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En bras de chemise, d’un bleu azuréen, il est au meilleur de sa forme. Jonglant avec les jeux de mots, il dose ses interventions avec zestes d’humour et subtilités sémantiques. L’art de la maîtrise de l’exercice oratoire, mâtinée par de longues années d’expérience dans la vie institutionnelle et politique territoriale. Guy PARIS excelle quand il se fait le « Monsieur Loyal » de la structure associative dont il défend chaque année le bilan, à savoir « AMIDON 89 ». Une entité pas ordinaire dans le paysage icaunais, puisque positionnée dans l’insertion. Une structure qui obtient de bons résultats…

 

AUXERRE : L’écran de télévision placé à côté du pupitre projette un plan fixe. On y voit sur son pourtour un fond céleste avec au centre une boule lumineuse pareille à une étoile incandescente éclairant le chemin. Le titrage est sans équivoque, aucun : « assemblée générale, AMIDON 89 ». En sus de la date du jour : histoire de revenir sur Terre en nous raccrochant à la réalité.

Il aura été d’ailleurs souvent question d’astronomie et de références célestes dans la bouche du principal orateur du jour, le président de l’association Guy PARIS. Il parle d’aurores boréales. Il invoque Sirius, l’astre nocturne le plus brillant de la voûte céleste, après le Soleil, qui illumine de son irradiante luminosité comme chacun le sait (là, il y a un doute !), la constellation du Grand Chien !

Mais quelle mouche spatiale a-t-elle piqué aujourd’hui le dynamique président de l’association d’insertion icaunaise, qui a pour raison d’être de répondre au besoin de retour à l’emploi des personnes qui en sont éloignées pour de multiples causes ?!

Le plaisir de se retrouver là en compagnie de ses fidèles « suiveurs » qui l’accompagnent dans cette vertueuse mission sociétale ? Sans doute !

L’envie de nous montrer son allant pour l’avenir avec des projets ambitieux à venir sur 2024 ? Certainement !

Si nul n’est prophète en son pays dit l’adage, pourtant Guy PARIS – il n’a rien d’un gourou, rassurez-vous ! – convainc l’assistance studieuse qui assiste à cette traditionnelle assemblée générale ordinaire avec des mots simples mais percutants sur les bien-fondés de cet « AMIDON 89 » qui décape dur en ce jour de retrouvailles annuelles ! « Bienveillance, exigence, autonomie, réussite ». On pourrait y ajouter deux autres mots de ce lexique associatif qui réchauffe tant le cœur, à défaut de l’âme : la convivialité et la solidarité.

 

Un taux de retour à l’emploi de 72 % : pas mal !

 

« Je suis chez AMIDON pour devenir quelqu’un ! ». Tel un prof de philosophie énonçant son sujet de dissertation sur lequel les potaches doivent plancher durant quatre heures – un peu plus pour la filière littéraire ! -, voilà un Guy PARIS pédagogue qui en citant une phrase quasi légendaire prononcée un jour par l’une des bénéficiaires de ce système d’entraide performant en vient à rappeler les fondements de cette association qu’il faudrait inventer si elle n’existait pas. Ici, le repassage, le lavage, la couture, la broderie – depuis peu – sont synonymes d’espérance et de retour progressif vers la vie sociale. « Chez nous, nos clients sont des adhérents qui s’engagent dans une démarche gagnant/gagnant… ».

Etre de « passage » dans la structure grâce au « repassage » afin de mieux rebondir après, en somme ! Même Guy PARIS débordant d’humour aurait pu nous la lâcher cette expression, c’est sûr !

Regroupant plus de 300 adhérents – 98 % d’entre eux se disent très satisfaits ou satisfaits -  AMIDON 89 est devenue au fil des ans une institution incontournable dans le département. Son chiffre d’affaires a augmenté de 14,7 % en 2023, ce qui témoigne d’une stratégie commerciale bien définie et pas que sur le papier par la responsable de l’association, Sophie GOIRAND.

