Le parti inféodé à la ligne politique présidentielle vit une nouvelle phase de structuration dans l’Yonne. Une étape voulue par son délégué départemental, l’élu Alexandre BOUCHIER. Celui-ci désire renforcer la présence du mouvement sur le secteur septentrional de la Bourgogne. Une réunion, organisée fin septembre, a permis de brasser les cartes en désignant une équipe solide et de nouveaux axes de travail prioritaires…
AUXERRE : C’est une équipe davantage resserrée qui a été désignée le 21 septembre dernier. Elle va travailler désormais au devenir du mouvement de centre droit aux côtés du nouveau délégué départemental de cette formation, portée sur les fonts baptismaux par Edouard PHILIPPE, en 2021.
Alexandre BOUCHIER, élu du nord de l’Yonne et conseiller départemental, pourra dorénavant compter sur l’efficience de plusieurs cadres pour franchir un nouveau palier dans le développement de la formation. Des cadres que l’on connaît bien dans le landerneau. A commencer par Catherine TRONEL, conseillère départementale de l’Yonne, également.
Cette dernière, en intégrant le nouveau bureau d’Horizons 89 aura en charge la responsabilité du pôle « Développement et Territoire ». Autre figure marquante à noter au sein de cette entité directionnelle : Yassin KOUACH, « jeune loup » de la politique icaunaise qui a travaillé aux côtés de l’ancien député de la deuxième circonscription de l’Yonne André VILLIERS en qualité d’attaché parlementaire. Serait-ce imputable à sa jeunesse – le garçon n’a même pas trente ans ! - mais le garçon s’est vu confier la mission du recrutement et des adhésions en ratissant large auprès des jeunes gens, férus de politique.
L’acte II de la structuration du mouvement dans l’Yonne
Côté « Relations avec les entreprises et Vie associative », Horizons 89 s’est adjoint les services d’un atout non négligeable au sein de sa structure de commandement, avec l’arrivée de Didier BARJOT, entrepreneur bien connu de l’Auxerrois, à l’estampille de la CPME de l’Yonne sont il préside la destinée depuis quelques mois.
La présence de Matthieu ROY est également confirmée. Son rôle sera prépondérant avec l’animation de la cellule « Idées et Communication ».
Un bureau élargi à d’autres composantes. Ainsi, tous les délégués municipaux Horizons de l'Yonne actuels et à venir intègreront la cellule décisionnelle.
Pour Alexandre BOUCHIER, « cette initiative marque la deuxième étape importante dans la structuration du mouvement dans le département. Elle accompagnera notamment la création de comités municipaux à Avallon, Bonnard et à Auxerre, avec d’autres à venir dans les prochaines semaines et mois, visant à renforcer la dynamique locale… ».
Une nouvelle impulsion territoriale qui s’inscrit dans les projets tant nationaux que locaux que souhaitent porter la formation d’Edouard PHILIPPE à l’approche des échéances présidentielles de 2027.
Thierry BRET
C’est un vent de colère qui a soufflé sur la 16ème édition de « Cité 89 ». Si le thème retenu cette année, « l’Yonne de demain » se voulait résolument tourner vers l’avenir, les visiteurs habituels du salon, que sont les maires, élus et autres responsables des collectivités territoriales, avaient surtout en tête l’actualité présente, à savoir, la baisse annoncée de 16 millions d’euros dans l’enveloppe budgétaire départementale. Conséquence des sept milliards d’euros d’économies envisagés dans le cadre du projet de loi de finances 2025 proposé par le gouvernement BARNIER. Une décision qui en a fait « tousser » plus d’un, à commencer par le premier vice-président du Conseil départemental, Grégory DORTE, dont les propos virulents ont résonné à la manière d’un signal d’alarme…
AUXERRE : « L’heure est grave Grégory, la maison France brûle… ». Des propos du président Patrick GENDRAUD, absent pour raison de santé, dont le premier vice-président de l’instance départementale, Grégory DORTE, s’est largement fait l’écho à l’heure des discours inauguraux : « après nous avoir tondu à blanc, l’Etat nous cherche encore de la laine sur le dos mais de la laine, nous n’en avons plus du tout ! ».
