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Le court métrage se veut résolument dynamique. Une excellente entrée en matière, juste avant la prise de parole de la responsable du groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté pour mieux appréhender ce que pèse aujourd’hui l’entreprise sur notre territoire régional, images et chiffres en surimpression à l’appui. « Pour le plaisir, on va même le visionner une seconde fois ! ». L’enthousiasme de Carmen MUNOZ-DORMOY est contagieux parmi l’assistance ! C’est sûr en 2025, EDF sera de tous les rendez-vous en faveur de la décarbonation et du soutien sans faille à l’attractivité économique du territoire !

 

DIJON (Côte d’Or) : Faudra-t-il compter sur le groupe EDF et l’ensemble de ses filiales pour dynamiser l’attractivité territoriale, tant au niveau économique qu’au niveau de la préservation de l’environnement et la création de l’emploi en cette année 2025 ? La réponse est oui ! L’inventaire à la Prévert, présenté par une Carmen MUNOZ-DORMOY très volontariste et engagée dans ses propos, il y a quelques jours encore lors d’une rencontre réunissant partenaires et milieux institutionnels/économiques en Côte d’Or, l’a totalement démontré. Oui : EDF et ses filiales joueront un rôle essentiel cette année encore dans la prospérité et la croissance de la vie économique de la Bourgogne Franche-Comté. Une implication de l’entreprise énergétique qui se place sur le long terme, il va de soi, comme l’a réaffirmé la directrice de l’Action régionale de la structure.

Alors, ce petit film, une courte vidéo de quelques minutes à peine, aura suffi pour poser les jalons de ce que représente à date EDF dans notre contrée. Une vision panoramique des chantiers et des projets de 2024. Ceux qui se prolongeront tout au long du nouvel exercice. Le long terme est aussi le marqueur idéal de l’ancrage territorial que souhaite mettre en exergue la dirigeante aux origines hispaniques du groupe. Son sympathique petit accent venant mettre du baume au cœur et un peu de ce soleil salvateur parmi l’assistance !

 

Les énergies fossiles doivent rester dans le sol !

 

Alors au moment où la planète célèbrera (ou pas pour les non-signataires et les pays qui ont choisi d’en sortir à l’instar des Etats-Unis) le dixième anniversaire des accords de Paris, visant à accélérer la décarbonation du monde, EDF entend poursuivre le combat. A sa façon ! Les récents évènements de Los Angeles (les incendies) et de Valence à l’automne dernier (les inondations) montrent bien le caractère d’urgence à agir. Sus aux énergies fossiles dont il est impératif de se débarrasser ? Carmen MUNOZ -DORMOY est catégorique sur le sujet : « il faut arrêter de les exploiter ! ».

Baisser la consommation de ces énergies fossiles est devenue une priorité. « Pour décarboner un système, il faut produire en décarbonant mais il est nécessaire aussi de consommer en mode décarbonation, a répété pédagogue la dirigeante de la structure, sinon, on s’éloigne de tous les objectifs… ».

Les énergies fossiles ont-elles encore un réel avenir dans l’esprit de la patronne régionale d’EDF ? « Oui, renchérit-elle, en restant dans le sol ! ».

Face à ce sombre tableau qui a pris depuis l’arrivée au pouvoir de Donald TRUMP une autre tournure du fait que les impératifs économiques des Américains sont désormais de forer davantage de pétrole et de gaz de schiste un peu partout sur la planète, il existe une bonne nouvelle néanmoins venant de l’Hexagone. Carmen MUNOZ-DORMOY l’a clamé haut et fort : la France possède de l’énergie décarbonée en abondante quantité. En 2024, l’électricité décarbonée a été exportée massivement par notre pays, un équivalent de 89 TWh, de quoi réjouir quelques voisins de la France ayant profité de la manne.

« Il est indispensable d’augmenter la part de l’électrification dans les usages et la consommation finale tous secteurs confondus en France au détriment des énergies fossiles, martela l’intervenante.