Trente-sept salariés à 92 % des représentantes de la gent féminine et allocataires du RSA pour la moitié d’entre elles sont répertoriés parmi les effectifs à date. La reconversion vers l’emploi atteint des proportions très intéressantes pour ce public, initialement laissé pour compte. Comme en 2022, 72 % des personnes ayant fréquenté AMIDON sont allées vers un emploi stable ou une formation l’an dernier.

Pour la directrice Sophie GOIRAND, « c’est un résultat excellent qui nous place au-dessus de l’objectif conventionné avec l’Etat et le Département (soit 60 %). ».

 

 

 

Le hic en 2023, la fermeture de l’atelier de Saint-Florentin…

 

Une année 2023 qui aura d’autres faits significatifs : d’une part, la fermeture de l’atelier de Saint-Florentin au grand dam de Guy PARIS et la démarche entreprise par la structure en matière de responsabilité environnementale, la RSE.

« Malgré tous les efforts réalisés et en l’absence d’un soutien de la collectivité locale (bing, la flèche du président d’AMIDON 89 est décochée !), nous avons été dans l’obligation de fermer l’atelier de Saint-Florentin, non rentable, qui menaçait la pérennité de la structure associative. Un soulagement, toutefois, tous les salariés sont retournés vers un emploi durable… ».

L’impact sur les finances est à ce titre attendu en 2024. Quant à la démarche RSE, elle a pour vocation de décrocher un label très positif pour la notoriété de la structure auprès de ses futurs clients que représentent les entreprises et les particuliers faisant appel aux services d’AMIDON 89.

Impact immédiat pour l’encadrement : « cela nous a obligé à revisiter tous nos processus afin de dégager des plans d’amélioration, explique Sophie GOIRAND, et cela a enrichi notre tableau de bord ».

 

Lever les freins à l’emploi avec l’aide de ses amis !

 

Il reste les freins à l’emploi. Des barrières tangibles et parfois psychologiques qu’il s’agit de faire tomber les unes après les autres afin de remettre tout ce joli monde sur le chemin de l’intégration professionnelle.

« Ces freins, quels sont-ils ?, s’interroge Guy PARIS, c’est simple : la mobilité – un récurrent problème dans le département -, le logement, la garde d’enfant, le budget, etc. parfois, il s’agit aussi de la langue et de la connaissance informatique… ».

Pour y remédier, AMIDON 89 a fait appel à la manière de l’émission télé de Jean-Pierre FOUCAULT à un ami ! Outre les bénévoles du sérail qui assurent des formations, c’est le CIDFF 89 (Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles) qui intervient sur les droits ; FETE (Femme Egalité Emploi) qui agit via des ateliers ad hoc et des expositions sur les discriminations ; quand ce n’est pas l’UDAF qui s’y colle avec des approches pédagogiques sur l’élaboration d’un budget et comment le gérer ! Précisons que 472 entretiens individuels ont été réalisés la saison dernière dans le seul but de l’accompagnement.

Côté production, il est à noter pour l’anecdote que 4 586 panières de linge ont été recueillies en 2023, soit 80 559 articles repassés ! Quant à l’activité couture, elle enregistre un bel essor avec une hausse de 15 % de son chiffre d’affaires. L’exercice comptable se clôt sur un excédent de 1 473 euros, pour un budget total de 708 000 euros.

 

Une communication mieux maîtrisée via le digital…

 

Côté perspectives, elles s’orientent prioritairement vers des actions permettant d’éradiquer les freins au retour à l’emploi avec en particulier les problématiques de santé, le renforcement de liens avec les entreprises qui recrutent, élargir le panel de la clientèle entreprises ainsi que l’apparition de nouvelles activités supports à l’instar de la blanchisserie qui se met en ordre de marche, via un fructueux partenariat avec le centre hospitalier d’Auxerre.

