Son credo se résume en quelques mots. Favoriser le renforcement des liens avec les parents d’élèves et les acteurs locaux. Pourquoi ? Simple comme bonjour ! Le nouveau directeur de l’école primaire de Chichée et instituteur Jean-Jacques SEROUL veut faire de l’école un lieu de vie où chacun puisse trouver sa place. Une nouvelle équipe pédagogique qui devrait écrire une page résolument novatrice dans cet établissement…
CHICHEE : Il y a de l’effervescence dans l’air à l’école élémentaire de la petite commune, sise non loin de Chablis ! Depuis quelques jours, avec réel enthousiasme et de sérieuses ambitions à faire valoir quant au développement du projet pédagogique, une nouvelle équipe décisionnelle a pris les rênes de l’établissement. Non seulement, un nouvel enseignant, en la personne de Jean-Jacques SEROUL, prodigue son savoir sur le site, mais en outre, il assure les fonctions de directeur d’école ! Du deux en un positif, en somme !
Désireux de faire de l’école un lieu de vie favorable aux échanges, à l’écoute et à la responsabilité de chacun, Jean-Jacques SEROUL possède parmi ses priorités pédagogiques des matières comme le numérique, l’écologie mais aussi les sciences. Des thématiques abordées via de multiples projets participatifs qui stimuleront un apprentissage plus inclusif et dynamique.
Les premiers mots du nouveau directeur/instituteur de l’école primaire ont été les suivants : « je suis très honoré de rejoindre cette petite équipe, en partie remodelée cette année, une école réputée pour son engagement envers la réussite de chaque élève ».
On ne peut souhaiter que bonne chance aux trois personnes intégrées dans cette nouvelle aventure scolaire dans l’Yonne…
Thierry BRET
C’est l’évènement du mois à l’espace MOUV’ART auxerrois. La présence artistique d’une créatrice de talent surfant sur l’originalité de ses pièces de feutre et de textile où son imaginaire nous offre un vagabondage de l’esprit étonnant : Stéphanie BODIN. L’exposition s’installe dès lundi, avant son ouverture le lendemain. Une belle opportunité de découvrir « Rêver l’Obscur » de cette esthète du travail de la laine cardée, feutrée, modelée en mode enchanteur et onirique.
AUXERRE : Depuis plusieurs jours, elle inonde les réseaux sociaux de messages invitant à la découverte de sa nouvelle présentation officielle de son travail. L’artiste de l’Yonne possède la maîtrise de la communication dans sa stratégie relationnelle. En parler, encore et toujours, via les outils numériques mais pas seulement. La presse, aussi, est à son écoute. La preuve !
Le retour de Stéphanie BODIN à Auxerre doit se savourer comme une succulente confiserie fondant délicatement sur la langue. Après sa précédente intervention au Domaine de l’Ocrerie à Pourrain, la dame pose ses valises – ses œuvres à la typicité éclectique dirons-nous plutôt – dans l’un des endroits que les férus de la culture locale apprécient beaucoup -, cet espace MOUV’ART réservant toujours d’excellentes surprises.
De quoi parle-ton cette fois-ci avec Stéphanie BODIN ? D’une série de coiffes et de masques en feutre de laine dont elle a le secret conceptuel. Toutefois, l’artiste ajoutera d’autres pierres dans cet édifice textile avec notamment la fabrication de gilets en feutre. Une matière qu’elle affectionne tout particulièrement pour assouvir sa féconde créativité.
Le bonus supplément d’âme : les ateliers de création
Clin d’œil à l’époque et au calendrier, Stéphanie nous gratifiera d’une représentation très réussie de…champignons ainsi que de fleurs en textile ! Rien d’hallucinogène dans l’interprétation de « Rêver l’Obscur » en variante végétale mais les champignons pourront se présenter de multiples couleurs quant à leurs chapeaux : bleu, jaune, rouge, marron et même rose ! Tous les goûts sont dans la nature, non ?! Particularisme : quelques « Vénus » de feutre, étranges personnages un peu mystiques, seront également dévoilées au regard curieux des visiteurs.
