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Puisaye Forterre

Créée à l’initiative du syndicat mixte « Yonne Médian », avec le concours financier de l’Agence de l’eau Seine-Normandie, la première édition auxerroise de « Récid’Eau » a trouvé son public. Ils étaient nombreux ce samedi à naviguer entre les différents stands installés tout autour du cloître de l’Abbaye Saint-Germain. Un voyage à la rencontre de tous ces acteurs qui travaillent au quotidien pour la sauvegarde d’un bien commun indispensable à la survie de l’humanité : l’eau !

 

AUXERRE : L’eau est un bien commun qui devrait être accessible à tous et n’appartenir à personne ! On sait bien malheureusement que si le droit à l’eau et à un assainissement de qualité ont été reconnus en juillet 2010 par l’ONU, comme « un droit fondamental essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l’Homme », il y a encore beaucoup de chemin à faire pour passer des vœux à la réalité ! Il n’existe pas, avec l’air, d’élément naturel plus nécessaire à la vie : trois jours sans eau et l’on est mort ! Un bien ô combien précieux, quand on sait que l’eau douce utilisable, représente moins de 1% du volume global d’eau présent sur la planète…

C’est bien connu : « les petits ruisseaux font les grandes rivières » et si l’eau fait partie du patrimoine commun, il appartient à chacun, de la préserver, la protéger et la partager. Un message que les différents exposants ont eu à cœur d’expliquer aux visiteurs tout au long de la journée, que ce soit par le biais de maquettes interactives, d’expositions ou d’expériences ludiques, comme ces tubes de verre emplis différemment de terre et de roches, sur le stand du syndicat mixte de l’Armançon : « en y versant de l’eau, on peut facilement constater toute l’importance de la structure d’un sol. Plus la couche de terre sera épaisse, mieux sera filtrée l’eau allant dans les nappes phréatiques, là où un sol superficiel plus caillouteux, entraîne plus de risques de pollution… ».

 

 

Un peu d’explications, et c’est gagné !

 

Sur le stand voisin de l’Office Français de la Biodiversité, plusieurs « invités » collectés dans différentes mares autour d’Auxerre, font le show dans leurs cuvettes respectives sous l’œil curieux des plus jeunes visiteurs et les explications de Guillaume : « aujourd’hui, on va se promener dans la nature, sans trop vraiment s’intéresser à ce qui nous entoure et l’idée, c’est de montrer aux enfants notamment que plein de choses existent. Chaque espèce a son importance et son propre mode de fonctionnement, à l’image de ces larves d’éphémères ou ces traine-buches, qui, lorsqu’on les trouve, sont de bons indicateurs de la qualité du milieu dans lequel ils vivent… ».

Un insectarium aquatique qu’il n’est pas toujours facile de présenter à un jeune public : « certains comme hier n’osaient pas s’approcher car ils trouvaient ça « sale » ! Un peu d’explications sur l’importance de la biodiversité et dès qu’ils s’approchent, c’est gagné ! ».

Jamais la ville de Montargis ne mérita mieux son surnom de « Venise du Gâtinais » que cet été-là… En 2016, des pluies torrentielles firent grossir les eaux du Loing et de ses affluents, qui eurent tôt fait d’envahir les rues de la cité, provoquant des inondations catastrophiques restées dans les mémoires, à l’issue desquelles fut créé trois ans plus tard, l’EPAGE du Loing. Un Etablissement Public d’Aménagement et de Gestion de l’Eau regroupant 269 communes du Loiret, de l’Yonne et de Seine-et-Marne, au service des rivières et des usagers, en charge notamment de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations. A l’aide d’une maquette interactive, Nino, l’un des animateurs du syndicat, alerte sur les dangers d’une trop grande artificialisation des sols et l’importance des zones humides : « des endroits où la végétation favorise l’infiltration de l’eau, particulièrement lorsque la rivière fait des méandres, qu’il est important de préserver, notamment pour éviter les risques d’inondation, mais aussi parce qu’elles sont un véritable régulateur naturel de la qualité de l’eau. Avec au final, une facture moins élevée que d’avoir à traiter ou d’indemniser les populations suite à des inondations… ».