 

 

 

EDF déclare sa flamme à l’olympisme !

 

 

Quant aux Jeux Olympiques de Paris, Carmen MUNOZ-DORMOY y fera naturellement allusion. « J’ai été très impressionnée par leur réalisation, y compris les Jeux paralympiques auxquels j’ai pu assister. Une occasion pour EDF de décarboner le maximum de choses durant ces Jeux, dont la flamme ! ».

Du culot, dira-t-elle non sans humour avec cette fameuse flamme électrique que les Parisiens ont tellement apprécié durant deux mois qu’ils en redemandent encore dès l’été prochain avec l’autorisation du CIO ! Un vrai sentiment de fierté pour les salariés du groupe. « Ces Jeux auront été les plus décarbonés de l’histoire ». Le groupe n’aura pas lésiné sur les moyens, installant au passage des ombrières photovoltaïques éphémères, des bornes de recharge, la conception bio-climatique des bâtiments afin de ne pas trop consommer.

Du point de vue régional, l’année écoulée est considérée comme un tournant majeur dans les propos de l’oratrice. « On a énormément grossi parce que nous avons pu intégrer « ARABELLE Solutions » – la structure produit des turbines et des alternateurs -, soit 1 500 salariés supplémentaires qui ont rejoint le groupe à Belfort en sécurisant la « supply chain » du nucléaire… ».

Carmen MUNOZ-DORMOY aborda ensuite le volet Framatome. Cette dernière entité a livré trois générateurs de vapeur dans le cadre du programme de rénovation nucléaire, tout en exportant de nombreuses pièces à l’international. Il y a eu aussi, dans le même temps, la signature de la fabrication et la mise en service de six chaudières nucléaires, une concrétisation élaborée pour le programme « EPR 2 ». Ce qui fit dire à l’intervenante que « les usines tournaient bien ».

Quant aux ENR (énergies renouvelables), de nombreux projets ont été gagnés au cours de l’année 2024. Quatre centrales photovoltaïques ont été mises en exploitation, entraînant de facto différentes inaugurations à venir en 2025. Notamment celle de l’Aéroparc, implanté dans le Territoire de Belfort à Fontaine ou à Montchanin en Saône-et-Loire. Une deuxième centrale à hydrogène a été inaugurée là aussi du côté de Belfort, un territoire décidément très en vogue dans l’actualité de l’énergéticien ! Quant à la centrale auxerroise, Carmen MUNOZ-DORMOY a confirmé que l’installation de l’Yonne assurait une production importante. 

 

 

« Elle produit plus que nécessaire pour alimenter la mobilité lourde, devait-elle ajouter, elle signe même des contrats avec des industriels à partir de l’hydrogène décarboné pour Framatome… ».

Enfin, pour clore ce chapitre, les travaux de la STEP sur le lac de Vouglans dans le Jura ont débuté. Une STEP n’est autre que l’acronyme de la Station de transfert d’énergie par pompage, favorisant de gros stockages. Avec une efficience très performante. C’est la sixième STEP qui sera ainsi érigée en France.

Un accord de partenariat a été signé au niveau régional avec la BNP Paribas, pour accompagner la clientèle de particuliers de l’établissement bancaire avec la filiale EASY, à partir de solutions de rénovation avec les financements associés pour décarboner dans les usages de leur habitation. Le secteur de l’habitat n’a pas été oublié par EDF dans sa stratégie de décarbonation à tout va !

Sur le volet de la mobilité, le groupe poursuit ses prises d’initiative sur le déploiement des bornes tant pour les entreprises que les particuliers : HYNAMICS travaille sur des projets en lien direct avec la SNCF et ALSTOM pour envisager des solutions pouvant alimenter en hydrogène les rames de train. Quant aux réseaux de chaleur, plusieurs projets se sont déployés sur les agglomérations de Dijon et de Nevers en 2024 avec la filiale DALKIA. Ainsi qu’en Saône-et-Loire, dans l’une des sous-préfectures, à Autun. Les filières industrielles de la métallurgie et de la sidérurgie sont impactées par ce volontarisme stratégique avec comme fil d’Ariane la décarbonation. Suivant les pas de Framatome puisqu’un projet de géothermie a vu le jour en 2024 au Creusot. Un mix entre électricité et énergie fossile. MICHELIN est également sur le même registre.

