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L’innovation dans tous ses états. De surcroît, celle qui fleure bon les initiatives entrepreneuriales et associatives émanant de la Bourgogne et de la Champagne ! Les esthètes en la matière le savent et ne cessent de le marteler, à grand renfort de prises de parole ou de conférences : « il ne peut y avoir d’attractivité territoriale, sans innovation ! ». Une vérité de La Palice que les responsables du « Village by CA » (comprenez par-là l’excellent écosystème décliné par le Crédit Agricole) ont su reprendre à leur compte en créant la première édition des Talents de l’Innovation. Il fallait y penser : la Banque Verte l’a fait ! Neuf lauréats s’en souviendront longtemps…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un évènementiel qui au vu du succès escompté devrait immanquablement appeler à se pérenniser dans le temps. C’est une certitude. Une manifestation à l’ancrage territorial, devant mettre sous le feu nourri des projecteurs médiatiques, ce qui se fait de mieux sur le registre de l’innovation de cette contrée qui excelle en la matière. Il suffit de s’intéresser de très près à l’actualité de l’hydrogène ou de l’énergie avec le nucléaire. Bref, la Bourgogne et la Champagne regorgent d’idées et de talents – même si ses sols ne contiennent pas de pétrole et pas de gaz ! – et veut le faire savoir.

Mettre en lumière les esprits innovants, désireux de façonner notre territoire, à partir de projets et de judicieuses envies entrepreneuriales, est donc le socle avoué de ce rendez-vous où devaient se réunir plus de deux cents personnes, le 13 novembre dernier, à Dijon. Un cadre idoine pour accueillir l’animation : la « Burgundy School of Business », qu’on ne présente plus !

 

L’innovation, une vertu à valoriser au nom de l’attractivité

 

Grande vedette de la soirée qui permettait de décerner des sésames à neuf lauréats choisis par un jury ayant examiné avec dextérité et patience plus d’une centaine de dossiers de candidature : l’innovation.

On le sait, celle-ci se manifeste à tous les étages de la société. Dans tous les domaines professionnels. Sans innovation, une entreprise est vouée à disparaître, dit l’adage propre au développeur d’affaires.

Alors, encourager en les récompensant celles et ceux des « startupeurs » qui pratiquent l’innovation au quotidien comme Monsieur Jourdain se délectait sans même le savoir de la prose devenait une impérieuse nécessité. Une passerelle que le Crédit Agricole, ici même dans sa configuration territoriale de Champagne Bourgogne, aura su construire avec en corollaire son passionnant concept du « Village By CA ».

Une formule magique, sans poudre de perlimpinpin et de breuvages abjects à avaler, qui aujourd’hui offre l’opportunité à ces entrepreneurs de la région d’être soutenus à la concrétisation de leurs projets novateurs à fort potentiel engagés dans des domaines aussi éclectiques et fondamentaux que peuvent l’être la santé, l’énergie, l’agriculture ou la recherche…Et encore, la liste n’est pas exhaustive.

 

 

Plus d’une centaine de dossiers sur la grille de départ…

 

Proposer des « Talents de l’Innovation » résulte donc d’une logique implacable pour dynamiser et valoriser le territoire à travers le prisme de l’attractivité. D’ailleurs, pourquoi les dirigeants de l’établissement financier n’y avaient pas pensé avant ?! Etonnant, non, s’en serait amusé le regretté Pierre DESPROGES !

Partant du postulat qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, ce concours  s’inscrit donc parmi les nouvelles priorités de notre paysage économique. Ouvert à toutes les castes de la vie professionnelle – et par extension associative qui est aussi génératrice d’excellentes initiatives en matière d’innovation -, il devrait se tenir désormais chaque année. Sur la base du volontariat et de l’inscription, à déposer avec dossier de candidature, au préalable.

D’ailleurs, les chiffres ne trompent pas. Une centaine de dossiers sur la grille de départ initiale, puis, une petite quarantaine de pré-sélectionnés (38 précisément) invités à assurer un « pitch », le propre de l’exercice oratoire face un jury pour tout bon responsable de startup qui se respecte ! In fine, ils ne seront plus que neuf à recevoir une récompense pour leur ingéniosité, leur audace, leur culot, leur talent !

Bref, neuf structures en quête du Graal qui repartiront de Dijon avec la bénédiction urbi et orbi d’un jury de professionnels aguerri à cet exercice !