Un bémol, toutefois, dans cette « piste aux étoiles » pavée de belles intentions : la communication. Aujourd’hui, et c’est plutôt surprenant 18 % des adhérents de la structure ne connaissent pas les véritables objectifs de l’association. La solution passe par la poursuite du développement de l’axe informationnel via le site Internet (www.amidon89.org) et les réseaux sociaux, notamment Facebook. Une newsletter est même diffusée aux adhérents chaque début de trimestre tandis que les infos diffusées par les mails et les sms sont très appréciées de ses destinataires.

Pas de doute : Guy PARIS peut donc garder la tête dans les étoiles et se fier à Sirius, sa « bonne étoile, pour résoudre ses préoccupations premières vis-à-vis de son public, le « aller vers l’emploi grâce à l’emploi »…et notre ami et confrère de l'Yonne Républicaine Jean-Luc TABOUREAU d'en prendre note pour la réalisation de son article...

 

Thierry BRET

 

 


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C’est fait : à l’instar d’une dizaine de départements de l’Hexagone, l’Yonne vient de créer sa « Route des Bières ». Une initiative passionnante, goûteuse et fédératrice que la Chambre d’Agriculture, la Chambre de Commerce et d’Industrie et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat – bref, la Chambre économique de l’Yonne ! – ont décidé d’accompagner sur les fonts baptismaux. Une synergie qui renforce la cohésion du territoire. A l’image de cette collaboration inédite entre quatre brasseries locales qui ont su élaborer avec finesse et dextérité une blonde légère et parfumée à souhait, « L’ICAUNE », une boisson qui empruntera le parcours de la flamme olympique le 11 juillet prochain pour se faire connaître…

 

CHABLIS: Cela prête toujours à sourire. Comme si c’était le fruit d’un étrange paradoxe. Pourtant, les deux produits se marient très bien, foi d’Alexis MADELIN, le gérant de la Brasserie de Chablis, qui s’est fait connaître depuis une décennie avec ses bières artisanales à l’estampille de « MADDAM ». Le lancement d’une bière à Chablis !

Et comme on a beaucoup d’humour en terre de l’Yonne, c’est précisément là, à cet endroit de réputation universelle et d’ordinaire réservé aux célèbres blancs à forte minéralité, reconnus sur les tables des plus grands étoilés – même les Etats-Unis nous ont « chapardés » en l’usurpant l’appellation dans la venteuse Californie ! – qu’eut lieu ce baptême pour le moins iconoclaste.

Présenter le nouveau venu de la gamme brassicole 2024 qui va faire beaucoup parler de lui au fil de ces prochaines semaines, notamment eu égard à l’évènement olympique qui nous attend, agrémenté de sa cohorte d’animations en tout genre y compris dans l’Yonne avec le passage d’une certaine flamme olympique le 11 juillet prochain. Parce qu’évidemment une telle naissance ne pouvait rester sans effet en termes de communication tous azimuts et surtout de commercialisation pour le moins éclectique.

 

Un pur produit made in Yonne fruit d’une collaboration inédite

 

Baptisé « L’ICAUNE » - pas de soucis au niveau de la signification, on voit tout de suite où les auteurs de la trouvaille sémantique ont voulu aller ! -, ce sympathique breuvage au goût fruité fort prononcé et à la délicate amertume qui en fait une bière blonde des plus acceptables au palais est né d’une gestation bien particulière…à partir de la collaboration inédite de quatre structures brassicoles made in Yonne. Logique, non ? Si l’on veut créer une identité « Route des Bières », à des fins promotionnelles pour notre artisanat, notre spécificité agro-alimentaire et notre tourisme, il vaudrait mieux que ces dernières soient… locales !  

