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Les noms de cette nouvelle gamme de véhicules évoquent les voyages. Ceux qui sont propices à l’évasion, à l’aventure et à la découverte en mode grand large ! AMUNDSEN, James COOK, COLUMBUS, KEPLER, KELSEY et même Jules VERNE, en mémoire au plus hexagonal des aventuriers par la plume et l’imaginaire ! La nouvelle gamme WESTFALIA, accueillie au sein du groupe JEANNIN Automobiles, aura sa propre concession. Elle sera opérationnelle d’ici la fin mars du côté de Melun en Seine-et-Marne…

 

MELUN (Seine-et-Marne) : La date est arrêtée. Officialisée, enfin, par le service communication du groupe régional aux multiples concessions automobiles, accueillies sur trois départements que sont l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne. Ce sera le 28 mars 2024. Un jeudi, précisément.

L’idéal pour mettre en exergue un nouveau savoir-faire, susceptible de générer du chiffre d’affaires par les potentialités de ses produits proposés à la commercialisation. Via une énième marque !

D’ailleurs, on ne les compte plus au sein du groupe JEANNIN Automobiles. Un melting-pot de concessions faisant la part belle aux marques des constructeurs d’outre-Rhin (Audi, Volkswagen) comme celles des fabricants ibériques (Seat, Cupra), tchèque (Skoda), japonais (Nissan, Suzuki) ou sud-coréenne (Mazda). Même l’ancienne référence britannique MG – elle est désormais sous pavillon chinois – tire également son épingle du jeu dans ce kaléidoscope grandeur nature qui nous est proposé là ! Sans omettre la branche des véhicules utilitaires, appréciés des professionnels de l’artisanat et de l’industrie !

 

 

Une première concession sise à Melun en Seine-et-Marne…

 

Bon, cette fois-ci, le nom de baptême se nomme « WESTFALIA ». Un patronyme qui fleure bon les références identitaires à l’Allemagne voisine, via ses combis, ses vans et ses camping-cars, totalement aménageables selon les codes du sur mesure. La première concession à l’estampille de « WESTFALIA » sera donc inaugurée comme il se doit par les instances dirigeantes du groupe JEANNIN le 28 mars prochain.

Sur l’une des zones de chalandise qui possède le vent en poupe dans la stratégie de développement et marketing de la structure entrepreneuriale, le territoire de Seine-et-Marne où l’entreprise dispose désormais de plusieurs vitrines commerciales dans des lieux éminemment névralgiques en termes de fréquentation : Fontainebleau et Melun.

C’est là, précisément, sur la localité toute proche de la préfecture de ce département francilien, à Vert-Saint-Denis que le groupe a décidé de localiser sa nouvelle concession « WESTFALIA ». Depuis Melun, la marque rayonnera vers les deux autres départements, l’Aube et l’Yonne, en privilégiant notamment la zone de chalandise de Sens.

 

 

Des produits et accessoires destinés aux férus de la « van life »

 

Le groupe JEANNIN Automobiles dont le bastion amiral originel n’est autre qu’à Auxerre poursuit ainsi son essor dans le département le plus méridional de l’Ile-de-France qui lui réussit plutôt bien. Déjà en octobre dernier, la société dirigée par Yves JEANNIN avait enfoncé le clou un peu plus fort en Seine-et-Marne, ajoutant dans sa besace une ancienne structure commerciale sous l’égide de Volkswagen à Provins. Une politique expansionniste payante qui est aussi en totale corrélation avec le lancement de nouvelles pistes de diversification, à l’instar du positionnement du groupe sur la vente de véhicules sans permis de la marque AIXAM. Un créneau de plus en plus porteur à l’heure actuelle, touchant jeunes conducteurs et seniors.

Avec ce nouveau point de chute à Melun, JEANNIN Automobiles choisit donc le secteur bien spécifique du mode de locomotion loisir, privilégiant grand espace et découverte d’un style de vie.

Au plan marketing, il sera prévu de la vente de véhicules totalement relookés mais aussi de la commercialisation d’accessoires déclinables aux besoins consuméristes des adeptes de la « van life ». On pense notamment aux tentes adaptables sur les toits de ces véhicules pour le couchage pratique. L’option location de courte durée, favorable aux excursions à vivre en week-end ou sur des périodes de vacances ramassées, figure également au programme de cette stratégie de commercialisation qui n’en finit pas de s’étendre.

