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Trente ans, le bel âge pour une entreprise ! Celui de la maturité, de l’expertise, de l’expérience, aussi. L’âge des bilans mais aussi des perspectives ! Plus de cent-vingt personnes, des acteurs clés de la filière agricole départementale, clients et partenaires, ont donc participé il y a peu à ces retrouvailles heureuses, organisées à cette occasion par la famille MOREAU, à la tête de cette belle structure depuis maintenant trois décennies…

 

APPOIGNY : Date de l’apparition originelle : 1993. Rendez-vous pour les réjouissances : le 10 mai 2023 ! Entre-temps, trente ans se sont donc écoulés pour le plus grand bonheur de la famille MOREAU (Danièle et Joël – deux figures charismatiques de la vie entrepreneuriale de l’Yonne – et Alexandre, leur fiston qui les accompagne dans leur projet de développement de cette TPE de belle facture, incarnant le futur proche de la relève).

AGRI 89 : tout est dit ou presque dans cette appellation ! Agri comme agricole, il va de soi. Depuis trois décennies, ce spécialiste du négoce agricole propose une kyrielle de produits et solutions, permettant d’aider les professionnels de la filière de vivre du mieux possible l’optimisation de leurs exploitations qu’elles soient céréalières ou d’élevage sur notre territoire.

L’entité se porte bien. Joël MOREAU le glisse en aparté d’un entretien, accordé dans ses locaux il y a quelques jours. « Aujourd’hui, AGRI 89 rayonne sur la Nièvre et l’Yonne ; proposant la distribution de différents produits nécessaires à la filière agricole (les fertilisants, les engrais, les semences, les produits phytosanitaires…). Nous avons acquis une nouvelle clientèle parmi les agriculteurs et les viticulteurs qui nous ont fait confiance. C’est une bonne chose lorsque l’on célèbre son trentième anniversaire ! ».

 

 

L’embauche de trois collaborateurs pour gagner de nouvelles parts de marché…

 

Dans l’Yonne, l’entreprise réalise 80 % de son chiffre d’affaires. Un chiffre en progression qui s’établit à huit millions d’euros désormais. Au-delà de la stratégie commerciale qui ne cesse de se peaufiner pour écouler les produits, AGRI 89 cherche à embaucher trois collaborateurs. Des postes à pourvoir de suite, l’un de technico-commercial afin de renforcer la présence sur le terrain, l’autre de gestionnaire de magasin avec l’assurance de réaliser les livraisons – l’une des forces de la structure qui sait se rendre disponible pour mieux satisfaire ses clients -, et le troisième emploi se rapporte à une fonction de collaborateur administratif, avec un profil de comptable.

Une entreprise qui s’adonne aussi à des messages pédagogiques – nous y reviendrons dans un prochain article – lors de cette grand-messe qui aura permis d’aborder quatre thèmes distincts pour mieux informer sa clientèle : l’agriculture de précision, les activités microbiennes des sols, le système EASY Connect adapté à des bidons, et enfin l’agriculture « agri-voltaïsme », un complément d’activité applicable dans les exploitations qui mérite que l’on s’y intéresse de près !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Bien ancré dans le paysage de l’œnotourisme départemental, « Fleurs de Vigne » est devenu au fil des années un rendez-vous incontournable de tous les épicuriens, amateurs des vins de Chablis et du Grand Auxerrois. Cette 11ème édition n’a pas failli à la tradition. Les quais de l’Yonne ont affiché complet dimanche, à Auxerre, avec des visiteurs venus parfois de loin, avides de s’affranchir des secrets de la viticulture icaunaise, dégustations à l’appui. L’occasion aussi de belles rencontres avec des femmes et des hommes à la passion chevillée au corps, fiers d’un métier qu’ils n’ont de cesse d’expliquer et raconter… « Veni, vidi, viti » !

