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D’abord, il y a le cadre. A lui seul, il mérite amplement le coup d’œil. Surtout, ne pas manquer la vision agréable et champêtre, à admirer depuis l’étage, offrant une perspective sur la verdure environnante et sur le cours d’eau, la Druyes ! Un panorama à inspirer plus d’un artiste ! Erigé au XIXème siècle, ancienne tannerie locale comme son appellation l’indique, le « Moulin à Tan » est aujourd’hui un espace incroyable pour y recevoir les aficionados de la vie artistique. Comme à l’accoutumée, et ce depuis le milieu des années 2000, ils ne seront pas déçus à la découverte des expositions estivales programmées entre mi-juillet et fin août.

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Etaient-ils quatre-vingts personnes ? Une bonne centaine ? Voire, un peu plus ?! La première des deux manifestations culturelles de cet été 2024, accueillie au « Moulin à Tan », aura vu converger au soir de son traditionnel vernissage habitués et passionnés de ces expositions hétéroclites si enchanteresses à l’œil et qui mettent du baume à l’âme.

Un énième rendez-vous organisé dans l’antre de Chantal MILLOT, propriétaire des lieux, faisant figure de « marronnier » artistique dans le paysage de la Puisaye-Forterre, tant il est attendu d’une saison à l’autre. On aurait tort de le manquer d’ailleurs !

Il est vrai que les amateurs d’art n’y sont jamais déçus. La vieille bâtisse datant de deux siècles y est toujours aussi agréable à arpenter, d’un étage à l’autre, tout en contemplant les œuvres présentées sur des cimaises accrochées aux murs de ces pierres séculaires, pour les toiles, ou sur des espaces appropriés pouvant accueillir céramiques et sculptures.

Ici, règne une atmosphère tranquille. De sérénité, de calme, presque de béatitude hors sol quand l’on admire les œuvres de cette douzaine d’artistes du cru bourguignon en prenant son temps. L’intemporalité de l’endroit renforce sans aucun doute cette impression rassurante. Et dire que jadis, les meuniers s’affairaient en ces lieux où fleurent bon désormais les odeurs des huiles et celle de cette essence de térébenthine si particulière à l’odorat dont les créatifs à l’imaginaire fécond se servent afin de rendre plus fluide leur peinture.

 

 

Un rendez-vous prisé des amateurs d’art…

 

On doit à l’association « Arts et Décors sans frontières » cette double exposition à biffer impérativement sur son agenda. Celle qui se déroulera du 02 au 25 août, marquant la fin de l’été. Et puis, celle-là, qui vient de débuter et dont on pourra pleinement profiter, et de manière libre, jusqu’au 01er août.

A chaque fois, le rituel est identique. La structure organisatrice invite une douzaine d’artistes protéiformes dans leur mode d’expression, venant s’installer ici avec le saint des saints de leur création. Ne soyez pas surpris de voir des peintres côtoyés des céramistes, des sculpteurs dévoilant leurs œuvres non loin des artisans d’art, des choses aux couleurs chatoyantes et bigarrées faisant contraste avec des pièces plus sombres et empreintes de noirceur. La magie de l’art, dans toute sa splendeur et son éclectisme !

Depuis 2007, « Arts et Décors sans frontières » perpétue la recette au « Moulin à Tan », avec un réel bonheur. Le public est au rendez-vous et qu’on se le dise, il ne se compose pas uniquement de touristes en quête de découverte après la visite du château moyenâgeux du village ni de Parisiens occupant leur résidence secondaire l’été revenu ! Non, les Icaunais aiment l’endroit et les chiffres croissants de la fréquentation l’attestent d’année en année.

 

 

De l’onirisme et du mysticisme dans certaines œuvres…

 

De quoi est fait ce cru de juillet 2024, accueillant professionnels et amateurs ? On notera, pour cette dernière catégorie, la présence de l’Atelier « Bonne-Mine ». Un clin d’œil amusant sur le nom ! Une structure associative locale où les passionnés découvrent les plaisirs de l’aquarelle, apprennent des techniques novatrices pour améliorer leurs coups de pinceaux ou affiner le sens de la perspective. Des cours hebdomadaires en saison sont dispensés en bénéficiant de l’expertise d’une intervenante diplômée des Beaux-Arts. Des sessions que peuvent vivre enfants et adultes, il va de soi !