Si le vernissage est prévu le samedi 09 novembre à 18 heures, il sera bon de noter sur les agendas deux autres dates se rapportant à cette exposition fleurant bon le climat automnal fait d’humus et de pluies, le 10 novembre et le 17 novembre. Deux matinées dominicales où à partir de 10 heures, des ateliers feutrage de la laine sur site seront assurés en présence de l’artiste. Un petit plus dans cette animation, façon supplément d’âme, afin de bien appréhender et de dévoiler les techniques du feutrage de la laine cardée. Un bonus que Stéphanie BODIN expérimente pour le plus grand plaisir de celles et de ceux qui se passionnent pour son travail…
En savoir plus
Exposition Stéphanie BODIN
Espace MOUV’ART Auxerre au 02 Rue de l’Yonne
Du 05 au 17 novembre 2024
« Rêver l’Obscur » (coiffes, parures, gilets, parures…).
Du mardi au vendredi de 14h à 18h
Samedi et dimanche de 14h à 18h
Entrée libre.
Inscriptions pour les ateliers au 06.13.88.37.17.
Vernissage le samedi 09 novembre à 17 heures.
Thierry BRET
Les organisateurs avaient promis une pluie de confettis en amont de cette cavalcade des plus originales et bigarrées, déambulant sur les artères principales du cœur d’Auxerre. Elle fut au rendez-vous ! A larges poignées, lancées dans les airs, visiblement ! Dans le cadre de leur projet commun, « Nos Chers Copains », les centres de loisirs de la capitale de l’Yonne ont animé comme il se doit les rues du centre-ville de la manière la plus en phase avec le calendrier : la célébration de la fête d’inspiration anglo-saxonne, Halloween !
AUXERRE : Un défilé de monstres et de personnages horrifiques dans les rues d’Auxerre le jour du 31 octobre ? Oui, oui : les centres de loisirs de la cité auxerroise ont bien répondu présents, en très grand nombre même, pour assurer de la plus belle des façons et avec la complicité de certains parents, la célébration de l’une des fêtes, très attendues des petits voire des plus grands, Halloween dans son édition 2024. Une tradition que cette fête très populaire dans les pays anglo-saxons et qui depuis plusieurs années a su faire également des émules dans notre territoire de cocagne, pourtant éloigné des us et coutume de la perfide Albion !
Halloween ? La fameuse manifestation où les défunts que l’on commémore le lendemain – la Toussaint – se déguisent en monstre afin de venir visiter les vivants et leur faire peur ! Si les Etats-Unis et les Britanniques (ainsi que les Irlandais) sont très fidèles à cette tradition, la France semble toujours un peu traîner des pieds sur le sujet dont certains de nos compatriotes fustigent même encore l’existence sur notre sol. Etre cocardier jusqu’au bout des ongles, bien sûr !
A Auxerre, les centres de loisirs ne tergiversent pas sur le sujet ! Chaque année, ils se manifestent – les animateurs pas les fantômes ! – afin de créer une atmosphère particulière, rassemblant à la fois les petits mais aussi les plus grands qui peuvent être leurs parents les accompagnants.
Cette saison, le programme « Nos Chers Copains » - tout est dit ou presque sur la finalité de l’opération dans ce titre -, aura été le fil conducteur de ce grand rassemblement de sorcières, loups garous et vampires dans les lieux les plus accessibles du cœur de ville aux piétons. Un programme, prétexte à occuper le terrain et à battre le pavé au beau milieu de la rue du Temple, l’une des voies pénétrantes vers la place de l’hôtel de ville, coupée à la circulation.
Le rendez-vous était fort simple, en vérité, et lié à l’évènement calendaire du jour : la célébration d’Halloween, avec les déguisements appropriés. Un petit ensemble instrumentiste se rajouta au cortège, ouvert par le centre de loisirs Sainte-Geneviève. Un combo qui rythmait le cortège avec des airs de jazz à la façon des défilés de la Nouvelle Orléans en mode mardi gras ou Halloween, selon les airs interprétés.
