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Cadets de la Gendarmerie nationale, Habitat et Humanisme, Jeune Chambre Economique, Maison des Jumelages et de la Francophonie, Club Mob…la secrétaire d’Etat en charge de la Citoyenneté Sonia BACKES n’a eu que l’embarras du choix pour nourrir ses échanges avec les représentants du milieu associatif, visité par ses soins, en cette journée dominicale vécue dans l’Auxerrois…

 

AUXERRE: Forcément, ce fut un moment privilégié pour les membres de plusieurs associations qui agissent au quotidien sur ce bassin géographique du centre de l’Yonne. Chacun des participants aura pu faire la promotion de son organe associatif, afin de le présenter dans le moindre détail à une représentante du gouvernement, très attentive aux propos entendus.

Chargée de la Citoyenneté auprès du ministre de l’Intérieur, la secrétaire d’Etat, originaire de Nouvelle-Calédonie, Sonia BACKES a pu ainsi discuter à bâton rompu avec plusieurs figures de la vie associative locale, lors de cet atelier discussion, proposé une fois n’est pas coutume un dimanche après-midi ! Comme quoi, même en plein aqueduc de l’Ascension, ça bosse !

Ainsi, elle a pu faire plus ample connaissance avec Marité CATHERIN, présidente de la Maison des Jumelages et de la Francophonie – on peut aussi y ajouter les échanges internationaux ! -, Jacques BLANCHOT qui défendait, bien loin de sa représentation légitime habituelle de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, les couleurs des Cadets de la Gendarmerie nationale en sa qualité de colonel de réserve, du toujours très dynamique Alain BERNIER pour le Club Mob installé sur la commune de Gurgy, chère à son maire Jean-Luc LIVERNEAUX, de Jacques HOJLO qui représentait Emeraude, d’Adrien BAILLY et de Laurent DEVELLE, de « purs produits » de la JCE, la Jeune Chambre Economique, de l'Auxerrois Abdelazziz HAJJI, président de la structure AUXERREVICE des Démunis, etc.

On doit cette rencontre informelle fort enrichissante au président départemental de la formation politique présidentielle, « Renaissance 89 », Victor ALBRECHT et la réussite de ce dialogue constructif à bien des égards. Rendons à César ce qui lui appartient !

 

Thierry BRET

 


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L’espace occupé par la seconde pièce du magasin se nomme sobrement « La Petite Armoire d’Isa ». Rien d’étonnant à cela, puisque l’appellation fait un subtil clin d’œil au prénom de la gérante de ce commerce de proximité auxerrois, spécialisé dans la couture-retouche et inféodé à la franchise nationale, « RAPID’COUTURE ». Isabelle BRETAGNE, hôte de ces lieux très prisés (oui, oui, il fallait le faire surtout quand on évoque une activité de textile !), a choisi de diversifier son emploi du temps. Au-delà des travaux de retouche qui l’accaparent la semaine, elle propose désormais un dépôt vente et vente de vêtements féminins chaque samedi…

 

AUXERRE : Non, elle ne s’ennuyait pas jusqu’alors, Isabelle BRETAGNE, dans sa petite boutique en mode décoration cocooning, idéalement bien située, à quelques encablures du palais de justice auxerrois ! Ses activités professionnelles font florès depuis l’ouverture de cette échoppe très fréquentée par les habitants de la capitale de l’Yonne, dédiée exclusivement aux travaux de retouche et de couture, tels que savent le proposer les vitrines commerciales du réseau hexagonal, « RAPID’COUTURE », depuis son apparition qui date déjà de 1986.

Alors, ajouter une nouvelle corde à son arc – l’ouverture depuis quelques semaines d’un dépôt vente et la vente de vêtements 100 % féminins dans l’une des pièces attenante à l’actuelle boutique – traduit plutôt un désir de diversification, mûrement réfléchi et totalement abouti. C’est clair : la commerçante aurait même pu y penser bien avant comme une évidence malgré un emploi du temps assez serré !

 

Un espace déjà fréquenté en nombre par une clientèle très féminine !