 

AUXERRE : Lancement officiel de la manifestation dominicale : l’image des confréries rejoignant depuis Saint-Germain, les quais de l’Yonne à travers les ruelles pavées du quartier de la Marine est toujours un moment fort du festival « Fleurs de vigne ». Comme un clin d’œil à l’histoire des lieux, lorsque les vins de l’Yonne, chargés sur les coches d’eau remontant la rivière jusqu’à Paris, s’invitaient à la table des rois. Mais le soleil aidant, qu’il devait faire chaud sous ces tuniques chamarrées et multicolores, conçues pour être portées l’hiver lors des Saint-Vincent… ! Une version « allégée » et plus estivale serait sans doute la bienvenue, à entendre les commentaires « transpirants » de certains.

« Le nom de la Bourgogne est connu sur l’ensemble de la planète, grâce à sa production, à ses climats, à son terroir. C’est tout un pan économique qui tire vers le haut notre balance commerciale régionale… ». A l’heure des discours, le vice-président du Conseil régional Nicolas SORET n’a pas manqué de saluer le rôle joué par le monde du vin et ses acteurs. Même tonalité dans les propos de la présidente de l’Office du Tourisme de l’agglomération auxerroise, également viticultrice, Odile MALTOFF, pour qui : « avec les vins de l’Auxerrois et toutes leurs couleurs, mais aussi tous ces paysages magnifiques, nous disposons d’un terrain de jeu outillé, une terre de découverte, que ce soit pour les yeux, le nez, la bouche mais aussi les jambes… ».

Aspirant à ce que « Fleurs de vigne » devienne un peu au printemps, le pendant de la fête montmartroise des vendanges à l’automne à Paris. Un rendez-vous auquel participeront pour la seconde année consécutive des représentants des différentes appellations icaunaises et l’occasion d’une visibilité exceptionnelle, avec un évènement rassemblant chaque année plusieurs centaines de milliers de personnes.

 

 

Quand le dieu « Chablis » fait recette !

 

Il y avait foule sous les barnums des vignerons de l’appellation ! Il fallait parfois jouer des coudes pour approcher et s’exercer à la dégustation « pyramidale » du divin breuvage. Pas de quoi pour autant faire de l’ombre à d’autres appellations au registre plus « intimiste », comme Chitry, Irancy ou Coulanges, qui toute la journée, ont vu défiler un flot continu où se mêlent amateurs avertis et néophytes moins chevronnés.

« Pour certains, on part de loin », s’en amuse Odile MALTOFF, confrontée parfois à des visiteurs s’interrogeant encore sur la signification du mot millésime : « mais un jour comme aujourd’hui, nous sommes précisément là pour expliquer tout ça… ».

Un rôle pédagogique auquel adhère pleinement Hervé EYPERT, propriétaire récoltant à Tharoiseau, à nul autre pareil pour raconter avec passion l’histoire du vignoble de Vézelay, passé en un peu plus de trente ans seulement, de l’appellation « Bourgogne » à celle d’appellation « Village » : « pour un petit vignoble comme nous, c’est sûr qu’une manifestation comme celle-ci, c’est très intéressant. Nous ne sommes pas là pour promouvoir spécifiquement nos vins, mais bien pour faire connaître l’appellation… ».

 

 

 

 

Entre danses et dégustations, fiers d’être bourguignons !

 

Que serait la célébration de « Fleurs de vigne » sans les « Peulons »… ? Le soleil tape dur dans les allées, mais pas de quoi pour autant décourager le célèbre groupe folklorique auxerrois, qui n’en finit pas de saboter, danser et guincher sous les notes de la vielle à roue jumelée à l’accordéon. Entrez dans la danse morvandelle et « bichez » qui vous voulez, « fiers d’être bourguignons » ! Assurément pour le moins « Bourguignons de cœur », Mado et Hervé sont venus spécialement de leur lointaine Bretagne participer à la fête. Rencontrés en cours de rattrapage sur les vins de Chitry en compagnie d’une figure des lieux, Christian MORIN, au verbe gourmand et didactique : « le cépage, c’est du chardonnay, présentant des similitudes avec certains chablis mais on n’est pas dans la zone d’appellation, faut bien que ça s’arrête quelque part… ».

