brut mondial de…7 % !

A la bonne heure pour les multimilliardaires de la planète et autres spéculateurs qui s’enrichissent aux dépens des malheurs des autres et qui en verront les fruits en espèces sonnantes et trébuchantes, n’en doutez pas !

 

 

Deux emplois sur trois impactés par ce fléau technologique

 

Mais alors, quid de toutes ces personnes actives, vous et moi, aujourd’hui menacées par l’expansion inévitable de ces « chatGPT » et consorts de la même veine qui équivalent au quart de l’activité économique mondiale à supprimer ?

45 % des tâches administratives et des fonctions support ne seront plus effectués par des humains à l’avenir dans les entreprises. Cela fait peur ! L’automatisation des processus va gangréner progressivement des pans entiers de l’économie à l’instar des filières de l’industrie, des banques, des assurances, des services, du commerce, de la presse, des arts, de la musique, de la gestion, du droit, de l’agriculture, de l’automobile, de la mobilité, de l’énergie…La liste est loin d’être limitative, sic !

Deux emplois sur trois seront impactés par l’intelligence artificielle, d’après les projections émises par tous les spécialistes. Mieux que le réchauffement climatique, les coronavirus et les menaces belliqueuses des états impérialistes proches de déclencher la Troisième Guerre mondiale, voilà l’IA et son insidieuse déclinaison qui va détruire l’homme dans ce qui lui est le plus cher : son travail, auxiliaire nourricier de toute son existence, et de sa famille…

Tous les métiers dits « intellectuels », condamnés à disparaître, sont les cibles potentielles de ce nouveau fléau des temps modernes, véritable cancer de la société d’aujourd’hui et de demain.

Souhaitez-vous vous laisser guider avec un sourire béat à l’abattoir, sans protester comme des moutons de Panurge ? Il est grand temps de changer de paradigme, de revenir aux fondamentaux des valeurs humaines… et d’arrêter enfin ce jeu de massacre planétaire qui nous guette !

 

Thierry BRET

 

 


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« Elle cause plus, elle flingue… ! ». Mais qu’elle est donc la cible suggérée par la célèbre phrase cinématographique, à l’empreinte si caractéristique du regretté Michel AUDIARD, sortie en 1972 et qui pourrait être totalement en phase avec la réalité d’aujourd’hui dans le monde économique !? Je vous le donne en mille : l’entreprise, bien sûr ! La gente féminine n’hésite plus à passer à l’acte et à casser irrémédiablement les codes du travail, un système vieux comme le monde et patriarcal à souhait qu’il est ô combien nécessaire de dépoussiérer dès que possible, en oubliant même les canaux de la parité !

Désormais, les filles se muent en…de véritables patronnes ! Oui, Monsieur ! En tailleurs, jupes et pantalons, avec chemisiers froufroutants à l’appui et rouge à lèvre aux entournures, queues de cheval ou coupes à la garçonne !

On fait fi désormais du sexisme de bas étage qui sévit encore dans bien des bureaux de France et de Navarre et on ne rigole surtout plus : les « wineuses » osent enfin se montrer au grand jour, et évoquer leur irrésistible parcours qui les aura menés au firmament de la réussite !

 

 

Franchir le pas de la création…

 

Sans plaisanter, il était grand temps de montrer sous le soleil, à défaut sous le projecteur d’un amphithéâtre, ces femmes, mères ou grand-mères, coquettes et féminines jusqu’à la pointe des pieds qui entreprennent en véritables stratèges de l’économie qu’elles sont devenues !

La femme au foyer et le balai-brosse à la main, c’est terminé ! Le cliché d’Epinal aura duré assez longtemps dans l’esprit chafouin de quelques bonhommes au mode de fonctionnement archaïque qui hantent encore certains ateliers et bureaux ! Aujourd’hui, être femme des années 2020 – tiens, tiens, on dirait du SARDOU dans le texte ! -, c’est de reprendre sa destinée en main, de s’épanouir allègrement dans des postes à fortes responsabilités, y compris dans les domaines scientifiques ou ceux réputés très machistes comme le bâtiment ou l’industrie.