 

 

Avant que ne tombe le verdict et que le rythme cardio-vasculaire baisse d’un cran parmi les candidats, Emmanuel VEY, directeur du Crédit Agricole Champagne Bourgogne prit soin en préambule de rappeler la genèse et le mode opératoire d’un tel challenge. « Nous avons imaginé ce concours comme un tremplin pour tous ceux qui innovent en Champagne Bourgogne. Nous souhaitions encourager ces acteurs qui repoussent sans cesse les limites pour s’adapter à un environnement en constante mutation… ».

Pour se faire, quatre catégories permettaient de départager les futurs lauréats. Soit les agriculteurs/viticulteurs – le credo traditionnel de la Banque verte -, les artisans/commerçants, les chefs d’entreprises et le milieu associatif. Signalons que l’Yonne arrivera à se distinguer par sa fameuse structure associative, « La Grange de Beauvais » et son président, Patrick HENRY, trop heureux de glaner un nouveau prix. Un prix sur neuf attribué à une structure icaunaise, incontestablement, l’Yonne peut mieux faire à l’avenir. Peut-être en 2024 ?

 

 

    

Les résultats

Nos lauréats sont :

Catégorie Artisans/Commerçants

 

Benoit BERT – Bussy Compost

Jean-Paul LOUREIRO – Opti-Toit

Catégorie Associations

Emma PICARD – CCulte

Patrick HENRY – Grange De Beauvais Venouse

 

Catégorie Agriculture/viticulture

Manon CHAILLAN – Les Ruchers du Bassigny

Michel VILLARMET - Les Fermes de l'Auxois et leurs Petits Casiers

 

Catégorie Entreprises

Magali BAJARD – Sintermat

Arnaud DORIDOT – Boostherm

 

Trophée Coup de Coeur 

Isabelle BLIN - Association " les ateliers des petites herbes"

 

Les membres du jury étaient

François - Xavier Lévêque – Président Caisse Locale de l’Innovation

Flavien Lemière -  ENGIE

Frédéric Imbert - Dijon Céréales

Vincent Delatte - BFC ANGELS

Dorian GUIU - GUIIU

Simon Massot -  Suntec

Valérie Vuillemot  -  Caisse Locale de l’Innovation

Euphémie Picq - Schiever

Franck Duhamel  - CAPEC

Quant aux trophées, taillés dans la pierre de Bourgogne, ils ont été réalisés par le lycée des Marcs d’Or, par les élèves de la section « Taille de pierre ». Il s’agit de pièces uniques. La preuve qu’innover c’est aussi renouer avec la tradition…

 

Thierry BRET

 

 


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En marge de la convention de partenariat qui unit désormais le SDEY et ENEDIS, sur la mise en œuvre d’une opération d’autoconsommation collective, Thomas FRAIOLI, directeur régional du principal gestionnaire du réseau public de distribution d’électricité en France – la structure gère le réseau basse et moyenne tension sur 95 % de l’Hexagone -, était également l’un des intervenants à l’une des tables rondes des XIèmes Assises de l’Energie. En l’état actuel des choses, le réseau électrique ne va pas résister à la croissance des usages, à moins d’investir…

 

MONETEAU : « On doit passer de 25 % à 55 % à horizon 2050 ! ». S’exprimant sur l’un des plateaux thématiques, proposé dans le cadre des onzièmes Assises de l’Energie, portées par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY), le directeur régional d’ENEDIS Thomas FRAIOLI a été on ne peut plus clair dans ses explicatifs concernant le futur de la consommation électrique dans l’Hexagone.

« La multiplication des usages induit une énorme pression sur le réseau électrique en France, devait-il expliquer à un auditoire d’élus et de représentants institutionnels, écoutant religieusement les propos de ce spécialiste. Est-ce que ce réseau va résister face à la hausse des demandes ? En l’état actuel des choses, la réponse est non ! ».

Une réponse catégorique, nette et sans bavure, de la part du cadre dirigeant d’ENEDIS en Bourgogne Franche-Comté. Une entreprise qui emploie à ce jour à l’échelle du groupe 38 000 collaborateurs et se positionne comme l’un des acteurs clés de la transition écologique.

 

Une progression fois dix du parc de véhicules électriques d’ici 2035

 

Toutefois, se voulant rassurant quant à la résolution de la problématique, Thomas FRAIOLI a évoqué ensuite l’enveloppe budgétaire de cinq milliards d’euros d’investissement qui sera programmée par ENEDIS jusqu’à 2040 afin que le réseau électrique puisse supporter à l’avenir cette croissance exponentielle des usages.

Quant à ses nouveaux usages, quels sont-ils ? Leur multiplication s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale bas carbone. Notamment dans la mobilité électrique et l’installation de bornes de recharge. Mais, aussi, dans le bâtiment…

 

 

« Leurs évolutions s’accélèrent, observent Thomas FRAIOLI, avec un parc en France qui correspond à 1,8 million de véhicules électriques. Mais, en 2035, ce sera 18 millions d’automobiles fonctionnant avec cette énergie ! ».