 

 

 

38 % de la population mondiale est aujourd’hui en stress hydraulique

 

Regroupant 126 communes pour une population de 126 000 habitants et 630 km de cours d’eau, le syndicat mixte « Yonne Médian », initiateur de cette première édition auxerroise de « Recid’Eau », a été créé en 2019. Présidé par Yves VECTEN, acteur incontournable et figure tutélaire de la protection de l’eau dans l’Auxerrois, son champ d’actions est multiple : restauration des cours d’eau, diagnostics, prévention des inondations, gestion de la végétation et des ouvrages, communication auprès du grand public, etc… Son vice-président, Marcel MILACHON, était présent samedi, pour expliquer à l’aide d’une maquette modulable, le fonctionnement d’un bassin versant et les mécanismes d’une inondation. Maire de sa commune (Villebougis) et agriculteur de profession, lui aussi milite pour un engagement de tous les acteurs de terrain et une action solidaire en matière de protection de l’eau : « il n’y a rien qui marche à 100 %, chacun doit apporter sa pierre à l’édifice et contribuer à trouver une solution au problème… ».

Précipitations en baisse, surpopulation, réchauffement climatique, pollutions… : les menaces, pesant sur la quantité d’eau douce disponible à travers le monde, sont multiples et il y a urgence, comme le rappellent les derniers chiffres mis à jour : si en 2008, 9 % de la population mondiale était en danger de stress hydrique élevé, ils sont aujourd’hui 38 % à souffrir de manque d’eau sur cette planète que l’on dit bleue…

 

 

Quelques données chiffrées :

Plus de 10 millions d’européens sont exposés à des taux de nitrates de l’eau potable dépassant les seuils réglementaires. En 20 ans, les nitrates ont causé en France la fermeture de 695 captages.

Il faut 2 495 litres d’eau pour fabriquer un tee-shirt, 1 300 litres pour 1 kg de blé, 5 000 litres pour une voiture, mais seulement 7 litres pour un verre de vin !

La consommation moyenne par habitant en France, est de 50 m3 par an, soit 140 litres par jour.

Notre planète compte 97,2 % d’eau salée pour 2,8 % d’eau douce.

Si l’eau potable venait à manquer ou était impropre à la consommation dans l’Auxerrois, il en coûterait entre 20 000 et 24 000 euros par jour à la collectivité pour approvisionner la population de l’agglomération en bouteilles d’eau.

 

Dominique BERNERD

 

 


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Echarpe aux couleurs de l’AJA autour du cou – un symbole très visuel pour bien montrer sa détermination à aller jusqu’au bout de ce projet -, l’édile d’Auxerre et président de la Communauté de l’Auxerrois, Crescent MARAULT, a rompu le silence lors d’une conférence de presse, cinq jours après la décision du tribunal administratif de Dijon, se rapportant à l’annulation des délibérations sur la vente du fameux terrain de camping au club de football auxerrois. Un terrain qui est devenu le barycentre de toutes les polémiques politiciennes du moment, nourrissant comme de bien entendu, les réseaux sociaux…

 

AUXERRE : « Nous, on veut construire sur l’existant et c’est plutôt vertueux ! ». Très en verve dans sa prise de parole, le maire d’Auxerre aura été plutôt prolixe et déterminé lors de l’exercice qu’il a choisi de réaliser aux côtés du président exécutif du club de football local, Baptiste MALHERBE, ce mercredi 11 juin aux alentours de midi, dans l’une des salles peu connues de l’Abbaye Saint-Germain, située au premier étage. Un cadre séculaire et patrimonial pour mieux évoquer les projets et le devenir d’une vieille « dame » de cent-vingt ans, le clin d’œil était assez clair pour les observateurs au niveau de l’allusion par rapport à ce lieu !

Toutefois, le ton employé par les deux orateurs qui entrecroisèrent volontiers leurs idées à maintes reprises afin de mieux les souder en guise d’argumentaires ne laissait guère la place à la galéjade. On l’aura bien compris : il y va de la pérennité de l’AJA, de l’attractivité d’une ville et de tout un territoire qui vit et respire football et performances. Or, la récente décision du tribunal administratif de Dijon aura sans doute terni, du moins pour un courts laps de temps, les ambitions portées par les responsables du club de football qui ont vu avec l’acquisition potentielle de l’ancien terrain de camping municipal auxerrois une excellente opportunité de rayonner davantage hors des frontières icaunaises.

 

Pas d’autres choix que d’agrandir et se développer pour l’AJA !

 

Mais, comme devait le marteler à plusieurs reprises le président de l’AJA, Baptiste MALHERBE lors de cette intervention oratoire : « faire aboutir le projet de modernisation du stade Abbé-Deschamps et de la plaine des sports alentour répond à un besoin de développement vital et d’urgence, sans omettre le volet sécuritaire pour optimiser le plus possible l’accueil des spectateurs et de nos supporters… ».

En termes clairs, pour que l’AJA gagne en performance tant sportivement qu’économiquement (et veiller ainsi au respect de ses équilibres financiers), il est impératif que ce projet de vente du camping à son profit lui soit favorable.