D’ailleurs, ces structures indépendantes les unes des autres mais qui ont su mettre leur savoir-faire et leur volonté fédératrice en commun (c’est suffisamment rare pour être signalé quand on travaille de concert dans le milieu de l’entrepreneuriat !) se nomment la Brasserie de Vézelay (on se souvient de son historique fondateur Marc NEYRET parti sous d’autres cieux et d’autres aventures depuis), La VAUGERMAINE (et sa doublette décisionnaire très dynamique 100 % féminine), preuve que l’élaboration de la bière peut aussi être une affaire de femmes, n’en déplaise aux machistes de tout poil !, les Bières de Papa, un atelier de brassage installé à Serbonnes, et la Brasserie de Chablis, précédemment évoqué avec à sa tête jadis les cousins MADELIN, Alexis et Vianney, qui ont joué sur leur patronyme avec subtilité pour concevoir leur marque, « MADDAM ». L’addition des deux MADELIN, tout simplement. Un patronyme qui perdure même si depuis juin 2023, ce dernier ne fait plus partie de la société de Chablis...

 

    

 

Une « Route des Bières » servant à la promotion des savoir-faire…

 

 

La genèse de ce projet à déguster avec modération selon la formule consacrée émane de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne. Normal, la chambre consulaire s’intéresse de près à la filière brassicole départementale qui ne cesse de s’étoffer au fil des ans, et ce depuis 2005. Bien sûr, le savoir-faire et la mise en exergue des produits de l’Yonne en les valorisant ne pouvaient qu’inciter les deux autres partenaires naturels de la chambre agricole (la CCI et la Chambre de Métiers) à se joindre au projet. Rappelons que ces trois entités constituent la Chambre Economique de l’Yonne, dont la CMA assume via son président Jean-Pierre RICHARD, la présidence tournante.

C’est en novembre 2023 que cette idée qui n’a rien de loufoque prend de l’ampleur. Déborah COLLARD, responsable de la valorisation des Ressources locales au sein de la Chambre d’Agriculture (et amatrice de bières selon l’un des vice-présidents, Jean-Baptiste THIBAUT) suggère l’idée de créer une « Route des Bières » déclinable au territoire icaunais. Un peu à l’identique de la fameuse « Route des Vins » que beaucoup fréquentent pour y déguster de succulents nectars ! S’en est suivi un contact auprès des brasseurs. Certains trouvant l’idée lumineuse. Au terme d’une réunion où se rassemblèrent les brasseurs de l’Yonne, la création d’une « Route des Bières » servant à promouvoir l’ensemble du secteur – il représente une quinzaine de brasseurs - fut actée sans une once de difficulté.

Une aubaine en termes de communication à laquelle fut également associée l’agence de développement Yonne Tourisme qui présente sur son site la fiche de chaque brasserie avec ses spécificités. Des brasseurs présents à peu près partout sur le territoire.

 

 

Seulement 6 000 bouteilles produites…

 

Le second module de cette fusée originale se mit en orbite un peu plus tard avec la volonté pour quatre brasseurs de créer un brassin unique (le fameux « ICAUNE ») spécifique à « Yonne 2024 », l’enveloppe promotionnelle du Conseil départemental de l’Yonne inhérente à la communication autour des Jeux Olympiques de Paris. On connaît la suite à la simple vision de ce liquide à la blondeur de la paille et écumant d’une légère mousse, dégusté quelques instants plus tard par l’ensemble des invités – à de rares exceptions près ! – à ce lancement historique.

En matière de distribution et de commercialisation, si les quatre structures brassicoles ont pris le droit de revendre chez elles quelques bouteilles du précieux et rare liquide – la production totale de ce brassin original s’élève à 6 000 bouteilles seulement -, à leur clientèle pour la modique somme de trois euros, le gros du lot sera réparti entre les trois chambres consulaires et surtout le Conseil départemental en vue des animations propres au concept « Yonne 2024 ». Les bouteilles recevront alors la griffe « Yonne 2024 Terre d’Exploits », chère au président Patrick GENDRAUD, fervent défenseur de l’esprit olympique.