Sorcières, fantômes, diablotins, squelettes, vampires mais aussi des fées et des personnages que l’on aurait pu croire sortis de la science-fiction (?) déambulèrent ainsi dans les rues jusqu’aux environs de 16H30 avec le point de rassemblement final, place de l’hôtel de ville. Un curieux cortège, sous les fenêtres de la mairie, qui n’avait rien à voir avec les habituels rassemblements de syndicalistes !
Thierry BRET
Et dire que toute l’année, les vignerons ont dû batailler contre l’excès d’humidité ! Le soleil et la chaleur étaient au rendez-vous de l’édition 2024 de la Fête des vins de Chablis, pour le plus grand bonheur des milliers de visiteurs présents, en lice pour un marathon sans pareil, au fil des stands, à la découverte des trésors du cru.
CHABLIS : A voir ces milliers de visiteurs déambuler un verre à la main de part et d’autre du boulevard Tacussel, comment imaginer que l’appellation faillit disparaître dans les années 50, faute d’un manque de notoriété et d’une surface dépassant à peine les 500 ha pour dix fois plus aujourd’hui ! Le travail des viticulteurs a payé et forgé une identité à un vin qui a depuis longtemps franchi les frontières hexagonales pour partir à la conquête du monde. Pour preuve, toutes ces voitures aperçues aux quatre coins de la commune, affichant des plaques étrangères originaires de toute l’Europe ! L’occasion pour le président de l’Office du Chablis, Patrice VOCORET, de saluer à l’heure des discours, la mémoire de Jean-Claude SIMONNET, disparu cette année à la veille de ses cent ans, figure emblématique des « Piliers Chablisiens », qui sa vie durant œuvra pour la promotion des vins et du tourisme localement.
« Que calor » ! De mémoire de gens du cru, jamais présidente, marraine et parrain de la fête n’eurent dans le passé à se protéger du soleil avec un parapluie en guise d’ombrelle ! Erreur de casting pour le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, présent sur le perron du Domaine Long-Depaquit, en pull à col roulé et gabardine ! D’ici à ce qu’après celle du sous-préfet de Sens, il prononce une mise à pied de son conseiller météo, il n’y a pas loin…
Mais que ce soleil dominical faisait du bien dans les cœurs et les esprits, après « l’annus horribilis » vécue par la profession viticole tout au long de l’année en cours, comme l’a rappelé malicieusement Patrice VOCORET : « la météo n’a pas fait de cadeaux aux viticulteurs ni aux agriculteurs. Seuls les cueilleurs de champignons se réjouissent cette année… ».
Une marraine sous le charme des spécialités locales
C’est avec des étoiles plein les yeux que le « Grand Architrave » de la confrérie des « Piliers », Yvon VOCORET a salué la présidente de cette 76e Fête des vins, l’actrice Michèle BERNIER : « une personne qu’on résume en trois mots : générosité, gentillesse, avec un cœur gros comme ça ! Une personne comme toi est inoubliable… ».
Bigre ! Une véritable déclaration d’amour ! La fille du professeur CHORON semblant elle aussi être tombée sous le charme des « spécialités locales », après ce week-end passé en terre icaunaise : « cela aura été deux jours mémorables et incroyables ! Quel talent vous avez à Chablis, ne lâchez rien ! Continuez, c’est un bonheur… ».
Bien décidée à rester présidente ad vitam aeternam, « puisque j’ai déjà un faux homonyme pour Premier ministre » ! Pas certain pour autant que sinistrose et rigueur budgétaire riment avec bonhomie, rire et joie de vivre !
Ils ont dit… :
Patrice VOCORET, président de l’Office du Chablis
« La Bourgogne se porte plutôt bien sur le marché domestique comme à l’export, là où les Pyrénées-Orientales s’apprêtent à arracher 8 000 ha par manque d’eau et que le Bordelais, comme les Côtes-du-Rhône, souffrent de la baisse de consommation de vin rouge… ».