D’ailleurs, Crescent MARAULT s’est également interrogé ironiquement sur les intentions de l’opposition – sans jamais la citer, on sait que la décision du tribunal administratif de Dijon d’annuler les délibérations qui portaient sur la vente des parcelles accueillant jadis le camping municipal auxerrois a ravi l’écologiste Florence LOURY, conseillère municipale de l’opposition - : « Maintenant, j’attends ! J’ai hâte de savoir comment certaines personnes qui veulent accéder aux responsabilités auraient agi sur ce dossier en prenant soin de soutenir l’AJA ?! ».

Comme en écho aux propos de l’élu auxerrois, Baptiste MALHERBE en rajoute une couche, toute aussi radicale et pertinente : « ce qui a été fait là par ces élus, c’est contre l’AJA ! C’est même pire, c’est contre les spectateurs qui veulent venir assister aux matches car acquérir ces parcelles de l’ancien camping municipal doivent nous permettre de déménager à nos frais les courts de la section tennis de l’AJA et de procéder ensuite à l’agrandissement de la tribune « Louault » - du nom de la société industrielle éponyme de Saint-Fargeau – qui offrira la possibilité in fine d’accueillir 2 500 spectateurs supplémentaires… ».

 

 

Une concurrence permanente avec les 17 autres clubs de Ligue 1

 

Une pause, avant de remettre le couvert en chargeant bien la nappe : « c’est aller contre son territoire que d’agir comme cela. Aujourd’hui, nous refusons du monde parmi nos supporters ! Nous, chaque année, on doit concurrencer les dix-sept autres équipes de l’élite, y compris au niveau financier. C’est une concurrence féroce. Plein de villes et plein d’investisseurs aimeraient vivre ce que l’on vit… ».

Un projet à multiples orientations que répètera une fois de plus Baptiste MALHERBE comme il l’avait déjà fait lors d’un conseil communautaire à Venoy, où invité par son président, il avait exposé les enjeux internationaux de son club, ceux de la formation et du rayonnement d’une structure sportive emblématique suivie par des aficionados répartis aux quatre coins de l’Hexagone, quand ce n’est pas de plus loin.

« Nous avons enregistré d’excellentes audiences télévisuelles lors de la diffusion de la rencontre Auxerre/Monaco en…Chine, confirme le président exécutif de l’AJA.

Ce projet ne peut aboutir dans ses grandes lignes, sans le soutien inconditionnel de la collectivité auxerroise et des nombreuses entreprises ayant choisi la voie du partenariat.

« Nous n’avons pas d’autres solutions que de continuer en ce sens et d’agrandir la tribune et aménager comme il se doit la plaine des sports… ».

 

Mais, quel est le fond du problème ?

 

Dans les faits, une nouvelle délibération fera l’objet de discussions, sans doute nombreuses, lors de sa présentation au prochain conseil municipal, prévu le 26 juin.

Cela a été souligné par un Crescent MARAULT qui s’interroge toujours sur les motivations de l’opposition : « on s’est concertés avec l’AJA, on a fait appel aux services d’un avocat, c’est de la dépense publique, tout de même ! Tous ceux qui nous disent qu’il faut faire des économies sont gonflés ! On nous fait faire des recours, nous sommes obligés de dépenser en frais d’avocats, on fait fonctionner le système judiciaire qui a bien d’autres sujets à traiter à l’heure actuelle, ce n’est pas sérieux ! ».

Et d’insister, une nouvelle fois, sur le fond du problème : « je ne le connais pas ! C’est ce qui m’ennuie. J’aimerais bien que la presse pose ces questions à celles et ceux qui font des recours ! Alors que les dirigeants de l’AJA ont reçu par deux fois ces personnes, en leur présentant le projet ; ces mêmes personnes qui disent aujourd’hui ne pas connaître le dossier ! Je suis très surpris… ».

Baptiste MALHERBE revient à la charge avec ses arguments : « pour seule réponse, on m’a simplement précisé qu’il ne fallait pas toucher au camping. Je ne comprends pas moi aussi, ce secteur, c’est la zone sportive d’Auxerre et le site historique du club. On ne va pas construire ailleurs un nouveau stade ! On ne démolit pas la tribune pour en construire une. Nous avons un projet développement durable où on essaie de consommer le moins possible. Pour l’aménagement du tennis, on veut réutiliser des bâtiments existants. En fait, nous sommes plus vertueux que ces gens qui veulent donner des leçons… ».