 

Thierry BRET

 

 

 


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J'ai connu le sympathique chef Sylvain GAUTHIER à la fin du siècle dernier, grâce au guide « Petitrenaud des bonnes maisons ». Mon pote Jean-Luc avait eu le nez creux ! L’étape était heureuse, en s'arrêtant dans cette petite auberge de bord de route. Antan, Sylvain était établi à Sainte-Magnance, à la pointe sud du département.  Cette petite auberge sentait bon les tomettes au sol, les tables cirées ainsi que le feu de cheminée. Qu'il était bon de s’y retrouver après une ballade moto un brin humide ! Et comme l'on y mangeait bien !

 

AVALLON : Voici longtemps que le chef souhaitait s'implanter dans cette sous-préfecture. C'est chose faite depuis une dizaine d'années. Bien sûr que c'est lumineux. C’est sûrement plus fonctionnel, mais bon, l'était bien chouette cette petite auberge au bord de la RN6, tenue un siècle durant par la famille de ce bon cuisinier.

A Avallon, « Les Cordois Autrement » - seule adresse mentionnée au Michelin, si pingre désormais avec nos tables icaunaises - se localise dans le quartier historique : tour de l'horloge, grenier à sel, collégiale Saint-Lazare. Une jolie bourgade.

 

Les escargots ont la cote dans la maison

 

La salle y est tout en longueur. On s'installe plutôt confortablement, en attendant la petite terrasse des beaux jours. Une carte courte et précise, dans laquelle les mets sont cuisinés maison. Sylvain est un honnête pro. Il ne triche pas. Ce chef, aussi discret que bien élevé, m'évoqua, un rien interloqué, lors de notre déjeuner, le repas récent d'un entrepreneur local - dont l'ouverture est imminente - venu non point pour se régaler d'œufs en meurette, mais plutôt pour débaucher son second de cuisine. Rien d'élégant en la matière !

Les escargots ont toujours eu droit de cité sur la carte. Mais avec des variations culinaires. Là, tel un coq en pâte, ce sont nos gastéropodes qui s'y nichent, agréablement rejoint par un mélange d'ail et persil, harmonieux et point trop gras. Le pain pour saucer est bon. A la carte des vins, le Saint-Véran est moins cher que le Chablis, passons. Quant aux œufs en meurette, le cliché au jaune coulant se suffit à lui-même !

 

 

Une recette de saumon à la saucisse de Morteau qui fait mouche !


En plat, j'aurai volontiers pris des rognons de veau. Les abats, c'est bon ! Et aussi bon marché. D'après un récent article du « Figaro », ils redeviendraient à la mode. Réjouissons-nous-en ! Mais, figure toujours sur la carte, un vieux plat créé par Sylvain qu'il ne peut enlever : l'escalope de saumon à la saucisse de Morteau, crème de cancoillotte et étuvée de choux. Je n'affectionne guère le saumon, produit par trop galvaudé, mais ce plat est fort agréable et bien équilibré. L'alliance chair poissonnière et saucisse fumée fonctionne à souhait, suavement nappée par une onctueuse cancoillotte franc-comtoise, au faible taux de matières grasses ! En accompagnement, choux et d’impeccables pommes dauphine complètent cette bonne assiette, symbole d'une cuisine simple, bonne car bien exécutée ! CQFD !

 

 

 

En dessert, la crème brûlée à base de chicorée est copieuse. La tarte tatin, aussi, est délicieuse, avec une belle alliance de pommes un rien compotées.
Il est temps de repartir, réchauffés après cette bonne halte gourmande. Cette promenade motarde hivernale nous fit apercevoir les collines morvandelles enneigées, entre Autun et Arleuf, là où il y a un bistrot rigolo, « Le Cornemuse », ouvert du mercredi au dimanche. Merci chef et à bientôt !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : rien à signaler pour aujourd'hui !

Les + : l'équipe mauricienne au service est aussi rigolote que souriante.

 

 

Contact :

 

Les Cordois Autrement

15 Rue Bocquillot

89200 AVALLON

Tel : 03.86.33.11.79.

Fermé mardi et mercredi.

Première formule à 23 euros.

