Il a fière allure sur son superbe cycle électrique, le président du Grand Sénonais, Marc BOTIN ! Un vrai profil de sportif ! Pourtant, en cette fin de matinée du lundi 03 février, la température, nettement plus proche du – 1 degré que de la chaleur, n’autorisait guère les prouesses physiques à l’extérieur ! Mais, cérémonie oblige, celle de l’inauguration des « Brennus à vélo » - soit la mise à disposition des vélos à assistance électrique en libre-service sur le Grand Sénonais -, le président de l’EPCI y a été de son petit tour, depuis la place des Héros jusqu’à la salle de la Poterne, terme de son périple cycliste…Au nom de l’exemplarité !
SENS : Des conditions météo à ne pas mettre un cycliste dehors ! Entre la grisaille humide du brouillard et le froid pénétrant de ce lundi très hivernal, il y avait néanmoins des quelques courageux, Place des Héros, prêts à braver les rigueurs de cette forte baisse des températures observée en l’espace de quelques jours, afin de tester le nouveau matériel mis à la disposition des habitants de l’intercommunalité. Une centaine de cycles à assistance électrique qui sont répartis dans dix-huit stations d’entreposage sur le Sénonais. Des vélos aux couleurs très agréables, rappelant celles choisies évidemment pour identifier le nouveau logo de la communauté d’agglomération de ce secteur géographique de l’Yonne. On y retrouvera aussi la figurine du Brennus, apposée sur le garde-boue arrière de l’engin électrique. Un sympathique et esthétique clin d’œil à l’une des armoiries de l’ancienne capitale des Sénons.
Aux côtés de Marc BOTIN, président de l’EPCI, de nombreux élus communautaires qui ne voulaient manquer pour rien au monde cette inauguration, mettant en exergue dans sa fonctionnalité ce mode de locomotion très prisé de nos concitoyens, le cycle à assistance électrique. Même l’édile de Sens, Paul-Antoine de CARVILLE, se prêtera au jeu de la photographie souvenir, juché sur la selle de l’un de ces cycles, fourni par la société FIFTEEN.
Une société FIFTEEN que l’on connaît bien dans l’Yonne
La société hexagonale représentée ce jour par Amira HABERAH, coordinatrice, a pour objectif de généraliser le déploiement des services de location de cycles sur tous les territoires. En ville, comme dans les zones les moins denses. Des locations qui sont assurées selon différentes possibilités, en courte, moyenne et longue durée. A ce titre, depuis 2008, ce sont plus de 50 000 vélos qui ont déjà été déployés en France en collaboration avec les partenaires de la société, qu’ils soient publics ou privés. Pour mémoire, c’est la même structure qui a installé le service « AuxR_M Le Vélo », opérationnel dans la capitale de l’Yonne depuis dix-huit mois.
Il revenait à Gilles SABATTIER, vice-président en charge des Mobilités et des Intermodalités, de retracer la genèse du projet. Malgré le froid, il prit quelques instants pour prendre la parole, à proximité du monument aux morts de Sens.
D’ici le terme de 2025, devait-il argumenter, ce sont près de cent kilomètres de pistes cyclables qui seront aménagés pour le plus grand plaisir des utilisateurs de ces vélos. « Il y aura également un service de location de moyenne et longue durée qui sera assuré par notre service intercom… ».
Encourager la mobilité douce et la transition énergétique
Pourquoi ce réseau de mobilité douce, in fine ? Réponse de l’intéressé : « cette opportunité en libre-service permettra de faciliter les déplacements urbains et inciter les habitants à changer leur manière de se mouvoir en ville, tout en douceur… ».
Puis, l’orateur remercia le maire de Troyes et président de Champagne Métropole, François BAROIN – il n’assistait nullement à la cérémonie - : « il nous a prodigué de précieux conseils avec ses équipes lors de nos échanges et visites à Troyes… ». Ce sont les services mis en place dans la capitale auboise qui ont inspiré les représentants institutionnels du Sénonais.