Lors de cette présentation, plusieurs personnalités du sérail assistaient à ce lancement-dégustation en avant-première : Marie-Jo VAILLANT, édile de Chablis, Jérôme MAYEL, directeur de la CCI, Jean-Baptiste THIBAUT, vice-président de la Chambre d’Agriculture, Sylvie RAMISSE, vice-présidente de la CCI, Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Laetitia LE BRETON, responsable de la communication de la Chambre agricole, Colette LERMAN, conseillère départementale de l’Yonne, etc.

Une « mise en bière » des plus joyeuses pour ce nouveau nectar à base de houblon qui trouvera grâce aux papilles des amateurs des produits brassicoles !

 

Thierry BRET

 

 


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Avouez tout de même que le concept a de la « gueule », non ?! Pourvue de ses espaces « travail », placés à différents endroits de l’habitacle, voilà la nouvelle génération de moyens de transport collectif, des bus qui vous offrent l’opportunité de « bosser » ou de vivre une réunion à quatre en vis-à-vis durant un trajet suffisamment long pour pouvoir le faire. Le confort d’une excellente assise en plus et la WIFI embarquée en prime ! Il est à parier qu’à l’avenir, bon nombre d’entreprises vont désormais louer les services de PROCARS pour voyager « intelligent » et « rentable » lors de déplacements professionnels…

 

PROVINS (Seine-et-Marne) : Il fallait y penser et il l’a fait ! Le dirigeant de la société spécialiste du transport collectif, mais aussi des voyages, de la location, de la maintenance et de l’optimisation des réservations via des logiciels, Frédéric JOUY, président-directeur-général de PROCARS, a plus d’un tour de génie dans son sac. Dorénavant, il est possible de voyager à bord de l’un des bus de sa flotte régionale en étant dans une configuration bureau et travail. Pour le plus grand bénéfice des employeurs qui organisent des déplacements entre leur siège social et un lieu de villégiature permettant l’accueil d’un séminaire se déroulant sur plusieurs jours. Ou sur une journée, tout simplement ! Une manière judicieuse de gagner en efficacité et aussi en productivité lors de ces déplacements, le plus souvent chronophage à bien des égards.

Dans l’absolu, ce service est décliné depuis peu par le groupe PROCARS et ses différentes filiales, réparties sur l’Aube, le Loiret, la Marne, la Seine-et-Marne et l’Yonne, ainsi que l’ensemble de l’Ile-de-France. Cible prioritaire : les entreprises qui organisent des déplacements professionnels pour leurs cadres et collaborateurs lors de séminaires mais aussi de visites de sites en province, pour les plus franciliennes d’entre elles.

 

 

 

La possibilité d’échanger en vis-à-vis à l’intérieur du bus

 

A l’intérieur, le bus, à l’assise confortable, est équipé des technologies numériques nécessaires pour faciliter les échanges et la réactivité informationnelle. Offrant l’opportunité de plusieurs places en face à face – l’idéal pour organiser un briefing entre quatre personnes – et d’optimiser ainsi le temps du trajet. Cela n’empêchera pas de jeter un petit coup d’œil sur les paysages défilant derrière les vitres, pour les plus rêveurs !

« L’objectif de ce « bureau mobile » est de toucher les entreprises dont les sièges sociaux se situent en Ile-de-France (mais pas que), explique le PDG de PROCARS, celles qui organisent très régulièrement des déplacements vers la province en quête de séminaires ou de colloques… ».

Une offre de service pro itinérante judicieuse qui peut aussi s’adapter pour des collectivités ou des clubs de sport ayant le sens pratique de la réunion ou de la circulation de la parole en son sein.