Environ 35 euros à la carte pour une formule entrée/plat.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Ce sera l’une des dernières véritables apparitions publiques de l’élu. Un soir de janvier, à l’occasion de la présentation des vœux. Une cérémonie qui lui tenait à cœur depuis qu’il avait endossé la vêture d’édile de la commune. Une belle opportunité, à ses yeux, de décliner dans le détail le bilan réalisé de l’exercice antérieur et surtout de se projeter dans les douze mois à venir. Jean-Luc LIVERENEAUX a décidé de mettre un terme à son mandat de maire. De manière mûrement réfléchie…

 

GURGY : Ce n’était au début qu’une vague rumeur. Elle devait s’amplifier par la suite au fil de ces premières semaines de la nouvelle année. Le maire Jean-Luc LIVERNEAUX ferait le nécessaire de manière officielle auprès des services de la préfecture afin de donner sa démission. Une information qui a donc trouvé son épilogue, en coupant court à toutes les spéculations, avec la convocation effective au conseil municipal pour l’élection du maire, en date du mardi 27 février 2024 à 18h30. Salle Le Meunier, la succession au poste de premier élu ne sera donc plus qu’une formalité, mardi soir, pour le conseil municipal extraordinaire devant choisir le nom du successeur de Jean-Luc LIVERNEAUX.

 

 

A 70 ans, ce passionné de culture et d’économie – il avait succédé à Aurélie BERGER en 2020 lors des dernières municipales – jette l’éponge. Non pas de la vie publique puisqu’il conservera ses fonctions de conseiller municipal, de conseiller communautaire et de vice-président de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, aux côtés de la dynamique responsable, Dominique CHAPPUIT, mais de ce mandat de maire qui finalement lui pesait. Des divergences étaient apparues avec certains représentants du conseil municipal au fil des mois. Des ennuis de santé, aussi, en parallèle. Las, Jean-Luc LIVERNEAUX avait sans doute envie d’autre chose. Et surtout de se recentrer intérieurement, sans être trop exposé en frontal. Une décision qui peut se comprendre par les temps qui courent où les maires sont de plus en plus exposés…

 

Thierry BRET

 


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Il est des jours où il ne fait pas bon être « Père de la Nation », face à la colère de toute une profession. L’inauguration de la 60ème édition du Salon International de l’Agriculture par le président de la République s’est déroulée sous les sifflets et les huées, rythmée par les charges des forces de l’ordre et les actions musclées d’agriculteurs chauffés à blanc. Siglées de jaune pour ceux se réclamant de la Coordination Rurale ou de vert et blanc pour les adhérents à la FNSEA, avec en partage le noir de la colère…  

 

PARIS : De mémoire d’agriculteur, d’exposant ou de journaliste, jamais une inauguration n’aura connu autant d’aléas. Prévues ouvrir à 09 heures, les grilles du Salon de l’agriculture auront attendu près de deux heures pour cela, obligeant des milliers de visiteurs à patienter Porte de Versailles, avant d’être autorisés à rentrer. Leur chemin de croix ne s’est pas arrêté là, puisqu’il leur a fallu attendre le début d’après-midi pour pénétrer dans le « saint des saints », à savoir le hall 1 où étaient présents, outre les plus beaux représentants des espèces animales, un président de la République, bien à la peine depuis le début de la matinée.

Une visite à haut risque, à l’abri des regards, qui restera dans les annales. Hué, sifflé, appelé à la démission, Emmanuel MACRON n’a pas, pour autant, baissé les bras. Même si pour la veste, c’était déjà fait ! Lui qui dit « adorer » le contact avec les gens, c’est quasiment avec un garde mobile sur les genoux et en bras de chemise, qu’il a entamé le dialogue avec les agriculteurs présents autour de lui. Un discours qui ne passe pas pour certains, peu enclins à délivrer un blanc-seing à leur interlocuteur, fut-il président de la République : « malgré 400 millions d’euros annoncés, vous nous avez donné des miettes… ». Au cœur de la colère, le niveau de vie et le revenu, considérés par tous comme « indignes d’une profession qui nourrit la France » et des propos présidentiels jugés comme une « macronnade ».     

 

 

 

Les aides à l’Ukraine agricole dans le collimateur…

 

Bonnet jaune rivé sur la tête, Gildas est encarté à la Coordination Rurale et ne décolère pas depuis la levée des droits de douane en juin 2022 sur les importations en provenance d’Ukraine : « on leur donne 3,4 milliards d’euros, tout ça pour nous inonder de leurs poulets et pendant ce temps-là nos producteurs crèvent ! Que vont-ils faire demain s’ils rentrent dans l’Europe ? Nous inonder avec leur lait, avec leurs porcs… ? Ils vont nous « baiser », c’est clair ! ».

Installé au cœur de cette belle région qu’est le Pays de Redon, cet éleveur laitier ne voit là que « concurrence déloyale », à des années-lumière de la solidarité manifestée depuis deux ans à l’égard d’un pays en guerre. Une solidarité qui pèse aujourd’hui sur les exploitations nationales, confrontées à des règles de production et des directives européennes bien plus drastiques que leurs collègues ukrainiens. Le Breton au discours bien tranché est catégorique : « aujourd’hui mon lait est payé 420 € la tonne, si demain on me le paie 480 €, j’en veux plus de la PAC, j’en n’ai plus rien à faire, point barre ! ».