Quant à Jean-Luc KLEIN, président de MOBIL’ECO, il ne fut pas oublié lui non plus dans la liste des remerciements. « Nous engageons aujourd’hui un beau partenariat avec vos équipes, lui dit-il, au service de nos habitants et de l’attractivité du Grand Sénonais… ».
Moderne et dans l’air du temps, ce service supplémentaire proposé dans le Grand Sénonais répond aux besoins concrets des populations qui ne peuvent se passer de la mobilité. Qu’elle soit douce, ou pas…Des « Brennus à vélo » désormais parés pour prendre leur envol. A la manière des premiers tours de roue, donnés par le président BOTIN et de ses équipes, désireuses d’accélérer pour se rendre salle de la Poterne afin de s’y réchauffer et se sustenter !
Thierry BRET
Certes, il y avait un peu moins d’échantillons à déguster que l’an passé. 264 vins lors de l’édition 2024 contre 252 cette année. Mais, qu’importe ! Le sérieux des jurys et la concentration à se plonger dans cet exercice gustatif restaient les mêmes car cette pré-sélection du Concours Général Agricole ne s’effectue jamais à la légère. Coopératives et négociants présentaient donc une palette de leur savoir-faire, soit la représentativité vinicole de 62 professionnels, prêts à relever le défi. Un rendez-vous réussi pour la première étape. Il faudra désormais confirmer à la finale nationale accueillie le 23 février prochain, lors du Salon international de l’Agriculture à Paris…
BEINE : Il y a les habitués. Et il y a les autres ! Parfois, des novices. Comme ce jeune garçon, sorti de l’adolescence, accompagné d’un professionnel de la viticulture qui vient lui apprendre les rudiments de la dégustation, exercée dans les règles de l’art. Car ici, c’est du sérieux ! Apparu en 1870, le traditionnel Concours Général Agricole, placé sous l’égide du ministère de l’Agriculture, fait toujours recette quant à sa notoriété auprès des professionnels de la viticulture mais aussi du public, féru de nectars et autres crus. C’est un rendez-vous qui est quasiment sacralisé dans le calendrier de la filière viticole qui s’empresse de jouer le jeu.
Cette année encore, dans l’antre qui accueille la pré-sélection depuis plusieurs années à Beine, l’enthousiasme est toujours présent au rendez-vous. Dès 09h30, ce sont quatre-vingts dégustateurs, chevronnés ou pas, experts ou béotiens, qui se livrent à cet exercice étrange pour les néophytes de la discipline. Une vraie épreuve de vérité qui exige de la concentration et du sérieux !
Le concours est reconnu tant en France qu’à l’international. C’est peu dire ! Il offre l’excellente opportunité aux viticulteurs de l’Yonne y participant en envoyant leurs échantillons à déguster de valoriser leur travail, en faisant connaître les terroirs et en sa faisant référencer sur un marché de produits de haute qualité.
L’an passé, 57 candidats avaient soumis leurs 264 échantillons à la sagacité gustative des jurys en vue d’être représentés lors du Salon international de l’Agriculture de Paris. Celui-ci, pour mémoire, ouvrira ses portes, le 22 février.
En 2024, l’Yonne revint de ce séjour parisien avec un joli palmarès : 60 médailles qui y furent distribuées, dont vingt en or, vingt-et-une en argent et dix-neuf en bronze ! Qui dit mieux ?!
Nouveauté de cette édition 2025, savamment concoctée par les représentants de la Chambre départementale de l’Agriculture et la Direction départementale des Territoires (DDT), la présence de l’IGP (Indication Géographique Protégée) qui a fait son entrée dans ce concours si prisé. Trois échantillons illustraient cette catégorie. Elle sera directement dégustée au cours de la finale parisienne, prévue le dimanche 23 février.
Thierry BRET
Lorsque je suis arrivé dans l'Yonne au milieu des années 80, il y avait, à ma connaissance, deux tables poissonnières parmi les restaurants icaunais de l'époque : le « Tire-bouchon » à Pont-sur-Yonne où l'on se régalait d'une fort bonne soupe de poissons et surtout « La Salamandre » à Auxerre du chef COLAS. Il plaçait la barre assez haute et régalait sa clientèle de fruits de mer impeccables de fraîcheur, de turbot à la sauce hollandaise, pour terminer par un baba d'anthologie au vieux rhum. Deux tables, aujourd’hui, disparues...