 

Travailler avec le plus grand nombre !

 

Revendiquant l’identité territoriale de « bourguignon franc-comtois » de son groupe, Carmen MUNOZ-DORMOY insista sur la fierté de cette appartenance géographique : « on mange territoire, on dort territoire, on agit pour le territoire ! ». Soutenant de facto les efforts entrepris par la région, avec la Fondation EDF et ses fructueux appels à projet. Soit 150 000 euros distribués en 2024 au tissu associatif de la contrée !

En matière de présence physique, les professionnels à l’estampille EDF sont visibles sur de nombreux salons. On les aura vus beaucoup aux E-Days 2024 mais aussi sur les salons des maires, aux quatre coins de la région. « J’ai même été frustrée de ne pas pouvoir assister à la globalité de la tournée des vœux, s’amuse la patronne de l’action régionale ! Si j’avais pu me téléporter, j’aurai été partout ! ».

Premier financeur du Fonds solidarité pour les logements, EDF a fourni des subsides appréciables pour soutenir les départements dans l’aide dispensée aux familles très précaires, notamment sur le volet énergétique. A noter qu’en 2024, EDF BFC est entré au capital de « l’Usine Partners » basé à Chalon-sur-Saône pour mieux accompagner les projets du territoire. Bon nombre de commissions d’acteurs clé de notre région (CESER, MEDEF, Réseau Entreprendre Bourgogne…) accueillent des représentants du groupe EDF dans ses rangs au cours de leurs travaux. Au nom de la transition énergétique et du partage de ses valeurs. Sans omettre le rapprochement avec les entreprises du secteur industriel. « Nous sommes aux côtés de toutes les entreprises qui désirent décarboner et améliorer ainsi leur consommation énergétique… ».

De prochaines annonces sont attendues très prochainement sur le dossier de l’agrivoltaïsme. De nouveaux locaux seront également inaugurés au fil de ces prochaines semaines : à Chalon-sur-Saône avec la filiale DALKIA, mais aussi le nouveau siège social de la grande maison (EDF !) dans le quartier d’affaires de Valmy au nord de Dijon. La première pierre sera posée symboliquement au printemps pour une livraison prévue en 2026 ?

Pour bien marquer le désir de renouveau de cet acteur majeur de l’énergie en matière d’énergies propres ?! On ne peut que l’espérer !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Est-elle un peu nerveuse ? Un tantinet angoissé à l’idée d’hériter de la charge ? Peut-être. Peut-être pas. Quoiqu’il en soit, le sourire aux lèvres, élégante, affable, la future présidente de la Jeune Chambre Economique d’Auxerre ne semble nullement impressionnée par le sacro-saint exercice de la passation des pouvoirs qu’elle va vivre devant un parterre d’invités, d’ici quelques instants. Un rituel cérémonial nous revenant comme la suite attendue et espérée d’une série télévisée chaque année au mois de février. La routine, en somme ?!

 

AUXERRE : Dans le cortège des « marronniers » ponctuant chaque année l’actualité de notre territoire, la cérémonie de passation des pouvoirs de la JCE Auxerre, la Jeune Chambre Economique pour les béotiens, demeure un évènement très agréable à vivre pour les observateurs extérieurs que nous sommes. Tant par sa convivialité qui s’en dégage que par les enjeux véhiculés d’une telle manifestation. Non seulement, on n’y retrouve des jeunes gens, filles et garçons dans la pleine force de l’âge - entre 18 et 40 ans -, qui ne manquent jamais ni d’idées sociétales intéressantes à décliner pour leur zone géographique de prédilection (en l’occurrence dans le cas présent, le bassin de l’Auxerrois et l’Yonne), ni de dynamisme à grand renfort d’évènements et de réalisations à dérouler dans la saison afin de prouver que la jeunesse possède de beaux atouts devant elle !