Parmi les mentions coups de cœur, il faut s’attarder sur les pièces de l’Auxerroise Véronique GIARRUSSO (des acryliques) et de sa mère, Christi. De l’onirisme, de la tendresse, du mysticisme jusque dans le choix des couleurs pour cette dernière avec des toiles qui se nomment « Espérance » ou « Vers l’inconnu ». De belles sculptures en chêne incrustées d’étain sont signées de Raphaël DAVIS.  Pour les puristes du village, à signaler de jolies représentations du château de Mahaut de COURTENAY, vues du lac.

L’exposition accueille aussi les œuvres d’Annie CHENOUARD, Claire COTE, Gary RAMIREZ, Evelyne GAUTHE, GRIMO, Christiane LANTA et Brigitte MILLOT. On ne se lasse pas de ce lieu ni de ces œuvres pour apprécier sans modération et dans la fraîcheur de ces salles le travail de ces artistes aux multiples talents…

 

 

En savoir plus :

Le Moulin à Tan est ouvert tous les jours du 12 juillet au 25 août 2024 de 15h à 19h.

Entrée libre.

Contact : Arts et Décors sans Frontières au 06.75.53.90.72.

E-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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Certes, cela aura été éphémère. De très courte durée parfois, au détour d’une rue traversée par le mini cortège du relayeur et de ses accompagnateurs. Une vision fugace, peut-être pour celles et ceux qui ignoraient encore l’existence de l’évènement (il y en a toujours dans le landerneau), mais le Relais de la Flamme olympique, dont on nous abreuvait tant les oreilles depuis des lustres – presque deux années de patience ! – a daigné enfin se poser sur notre territoire.

Un jour de grâce que celui du 11 juillet 2024 ! Il restera à jamais gravé dans les mémoires des habitants de l’Yonne, fiers et trop heureux d’avoir pu participer à pareille célébration, jusqu’à tard dans la nuit !

Bon, il est vrai qu’il y aura toujours les pisse-froids et les « coincés du bocal » qui exprimeront leur mécontentement sur les réseaux sociaux. Ces fameux canaux de communication si perfides et sournois pour cracher de manière anonyme ou pas, voire à visage découvert, son venin dans la soupe, sur tout ce qui se fait ou ne se fait pas ici-bas, et qui sont devenus au fil du temps de véritables exutoires dont tout le monde n’a cure au final !

 

Des émotions et des sourires qui ont fait vibrer le public…

 

Alors, celles et ceux qui remettront en question le simple fait d’avoir accueilli ce symbole universel de la paix et de l’olympisme en nos murs ; celles et ceux qui critiqueront les organisateurs (en l’occurrence le Conseil départemental de l’Yonne à l’origine de la venue du Relais) d’avoir dilapidé beaucoup trop d’argent pour recevoir ce « barnum » inutile à leurs yeux dans sept villes de notre territoire ; celles et ceux qui n’ont pas apprécié ce long cortège du fait du blocage de la circulation et des contraintes pour accéder aux commerces des hyper centres des villes ; celles et ceux qui détestent le sport et toutes les valeurs qui y sont rattachées ; celles et ceux qui ronchonnent pour un oui ou pour un non et qui intègrent une catégorie de personnes dont Coluche avait fait sa cible chronique préférée dans ses sketchs hilarants ; on peut leur dire stop à toutes ces réactions néfastes et pessimistes !

La liste des litanies est longue, trop longue même au bout du compte. Et cela n’a, in fine, que bien peu d’importance au regard des émotions, de la joie, des sourires qui auront égayé le public  venu  en nombre lors de cette journée mémorable. Que certaines et certains n’oublieront jamais de leur mémoire. Qu’ils soient jeunes ou plus vieux, ruraux ou urbains, sportifs ou inaptes à la pratique d’une quelconque discipline athlétique...

 

 

 

Oublier un bref instant le monde et ses désillusions…

 

On attendait du monde et il y a eu du monde. A Chablis, Avallon, Sens ou à Auxerre. Ailleurs, aussi. Idem en Côte d’Or dès le lendemain puisque la 55ème étape se jouait du côté de Beaune et de Dijon. Peut-être pas le succès global escompté selon les prévisionnistes, mais tout de même. Avec, pour ne citer qu’un seul exemple, ce parc Roscoff dans la capitale de l’Yonne, garni jusqu’à plus soif. Entre 17 heures et 21 heures, ce jeudi sous ce soleil couchant et ses menaces orageuses.