PARIS: Aussi, pour se régaler d'huîtres de pleine mer et autres palourdes, point d'autres solutions que de se diriger vers la capitale, rapidement atteignable en train, lorsque le trafic est fluide, comme de bien entendu ! La brasserie « La Lorraine » est l'une des grandes adresses poissonnières parisiennes. En en poussant la porte, on est saisi par une sorte d'élégance qui, elle, a quasi-disparu par chez nous. Ici-bas, les tables sont évidemment nappées et les tenues du personnel y sont impeccables. Un autre monde en quelque sorte.
Même si les gougères qui accompagnent l'apéritif sont des plus quelconques, la native de Flogny-la-Chapelle n'est pas l'objet du voyage. La carte défile et nous fait plaisamment vagabonder entre Normandie, Bretagne, Charente ou encore le golfe de Gascogne. C'est agréable ! Les plateaux de fruits de mer portent de plaisantes dénominations : l'écailler, le mareyeur, le royal. Vous reprendrez bien un petit bulot, oint d'une savoureuse mayonnaise ?!
Un plateau de fruits de mer, servi comme à la parade !
C'est alors qu'à l'instar de la parade du 14 juillet, se mettent à défiler impeccablement des huîtres creuses de Bretagne, des spéciales Saint-Vaast la Tatihou « made in Normandy » et autres bulots, vignots sans oublier les crevettes roses bio d'une lointaine provenance de l'hémisphère sud. N'y en a-t-il point sur nos côtes ?
Tout cela est délicieux, élégamment servi, dans cette jolie brasserie, ouverte dans l'immédiat après Première Guerre mondiale.
Puis, arrive une belle poêlée de couteaux (beurre blanc au thym citron, piment d'Espelette) à l'impeccable cuisson. Et pour votre serviteur, une belle sole française meunière, accompagnée d'une tombée d'épinards frais. Un grand plat, symbole culinaire de nos brasseries. On a l'impression que la sole est tombée quelque peu en désuétude, désormais. Nos cuisiniers semblent hélas lui préférer le dos de cabillaud, lointain descendant du graisseux pavé de saumon, toujours venu d'on ne sait trop où...
Une atmosphère envoûtante dans la salle…
Le spectacle est aussi dans la salle : l'élégant ballet du personnel, les discussions des tables voisines, la vision rigolarde du client « faux cul » refusant à la première requête un coup de Montagny bien frais, pour mieux l'accepter deux secondes plus tard ! Comme quoi la volonté...
Les crêpes flambées au Grand Marnier - pas en salle, tant pis pour le spectacle - concluent ce délicieux déjeuner, à l'élégance parisienne. C'est avec plaisir que nous y reviendrons.
En savoir plus :
Les - : un léger détail, le flambage des crêpes en salle eût été apprécié.
Les + : bravo à Inès pour son sourire et son élégance lors de la prise de vestiaire. Et comme l'on n'a pas deux fois l'occasion de faire une bonne première impression, mission accomplie !
Contact :
Brasserie la Lorraine
02 Place des Ternes
75008 PARIS
Ouverture 7/7
Tel : 01.56.21.22.00.
Réservation conseillée, accès par le métro Ternes.
Première formule à 29,5 euros.
Gauthier PAJONA
Le mot de la semaine, en passe de devenir viral, sur les réseaux sociaux est le suivant : « submersion » ! Craint-on une nouvelle dépression météorologique qui frapperait les côtes de l’Hexagone ? Un risque de raz-de-marée sur le littoral breton, déjà bien éprouvé par les tempêtes hivernales successives qui s’y abattent depuis plusieurs semaines ? Que nenni !
En fait, il faut ajouter un autre terme à ce mot à la connotation si maritime et aquatique qui est à l’origine d’une nouvelle passe d’arme politique, entraînant de facto son lot de polémiques abusives depuis lundi en France : le mot « migratoire ». Une polémique qui pourrait aboutir à une nouvelle censure du gouvernement, rien que ça, et ce, dès la présentation et le vote du budget, la semaine prochaine…
Une censure que pourrait prendre à son compte cette fois-ci les parlementaires du Parti Socialiste, désireux à faire pression de toute part sur la gouvernance malmenée de l’Elysée, pour montrer qu’ils existent.