C’est bien pour cela que les anciens de cette structure poursuivent parfois leur cheminement intellectuel au sein de cet organisme international, se considérant à juste titre comme un incubateur de talents. Il n’y a qu’à voir la forme olympique de l’ancien président national de la JCE période 1994/1995, l’Icaunais Jean-Eric FRAY, pour s’apercevoir que le mouvement conserve !

Ce dernier avec le zeste d’humour qui le caractérise aura assuré la cérémonie officielle, permettant la transition décisionnelle entre le président sortant, Yannick ROBIERE, et la future impétrante à la fonction, Esther VITO. Lui épinglant au passage sur le revers de son ensemble l’épinglette présidentielle en signe de reconnaissance…

Esther VITO. Présente dans la précédente équipe menée par Yannick ROBIERE, elle a pu en occupant un poste de responsabilité s’aguerrir à la future fonction présidentielle qui est désormais la sienne. Responsable d’un cabinet positionné dans le domaine de l’assurance et de la prévoyance à Saint-Fargeau, la jeune femme entend bien poursuivre à travers ce nouvel engagement la continuité de l’œuvre (des œuvres devrait-on dire) d’une JCE qui exerce de plus en plus de poids dans le paysage sociétal et économique de notre contrée.

 

 

Des actions orientées autour de trois grands axes  

 

Face à une assistance nombreuse, accueillie dans l’un des salons de l’hôtel Mercure – on remarquera les présences de Crescent MARAULT, président de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, d’Emmanuelle MIREDIN et Isabelle JOAQUINNA, conseillères départementales de l’Yonne -, la nouvelle présidente bien dans sa prestation oratoire déroulera son discours, prenant le soin de rappeler les principes de la Jeune Chambre. « Nous avons un rôle clé à jouer, car être à la JCE c’est croire en la force de l’action, précise-t-elle, c’est croire en l’engagement, à la puissance du collectif… ».

2025, année de partenariats et de projets ambitieux à proposer ? Oui, s’enthousiasme la jeune dirigeante d’entreprise, qui place également parmi ses priorités le recrutement de nouveaux adhérents.

« Soyons les jeunes leaders de demain, ajoute-t-elle, sur nos territoires et dans notre société… ».

Puis, vint le temps pour l’oratrice de présenter les trois axes majeurs de ce nouveau mandat annuel. Et tout d’abord, les « Super Héros » !

Une référence aux personnages de la franchise MARVELS ?! Pas vraiment !

 

 

 

« C’est une action contenant des messages à l’impact positif, destinés aux jeunes accueillis au centre hospitalier d’Auxerre, atteints de pathologies graves. L’idée est de leur apporter du soutien positif afin de les aider et accompagner à surmonter leur maladie… ».

Deuxième axe de travail pour 2025, le concept « Parle-moi de ton entreprise ». Une opération destinée aux jeunes gens du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, qui suivent les filières de l’enseignement supérieur.

« Ce sont deux univers qui peuvent être parfois en décalage, justifie Esther VITO, il est important de créer une passerelle entre ces deux mondes pour aider les jeunes à mieux insérer les entreprises… ».

Troisième volet de ce programme 2025 : la création d’un écovillage afin de réunir tous les acteurs liés au développement durable. « Nous allons porter au sein de l’Auxerrois des actions en faveur de ce thème… ». Un complément à la journée du nettoyage mondial du « World Clean up Day » ou le don de cheveux destiné aux femmes atteintes du cancer du sein.

 

Copieux programme au niveau des déplacements

 

Quant à la formation, elle reste l’un des socles prioritaires dans le mode de fonctionnement des JCE. En janvier, la première séance didactique fut organisée autour de l’art de l’improvisation. Des ateliers en découleront au fil des prochaines semaines.