Peu amène dans son intervention à l’égard du gouvernement en place, le maire de Pont-sur-Yonne a ironisé sur le montant des économies demandées : « trente, quarante, soixante milliards… ? Nous avons l’impression qu’on joue avec des milliards comme avec des cacahuètes ! ».
Les départements ne sont pas responsables de ce naufrage
Rhabillant au passage, (mais il est vrai qu’à Lausanne, les hivers sont rudes !), l’ancien ministre de l’Economie et des Finances, Bruno LE MAIRE, recordman de longévité à un tel poste : « à quel moment, en sept ans d’exercice, est-on arrivé à un tel naufrage ? L’iceberg, puisqu’il est question de gel, n’est pas apparu soudainement ni même après une dissolution désastreuse pour notre pays. Et ce serait à nous, collectivités trompées, de payer la chambre ! ».
Grégory DORTE a rappelé également qu’en matière d’économies, le département avait depuis longtemps fait sa part en matière de redressement des finances publiques, avec un désendettement de 115 millions d’euros sur sept ans, alors même qu’il devait faire face à une hausse explosive des dépenses sociales liées à l’autonomie, l’insertion, le handicap ou à la politique de l’enfance. Face à cette dette abyssale annoncée, de 3 200 milliards d’euros, soit 114 % du PIB, à chacun de prendre ses responsabilités : « la dette, c’est l’Etat qui la porte, c’est sa gestion ! Nous tous, communes, collectivités, ne cumulons « que » 150 milliards d’endettement, dont une part ne nous appartient même pas. Que l’on ne vienne pas nous dire que nous sommes seuls responsables de ce naufrage ! ».
Différer les travaux dans les communes en attendant mieux ?
Maire de Gron, Stéphane PERENNES est un familier du rendez-vous biennal qu’est « Cité 89 ». L’ancien directeur de MFR, aujourd’hui responsable de l’association « Mobil’éco », apprécie notamment les valeurs de solidarité que l’on peut y trouver, face aux difficultés voire parfois, à la solitude qu’un élu peut rencontrer le temps de son mandat : « l’on y rencontre une véritable notion de cohésion et d’unité des maires présents. On se croise parfois sur le territoire, que ce soit à la Communauté de communes ou d’agglo, mais sans cet effet de groupe comme ici. Une notion de solidarité d’autant plus importante face à l’inquiétude partagée et l’on se dit qu’il va peut-être falloir se serrer les coudes… ».
Lui aussi se refuse à voir les maires porter le chapeau : « on ne peut pas tout nous mettre sur le dos et surtout pas, sur le dos des gens qui essaient de faire tourner le territoire et en sont les acteurs de terrain, tout ça pour sauver la mise… ».
Inquiet du climat anxiogène et des interrogations portées par les citoyens, « on est à la croisée de quelque chose et l’on a intérêt à ne pas oublier les personnes qui souffrent aussi… ».
Avec l’obligation, compte tenu du contexte économique, à remiser à plus tard certains travaux : « on a des projets de territoire qui sont différés sur 2026, 2027 si ça va mieux, ce qui veut dire aussi que les entreprises devront attendre pour avoir les marchés… ».
Des présences insolites sur les stands mais ô combien nécessaires
Le temps d’une journée, « Cité 89 » est aussi l’occasion pour nombre d’élus ou d’agents territoriaux de trouver réponse à leurs diverses problématiques. Une centaine d’exposants étaient présents à cet effet, parmi lesquels nombre d’acteurs économiques ou institutionnels, que ce soit en matière de finance, d’environnement, de travaux urbains, d’établissement public ou encore, de culture et de santé.