On ne sait s’ils seront reçus à l’épreuve théorique, mais nos deux Costarmoricains semblent exceller dans l’exercice pratique ! S’adonnant verre en main, à quelques confidences, après avoir participés la veille à un atelier d’initiation à la dégustation : « les rondeurs, je ne savais pas que c’était aussi lié au vin », explique dans un sourire Mado. « J’ai découvert un terroir très riche, que je ne soupçonnais même pas… renchérit Hervé, son époux, fier d’appliquer à la lettre désormais la recommandation de consommer au moins cinq fruits et légumes par jour : « avec tous ces arômes fruités découverts dans les vins d’ici, je devrais y arriver… ! ».

Pour l’heure, il va falloir penser à remonter en centre-ville via les ruelles escarpées du quartier. Pas certain que les « arômes fruités » aident à la grimpette… Ou alors en parodiant un refrain cher à Hervé VILARD : « Chitry, c’est fini » !

 

Dominique BERNERD

  

 

 


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Une minute, à peine. Pas une seconde de plus n’est autorisée pour se rejoindre dans les airs à plus de 4 000 mètres d’altitude afin d’y assurer d’étranges chorégraphies. Des figures précises, maintes fois répétées au sol avant l’embarcation dans l’un des avions aux silhouettes si caractéristique, décollant de l’aérodrome de Chéu. « Paris Jump » a réussi son pari : réunir 150 parachutistes internationaux pour un évènement d’exception qui se joue en deux actes…

 

CHEU : « Fais comme l’oiseau », interprétait Michel FUGAIN et son BIG BAZAR en 1972. Des paroles porteuses de liberté qui ont sans doute séduit les adeptes de l’une des disciplines sportives les plus perchées, question altitude : le parachutisme en vol relatif.

Une discipline que les Icaunais ont la chance de pouvoir pratiquer et découvrir de manière régulière en saison, notamment avec la complicité experte de « Paris Jump », l’une des structures associatives les plus en vue dans l’Hexagone avec ses figures marquantes : l’excellente Manue NICOLS ou l’inoxydable, Paul GRISONI, notre « Polo » international. Ce dernier est encore à l’origine avec ses comparses de ce superbe rendez-vous concocté lors de ce long week-end de la Pentecôte, gorgé de soleil.

Un rassemblement annuel qui, à l’instar d’une pièce de théâtre classique, se joue en deux actes. Le premier, ce week-end ; le second du 01er au 04 juin au même endroit. Une aubaine pour celles et ceux qui s’adonnent à ce sport nécessitant physique et concentration, une chance pour celles et ceux qui aiment voir évoluer dans le ciel de l’Yonne ces « papillons » de couleur, formant moult figures géométriques en grappe, au-dessus de leurs têtes.

 

90 000 sauts pour cinq des meilleurs spécialistes de la discipline !

 

Depuis samedi, sur l’aérodrome proche de Saint-Florentin, Chinois, Russes, Américains, Slovaques, Irlandais, Néerlandais, Britanniques…et Français (cocorico !) organisent des sauts en vol relatif à partir de plusieurs avions. Ces sportifs de haute volée ne sont pas venus seuls : ils sont accompagnés de leurs coaches de référence internationale. Parmi les acteurs de ces adeptes de la chute libre, on notait la présence de l’Anglais Milko HOPKINSON, du Néerlandais Angelo DECLERC, des Français Patrick PASSE, Nicolas DAVID et de notre « Polo » GRISONI, frétillant comme aux plus beaux jours à l’idée de remettre le couvert tout là-haut ! Ces cinq-là possèdent à leur actif un sacré palmarès avec plus de 90 000 sauts !

Côté équipement, deux avions bimoteurs d’une capacité de vingt places chacun assuraient les nombreuses rotations dans un ciel azuréen : ils sont venus renforcer les possibilités d’embarquement offertes par le Pilatus de dix places, basé d’ordinaire sur l’aérodrome icaunais.

 

 

 

Un nouveau rendez-vous du 01er au 04 juin dans l’Yonne…

 

La sécurité des vols, au top, était assurée par les équipes de Paris Jump en bonne harmonie avec les usagers de l’aérodrome. On notera la présence de quelques élèves du club icaunais ainsi que plusieurs tandems venus profiter du beau temps et des moyens aériens pour progresser et découvrir ainsi les joies incomparables de la chute libre.