Les déplacements s’inscrivent également parmi les chantiers importants de 2025, avec la Convention nationale de Strasbourg et le Congrès national accueilli à Montpellier. Tunis sera la destination choisie par les membres de cette entité pour y vivre le grand rassemblement international annuel. Enfin, une convention européenne offrira l’opportunité aux Auxerrois de se rendre en terre danoise, non pas au Groenland très en vogue actuellement sur le plan géopolitique mais du côté de Herning, ville située au cœur du Jutland Central.

Enfin, les soixante ans de la JCE Auxerre seront célébrés lors du week-end du 10 octobre 2025. Un moment intense en perspective !

En guise de conclusion, Esther VITO présenta l’équipe qui va la seconder en cette année de présidence. Avant de poser pour l’éternité et en se promettant d’écrire une belle page de vie pour la JCE Auxerre !

  

Thierry BRET

 

 


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Elle brûle d’impatience de se faire connaître auprès des entrepreneurs et des collectivités, la jeune femme de 22 ans ! Annaïs CEPA est à la tête de sa propre structure professionnelle, créée à l’automne dernier à Auxerre, un cabinet spécialisé dans la gestion et le conseil aux risques psycho-sociaux, répondant au nom emprunté à la racine latine, « SINEQUANON » ! Sine qua non ? Une locution qui signifie « sans laquelle cela ne pourrait être ! ». Elémentaire, mon cher Watson !

 

AUXERRE : Objectif numéro un de la jeune fille, membre de la Jeune Chambre Economique locale – ça aide de faire partie de cette structure incubatrice de talents ! -, se faire connaître ! Vers le plus grand nombre, de surcroît. Les professionnels de l’entrepreneuriat de manière primordiale. Mais, pas seulement. A 22 ans, Anaïs CEPA, la fille de Nathalie CEPA, elle-même à la tête de structures entreprenantes à l’instar de « FORMAT C » et de « NF2i », sait de qui tenir côté volonté et abnégation !

Installée précisément dans les bureaux de sa mère, Annaïs porte depuis plusieurs mois la destinée d’un cabinet de conseil spécialisé dans les risques psycho-sociaux. Cela tombe bien en cette année consacrée au niveau hexagonal à la santé mentale des Français ! L’appellation de son entreprise sonne bien : SINEQUANON !

« Sensibiliser aux risques psycho-sociaux est une nécessité, explique-t-elle, la maltraitance dans le travail n’est pas un vain mot… ».

Pour faire entendre sa voix, Anaïs CEPA prépare une réunion découverte, organisée en soirée – ce sera le 03 avril prochain, sans doute dans l’une des salles municipales d’Auxerre aux alentours de 18 heures – pour sensibiliser celles et ceux qui sont interpellés par ce sujet ô combien crucial dans l’existence des personnes en activité.

 

 

« Je veux leur proposer des animations et de la formation, ajoute-t-elle, je vise en priorité les responsables des ressources humaines mais également les dirigeants d’entreprise… ».

Elle-même a vécu une expérience au sein d’une société de service à la personne. Puis, dans la restauration rapide et l’intérim. Alors, les problèmes psychologiques en entreprises, elle a pu les côtoyer de près…

« Dans le monde professionnel, il y a beaucoup de stress, aujourd’hui. Il est fondamental de redonner la confiance à celles et à ceux qui se lèvent tôt le matin pour aller travailler… ».

Première étape de cette mission salvatrice : cette future séance explicative où elle espère la présence d’une trentaine de participants. Retrouver le sourire au travail est sans doute envisageable à partir du moment où l’on s’intéresse à l’humain…

 

Thierry BRET

 


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Bienvenue dans la quiétude campagnarde du nord-ouest icaunais ! Antan, ce village d'environ 600 habitants était desservi par le tacot ferroviaire assurant la liaison entre Sens et Egreville jusqu'au début des années cinquante. Il fut victime ensuite de la concurrence automobile naissante. En 2025, demeure ici un unique commerce villageois, « Aux Sangliers ». Il fait un peu de tout : bistrot, menu du jour, dépôt de pain, tabac, épicerie, dépôt de colis. Le principe multiservices de commerce villageois en ce début de XXIe siècle. Franck, le patron reconverti et Sami, le jeune cuisinier, y sont à la manoeuvre. 