Pour sa première participation, Agathe DEILLER a bien du mal à faire s’arrêter sur son stand les visiteurs, peut-être interloqués par la présence d’un atelier optique en pareil lieu… Forte d’un parcours professionnel d’une dizaine d’années, la jeune opticienne a pourtant créé un concept pouvant intéresser les maires de communes souvent bien isolées dans leur désert médical : « je leur propose des animations gratuites de sensibilisation à la santé visuelle à l’attention de leurs administrés. J’ai pu constater que nombre de personnes arrivant en établissement, n’ont pas vu d’ophtalmologiste depuis dix ans, parfois quinze ans, faute d’un manque de professionnels sur le territoire. Des pathologies jamais traitées ou trop tard, pouvant conduire à la cécité… ».
Un travail en amont prenant toute son importance quand on sait qu’une mauvaise vue engendre deux fois plus de chutes, favorise l’isolement, la perte d’appétit avec le risque, à terme, d’une arrivée en EHPAD plus rapide. Un sujet ô combien sensible pour le département, baisse des financements oblige… !
Dominique BERNERD
Au niveau de sa genèse, c’est le fruit d’une longue réflexion de près de trois ans, enfin abouti. Un auxiliaire indispensable pour mailler le plus possible le territoire de l’Yonne, dans sa version ruralité, et apporter une plus-value informative à tous ses utilisateurs. Sous le sceau de l’itinérance, le bus de l’UDAF de l’Yonne (Union départementale des Associations Familiales) ne passe pas inaperçu, qu’on se le dise ! Un bus supplémentaire à ajouter à la liste des véhicules, proposant des services envers les citoyens…
AUXERRE: Son inauguration officielle est prévue le 18 octobre en Puisaye, du côté de Mézilles. Mais, sa première apparition a été réservée au Salon des Seniors 2024, évènementiel concocté par le Conseil départemental de l’Yonne et accueilli ce samedi au parc des expositions, AUXERREXPO. Un bien joli véhicule, coloré et « expressif » quant à ses visuels ! D’ici peu, les professionnels de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de l’Yonne auront eux aussi l’opportunité de grimper à bord, histoire de se faire une idée précise des services embarqués qui y sont déclinés. Ce sera le 21 octobre.
Entretemps, le flambant véhicule de l’UDAF aura entamé son itinérance à travers le département pour y proposer ses services. Sachant qu’à date, ce sont déjà une trentaine de communes qui se sont signalées par leur intérêt accordé à ce concept mobile et informatif. Des localités rurales, principalement implantées dans l’Avallonnais et le Sénonais. Le résultat d’une enquête réalisée en amont par les services de l’UDAF 89.
Stationné sur le parking du nouveau siège social de la structure associative à Auxerre (le nouveau bâtiment est à peine terminé que déjà les 75 collaborateurs de l’entité ont pris leur quartier dans les différents étages du site), le véhicule ne possède que trois cents kilomètres au compteur à ce jour. Ergonomique et fonctionnel, il permet d’accueillir six personnes à son bord, ainsi que deux conseillers numériques de l’UDAF 89 – ils terminent leur formation afin d’être opérationnel au plus vite – qui prodigueront conseils et préconisations dès leur prise de fonction. Le mini bus est équipé de tablettes numériques ; il est également pourvu d’un écran donnant sur…l’extérieur !
« On pourra même organiser des séances de travail plus ludiques sous l’auvent, précise Jean-Pierre MASCLET, le directeur de l’UDAF Yonne, en présentant les fonctionnalités de ce véhicule ayant nécessité un investissement budgétaire de 200 000 euros.
Un investissement que l’organisme aura assuré à sa charge à hauteur de 50 %, le reliquat provenant de subventions de la Région Bourgogne Franche-Comté.