La spécificité d'un des deux gros porteurs étant justement, via sa porte arrière, d’offrir l’opportunité aux parachutistes de se lancer dans le vide en courant... Sensations garanties et poussées d’adrénaline évidentes !

On a hâte de découvrir la deuxième étape de ce challenge international de très belle facture. Rendez-vous est donc pris dès la semaine prochaine à Saint-Florentin où un bimoteur et le Pilatus du centre de Chéu seront à disposition pour que les compétiteurs internationaux se livrent dans les airs à leurs étranges et oniriques chorégraphies.

Précisons enfin, afin d’être tout à fait complet, que les champions du monde Martial FERRE, Polo GRISONI et Nicolas DAVID organiseront un autre évènement international un peu plus tard dans la saison, appelé le « Power Flower » - tiens, tiens, presque une réminiscence de la période hippie dans l’appellation ! – qui devrait rassembler une trentaine de représentants de cette fine fleur des parachutistes internationaux qui exercent leurs talents sur le circuit mondial.

Soit au total, plus de 300 personnes qui auront fréquenté ainsi ces deux évènements annuels… « Paris Jump », toujours au firmament, en fait !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une honte. Une de plus, me direz-vous, en ce bas monde, vraiment consternant devant autant d’aberrations et d’absurdités. Pernicieuse, sournoise, moins médiatique que d’autres, presque discrète mais tellement réelle pour près de quinze millions de nos compatriotes qui y sont confrontés dans leur quotidien. Comment croire qu’au XXIème siècle, à l’heure de l’intelligence artificielle, des réseaux sociaux superfétatoires et des mondes virtuels, des femmes, des enfants et des hommes peinent encore à se loger convenablement dans ce pays qu’est la France, la sixième puissance mondiale, selon les spécialistes ?

On ne sait quoi répondre devant cette ignominie, cette injustice de l’existence qui ne concerne pas uniquement les déshérités de la vie, les immigrés, les chômeurs, les SDF, celles et ceux qui sont privés des droits les plus élémentaires, et qui se retrouvent sans le sou dans la rue. A la recherche de leurs illusions perdues et du retour à leur dignité ?

La France des mal-logés est à nos portes. A côté de nous, tout de près nous, peut-être même dans notre voisinage, dans notre quartier, dans notre village : il suffit de toquer par curiosité et on vous ouvrira pour montrer l’insondable, le misérabilisme, l’irrespectueux, l’improbable, la souffrance…Et pourtant, ce n’est pas une fiction : cela existe véritablement !

 

Ne pas pouvoir se loger, les promesses de l’an 2000 ?

 

Se plonger dans le très volumineux rapport de la Fondation Abbé-Pierre, publié le 01er février dernier comme à chaque rendez-vous annuel, est en soi très révélateur de la situation exacte sur le terrain.

Alors que l’homme envoie des télescopes géants photographier aux confins de l’espace afin de mieux les percevoir les origines de la vie via des nébuleuses ; alors que des milliards de dollars et d’euros sont dépensés chaque jour aux quatre coins de la planète pour financer on ne sait quels projets pharaoniques clinquants et surfaits, dans des domaines parfois sans aucun intérêt au niveau vital ; alors que l’humanité toute entière se réarme à grands renforts d’enveloppes budgétaires en très nette progression, – malheureusement ô combien nécessaire – pour contrecarrer pendant qu’il en est encore temps les velléités expansionnistes et belliqueuses irréfléchies d’autocrates sans foi ni loi ; des femmes, des enfants, des hommes ne possèdent même pas de toit pour se loger dans un soupçon de confort.

C’est donc cela le monde moderne et le progrès que l’on nous promettait tant, jadis avant de vivre le cap du « sublime » an 2000 ?!

Une honte, vous dis-je. Renforcer depuis bientôt trois ans avec la série de vagues successives de crises en tout genre qui est venue s’abattre sur le globe, et plus particulièrement sur les rivages de l’Europe, vieux continent à la dérive sur bien des sujets, risée des autocraties.