 

SAINT-SEROTIN : Ces commerces se font hélas de plus en plus rares dans nos communes. L'Etat, non sans raison, a lancé des programmes de renaissance bistrotière dans les villages (café de pays, mille cafés.org), gérés par des fonctionnaires n'ayant sûrement jamais la plupart du temps mis les pieds dans un bistrot, ces citadins préfectoraux lui préférant sûrement l'usage de leur smartphone dernier cri et de leur application dans l'air du temps, mais passons !

« Aux Sangliers » est au centre de ce petit village, face à l'église en pleine réfection. Devant son entrée, trône un panneau-ardoise sans inscription aucune, dommage. On y entre côté bistrot, et la salle à manger donne sur la paisible cour intérieure, sorte de terrasse d'été. Le chien de la maison s'y repose nonchalamment ! Il fait chaud dans cette petite salle d'une trentaine de couverts (c'est agréable en février !), les murs y sont ornés de vieilles photos villageoises. Quant aux tables nappées (eh oui !), elles sont plutôt bien dressées.

 

 

 

Une honnête entrée avec le jambon de Bayonne



En ce début de repas, je suis l'unique convive, et commande un kir. Il est servi dans un verre alsacien ! Le patron annonce le menu du jour sans choix, et à 18 euros, il ne faudrait pas plus. On peut se demander si plutôt qu'un menu sans choix, changeant quotidiennement, ne faudrait-il pas mieux un menu de la semaine avec deux choix possibles, ce qui est toujours plaisant pour la clientèle.

Va pour l'assiette de jambon de Bayonne, plutôt copieuse. Au Pays basque, force est de reconnaître que j'en ai goûté du meilleur, mais qu'avec cette bonne baguette et une lichette de beurre, c'est une honnête entrée.

 

 

 

La papillote aurait pu être plus « musclée » en quantité !

 

Entre-temps, arrive un aimable couple, voisin de l'estaminet. C'est gentiment que tous deux prodiguent force encouragements au patron qui leur évoque ses projets de fleurissement printanier. Trois convives ! On se sent un peu esseulé dans ce lieu qui n'aspirerait qu'à accueillir cinq à six convives en plus. Le plat arrive. Il est bien chaud. C'est une truite en papillote. Elle est accompagnée de pommes vapeur. C'est bon, même si la papillote pourrait être un peu plus « musclée » : une rondelle de citron, une lichette de curry, une goutte de « Noilly Prat », ce vermouth français bicentenaire souvent injustement délaissé désormais par nos cuisiniers ou d'un blanc sec. Mais, cette assiette poissonnière se complète bien.

 

 

 

Et si les bistrots à la française venaient à disparaître ?

 


En dessert, la crème aux œufs aurait mérité un caramel. Ce n’est ni coûteux, ni compliqué à faire. Le fort bon café pris au comptoir me permit d'acheter un pot de miel de l'agriculteur local Martial DUMANT (pensons à réserver nos achats aux apiculteurs producteurs hexagonaux, plutôt qu'aux produits improbables des grandes surfaces, sorte de sirops trop sucrés en provenance de Chine, une nouvelle fois hélas…).

Il faut à la fois du cœur à l'ouvrage et un courage certain pour tenir ces petites échoppes, tenantes du lien social villageois. Ce dont Franck et le jeune Sami auraient aussi besoin, c'est d'un peu plus de clients ! C’est le modique prix à payer pour continuer dans un futur proche, à pousser la porte de ces commerces qui se raréfient. Il serait dommage demain, que cette image tenace du bistrot français si symbolique disparaisse de nos paysages. Alors, tous « Aux Sangliers » et à la vôtre !