 

Seule dans le commerce, la professionnelle a su néanmoins conserver un garde-fou légitime et salvateur à cette charge supplémentaire de travail. Ne proposer aucune retouche ni travaux de couture le samedi, journée entièrement consacrée dorénavant à la déclinaison commerciale de sa double activité, c’est-à-dire assurer le dépôt vente de ces vêtements de seconde main – mais de très belle facture après l’avoir dûment constaté parmi les rayonnages – en matinée afin de pouvoir mieux les vendre le tantôt. Selon une tranche d’horaire de plus de trois heures, entre 13 heures et 17 heures 30, moment privilégié pour les consommateurs qui aiment faire leurs emplettes en centre-ville.

Pour l’heure, Isabelle BRETAGNE – elle est très enthousiaste avec les perspectives consuméristes que lui offre cette « friperie » qui ne demande qu’à être fréquentée par la gent féminine ! – veut se limiter aux seuls habits portés par les dames et demoiselles.

Sur les rayons, le choix de manteaux, de robes, de chemisiers, de jupes, de vestes…se veut plutôt éclectique, suscitant ainsi les envies d’achat des clientes qui affluent déjà en nombre dans l’espace dédié à cette vente : « La Petite Armoire d’Isa ». Dans un autre recoin de la pièce, des sacs à main et des chaussures trônent en bonne place, visibles des chalands.

 

 

Une gamme de prix très abordable dans cette friperie de centre-ville…

 

Implantée à Auxerre depuis sept ans, la commerçante a reçu l’aval positif de la franchise nationale dont le siège est à Nantes afin de mieux concevoir dans les règles de l’art son projet d’optimisation de ses futures activités.

Passionnée de couture, pugnace et volontaire, Isabelle BRETAGNE a su tisser au fil de ce premier « septennat » commercial avec la clientèle auxerroise des liens ténus, concrétisés par la réalisation d’ourlets en tout genre et à multiples vocations (pantalons, vestes, manteaux, chemisiers…), des changements de fermeture Eclair, des doublures, de la customisation de vêtements, etc.

Une passion dont elle ne connaît pas les limites puisque ce prolongement de concept vers la vente directe et les retouches qui seront nécessaires à l’issue lui vont comme un gant.

En cas de succès confirmé de ce nouveau corner à vocation commerciale, la gérante de la boutique auxerroise se dit prête à embaucher et à s’appuyer sur les besoins d’une collaboratrice à temps partiel, de prime abord. Histoire de pouvoir équilibrer et répartir son temps de travail entre les activités couture et celles occasionnées par la commercialisation des vêtements de seconde main.

Quant aux prix pratiqués dans la boutique, ils sont plus qu’abordables en cette période de crise économique ; à partir de trois euros pour les premiers tarifs – des débardeurs – à quarante euros pour les blousons en cuir. Il faut compter de dix à vingt euros pour les pantalons, les jeans, et autres indispensables habits devant rendre la femme adepte de la friperie et de la mode encore plus coquette qu’elle n’est !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le Gâtinais et ses plaines verdoyantes se partagent entre plusieurs départements : la Seine-et-Marne, l'Yonne et le Loiret ; à l'instar de la Bresse ou du Morvan ! Bienvenue à Ferrières-en-Gâtinais !  Veuillez excuser l'absence d'illustrations gourmandes (j'avais oublié mon portable !), sûrement largement compensée par votre imagination, mais aussi (espérons-le !) ces quelques lignes évocatrices ! 

 

FERRIERES-EN-GATINAIS : L'hiver dernier, nous étions passés par cette petite commune, et devant ce restaurant s'affichant traditionnel. La choucroute en plat du jour sentait diablement bon, mais hélas - ou plutôt tant mieux ! - le restaurant affichait complet. Je me promis d'y revenir afin de découvrir cette table attirante. Mission accomplie en ce mois de mai, après l’indispensable réservation !

L'accueil est aimable et souriant, et l'assise plutôt confortable. Le premier menu (entrée, plat, dessert et café) est proposé à 15,50 euros. Il offre notamment  la possibilité aux travailleurs des chantiers environnants de se restaurer correctement. Sur la carte du « Biquin d'Or », les menus sont à 32 ou 38 euros, incluant ou non le fromage.