De sanitaire, la crise est devenue économique, de confiance, de poussée inflationniste, de spéculation à outrance – c’est bien connu tous les maux qui nous frappent à l’heure actuelle sont imputables à l’Ukraine !-, financière, dans l’emploi – demandez aux seniors de ce pays, âgés de 50 à 65 ans s’ils sont encore désirés par les entreprises et employables sur le marché ! -, éducative, civique, sociale, de « dé-civilisation » !

 

 

 

15 millions d’exclus des logements confortables et viables…

 

La crise, elle l’est aussi dans l’immobilier. Le 28ème rapport de la docte fondation faisant référence à l’homme de l’hiver 54 – le saint homme ! - est accablant et pointe du doigt toutes les carences de ce pays, noyé dans la paperasserie administrative – mais où est donc cette politique de dématérialisation assouplie dont on nous vantait tant les mérites puisque le moindre dossier à constituer requiert toujours autant de documents inutiles à remplir et davantage de lenteur dans leur traitement ! – et le laxisme à tous les étages qui caractérise tant la technocratie franchouillarde de certains « ronds de cuir », représentant le service public que nos impôts financent !

Aujourd’hui, ce sont au bas mot pas moins de 15 millions de personnes qui sont directement touchées par les problématiques du mal-logement dans l’Hexagone ! Dont 4,1 millions vivent une situation épouvantable, un million d’entre elles étant même privées de logement personnel.

Les chiffres sont vérifiables : ils émanent de la Fondation elle-même et de l’INSEE qui réalise chaque année une enquête nationale sur le logement.

Des chiffres, vous en voulez ? En voici d’autres, tous aussi indigestes pour nos bonnes consciences de nantis que nous sommes.

Cent mille personnes vivent en habitation dite de fortune en France. 643 000 individus sont même hébergés chez des tierces personnes de manière très contrainte. Sans oublier que 25 000 autres logent dans des hôtels à la classification parfois douteuse.

Et parmi, ces exclus d’un logement viable – se loger reste l’un des sacro-saints fondements de l’analyse économique d’un pays avec se nourrir et se vêtir -, il y a énormément de femmes, isolées, en situation monoparentale, au bord de la rupture…

 

 

3,5 millions de personnes sans chauffage et eau chaude !

 

Si les mal-logés sont de plus en plus nombreux en France – rien ne semble stopper le phénomène -, 4,2 millions de personnes vivent en situation de surpeuplement dans les habitats qui les accueillent. C’est-à-dire qu’il manque significativement une pièce à vivre par rapport à la norme d’occupation. Ce qui, outre l’inconfort, peut entraîner une recrudescence de tensions familiales dans bien des cas.

Autre donnée importante : le nombre de personnes en situation d’impayés de loyers. Locataires de surcroît, elles seraient plus d’1,2 million en France à ne plus pouvoir payer les charges et les loyers – au grand dam des propriétaires, évidemment – s’exposant ainsi à une procédure d’expulsion locative, avec les beaux jours qui reviennent en vertu du respect de la législation.

Le nombre de propriétaires occupants qui vivent dans des copropriétés en sérieuses difficultés s’élève, quant à lui, à 1 123 000 personnes.

Evoquons aussi, les précaires de l’énergie. Celles et ceux de nos compatriotes qui se seront passés volontairement de chauffage, voire d’eau chaude, au cours de l’hiver, afin de pouvoir subsister : 3,558 millions de personnes ! Des foyers en activité professionnelle mais appauvris par la flambée des loyers, notamment dans le parc privé, qualifiée parfois « d’insoutenable » par ceux qui la subissent.

Précisons pour être tout à fait complet sur cette analyse, que 5,7 millions de nos concitoyens consacrent plus de 35 % de leurs revenus à leurs dépenses de logement. Cela leur laisse, dans le meilleur des cas, un revenu inférieur à 65 % du seuil de pauvreté, soit 650 euros par mois et par unité de consommation.

La hausse exponentielle de l’inflation n’arrange rien – soit 6,7 % depuis le début de l’année en moyenne – plaçant ainsi les plus vulnérables dans une position de très grande fragilité.