Pour mémoire, et ce depuis des années, PROCARS propose ses prestations de transport à plusieurs associations sportives de la quadruple région où la société se positionne en termes de chalandise et d’activité, notamment l’une d’entre elles qui vient de retrouver l’élite hexagonale du football, l’AJ Auxerre qui dispose de son moyen de locomotion visualisé à ses armoiries !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est tout un symbole qui est démoli, là, sous les yeux d’une poignée de témoins. Erigé en 1988, sous l’ère de Jean-Pierre SOISSON, l’emblématique bâtiment du quartier Sainte-Geneviève à Auxerre, plus connu sous l’appellation « Le Phare », subit depuis huit heures ce mardi matin les coups de boutoir destructeurs de la pelleteuse. Une démolition qui traduit le coup d’envoi opérationnel du projet ambitieux, porté par l’Agglo de l’Auxerrois et la Ville d’Auxerre, sur la rénovation urbaine de ce quartier ainsi que celui des Rosoirs. Ce chantier de réhabilitation s’inscrit dans le cadre du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU)…

 

AUXERRE: C’est une étape novatrice importante dans le projet de transformation du quartier de Sainte-Geneviève à Auxerre. « Le Phare », la grande dalle qui le jouxte en renfermant un parking dans son sous-sol et plusieurs bâtiments (aux références S T U et V) qui accueillaient jusque-là 163 logements vont progressivement disparaître de notre vue d’ici quelques semaines. Sous les assauts répétés des engins de travaux publics…

C’est sous l’égide du « NPNRU », le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain, que l’Agglomération de l’Auxerrois et la Ville d’Auxerre ont choisi de s’engager depuis plusieurs années afin de réhabiliter différents secteurs de la capitale de l’Yonne. Histoire de la revitaliser et de lui conférer une nouvelle capacité attractive.

 

Ce n’est pas un projet où l’on doit habiter, mais un projet où l’on doit vivre

 

Comme devait le préciser justement lors de la visite faite à la presse de ce chantier le président de l’Office Auxerrois de l’Habitat (OAH) et élu de la Ville, Vincent VALLE, « l’objectif est d’offrir une meilleure qualité de vie aux habitants de ces quartiers Sainte-Geneviève et des Rosoirs ».

Des propos confirmés par l’adjoint de la Ville d’Auxerre en charge de l’Urbanisme, Nordine BOUCHROU, répondant aux questions des journalistes invités sur le terrain à suivre les premières minutes de cette démolition historique de l’un des édifices les plus emblématiques de la préfecture de l’Yonne, « Le Phare », construit en 1988.

« On est sur un projet d’envergure avec plus d’une centaine de millions d’euros qui vont être investis sur ces quartiers d’intérêt régional et national, devait-il déclarer, on porte une attention particulière sur les aménagements des espaces publics, c’est un projet ambitieux où les détails seront très importants. Ce n’est pas un projet où l’on doit habiter à l’avenir, mais un projet où les locataires de l’OAH doivent y vivre, tout simplement… ».

 

 

Une cité scolaire en lieu et place du « Phare »…

 

Le projet de réhabilitation s’étale sur une dizaine d’années. Commencé il y a déjà deux à trois saisons, ce chantier a déjà vécu une étape capitale dans son déroulement avec le relogement des familles qui résidaient jusque-là dans ces logements locatifs sociaux. C’est ici, qu’est intervenu l’Office Auxerrois de l’Habitat.

D’ici une semaine, un premier bâtiment aura disparu. Avant que les équipes de démolition ne s’intéressent à l’enlèvement de l’énorme dalle de béton recouvrant une surface pour le moins impressionnante. Soit plusieurs mois de labeur, selon Vincent VALLE.

 

 

Symbole de la formation durant de nombreuses années, « Le Phare » sera remplacé en lieu et place par une toute nouvelle cité scolaire accueillant des élèves qui fréquenteront des classes maternelles et élémentaires. Ce site accueillera par ailleurs un restaurant scolaire, un centre de loisirs, une bibliothèque, un pôle lecture, et un gymnase. Un creuset au service de l’éducation.

Côté information, les locataires qui se posent des questions sur le devenir de leur quartier auront la faculté de bénéficier de réponses tous les quinze jours, sur l’évolution du chantier.