 

Une expérience professionnelle exercée du côté de Meursault…

 

L'apéritif est proposé avec une délicieuse crème d'oignon, bien parfumée. Sur la carte des vins, la Bourgogne est particulièrement à l'honneur ! Pour un peu, on pourrait penser à une carte de table étoilée Michelin. La vérité est autre : antan ce jeune couple de restaurateurs travailla quelques années en Côte d'Or à Meursault (excusez du peu !), se prenant au jeu pour découvrir quelques jolis domaines dont celui du talentueux François  MIKULSKI, garants d'exceptionnels vins éponymes.

En entrée, l'œuf bio coulant au petits pois est délicieux. Le jaune intense nappe joliment la verdeur des petits pois de saison ! Cependant, le flan de foie gras, émulsion de morilles, n'avait pas l'air mal non plus !

 

 

 

Un régal que le loup à la cuisson meunière parfaite !

En plat, la pêche du jour, c'est un loup (ou bar en version atlantique). Sa cuisson meunière est parfaite et l'accompagnement, toujours de saison - c'est plaisant ! - une crème d'asperges du Val-de-Loire, sûrement l'un de ses plus beaux terroirs à cette goûteuse miss printanière ! Franchement, nous nous régalons tout simplement.
Mention spéciale pour le très élégant service du fromage blanc aux herbes. De façon originale, il est accompagné d'une petite fiole d'huile d'herbes, complétant les plus classiques ramequins d'oignon ou d'ail.

Très léger bémol sur le dessert choisi : une poire confite au caramel de safran du Gâtinais. Elle ne me parut pas tout à fait à l'unisson de la très bonne partie salée !
En tous les cas, dans cette rue plutôt quelconque, se tient une fort jolie table, dont à mon humble avis, on pourrait entendre causer dans les années à venir !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : très légers, ils ne concernent que le dessert.

Les + : le service est très aimable. Le chef prend le temps de passer deux minutes pour discuter. Quant à la très jolie carte de vins, elle propose des crus à tous les prix. C’est une maison de professionnels tout simplement.

 

 

Contact :

Restaurant Le Biquin d'Or

17 Grande Rue

45210 FERRIERES-EN- GATINAIS

Tel : 02.38.93.88.31.

Première formule à 15,50 euros, moins chère que bien des chaînes médiocres !

Il est prudent de réserver.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Dans le genre rétropédalage, le scénario délivré par le G7 – le sommet des sept pays les plus industrialisés de la planète qui est accueilli à Hiroshima au Japon ce week-end, tout un symbole ! – est digne des meilleurs blockbusters hollywoodiens, côté suspense. Après moult mois d’atermoiement et de contradictions, les Américains par la voix de leur président Joe BIDEN ont enfin décidé de se positionner favorablement pour que l’Ukraine ait accès aux fameux avions de chasse, les F 16. Ces appareils que le numéro un de Kiev, Volodymyr ZELENSKY, réclame à hue et à dia depuis maintenant une dizaine de mois en vain.

Enfin, un accès à ce prodige de l’aéronautique militaire qui reste toujours dans le flou artistique et sous certains principes à déterminer dans les semaines à venir quant à son application. A moins que cela ne soit qu’illusion que l’on balance à l’opinion publique et que tout soit déjà dans la boîte et formalisé depuis longtemps. Ainsi va le jeu de dupe de la transparence entre les états !

On se souvient encore des images fortes et catégoriques d’un président américain, ragaillardi avec sa casquette vissée sur la tête évoluant sur la pelouse de la Maison Blanche, en février dernier, qui avait juré mordicus que la livraison des avions de chasse de fabrication made in USA ne serait jamais assurée vers le pays agressé par la Russie. Une affirmation qui s’était ensuite répandue comme une trainée de poudre aux quatre coins des chancelleries européennes avec la même détermination engendrant ce refus inexorable. L’Allemagne avait dit non, à l’identique de la Pologne, des propos repris en écho ensuite par l’Italie et…la France. A la différence près que Paris ne possède pas ces fameux F 16 parmi ses dotations militaires !