Marie-José VAILLANT, maire de Chablis
« Ce chablis qui rassemble, qui unit, ce chablis reconnu comme vin de cœur, mais aussi de garde, de force, de stabilité, d’équilibre, d’alliance et d’harmonie, toutes qualités qu’on aimerait tellement reconnaître à ceux qui nous gouvernent… ».
Dominique VERRIEN, sénatrice de l’Yonne
« L’année prochaine n’aura pas treize lunes donc normalement, elle devrait être meilleure… Espérons qu’elle le soit aussi bien en politique qu’en vins ! ».
Jean-Baptiste LEMOYNE sénateur de l’Yonne
« Ici à Chablis, dans le Chablisien et dans l’Yonne, on ne baisse pas les bras et surtout, on va lever le coude ! ».
Pascal JAN, préfet de l’Yonne
« Il est important d’être en prévention et dans la prévision. Je viens d’une région plus au Sud-Ouest, le Bordelais où dans trente ans, le bordeaux, ce sera du porto ! Il faut quand même le savoir, le changement climatique change la donne… ».
Yvon VOCORET, grand architrave de la confrérie des « Piliers Chablisiens »
« Notre ami Guy ROUX pendant cinquante ans nous a fait de la pub pour Chablis ! Assis aujourd’hui sur cette fontaine, peut-être pour faire la promotion de la « Cristalline » ? Merci Guy d’être là… ».
Dominique BERNERD
Une nouvelle ère commence. Celle d’une transition mûrie entre deux équipes directionnelles. Mais, un même et unique but. Le renforcement des actions de la structure associative sur sa zone de prédilection, la Nièvre et l’Yonne, afin d’atteindre ses objectifs. Optimiser ses partenariats favorables au développement de l’accompagnement des porteurs de projets et des créateurs/repreneurs d’entreprises. Sans omettre le volet de la formation et l’essor des services post-création. Un nouveau millésime qui s’avère plutôt prometteur pour une BGE en plein renouveau…
JOIGNY : Le temps du renouveau chez BGE ? Celui-ci s’est greffé initialement en avril dernier, avec la nomination le 15 de ce même mois, de Cyril AUBRY, en qualité de directeur de la structure associative, à cheval sur deux des départements du nord de la Bourgogne, la Nièvre et l’Yonne. La tendance s’est complétée quelque temps plus tard avec le départ du président Arnauld MERIC de la présidence de la vénérable institution, remplacé par une personnalité icaunaise que l’on connaît bien dans le sérail de la vie associative, Jean-Luc KLEIN. Paradoxe curieux : c’est ce dernier qui avait fait connaître BGE au président sortant il y a longtemps de cela ; aujourd’hui, par le truchement d’un changement de poste à la tête de la structure, Jean-Luc KLEIN, membre depuis des années de l’ancienne boutique de gestion, en prend donc enfin les rênes ! Un nouveau président très investi puisqu’il officie toujours en qualité de responsable de « Mobil Eco ».
Présent à ses côtés, lors de ce point presse organisé à la pépinière d’entreprises du Jovinien, Cyril AUBRY, le nouveau directeur du réseau associatif encourageant la création d’entreprise. A 52 ans, notre homme a choisi après un parcours professionnel vécu dans le domaine de la bio de se relancer en acceptant le challenge qui lui tendait les bras : celui de BGE Nièvre Yonne.
Un bilan flatteur, côté chiffres…
Une réelle opportunité pour lui de se positionner à travers cette structure qui a fait ses preuves depuis deux décennies dans le landerneau. « J’aime l’entrepreneuriat, confie-t-il, j’ai longtemps accompagné des créateurs de magasins bio en France. Même si j’ai eu une parenthèse dans l’humanitaire durant quelques années au sein d’une ONG… ».
Son atome crochu avec le président KLEIN se nomme…le Pérou ! Tous deux échangent d’ailleurs des souvenirs sur leurs expériences humanitaires du côté de Lima ou de l’Altiplano. Redescendant de leurs hauteurs andines, nos deux interlocuteurs savourent cet instant où ils peuvent évoquer l’ensemble des chantiers mis en exergue au sein de la BGE. Un organisme qui franchement se porte plutôt bien. Ne serait-ce qu’à l’énoncé des chiffres égrenés et commentés par le nouveau directeur.