Une question de bon sens, en somme, pour que le territoire avance ? « Oui, confirme le président de l’exécutif de l’AJ Auxerre. Nous sommes dans la logique de diversifier nos revenus, avec le plus petit budget de Ligue 1. La dernière rénovation de l’Abbé-Deschamps remonte à 1996 avec une enceinte qui accueille plus de 17 000 spectateurs alors que la jauge moyenne pour les clubs de l’élite se situe à 33 000 personnes… ».

Un agrandissement du complexe sportif devenu le passage obligé pour demeurer en Ligue 1 pour Baptiste MALHERBE : « Si on ne diversifie pas nos activités et si on n’agrandit pas le stade en étant écoresponsable, nous sommes morts… ».

Une AJA qui se définit comme « irréductible » dans la bouche de son président et qui dans ce nouveau match, très particulier, ne veut pas perdre la partie. Une AJA qui est également propriétaire de son terrain…Le dossier chaud bouillant à suivre pour l’été.

 

Thierry BRET

 


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Le maire de Sens Paul-Antoine de CARVILLE était en visite au siège social du groupe LEBHAR situé dans la zone industrielle de Gron ce mardi 10 juin. L’occasion pour lui de découvrir toute l’étendue d’une activité prospère dans le territoire au nord de l’Yonne.

 

GRON : Curieux, Paul-Antoine de CARVILLE souhaitait explorer les coulisses du groupe LEBHAR, partenaire de la ville de Sens. Mais, il s’agissait également de réaffirmer le soutien de la collectivité. Guidée par Yann BARNERIAS, président du directoire du groupe, la délégation municipale a déambulé aux abords des services administratifs et dans les allées de l’usine de Gron, l’un des cinq sites industriels de l’entreprise dont deux sont basés hors Hexagone : en Suisse et en Belgique. Yann BARNERIAS espère d’ailleurs étendre davantage le groupe sur le sol européen, un projet susceptible d’aboutir selon lui. En tout cas, il y travaille…

« C’est vraiment une entreprise très innovante, ce sont des emplois extrêmement durables sur le territoire et il y a un vrai savoir-faire qui a vocation à durer, c’est formidable » a déclaré l’édile. « C’est vraiment une très jolie industrie pour nous » devait-il confier.

Alors qu’il pensait que c’était très manuel, l’élu se dit impressionné par l’aspect technologique de l’usine : « beaucoup d’opérateurs techniques utilisent des machines très techniques », comme des robots palettiseurs.

Depuis la fondation d’une modeste imprimerie par Simon LEBHAR au début du XXème siècle, l’entreprise n’a cessé de se développer, portée par la continuité familiale. Toujours majoritaires au capital, les descendants de Simon LEBHAR ont successivement pris les rênes : Henri en 1938, Jean-Marc en 1980, puis les trois enfants de ce dernier, dont Frédéric, actuel président du conseil de surveillance, depuis 2023.

 

 

Une entreprise fidèle à son ADN industriel

 

Aujourd’hui, le groupe industriel emploie 280 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros. Il compte plus de 5 300 clients, parmi lesquels le groupe ACCOR (hôtels et restaurants). Depuis plus d’un siècle, LEBHAR a su se renforcer et diversifier ses activités grâce à l’acquisition de nombreuses entreprises : « Le Menu Parisien » en 1921, « Vautrin » en 2008, ou encore « Eppe Packaging » en 2016. Certaines de ces intégrations, comme celle de l’entreprise « COLLIN » en 1987, ont permis d’élargir l’offre de produits, comme le souligne Yann BARNERIAS.

Malgré quelques épreuves, notamment un incendie, l’entreprise a su faire preuve d’une remarquable résilience. Son dynamisme s’est illustré notamment pendant la crise sanitaire, période durant laquelle l’essor des ventes à emporter a entraîné un pic d’activité. Plus d’un siècle après sa création, LEBHAR continue de conjuguer tradition familiale et esprit d’innovation, en s’adaptant aux évolutions du marché tout en restant fidèle à son ADN industriel.

 

Floriane BOIVIN 

 

 


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Effervescence des grands jours à l’abbaye Saint-Germain ! Ils discutent, s’interrogent, questionnent les intervenants, rigolent tout en testant les différents ateliers, courent un peu trop vite, aussi, sous les voûtes séculaires, et regardent en silence les grands panneaux explicatifs qui narrent les aventures de l’eau et de son improbable circuit. Ils ? Ce sont les scolaires, nombreux à être inscrits, qui viennent s’immerger (c’est le cas de le dire !) dans cet évènement si spécifique que sont les Récid’Eau 2025, accueillis à Auxerre…

 

AUXERRE: Préserver la nature. Se soucier de l’environnement et de ses richesses. Notamment, découvrir le circuit de l’eau et l’émergence de ses biotopes. Les enjeux de l’eau et des milieux aquatiques étaient donc au centre de cet évènementiel, accueilli à l’abbaye Saint-Germain, ce week-end, une animation pédagogique remarquable à tout niveau que les scolaires ont eu tout le loisir d’admirer, durant les deux premières journées de cet évènement. Une manifestation portée par le syndicat mixte, Yonne Médian (SMYM).