Soit dix fois plus ! Bien sûr, l’orateur parlera aussi des pompes à chaleur.

« Le gouvernement décide d’une aide à la rénovation énergétique des bâtiments, on a immédiatement la demande qui croît de 20 % depuis ! En revanche, ce que n’ont pas prévu les utilisateurs, c’est qu’il est nécessaire de renforcer le réseau électrique ! Car, cela a un impact direct sur la consommation… ».

 

L’inévitable bascule de pans entiers de l’économie vers l’électrification

 

Le réseau, qualifié de « tuyau » par Thomas FRAIOLI, demeure donc l’élément incontournable permettant d’optimiser le service de distribution à termes.

En l’état, il est d’une durée de vie estimative de trente à quarante ans. Mais, il est devenu obsolète au fil du temps et des usages.

On devrait donc passer d’une consommation de 450 térawatt heure actuellement à une prévision de 630 térawatt heure en 2030. Du fait de la climatisation qui se développe dans le tertiaire, du fait du choix de l’électricité pour le chauffage. Même le monde, jusque-là hermétique, des poids lourds suit cette évolution : plusieurs constructeurs se positionnent déjà sur les rangs de ce changement inévitable pour basculer vers l’électrique (et non l’hydrogène) à partir de raccordements de cinq Méga installés tous les soixante kilomètres le long des autoroutes françaises.

Un phénomène de bascule qui se multiplie au fil des mois, créant de réelles surprises auprès des spécialistes. Renvoyant aux calendes grecques le scénario médian proposé par RTE en 2021, car désormais caduc…

 

Thierry BRET

 


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Le chiffre de la fréquentation progresse. Cela se traduit par un large sourire qui s’affiche sur le visage de Christian DUCHET, délégué général de la FFB de l’Yonne, la fameuse « Fédération du Bâtiment ». Aujourd’hui, elle est sous la présidence de Cyril CHARETIE. Il vient de prendre son poste le 03 octobre dernier, succédant ainsi à Didier MICHEL. Alors quand 850 collégiens de l’Yonne prennent part au succès des « Coulisses du Bâtiment », cela ne peut que le satisfaire comme entrée en matière dans son nouveau mandat !

 

AUXERRE : Combien parmi ces huit cent cinquante élèves rejoindront un jour la noble filière de l’artisanat ? Sans doute, un très grand nombre d’entre eux. Car, quand on est encore collégien, on ne sait pas nécessairement vers quel registre s’orienter au niveau de sa carrière professionnelle. C’est précisément le bien-fondé de cette énième opération, déclinée nationalement par la Fédération française du Bâtiment, une animation relayée dans le landerneau.

Au niveau hexagonal, plus de deux cents chantiers, à l’image de celui du conservatoire à Auxerre, ont accueilli deux journées durant des scolaires avides de curiosité. Il en allait de même pour les CFA, centre de formation pour apprentis, voire certaines entreprises désireuses de recevoir des jeunes. Peut-être tôt ou tard, la future relève ?

Traditionnelle animation, « les Coulisses du Bâtiment » offrent une belle opportunité à cette jeunesse encore scolarisée dans le second degré. La possibilité de s’immerger au cœur d’un chantier afin d’y découvrir l’ensemble des acteurs qui y interviennent à l’instar des Compagnons du Devoir, du GEIQ BTP, du centre de formation par l’apprentissage. Une manière de découvrir par l’autre bout de la lorgnette la véracité d’un secteur professionnel en fort potentiel de recrutement.

Venant de dix-huit collèges, implantés un peu partout sur le territoire icaunais, filles et garçons se sont donc prêtés à ce petit jeu de la découverte. Dans le saint des saints d’un édifice en pleine reconstruction, le conservatoire d’Auxerre.

 

 

 

Une visite du conservatoire suivie par des personnalités…

 

Ils n’étaient pas les seuls manifestement ce jour-là ! Parmi les invités du jour, la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT. On notait aussi la présence de l’élue départementale Emmanuelle MIREDIN – elle représentait aussi la CPME de l’Yonne en substance -, Yves HUTIN, responsable départemental de Pôle Emploi ou encore le nouveau président de la FFB 89, Cyril CHARETIE.

Porté sur le devant de la scène depuis 2003, l’ambitieux programme des « Coulisses du Bâtiment » ne cesse de rencontrer le succès auprès des plus jeunes. D’une part, beaucoup de métiers se présentent comme des opportunités pour ces adolescents. D’autre part, le secteur du bâtiment (y compris les travaux publics) recrute sans discontinuer afin de répondre aux besoins pressants des employeurs dont les carnets de commande sont bien garnis.