 

Changer de cap en impulsant une vraie politique du logement…

 

Seule note optimiste dans cet édifiant rapport de plusieurs centaines de pages : le confort sanitaire de base qui s’améliore en France – c’est bien le seul ! – puisque se situant à 99 % ! Il correspond au nombre de logements qui disposent désormais d’eau courante, de chauffage et de sanitaires à l’intérieur de l’habitat. Bon, il reste tout de même 1 % de logements dans le pays qui ne possèdent pas tous ces accessoires, synonymes de « grand luxe » il va de soi !

La Fondation Abbé-Pierre est on ne peut plus claire quant à l’action de l’Etat : il est grand temps de changer de cap et impulser une véritable politique du logement en France, à travers une vraie remobilisation générale de tous les acteurs concernés.

Ce qui est loin d’être le cas, aujourd’hui. On peut d’ores et déjà craindre que la lecture du futur rapport édité en 2024 ne soit aussi désolante que celle qui nous a été offerte cette année. Ainsi va la vie et pourvu que cela dure !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Quatorze récompenses d’or et d’argent. Ni plus, ni moins ! Suffisamment pour attirer les regards expérimentés des suiveurs du fameux Concours Général Agricole, évènement annuel mettant en scène la fine fleur des producteurs et entrepreneurs du territoire hexagonal côté produits. Qu’ils soient liquides ou solides mais toujours alimentaires ! C’est le nombre de médailles que la fratrie DAMPT – une longue lignée de vignerons que l’on ne présente plus dans le sérail ! – a obtenu lors de la dernière édition accueillie en marge du Salon international de Paris. Mieux qu’un célèbre judoka !

 

AUXERRE: Et un, et deux, et trois diplômes remis de manière systématique par le président de la Chambre départementale d’Agriculture, Arnaud DELESTRE, à l’heureux récipiendaire, Eric DAMPT. A lui et à sa souriante épouse, devrait-on dire, puisque les deux représentants de cette institution viticole ancestrale dans le paysage bourguignon furent quasiment les premiers à être récompensés lors de la cérémonie du Concours Général Agricole (CGA), concoctée par la préfecture de l’Yonne, le Département et la chambre consulaire.

Machinalement, Arnaud DELESTRE a poursuivi son geste, celui de la distribution de « bons points », ce qui fera esquisser un sourire à Pauline GIRARDOT, secrétaire générale de la préfecture et sous-préfète d’arrondissement de l’Auxerrois. Car, in fine, ce ne sont pas trois récompenses qui sont tombées dans l’escarcelle de la fameuse maison vigneronne, sise à Collan, mais bel et bien quatorze distinctions honorifiques, qui viennent compléter ce glorieux palmarès. Le temps de la photographie, et la suite de cette célébration des meilleurs produits agricoles/viticoles du terroir de continuer dans le cadre très appréciable du cellier de la préfecture, à l’acoustique si particulière.

 

 

Battre le record de titres dès 2024 ?

 

Heureux de ramener autant de diplômes dans sa besace, le couple DAMPT sera longuement applaudi par une assistance de connaisseurs et de professionnels. Il est vrai que l’on ne présente plus le domaine. Constitué au tout début des années 80 par le père de la fratrie (Eric, Emmanuel, Hervé), Bernard DAMPT. Une famille de vignerons qui en connaît un rayon dans l’art de l’élevage et de la vinification !

Il suffit de tâter sous le palais ce chablis premier cru Fourchaume 2021 – médaille d’or -qui aura subjugué le jury parisien du Concours Général Agricole – un évènement incorporé au programme du Salon international de l’Agriculture de Paris – pour apprécier le travail réalisé depuis des lustres par cette famille qui collectionne les titres de gloire chaque année.

D’ailleurs, en aparté, Eric confie que l’année dernière, onze distinctions furent ramenées de la capitale à l’issue de ce fameux concours, le seul et unique placé sous le contrôle de l’Etat. Et ce, depuis 1870 !

Bref, on ne change donc pas une formule qui gagne chez les DAMPT ! Reste à savoir désormais, s’ils battront le nouveau record de titres et récompenses dès le concours 2024 ! En tout cas, la famille s’y emploiera !

 

Thierry BRET

 

 


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