Pire pour les coincés du bulbe et autres misogynes de première main : c’est aussi l’opportunité pour la femme de créer son entreprise !

Désormais, elles osent franchir le Rubicon, en toute impunité et avec enthousiasme. Grand bien leur fasse ! Il y eut à l’origine quelques légers frémissements dans la stratosphère étatique – ce fut le cas avec la loi Copé Zimmermann il y a une dizaine d’années de cela – en instaurant des quotas de présence dans les conseils d’administration des directions d’entreprises. Certes, les femmes n’accédaient pas encore aux commandes de la boîte mais, un savant rééquilibrage leurs permettaient enfin de patienter et de ronger leur frein. Mais, cette avancée pour le moins spectaculaire ne concernait uniquement les CA mais pas les instances décisionnelles des directions ! D’où, la subtilité…

 

 

 

Peu de postes à responsabilité dans la stratosphère hexagonale

 

Aujourd’hui, elles osent le cap de l’entrepreneuriat et le proclament haut et fort. D’ailleurs, le MEDEF de l’Yonne ne s’y est point trompé en choisissant comme sujet de réflexion de la rentrée économique, ce focus sur l’entrepreneuriat au féminin ! Oui, mais ! Les inégalités sont encore très importantes entre les deux sexes, et pas uniquement sur le volet de la rémunération.

Souhaitez-vous des exemples concrets ? C’est simple : aucune femme n’est à ce jour parvenue à diriger le pays depuis son bureau élyséen. Bing, cela vous en jette un coin, non ? Mais, d’autres nous diraient : il y a déjà Elisabeth BORNE à Matignon !

Mais, raisonnons avec de pures entreprises, celles du CAC 40, les bien-nommées. Des poids lourds de l’économie qui se nomment BOUYGUES, L’OREAL, LAFARGE, LVMH, Saint-Gobain ou ACCOR. Trois femmes gèrent leur destinée avec le titre de…directrice générale, dépendantes évidemment d’un homme à qui échoit la fonction de président !

Et pensez-vous que les licornes, ces fameuses startups dont la valorisation dépasse le milliard d’euros soient mieux dotées en dirigeantes féminines ? Que nenni, ma « brave dame » ! C’est le zéro pointé à tous les étages au niveau responsabilité féminine sur les vingt-six d’entre elles !

 

 

Créer des instances réservées aux femmes entrepreneuses…

 

Il suffirait aussi de s’intéresser aux PME/TPE, aux groupes industriels, aux exploitations agricoles, au milieu du bâtiment et de l’automobile ; et le tour serait complet. Reste peut-être le seul domaine des services qui soit un peu épargné par cette hégémonie masculine qui n’a eu de cesse de se renforcer depuis des lustres.

Question : que manquerait-il donc aux femmes pour se propulser vers l’avant en matière d’entrepreneuriat ? Marie-Virginie KLEIN, auteure d’un ouvrage au titre évocateur « Femmes dirigeantes : comment elles ont osé ? » répond tout de go : de l’audace !

Le public féminin n’ose-t-il donc pas assez s’émanciper des sempiternels carcans patriarcaux de l’entreprise ? Possible, également. L’auto-censeure que les femmes se pratiquent à elles-mêmes parfois fait aussi office de postulat.

Il est donc grand temps que les femmes prennent leur envol et se propulsent vers les sommets en endossant la vêture de capitaine d’industrie, à l’image d’une Anne LAUVERGEON ! Et c’est un homme qui l’écrit !

Ce serait utile pour faire tomber les statistiques et les préjugés qui ne leur sont pas vraiment favorables : une femme sur trois dirige une société en France et 6 % des entreprises de typicité grosse PME, soit plus de 250 salariés, sont pilotées par une femme. C’est trop peu, on en convient.

Reste que la féminisation gagne aussi les instances patronales. La présidente des Femmes du MEDEF de France, Dominique CARLAC’H a insisté sur ce fait : son objectif est de vulgariser l’entrepreneuriat au féminin dans les cinq ans et passer de 5 % de femmes cheffes d’entreprises dans les rangs à 30 % ! Sachant qu’à date, elles sont 21 % à avoir rejoint les structures ad hoc réservées uniquement aux cheffes d’entreprises.