Ah, encore une de ces expressions toute faite et pleine de brutalité qui émane d’un porte-parole du Rassemblement National un peu trop bavard sur les plateaux de « CNews » ! Ou pire de l’un des sbires transgressifs de chez ZEMMOUR vilipendant un peu plus les méfaits de l’immigration au quotidien !
Perdu ! Pour celles et ceux qui ne s’en souviennent plus : ce « sentiment de submersion migratoire » qui touche à l’heure actuelle notre beau pays de cocagne, est l’œuvre orale du…Premier ministre François BAYROU ! Un pur produit du sectarisme et du racisme comme chacun le sait depuis des lustres, lui le chantre du centrisme modéré et de la conciliation tous azimuts dans une parfaite tradition de médiation !
Le PS dégaine et s’engouffre dans la brèche
Bref, ce simple constat d’observation, assumé totalement par le nouveau patron du gouvernement – il réitèrera par deux fois la tenue de ces propos dans l’hémicycle du palais Bourbon sous les huées des députés de gauche – a fait l’effet d’une envolée de boutique aussi rapide et désastreuse qu’un énième foyer d’incendie brûlant Los Angeles depuis sa prononciation par la frange de la gauche pourtant la plus encline à vouloir collaborer avec ce gouvernement qui peine toujours à trouver ses marques et surtout à valider son budget 2025 !
La phrase exacte du pensionnaire de Matignon est la suivante, pour être très clair. « La France s’approche d’un sentiment de submersion migratoire ». Tout est dans la nuance et dans la retenue, des propos fidèles à la pensée politique de l’édile de Pau depuis quatre décennies. Ne pas faire de vagues, ni de vaguelettes dans la forme et sur le fond !
Loupé ! Le Parti Socialiste s’est donc immédiatement engouffré avec sa planche de surf et ses véliplanchistes ragaillardis dans la brèche pour enfoncer un coin dans cet édifice gouvernemental, construit à la façon d’un château de sable en Espagne. Déstabilisant davantage l’exécutif qui franchement n’avait pas besoin de tout cela en cette période où le nécessaire budget 2025 n’a toujours pas été adopté par le vote parlementaire, plongeant dans les abîmes du doute les Français et les milieux économiques.
La réalité économique de la France entre fiscalité et charges à outrance
Dixit un Bernard ARNAULT, patron de LVMH et cinquième fortune mondiale, remonté comme un coucou suisse qui en a remis une couche véhémente pour protester contre le projet de surtaxation des entreprises du CAC 40 – à noter que les dividendes versés aux actionnaires ont battu tous les records en 2024 ! – et Patrick MARTIN, le responsable national du MEDEF qui devait aussi lui emboîter le pas : au secours, mais les patrons hexagonaux n’ont plus envie d’être les vaches à lait de la fiscalité nationale et ont, pour celles et ceux qui pourraient en avoir l’heureuse opportunité, la volonté d’aller s’installer ailleurs ! Suivant ainsi les subjectifs conseils de Donald TRUMP qui se frotte les mains en triomphateur de sa guerre commerciale déclarée contre le reste du monde à grands coups de taxes douanières !
Si « les rats quittent le navire », comme aura lâché tout en finesse la secrétaire générale de la CGT, Sophie BINET, avouez que ces patrons excédés par la pression fiscale délirante de l’Etat providence auraient tort de s’en priver ! Même les chefs d’entreprise des TPE et PME, voire les artisans et les commerçants, aimeraient bien délocaliser leurs activités à l’international afin de ne plus avoir le sentiment de travailler pour peau de chagrin une fois les impôts prélevés et à supporter les charges à répétition prélevées qui les privent d’embaucher de nécessaires collaborateurs…Telle est la réalité économique de l’entrepreneuriat en France en ce bas monde.