Plus de vingt exposants locaux, engagés dans la préservation de l’eau, étaient mobilisés durant ces trois jours de rencontre avec le public de tout âge. Des temps forts, adaptés aux différents publics, sont venus rythmer ces journées intéressantes, avec spectacles, ateliers ou conférences.

 

 

Conseiller départemental de l’Yonne, très investi dans toutes les problématiques inhérentes à l’environnement et à la ressource aquatique, Yves VECTEN accueillait les scolaires, vendredi matin.

« La finalité est de cet évènement proposé à ce jeune public reste la prise de conscience de l’effet de l’eau sur notre environnement, sous tous ses états, qu’il s’agisse des inondations, de la sécheresse. Nous avons eu ce matin plus de vingt classes de CM1 et de CM2 présentes sur ce rendez-vous, avant de recevoir le grand public le samedi… ».

Un évènement accueilli pour la première fois dans cet endroit chargé d’histoire et fort en symboles pour évoquer l’eau. Un avis partagé par Yves VECTEN, tout heureux de servir de guide aux jeunes élèves des écoles primaires de l’Auxerrois !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Un pied sur l'Yonne et la Nièvre, un autre du côté de Las Vegas en traversant l'Atlantique : tel est le chef Jean-David GROFF, la soixantaine dynamique  qui après un quart de siècle passé aux Etats-Unis et avoir quitté Auxerre - il tenait antan un restaurant - revient au berceau familial. Non sans un petit pincement au cœur peut-être, en évoquant les Etats-Unis...

 

AUXERRE : « Le Dix » est un peu atypique : il est ouvert toute la journée, de midi à 21h30, sauf le mercredi. Permettant ainsi d'y déjeuner tardivement ou de s'offrir un milk-shake aux fruits frais pour le goûter. La rénovation intérieure de l'endroit est des plus réussies, et ce, de la cave à vin au grenier ! Point de formule-déjeuner, pour un classique menu trois plats, comptez environ 32 euros par personne étant entendu que désormais nombre de convives plébiscitent une formule deux plats (entrée/plat ou plat/dessert). Au service, c'est avec plaisir que l'on retrouve la souriante Nelly, que l'on connut jadis au « Marmiton » du chef Manu DELANNOY.

En entrée,  le « crab roll » a très nettement un petit parfum US : la fraîcheur du crabe est ostensible sur ces petits pains « bun », s'assimilant quelque peu au pain au lait. L'assaisonnement est plaisant, et complète cette entrée fraîche ! L'œuf mimosa « Kimchi » est bon aussi, marquant un léger clin d'œil aux produits nippons. 

 

  

Frites et ketchup sont réalisés maison !

 

Ensuite, impossible d'y couper - même si votre serviteur préfère le bœuf, façon entrecôte béarnaise !... - le « smash burger » (16 euros) est l'incontournable des lieux ! C'est un classique du genre. Il n’est pas trop cuit et accompagné de bons produits, dont le fromage cheddar. Les saveurs sont nettes. La sauce ketchup maison, accompagnante des frites, est plutôt bonne. Un mot sur l'excellent Irancy « Les Mazelots » du domaine VERRET qui tint toute sa place au déjeuner. Un fort joli vin qui honore ce joli vignoble !

 

 

 

Un dessert qui rend baba les épicuriens !

 

En dessert, le baba au rhum, ananas rôti à la vanille (9 euros), tient toutes ses promesses. Le biscuit en étant joliment imbibé ! C'est un bon dessert,  agrémenté d'une crème à la vergeoise, peut-être un rien trop sucrée.  « Le Dix » ou « The Ten » possède des effluves « voyageuses » pour notre plus grand plaisir. Bienvenue à bord ou « welcome on board » : c'est vous qui voyez ! 

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : les serviettes en papier mériteraient une qualité supérieure  en intissé, par exemple. 

Les + : le cadre est joli pour une cuisine atypique ! 

 

 

Contact :

 

Le Dix

Au 10 rue Fécauderie

89000 AUXERRE

Tel : 03.86.34.36.42.

Fermeture le mercredi

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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