 

 

 

En savoir plus :

Les - : la formule du menu qui change au quotidien ne semble pas de mise dans une petite structure villageoise. Ne vaudrait-il pas mieux un menu de la semaine avec deux choix ? Les conseilleurs n'étant pas les payeurs, comme de bien entendu !

Les + : le service est aimable. L’atmosphère y est plaisante.

 

 

Contact :

Café Aux Sangliers

Place de l'église

89140 SAINT-SEROTIN

Tel : 03.86.95.16.49.

Ouverture tous les jours sauf le lundi. Stationnement aisé.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Optimiste, le président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne ? Visiblement, il l’est et l’a dit en public lors de l’inauguration du Salon de l’Etudiant et de l’Apprentissage, qui a ouvert ses portes pour une durée de deux jours au parc des expositions d’Auxerre. Toutefois, s’il préfère mettre en avant l’intelligence artisanale plutôt que l’intelligence artificielle – la belle trouvaille sémantique ! -, il s’est montré menaçant si un jour « l’avenir des apprentis était pris en otage ». Une petite phrase pas si anodine que ça et lourde de significations…

 

AUXERRE : Ombre et lumière, Jean-Pierre RICHARD ? Le président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne a soufflé le chaud et le froid lors de sa brève intervention inaugurale, à l’occasion de l’ouverture du troisième Salon de l’Etudiant et de l’Apprentissage, au parc des expositions.

S’il est montré serein et satisfait de la pertinence de cet évènement, organisé avec la Chambre de Commerce et d’Industrie, le Conseil départemental et l’Académie de Dijon (« c’est la fête pour les jeunes qui vont découvrir les métiers de l’artisanat durant ces deux jours »), en revanche, il se sera montré un brin menaçant dans ses propos en concluant son bref discours d’une phrase pour le moins énigmatique : « Si on n’ose un jour prendre en otage la jeunesse et l’avenir de nos apprentis dans l’Yonne, je ne le tolèrerai pas et je ferai tout pour interdire ce genre de chose… ».

Une allusion à peine voilée aux conséquences de la baisse de subventions de l’Etat sur l’apprentissage, que prévoit de mettre en place le gouvernement de François BAYROU, en diminuant de 6 000 euros à 5 000 euros la subvention pour les PME et de 2 000 euros pour les grands groupes. Une baisse qui serait catastrophique pour poursuivre la dynamique de l’apprentissage qui convainc les entreprises hexagonales et séduit tant les plus jeunes d’entre nous, à l’amorce de leur intégration dans la vie active.

 

 

L’artisanat ? 93 % de l’économie de proximité de l’Yonne !

 

Personne parmi l’assistance de représentants institutionnels et politiques présents n’aura osé poser la question à l’intéressé à l’issue de sa courte prestation, micro en main.

Bon, il est vrai que Jean-Pierre RICHARD s’était tout de même réjoui un peu plus tôt que la France ait de nouveau un budget, favorable à la reprise si attendue de l’économie.  Livrant au passage quelques chiffres sur la situation de l’artisanat sur notre territoire, soit la présence de 10 500 ressortissants au sein de la chambre consulaire, pour 1 200 apprentis et 20 000 salariés. Un secteur d’activité qui pèse au bas mot 850 millions d’euros de chiffre d’affaires, c’est-à-dire 93 % de l’économie de proximité de l’Yonne. Ce qu’aura bien noté dans ses tablettes le président du Conseil départemental, Grégory DORTE.

Décidément, en verve, en ce début de matinée, le président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat icaunais a même suggéré que « les artisans pouvaient se comparer à des possesseurs de startups du fait de la diversité de leurs métiers ». Rien que ça !

Mais, la référence sémantique du jour est sans aucun doute celle-ci : son allusion à l’intelligence artificielle dont on nous abreuve les mérites à longueur de journée en « intelligence artisanale » pour tous ces jeunes apprentis qui s’essaient avec bonheur dans les 250 métiers et plus, proposés par la filière ! Gonflé, non !

 

Thierry BRET

 

 


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