 

 

« On ne reconstruit pas là où on a démoli en termes de logement… »

 

Paradoxalement, aucun nouveau logement ne sortira de terre en ces lieux. Vincent VALLE insiste sur cet état de fait : « on ne peut pas reconstruire là où on a démoli, explique-t-il, c’est l’un des principes qui constitue l’ADN de l’ANRU, Agence Nationale du Renouvellement Urbain. Ces logements ont été construits ailleurs dans l’Auxerrois et à Auxerre avec la résidence des Gratterys, à Chevannes, soit 160 nouveaux logements qui sont apparus dans le paysage immobilier de l’Auxerrois depuis 2020 pour anticiper ces démolitions… ».

Bien sûr, les Auxerrois peuvent éprouver de la nostalgie de voir disparaître ce « Phare », très énergivore, qui rayonnait sur la vie associative et éducative depuis tant d’années. « Il y a un sentiment de tristesse, confie le président de l’OAH, ici, il y a eu des projets, de la formation, de la jeunesse… ».

Mais, l’édifice devint très vite obsolète et périmé à son utilisation, l’hiver comme l’été avec des différences de températures importantes. Sans parler de la facture énergétique !

Quant au financement de ce chantier de démolition, il bénéficie d’une subvention de l’ANRU à hauteur de 98 % (cinq millions d’euros) pour couvrir le montant de la disparition de ces 163 logements, des 159 garages et du « Phare » qui ne brillera autrement pour les Auxerrois que par la mémoire et les souvenirs. Son coût prévisionnel global s’élève à 5,1 millions d’euros, dont 2,3 millions de travaux et honoraires et 2,8 millions de perte d’exploitation et de relogement des familles.

Dorénavant, le quartier Sainte-Geneviève va s’ouvrir davantage vers la ville. Sachant que la réciprocité existe, également. Des commerces y seront introduits afin de dynamiser l’espace. Une nouvelle virginité en somme…

 

Thierry BRET

 

 


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On ne sait pas qui est ce Maxime. Mais, c’est sûr : l’heureux destinataire de ce gâteau à l’estampille de l’AJ Auxerre doit être un fervent supporter du futur pensionnaire de la Ligue 1 ! Une manière de célébrer sa passion footballistique, lors de son anniversaire, jusqu’au fond de l’assiette et de la meilleure manière que ce soit, crème pâtissière et sucrerie à l’appui ! On se lève tous pour déguster les gâteaux de l’AJA, confectionnés dans la seule et unique boulangerie-pâtisserie de Coulanges-sur-Yonne, la très inspirée chez SOYER ! Il fallait y penser…

 

COULANGES-SUR-YONNE : Actualité oblige, et si dorénavant, les professionnels de la filière boulangerie/pâtisserie de l’Yonne s’amusaient à concocter des gâteaux inspirés en termes de créativité selon les soubresauts parfois très denses de l’information ?! Cela ne mangerait pas de pain, bien sûr ! Et cela ne pourrait que vanter les mérites de ces esthètes de l’artisanat qui procurent un réel plaisir aux épicuriens. Une initiative que le président du Syndicat de la Boulangerie-pâtisserie de l’Yonne, Laurent BISSON, devrait encourager, à coup sûr…

En tout cas, cette délicieuse pâtisserie – on ne l’a pas goûtée certes mais les produits confectionnés sur place ont la réputation de satisfaire tous les palais, y compris ceux des plaisanciers qui effectuent une halte salvatrice dans la localité – est une traduction pâtissière en lien direct avec l’actualité footballistique du moment : celui de la remontée parmi l’élite de l’AJ Auxerre, dès la saison prochaine.

 

 

Crémeuse à souhait et onctueuse dans sa texture, elle a dû une fois livrée à son destinataire, prénommé « Maxime » dans le cadre d’un anniversaire sans doute, combler d’un plaisir savoureux un jeune garçon, amateur des exploits sportifs de son équipe vedette. Cette AJ Auxerre qui aura su nous régaler tout au long de cette saison dominée de la tête et des pieds par les protégés de Christophe PELISSIER.

Vous en reprendrez bien une petite tranche, non ?!

 

Thierry BRET

 

 


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