Quant à la sous-préfète, Pauline GIRARDOT, elle aura vécu une expérience de réalité virtuelle, équipée d’un masque facial, lui permettant d’être plongée dans un chantier. Une immersion dont elle est sortie très satisfaite selon ses premiers commentaires !

 

Thierry BRET

 

 


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Ce n’est pas un colloque ordinaire. « Ordinaire » : l’un des titres majeurs de la longue et fructueuse carrière du plus français des québécois, Robert CHARLEBOIS ! Car, c’est bien d’un rendez-vous international mené avec la « Belle Province » d’outre-Atlantique dont il s’agit là et qui va rythmer la vie économique et institutionnelle de la Bourgogne occidentale, trois jours durant entre le 25 et 27 octobre.  

 

NEVERS (Nièvre) : Retenez-bien cet acronyme ! Spécialistes de la transition énergétique, de la RSE, des relations humaines, de l’entrepreneuriat et de la gestion des collectivités en quête de solutions pratico-pratiques (et efficientes) pour résoudre tout un tas de problématiques de la société, élus, il vous concerne tous ! « SIIVIM » ! Sa traduction littérale est « Sommet International de l’Innovation en Villes Médianes ». Un énième salon de plus dans le paysage de la réflexion et des neurones qui recherchent des préconisations ? Que nenni !

Placé sous le haut patronage de la Présidence de la République – c’est dire si l’évènement en mode biennal puisque accueilli une année en France, la suivante au Québec fait recette bien au-delà de la terre nivernaise -, ce rendez-vous ne ressemble pas à ce que l’on propose en règle générale en terre de Bourgogne. Depuis 2018, date de son apparition dans le paysage des évènementiels à biffer coûte que coûte sur son agenda, pour celles et ceux qui sont concernés par les thématiques, le SIIVIM a acquis petit à petit ses lettres de noblesse pour devenir l’une de ces manifestations où il est bon d’apparaître, tant sur un plateau conférence, tant dans la partie exposition où sont accueillies les entreprises et les collectivités.

Quelques chiffres pour planter le décor de cette cinquième édition, devant se dérouler dans la ville réputée pour sa célèbre « botte » usitée chez les escrimeurs, du 25 au 27 octobre prochains.

 

 

Pléthore d’animations et de conférences

 

Onze thèmes différents y seront abordés, vingt conférences et tables rondes y seront proposées avec la bagatelle de soixante intervenants, des spécialistes et sommités en la matière en provenance de l’Hexagone, d’Europe mais aussi du Canada. Douze délégations étrangères y participeront dont des contrées européennes et africaines. Quatre-vingt-dix clés d’innovations pour la ville intelligente y seront dévoilées dans un espace immersif de plus de mille mètres carrés, accueillis à la Maison des Sports de Nevers. Six parcours scénarisés et une dizaine d’opportunités d’être retenus pour la sélection de l’édition 2024 au Québec.

Bref, on l’aura compris pour les équipes organisationnelles de Nevers Agglomération et de la Ville de Nevers, force accueillante, le SIIVIM, c’est du très lourd. Au point de réaliser la conférence de presse annuelle au printemps depuis Paris !

On doit la genèse de ces rencontres « innovantes » au président de Nevers Agglomération, maire de Nevers et conseiller régional, Denis THURIOT et à son homologue en sa qualité d’édile de la localité de Shawinigan (Canada), Michel ANGERS. En l’espace de cinq ans, le SIIVIM a optimisé les contacts entre les acteurs privés et publics qui se sentent investis en faveur de la transition énergétique, de son amélioration et de la préservation de la planète.

Côté représentativité économique, ce sont plus d’une centaine de startups hexagonales qui convergeront vers les bords de la Loire à Nevers. On y attend aussi plus de trois mille visiteurs. L’évènementiel se clôturera par la remise de trophées, les fameux SIIVIM de l’Innovation des territoires médians, devant récompenser les plus belles initiatives des collectivités. Celles de 10 000 à 100 000 habitants tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger. Sachant que cette remise de prix est portée par la mission ECOTER France et Territoires numériques.

L’innovation en pleine effervescence au service de l’amélioration de la vie dans les villes : c’est au SIIVIM que cela se passe !

 

 

En savoir plus :

Le SIIVIM 2023 à Nevers à la Maison des Sports

« Transformation énergétique et innovation »

4 boulevard Pierre de Coubertin

Mercredi 25 octobre : Soirée d’ouverture à 19 heures

Jeudi 26 octobre et vendredi 27 octobre de 08H30 à 17h30.