Quant au public ciblé pour être accueilli à bord de ce bus, c’est un peu tout le monde, en vérité. Tant les scolaires que les adultes et les seniors. Celles et ceux qui sont éloignés du fait de leur position géographique du numérique en zone rurale. Le mode opératoire devant être relativement simple, ensuite, dans l’exécution du projet : le bus devant faire une halte d’une demi-journée dans l’une des communes constituant un circuit. Répondre aux besoins des citoyens est le leitmotiv du directeur de l’UDAF 89, satisfait de ce nouveau vecteur de communication que les Icaunais découvriront dans les semaines à venir dans leur localité.
Thierry BRET
Objectif avoué des organisateurs : dépasser la barre des dix mille entrées en deux jours de manifestation ! Si le soleil est de la partie et les conditions météo au rendez-vous, ce qui est prévu normalement, Etais-la-Sauvin pourrait connaître une sacrée affluence ce prochain week-end, avec la réception de la 29ème édition de la Fête de l’Agriculture, concoctée par les Jeunes Agriculteurs du département, associés au canton de Saint-Sauveur-en-Puisaye…
ETAIS-LA-SAUVIN : Les chiffres parlent par d’eux-mêmes ! Le monde agricole attire de plus en plus de badauds et de curieux lors de grandes manifestations publiques permettant de mettre en valeur cette filière de la vie économique, indispensable à notre bien-être alimentaire et à l’aménagement de nos campagnes. La preuve ? Les organisateurs de la 29ème édition de la Fête de l’Agriculture de l’Yonne, accueillie cette saison aux confins de la Puisaye, espèrent bien dépasser la barre fatidique des dix mille entrées aux termes des deux journées de cet évènement recevant plus d’une cinquantaine d’exposants.
Sur place, de nombreuses animations pour petits et grands, ainsi que de multiples stands tenus par des producteurs locaux afin de valoriser l’agriculture icaunaise, ne devraient pas manquer d’interpeller les visiteurs devant s’acquitter d’un droit d’entrée de 5 euros (adulte). On relèvera la gratuité pour les jeunes spectateurs de moins de dix ans : sait-on jamais, ils peuvent se nourrir au contact des professionnels de la terre de précieux renseignements initiateurs de précoces vocations !
Des tracteurs monstrueux pour le plaisir des yeux !
Un cap de dix mille visiteurs pas inatteignable en vérité puisque la fréquentation est sur une pente ascendante depuis plusieurs saisons : en 2022, la manifestation de fin d’été avait accueillie 4 500 personnes à Fontaines (près de Toucy). Celle d’Avallon excédait déjà les 5 500 entrées à Sainte-Colombe/Angely (près d’Avallon).
Pour cette nouvelle édition, les Jeunes Agriculteurs ont fait le choix tout comme l’an dernier de proposer une animation de « tracteur pulling ». Une animation spectaculaire qui avait aussi contribué au succès de l’édition avallonnaise de 2023. Aujourd’hui, l’Hexagone est l’un des pays européens où la discipline s’est le plus développée. Pas étonnant que les JA de l’Yonne aient opté pour pimenter leur évènement de recevoir la finale nationale de ce « sport mécanique » insolite, supervisée par la fédération française.
Parmi les autres animations dont il faudra pleinement profiter durant ces deux jours : la mini-ferme, une démonstration de chiens de troupeau, l’exposition de matériels, la démonstration de moissonneuses-batteuses, des baptêmes d’hélicoptère (payant), de nombreux jeux pour enfants, un bœuf à la broche à déguster et même la présence musicale d’un DJ pour que la « fièvre du samedi soir » prenne vie aux abords de la localité de Puisaye !