Vive le matriarcat dans l’entreprise !

 

Thierry BRET

 


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« Baobab ». Réputé pour la circonférence de son tronc, le végétal africain est aujourd’hui, bien malgré lui, au centre de l’actualité politique dans le landerneau. C’est le terme peu commun qui aurait été utilisé par le premier vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, le socialiste Michel NEUGNOT, à l’encontre de l’un des élus de la Ville de Nevers, Mahamadou SANGARE. Créant ainsi une polémique sur fond de racisme relaté par de nombreux médias hexagonaux. L’un confirme le propos. L’autre le dément. Conséquence immédiate : le bureau national du PS n’a pas ergoté pour suspendre à titre conservatoire le premier fédéral de Côte d’Or de ses fonctions…en attendant de faire toute la lumière.

 

DIJON (Côte d’Or) : Voilà un arbre évoluant d’ordinaire au beau milieu de la savane africaine qui est aujourd’hui la cause d’une nouvelle polémique au sein de la sphère politique nationale. Un végétal 100 % tropical, donc exotique ! Sauf que dans le cas présent, l’histoire ne se déroule pas sous les ors des édifices calfeutrés de la capitale mais bel et bien en Bourgogne Franche-Comté !

Elle met en scène une figure de la Région, son premier vice-président, le socialiste Michel NEUGNOT. Il est reproché à ce dernier d’avoir tenu des propos racistes à l’encontre d’un élu de la Ville de Nevers, Mahamadou SANGARE, lors d’une réunion de travail, organisée le 22 août à Imphy (Nièvre).

Des faits jugés suffisamment sérieux par le bureau national du PS qui a donc décidé de suspendre à titre conservatoire le premier secrétaire fédéral de la Côte d’Or, une décision entérinée le 12 septembre, à la suite d’une réunion organisée en région parisienne. Saisie par les instances nationales, la commission des conflits devrait livrer son verdict d’ici quelques jours après enquête.

 

Michel NEUGNOT prend acte pour se défendre en toute sérénité…

 

Or, Michel NEUGNOT, premier vice-président de la Région en charge de la modernisation de l’administration, des transports, des déplacements et de l’intermodalité depuis 2010 réfute ces allégations.

« Je prends acte de ma suspension à titre conservatoire de premier fédéral, décidé par le bureau national du Parti socialiste du 12 septembre 2023, explique-t-il dans un court communiqué de presse adressé aux rédactions. Cette décision me permettra de me défendre sereinement. J’affirme que je ne me suis jamais adressé à cet élu dans les termes qui me sont reprochés… ».

Puis, l’élu incriminé de rajouter : « Plusieurs témoignages de participants à la réunion du 22 août confirment cette version des faits. Ils seront versés au dossier. Je ne doute pas que le débat contradictoire annoncé par mon parti permettra de rétablir les faits réels. Je ne peux imaginer que mon parti balaie cinquante ans d’engagements en faveur des valeurs socialistes et humanistes sur la seule foi d’un témoignage d’un opposant politique… ».

 

 

L’élu de Nevers ira jusqu’au bout s’il le faut…

 

De son côté, l’élu de Nevers Mahamadou SANGARE ne l’entend pas de cette oreille et s’indigne de la posture du premier vice-président de la Région. « Un élu qui se dit de gauche, de surcroît ! ». Pour l’heure, le conseiller communautaire de Nevers Agglomération n’a déposé aucune plainte contre son homologue qui siège à Dijon. Même « s’il ira jusqu’au bout si nécessaire ». C’est-à-dire en justice si l’on comprend bien entre les lignes.

Du côté du Parti Socialiste, toute la lumière sera faite sur les accusations portées à l’égard de Michel NEUGNOT. Si les faits s’avéraient exacts, ils seraient graves, car contenant des propos racistes tenus à l’encontre d’un confrère représentant les citoyens. Si les faits étaient faux, ils le seraient tout autant pour tromperie et accusation à tort d’un élu.

Bref : le nouveau feuilleton automnal à vivre dans notre contrée sous le prisme politique s’annonce déjà kafkaïen pour se faire une véritable opinion…

 

Thierry BRET

 


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