 

 

L’envoi des F 16 à Kiev : la mayonnaise a pris cette fois…

 

Les Ukrainiens étaient donc restés de marbre après de telles réponses, encaissant le coup – une fois de plus ! – et comptant sur le revirement tôt ou tard de leurs alliés naturels, ceux du monde occidental dont ils défendent pourtant les valeurs fondamentales au quotidien, ne serait-ce que la liberté de pensée, en vivant des drames épouvantables imputables à la folie meurtrière de leurs bourreaux russes.

Oui mais voilà. Comme le dirait l’adage, il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis ! Et c’est à Londres, cette semaine, que le verrou a sauté avec le début d’une coalition internationale regroupant les Pays-Bas, la Belgique, le Portugal, le Danemark ou encore la Norvège, favorable à l’accueil de pilotes ukrainiens devant se former à la technologie si spécifique de cet avion supersonique. Bien sûr, une décision prise sous la tutelle de l’OTAN dont sont membres tous ces pays. Avec, de manière sous-jacente, l’aval des Etats-Unis.

Preuve que cette fois-ci la mayonnaise avait pris, même Berlin et Paris – les plus hostiles par le passé à cette décision qui semblait pourtant inéluctable – y allaient de leurs trémolos de satisfecit dans la voix en se disant ouverts à la proposition. Tout ceci vient donc d’être confirmé sur l’une des îles du Japon, à Hiroshima, ville martyre qui connaît bien les affres de la guerre, avec ses 140 000 tués d’un seul tenant au moment de l’impact de la bombe H et plus de 700 000 morts par la suite, imputables aux effets nocifs des radiations atomiques. Une ville dont la population est traumatisée à jamais par cet acte de guerre inconsidéré et qui craint plus que tout devoir revivre cela un jour…

 

 

Que de temps perdu pour un résultat couru d’avance…

 

L’épisode des avions de chasse ressemble à s’y méprendre à celui vécu au moment de la livraison ou pas des fameux chars Léopard II, fleurons de la technologie applicable à l’amélioration des blindés du modernisme. Du refus absolu et définitif, sous prétexte de quelconques fallacieuses raisons de non-provocation et d’humiliation de l’adversaire aux doutes évidents mais plus réfléchis de s’autoriser quelques largesse avant que ne tombe le verdict de l’acceptation du bout des lèvres : que de temps perdu et de victimes innocentes des deux côtés, parmi les populations victimes des frappes aveugles de missiles et de cette guerre d’un autre âge.

Toute la dimension de la faiblesse des Occidentaux de ce XXIème siècle incertain et trompeur se résume à ces tergiversations multiples quant aux bonnes décisions à prendre. On avance d’un pas, on recule de deux mais surtout on ne prend pas position : pourquoi alors s’étonner du manque d’influence de la sphère occidentale sur le reste de la planète, comme jadis, et de cette transgression permissive de nos valeurs, bafouées un peu partout aux quatre coins du globe par des autocrates sanguinaires qui eux prennent leurs aises sans se poser de question…

 

 

La livraison des F 16 n’est pas pour demain…

 

Certes, cette fois-ci, l’OTAN semble vouloir se la jouer à la « Top Gun » sur le théâtre des opérations en Ukraine. Mais, si les accords de principe à cette distribution d’avions de chasse sont annoncés depuis le Japon, reste à savoir maintenant de combien de ces appareils les Ukrainiens seront-ils dotés à terme ?

Pour l’heure, l’idéal pour Kiev, selon leur propre estimation, serait de recevoir près de deux cents de ces aéronefs afin de pouvoir contrôler et sécuriser son espace aérien dans un pays qui est plus grand que la France. Ce serait l’idéal pour assurer la réussite de la fameuse contre-offensive dont on nous abreuve au quotidien le moindre des soubresauts à la minute sur les chaînes de télévision en boucle. Or, à date, il semblerait selon les observateurs que la flotte de F 16 serait plus minime, à peine une cinquantaine d’appareils car seuls ceux appartenant à des pays européens, membres de l’OTAN constitueraient cette force de frappe aérienne tant espéré. Les Etats-Unis se refusant d’engager les appareils à l’estampille de leur bannière…

Les avis divergent également quant au degré et à la durée des formations nécessaires au maniement optimal de ces engins qui ne peuvent être pilotés par le premier venu. Si les Américains évoquent la possibilité de dix-huit mois d’entrainement intensif, les Britanniques estiment que quatre mois seraient suffisants pour être aguerris à la technicité de ces avions super puissants.