69 % des Français en osmose avec les propos du Premier ministre
Alors, mesdames messieurs, les politiques – et plus particulièrement ceux de gauche - qui persistent et signent dans cette énième polémique de plus, lassant au passage une population qui ne croit plus en vous, plutôt que de faire perdre son temps aux millions de Françaises et de Français qui travaillent, créent de la richesse, emploient, exportent et votent aux élections pour vous permettre de représenter leurs intérêts et de défendre les forces vives de notre pays, il serait peut-être plus judicieux de se retrousser les manches, de relever les défis et se mettre réellement au travail en validant une bonne fois pour toute ce satané budget que bon nombre de citoyens réclame – les acteurs de l’économie qu’ils soient patrons ou salariés – et surtout en exonérant les entreprises de ces charges insupportables qui briment notre société et le marché de l’emploi. Tout en simplifiant les contraintes administratives et normatives qui font aujourd’hui de l’Europe la dernière roue du camion mondial. Un camion d’occasion juste bon à aller au rebus si l’on n’y prend pas garde, quand on voit ce qui se passe aux Etats-Unis ou en Chine.
Quant au sujet de polémique du jour, écoutez donc les Français : 69 % d’entre eux, selon un sondage publié cette semaine, sont du même avis que les propos du Premier ministre, tout heureux de réaliser un tel score à sa cause. A méditer, non ?!
Thierry BRET
Elle court, elle court, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté ! Et la semaine qui vient de s’écouler fut particulièrement animée ! Il suffit de consulter son agenda officiel, transmis de manière hebdomadaire par le service communication de l’institution. Mardi, Marie-Guite DUFAY était à Paris afin d’y inaugurer le stand de la contrée HYVOLUTION. Deux jours plus tard, c’est à Besançon – son fief de cœur ! – qu’elle lancera le projet SAMI autour du capteur intelligent. On la retrouve finalement vendredi soir dans le Sénonais, lors des vœux du président de l’EPCI, Marc BOTIN !
PARON : On connaît la célèbre formule de MONTAIGNE : « les voyages forment la jeunesse ! ». Une citation que s’applique peut-être à elle-même la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, la socialiste Marie-Guite DUFAY, qui aura multiplié les déplacements cette semaine avec quelques allers-retours effectués entre la capitale de l’Hexagone, Besançon, Dijon et la Bourgogne septentrionale puisque le public assistant à l’ultime cérémonie de vœux institutionnels de ce mois de janvier, ceux du Grand Sénonais, aura l’opportunité de la croiser et de discuter avec la patronne de l’exécutif régional, vendredi soir à Paron !
Accompagné du vice-président de l’organe régional et édile de Joigny, Nicolas SORET, Marie-Guite DUFAY a pu s’entretenir avec les élus du nord de l’Yonne, dont le maire de Sens Paul-Antoine de CARVILLE, saluer le président du Grand Sénonais Marc BOTIN, toujours souriant et affable, disserter quelques instants avec le sénateur Jean-Baptiste LEMOYNE ou discuter avec le nouveau président du Conseil départemental de l’Yonne, Grégory DORTE, fraîchement élu de la matinée.
Une cérémonie de vœux qui fut particulièrement réussie avec en guise de mise en bouche, avant la longue intervention du président de l’EPCI, le spectacle de très belle facture sur la scène, assuré par les élèves, enfants et adultes, du Conservatoire de danse du Grand Sénonais. Entre instants classiques et modernes sur des airs d’Antonio VIVALDI ou de…Jacques BREL (« Vesoul ») !
Elégamment vêtue avec un ensemble de couleur mauve, la présidente de la Région précisa qu’elle ne devait pas rentrer dans la capitale du Doubs à l’issue de cette soirée – heureusement pour elle, vu la distance ! -, mais s’attarder la journée du lendemain près de Chablis (avec la Saint-Vincent tournante) ou à Tonnerre, sans doute pour y rencontrer son maire, Cédric CLECH…Une prolongation dans l’Yonne qui n’était pas en revanche inscrite dans le programme officiel de ses déplacements. Quand la présidente de la Région fait du « rab » dans l’Yonne !
Thierry BRET