Thierry BRET
Lancée le 15 juillet, la campagne nationale – nous l’avons découverte ce jour dans sa version déclinable sur le sol icaunais avec la visite de la directrice de cabinet du préfet de l’Yonne, Clémence CHOUTET, sur le terrain – se terminera le 01er septembre. Elle donnera lieu à un bilan, rendu public dans les semaines à venir. Objectif de l’Office Français de la Biodiversité (OFB), à l’initiative de l’opération : la prévention et le contrôle autour des atteintes à l’eau et à la nature dans les territoires soumis à réglementation particulière…
MAILLY-LE-CHATEAU : On connaissait la version littéraire du « Sous-préfet aux champs », neuvième des célèbres « Lettres de mon moulin » d’Alphonse DAUDET, rédigées dans sa plus belle prose par l’auteur ; on a vécu aujourd’hui au sortir de la commune de Mailly-le-Château la visite de la directrice de cabinet du préfet de l’Yonne, Clémence CHOUTET, dans la réserve naturelle nationale du Bois du Parc, écrin de verdure dans un espace protégé. Un espace sauvage, fait de forêts et de rochers qui se mérite amplement pour l’atteindre puisqu’il aura fallu gravir dès les premières minutes une envolée de marches abruptes sur près de 170 mètres de dénivelé avant de profiter d’un panorama splendide sur la jonction de l’Yonne et du canal du Nivernais.
Dans le cadre de la campagne nationale de contrôles réalisées par l’Office français de la Biodiversité (OFB) – une opération qui court jusqu’au 01er septembre -, la représentante de l’Etat effectuait le déplacement dans ce sanctuaire naturel privilégié où vivent en nombre des faucons pèlerins et une faune abondante composée de reptiles (couleuvres, vipères, lézards verts…) et multiples variétés d’oiseaux.
Faire prendre conscience de la nécessité de protéger la nature
Lieu plutôt méconnu du grand public, la réserve naturelle nationale du Bois du Parc a l’avantage d’offrir diversité et quantité tant en espèces végétales qu’animales. D’où une surveillance accrue tout au long de l’année par les services de l’OFB, un office placé sous la tutelle des ministres chargés de l’Environnement et de l’Agriculture. Jadis, les personnels des organismes antérieurs à l’Office Français de la Biodiversité étaient assimilés aux représentants des fédérations de chasse. De nos jours, leurs tâches sont multiples depuis la création de cet établissement public par l’Etat survenu en janvier 2020. Surveillance, préservation, gestion et restauration de la biodiversité terrestre, aquatique et marine : les fonctionnaires agissent sur le terrain comme des couteaux suisses avec de multiples facettes de connaissances en privilégiant la pédagogie et l’information.
« La fréquentation des espaces naturels répond à un besoin grandissant de nos sociétés de se rapprocher de la nature, explique l’un d’entre d’eux, il est donc important de faire prendre conscience de la nécessité de la préserver… ».
Une démarche utile ? Plus que jamais et à plus d’un titre ! Car, il ne faut jamais omettre de nos pensées que dans certaines conditions, cette fréquentation peut aussi contribuer à dégrader les espèces, les habitats et les paysages, voire générer des conflits d’usage…
Des contrôles qui peuvent aboutir à des poursuites judiciaires
D’autant que dans bon nombre de cas, les atteintes à l’eau et à la nature sont imputables à la négligence et l’incivisme de celles et ceux qui fréquentent ces sites. La pédagogie et la sensibilisation deviennent alors les armes maîtresses de l’Office Français de la Biodiversité pour tenter de juguler ces excès. Des contrôles sont également réalisés par l’ensemble des services départementaux de la structure, sous l’autorité des préfets.
Parfois, si les comportements relevés à l’occasion d’un contrôle s’identifient au domaine de l’infraction, un travail mené en concertation avec le procureur de la République s’impose. Des suites judiciaires peuvent alors être envisagées.
Durant près de deux heures et sous un soleil radieux, Clémence CHOUTET a pu découvrir à satiété, en posant moult questions, le travail passionnant des représentants de l’Office, qui sont les garants de la préservation des espaces naturels et protégés dans l’Yonne. Une directrice de cabinet, non pas aux champs, mais dans un écrin de verdure et de roches privilégié à 170 mètres en surplomb de l’Yonne !
Thierry BRET