 

 

Un salon devenu un exutoire pour toutes les critiques…

 

De retour du pavillon de l’élevage, « on revient du champ de bataille… » (sic!). Ces agriculteurs des Ardennes et de la Marne, tous estampillés FNSEA, affichent fièrement leur pancarte : « Manu, on n’est pas là pour du bricolage ! ». Le discours présidentiel et les propositions faites dans la matinée ne rencontrent que peu d’écho : « c’est toujours pareil, de la mascarade ! ». Plus enclins à afficher, sac en bandoulière à l’appui, les couleurs d’une célèbre enseigne low-cost, jugée comme « bien plus respectueuse des producteurs que les autres, on y trouve que des produits français… ».  Une affirmation restant à prouver, dictée sans doute par le fait que ladite enseigne est depuis plusieurs années partenaire financier du Salon de l’agriculture et à ce titre, seul distributeur présent !

 

 

En ce milieu d’après-midi, le calme semblait revenu dans le hall 1, même si un cordon de CRS installés à la place d’animaux déplacés pour la circonstance (sic !), barrait toujours l’accès au secteur visité par le président. Les sifflets des manifestants ont continué à donner le ton de la journée et le débat improvisé de la matinée ne semblait pas avoir fait retomber la colère. Un président qui paraît cristalliser les haines et les critiques à en juger par les commentaires peu élogieux entendus au fil des allées, qu’ils émanent des professionnels ou des visiteurs. Des propos parfois outranciers et infondés, mais il y a longtemps qu’une partie des Français a rompu avec ce président jadis adulé, comme cette fois en 2019 où, encore haut dans les sondages, il avait fait exploser les compteurs de ses prédécesseurs, en déambulant quatorze heures durant dans les allées du SIA, dans une atmosphère bon enfant en multipliant les selfies. « O tempora, o mores »…  

    

Dominique BERNERD

 

 


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Programmé après les finales, le cérémonial vit la contribution présentielle des représentants du Conseil départemental, de l’Agglomération du Grand Sénonais et de la Ville de Sens, côté institutionnels. En face, plus inhabituel mais ô combien important pour renforcer les liens entre le monde de la défense et les collectivités de notre territoire, un représentant de l’armée. Jamais officialisées alors que déjà usitées, les relations de coopération entre armées et collectivités ont pris un tour nouveau avec la signature de ce partenariat…

 

SENS : Bien sûr, les amateurs de sport n’auront eu des yeux de Chimène que pour les magnifiques prestations de ces athlètes de très haut niveau devant s’affronter lors des finales nationales de ce championnat de judo militaire, accueilli une fois n’est pas coutume sur les tatamis du complexe sportif Roger Breton à Sens. Tel était l’enjeu principal de cette manifestation qui devait réunir une journée durant près de cent-vingt concurrents, en provenance des quatre coins de l’Hexagone.

Mais, d’autres, attendaient impatiemment de poser leurs paraphes au bas de documents officiels, scellant une bonne fois pour toute, un partenariat novateur et dans l’air du temps, entre collectivités et armées.

Une signature, un temps décalée par rapport au déroulé initial de ce copieux programme sportif proposé sur la journée, préférée après les finales devant récompenser les meilleurs des judokas militaires en lice dans cette compétition.

 

 

Une table et quelques chaises posées rapidement près des tatamis, puis l’installation des personnalités institutionnelles du cru (François BOUCHER, vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, Marc BOTTIN, président du Grand Sénonais et Paul-Antoine de CARVILLE, maire de Sens) avant que les parapheurs ne circulent entre les différents signataires. A la manœuvre, coté opérationnel, le lieutenant-colonel Emmanuel VARLET, délégué militaire départemental de l’Yonne.

Objectif de ces signatures : la valorisation d’opérations citoyennes en faveur de la jeunesse. Via le prisme du civisme et des notions véhiculées par la symbolique militaire. Entre le droit de mémoire, les valeurs du patriotisme, l’encouragement à la découverte culturelle ou à la pratique du sport, cet accord qui ne se cantonne pas au seul Sénonais puisque possédant une dimension départementale supposera à l’avenir le renforcement de manifestations dans d’autres villes de l’Yonne à l’instar d’Auxerre.

 

Thierry BRET

 

 


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