Une centaine de startups, 90 innovations sur les enjeux de la ville intelligente,

Soixante intervenants,

Onze thématiques (mobilités douces et propres, ré-industrialisation des territoires médians, enjeux de l’eau, data efficient, cyber-sécurité du bâtiment, numérique responsable, économie circulaire, devenirs, attractivité des cœurs de ville, santé et accessibilité des villes médianes, inclusion numérique…

 

Thierry BRET

 

 


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Après cinq jours passés en résidence au théâtre d’Auxerre pour peaufiner la tournée prévue débuter le 26 octobre prochain à Manchester, Éric CANTONA a présenté dimanche soir en avant-première, à quelques privilégiés et en exclusivité, le fruit de son travail d’auteur compositeur interprète. Comme un retour aux sources pour celui qui fit dans les années 80 les belles heures de l’AJA, gardant au cœur le souvenir d’Auxerre…

 

AUXERRE : A l’heure de la première chanson, la scène du théâtre se fond dans une lumière rouge, symbole de puissance, de force, d’énergie et de passion. Couleur de révolte mais avant tout d’amour, symbolisant le parcours d’un homme qui a fait de sa vie un kaléidoscope de défis et d’aventures. Après le foot, le cinéma, le théâtre, la peinture ou la photographie, Éric CANTONA fait preuve une nouvelle fois de son talent caméléon, en entamant une carrière d’auteur compositeur interprète.

Après avoir passé cinq jours en résidence dans l’ancienne « Maison du peuple », rue Joubert, c’est dans l’intimité d’un concert privé réunissant 180 privilégiés, qu’il a présenté dimanche soir à Auxerre, le fruit de son travail. Au programme, pas moins de 19 chansons pour la plupart inédites, écrites par « the King Éric » himself. Des textes empreints à la fois de colère et de mélancolie, témoignant de l’hyper sensibilité d’un écorché vif au caractère de feu, dont le talent fut découvert ici même, il y a 42 ans, lorsque le minot marseillais entama à 15 ans, la carrière que l’on connaît, en intégrant le centre de formation de l’AJA.

 

 

Guy ROUX craignait de s’ennuyer, c’est raté !

 

Les chansons, pour la plupart en anglais, s’enchainent, portées par les notes du piano et les pleurs du violoncelle, magnifiées par une voix aux accents de rocaille qui n’est pas sans rappeler ARNO ou Paolo CONTE, voire le grand Léonard COHEN, lorsqu’elle se fait miel et se fond dans le souffle du micro. « I’ve been angelic, I’ve been infernal… ». Moitié ange, moitié démon, elles parlent tour à tour de colère, d’amitié, de liberté, de doutes aussi… « Je ne suis ni de votre avis, ni du mien, je m’interroge c’est tout… ».

L’ancien attaquant envoie la balle au fond des filets une fois encore et le public est sous le charme. Parmi les invités à cette avant-première, il en est un qui avait les « yeux pluie » à la fin du spectacle et ne cachait pas son émotion lorsque les lumières se rallumèrent : « il m’en faut beaucoup pourtant, je n’ai pas la larme facile, la dernière fois que j’ai pleuré pour un chanteur, c’était Léo FERRE… ».

Guy ROUX le confesse : « je me suis laissé bercer, même si je peine avec les chansons en anglais. Et dire que je craignais de m’ennuyer ! Je serai bien au final resté une heure de plus… ».

 

 

 

Une série de concerts à Manchester…

 

Bluffé une fois encore par son ancien protégé : « aussi imprévisible avec un ballon que dans la vie… ». L’ancien entraîneur mythique de l’AJA a depuis longtemps perçu que derrière la rugosité se cachait une hypersensibilité source de toutes les inspirations : « Une fois encore, il va réussir, il est tellement riche d’humanité, le miracle étant qu’il a fait tomber toutes les scories et ne reste aujourd’hui que sa générosité… ».

Avant ce dernier aveu, ponctué de rires : « le dernier spectacle auquel j’ai assisté avant celui-ci, c’est l’avant dernier d’AZNAVOUR à l’Olympia, vous voyez que je choisis mes poètes ! ».

Après cette avant-première auxerroise, direction Manchester pour Éric CANTONA et ses musiciens. Au programme, deux soirées au « Stoller Hall », avant Londres et Dublin, suivies d’un retour à Marseille, autre ville de cœur de l’artiste. Avec comme ultime défi, des enregistrements en « live » pour alimenter un CD prévu sortir au printemps prochain. Le « roi » Éric n’est pas mort, CANTONA chante encore !

 

Dominique BERNERD

 

 


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