« En 2023, nous avons accompagné 1 350 personnes dont certaines d’entre elles ont généré de la création d’entreprises (230) dont 70 % dans la micro activité, précise Cyril AUBRY, ajoutons à cela que 450 structures ont été immatriculées avant même leur création… ».
Un bilan plus que flatteur pour BGE Nièvre Yonne qui ne cesse de se faire connaître d’année en année dans les arcanes de l’entrepreneuriat régional. Pour être tout à fait complet sur ce tableau statistique, soulignons que 65 % de ces néo-entrepreneurs possèdent le niveau bac et plus, que 40 % sont issus de la gent féminine, 70 % étaient jusque-là des demandeurs d’emploi, 12 % sont localisés dans les quartiers prioritaires des villes, 15 % intègrent la catégorie des travailleurs handicapés, et que 28 % de ces néophytes de l’entrepreneuriat sont âgés de moins de trente ans.
La valeur ajoutée d’une dizaine de collaborateurs
Toutefois, BGE ne s’intéresse pas uniquement aux jeunes désireux de prendre des responsabilités patronales. Les seniors intègrent ses objectifs.
« De plus en plus, confirme Cyril AUBRY, les seniors expriment le besoin de changer d’orientation professionnelle en basculant vers la reconversion. Parfois, avec des parcours existentiels insolites comme le cas de cette personne qui était ingénieur dans le nucléaire et qui a tout lâché pour ouvrir une société de conserverie bio ! ».
Quant aux secteurs d’activité choisis par les porteurs de projets poussant la porte de BGE, ils sont éclectiques. On notera une prolifération de structures qui se positionnent dans les services, le bâtiment, l’artisanat, le commerce, l’automobile via la réparation mécanique ou le…cycle ! Un phénomène observable dans la partie atelier qui est accueillie au siège social de l’association à Nevers, où bon nombre de concepts favorables à la mécanique y ont élu domicile.
Côté effectif, BGE Nièvre Yonne s’appuie sur les compétences et le savoir-faire d’une dizaine de conseillers. Six évoluent dans l’Yonne, le département qui a pris depuis plusieurs années l’ascendance sur le berceau originel de la Nièvre.
« Il n’y a pas de turn-over au sein de notre structure, remarque Jean-Luc KLEIN, chacun des collaborateurs apporte sa valeur ajoutée… ».
Pour l’heure, aucun recrutement supplémentaire n’est envisageable même si à l’avenir le président a conscience qu’il sera nécessaire d’étoffer un peu les équipes.
Un « BGE Club » proposant la régularité informative
Tissant des liens étroits avec les acteurs consulaires (CCI, CMA), BGE Nièvre Yonne exerce ses attributions également avec France Travail et toutes les parties inhérentes à la création/reprise d’entreprise du secteur. La formation est devenue aussi au fil des ans un auxiliaire précieux qu’il faudra promouvoir, selon Jean-Luc KLEIN. Des formations portant sur différents items tels que la communication, la digitalisation, les réseaux, les aspects juridiques, le recrutement, les statuts. L’organe est par ailleurs labellisé QUALIOPI.
Grâce à l’émergence de l’outil « BGE Club », la structure a su également ratisser plus large au niveau de son potentiel d’accompagnants, une douzaine de réunions sont ainsi proposées dans la saison avec des thèmes portant sur l’actualité de l’entrepreneuriat. La prochaine session, en date du 12 novembre, à l’hôtel d’entreprises de Joigny, aura comme point d’ancrage informatif, l’IA. Une intelligence artificielle, dont on ne cesse de vanter les bienfaits dans l’entreprise…
Aujourd’hui, à l’instar de la Nièvre et de l’Yonne, il y a une quarantaine de structures qui sont opérationnelles à travers l’Hexagone. Soit un panel de 1 400 collaborateurs, ce qui fait de BGE une belle PME en termes d’employabilité. L’idéal pour mieux comprendre les problématiques des créateurs/repreneurs actuels ?
Thierry BRET