Fort de cela, et en toute logique, le survol du territoire ukrainien par les F 16 n’est donc pas prévu pour demain, soyons-en assurés. Ce qui ne semble, néanmoins, pas convaincre les Russes qui ne se sont pas fait prier pour réagir de manière très agressive, sitôt l’annonce faite depuis le Japon.

Un transfert d’avions vers l’Ukraine qui « comporte de sérieux risques pour les pays qui les livreront », devait préciser lourd de menaces l’un des porte-parole du ministère des Affaires étrangères de la Russie dans un communiqué, samedi.

Un nouveau franchissement de la ligne rouge (déjà maintes fois traversées) avec la menace de frappes nucléaires tactiques en embuscade comme le répètent à l’unisson le Kremlin et ses propagandistes ? La vraie question qui se pose, en vérité, est de savoir jusqu’où se situe le réel prix de la liberté et de la démocratie…à la frontière de l’Europe. Pour le moment…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Pas de trêve de l’Ascension pour les membres du gouvernement ! Deux d’entre eux ont choisi le département de l’Yonne pour effectuer leurs visites officielles en ce long week-end de farniente ; ce qui n’était pas arrivé depuis des lustres de mémoire journalistique ! Après le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques Stanislas GUERINI, vendredi, c’est au tour de la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer en charge de la Citoyenneté Sonia BACKES de se rendre à Seignelay, dimanche après-midi…

 

SEIGNELAY : Décidément, l’Yonne est depuis quarante-huit heures un territoire très convoité par les représentants du gouvernement ! Après la visite du ministre de la Transformation et de la Fonction publiques vendredi, une incursion icaunaise entre Auxerre et Quarré-les-Tombes – Stanislas GUERINI -, voilà que se présente à Seignelay, ce dimanche tantôt, la secrétaire d’Etat en charge de la Citoyenneté, Sonia BACKES !

Un regain d’intérêt pour notre territoire qui n’est peut-être pas le fait du hasard puisqu’il se susurre dans l’antichambre du pouvoir que le Président de la République Emmanuel MACRON ne serait pas contre une visite de courtoisie par chez nous : l’Yonne demeurant l’un des derniers départements de l’Hexagone – ils sont encore six à sept selon les comptes - à ne pas avoir eu le privilège d’un déplacement présidentiel depuis son accession à l’Elysée en 2017 !

Bref, si cet hypothétique voyage du locataire de l’Elysée n’est pas encore inscrit à l’agenda présidentiel de manière effective, il n’empêche que recevoir deux ministres en quarante-huit heures ne manque pas de piquant pour la contrée la plus septentrionale de Bourgogne Franche-Comté, peu habituée à un tel traitement de faveur de la part des hautes sphères étatiques.

 

 

Au cours de la journée dominicale, ce 21 mai après-midi, Sonia BACKES a choisi de découvrir la gendarmerie de Seignelay pour y remplir sa mission régalienne afin d’échanger avec les réservistes. Même les « Cadets » de la gendarmerie nationale, suivis de près par l’excellent responsable de la section icaunaise en sa qualité de président, Francis CHOUVILLE, auront droit à leur temps de discussion avec la présidente de l’assemblée de la Province-Sud de la Nouvelle-Calédonie.

Un rendez-vous auquel devrait prendre part le maire de Seignelay, Thierry CORNIOT, qui avait déjà eu l’opportunité, vendredi, de discuter avec Stanislas GUERINI lors d’une rencontre informelle avec les représentants de « Renaissance 89 » à Auxerre.

 

Thierry BRET

 


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