Les témoignages sont formels. Recueillis à chaud, auprès des spectateurs comme des organisateurs et observateurs : la joie était dans l’air. Comme un jour d’été sans fin aux couleurs bleues azur, un 14 Juillet sans l’ombre d’un nuage ou d’une perturbation. Un jour de bonheur à l’état pur pour oublier tout ce qui nous entoure. Le monde et ses désillusions, celles-ci étant distillées au quotidien…

Dire que la foule était en liesse serait peut-être un peu fort de café et encore que, à la simple vision d’un Guy ROUX toujours  aussi populaire, qui a l’âge de 85 ans passés et ayant porté la mythique torche de l’Olympe, dispose d’une cote de sympathie à faire pâlir bon nombre de politiques en ces périodes gouvernementales si complexes !

 

 

La France que l’on aime en parfaite symbiose…

 

La France du football et de MBAPPE n’auront pas su passionner nos concitoyens cette année à cause de leurs résultats en dents de scie malgré cette demi-finale inespérée perdue face à l’Espagne, les Français se sont donc rabattus, et bien avant que ne démarre la quinzaine olympique, vers le passage de ce Relais de la Flamme aux quatre coins, ou presque, de l’Hexagone.

Pour que vive l’espoir d’une France unie et unique de par sa diversité. Une France en communion, davantage dans l’allégresse que dans l’austérité. Une France qui aime entreprendre et qui remporte des victoires sur l’adversité. La France que l’on aime, en somme, la nôtre. Illuminée par cette flamme, symbole d’un hymne à la joie retrouvé, le temps d’une pause estivale…

 

Thierry BRET

 


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Le concept s’inscrit dans la politique patrimoniale de DOMANYS. Haute de 25 mètres et large de 15 mètres, l’immense fresque murale à la gloire des sports et des Jeux Olympiques a été inaugurée par François BOUCHER, maire de Migennes et Karine LASCOLS, directrice du bailleur social, la veille du passage du Relais de la Flamme. L’œuvre est signée du collectif « La Douceur » qui est intervenu dans le cadre de PALM, « Peint à la Main ». La nouvelle fierté des habitants de ce quartier populaire de la ville du Centre Yonne…

 

MIGENNES : Les deux personnages se tournent le dos. Des « géants » au coloris bigarré peints sur la surface de l’immeuble. Impressionnante réalisation, haute de vingt-cinq mètres et large de quinze mètres ! La femme – initialement, il était prévu par les artistes de concevoir des têtes d’oiseaux au sommet des corps humains, mais l’idée devait être retoquée fort judicieusement par l’édile de Migennes François BOUCHER  – porte une planche de skate-board et des chaussures de football.

L’autre figure murale, l’homme, serre dans sa main une pagaie. Clin d’œil élégant à la discipline sportive de la seule Icaunaise, devant participer aux Jeux de Paris d’ici quelques jours, la canoéiste Eugénie DORANGE. La touche astucieuse de Karine LASCOLS, directrice de DOMANYS !

Inaugurée la veille du passage du Relais de la Flamme dans la localité, cette fresque géante est le fruit de la collaboration du bailleur social, de la Ville et de PALM. Une structure spécialisée dans la conception de fresques artistiques et décoratives murales. PALM étant d’ailleurs l’acronyme de  « Peint à la Main ». L’œuvre est remarquable et suscite bon nombre de commentaires des personnes présentes à cette cérémonie officielle, présidée par François BOUCHER, vice –président du Conseil départemental et édile des lieux.

 

 

280 mètres carrés de fresque murale sur un  immeuble !

 

Comme travail de mémoire, en l’honneur du Relais de la Flamme, ce n’est pas mal du tout au niveau graphisme. Illustrative, reflet des disciplines sportives olympiques – elles n’y sont pas toutes, certes ! -, la fresque a été conçue sur 280 mètres carrés de façade murale par des artistes, membres du collectif « La Douceur ». Dessinée sur cet immeuble de ce quartier prioritaire de la ville (1 rue Ernest Lavisse), la peinture monumentale a aussi pour vocation d’embellir le lieu. A la grande satisfaction des habitants du quartier, questionnés à l’issue de la cérémonie.

« Ce projet a pour but d’envoyer une image gaie et colorée de ce quartier, explique le maire de Migennes, François BOUCHER, d’ailleurs, il faudra penser à réaliser le jumeau de cet immeuble… ».

Une manière agréable et visuelle pour que le quartier populaire soit moins fade au plan de l’esthétisme architectural. Naturellement, les services de la Ville furent à l’ouvrage autour de ce projet, dont Aurélie HAERINCK  - « la cheville incontournable de la politique qualité de vie dans la ville » -  qui a réussi à mettre tous les partenaires de cette opération artistique originale en harmonie, malgré les délais impartis et la date butoir du 11 juillet, date du passage de la flamme olympique dans l’Yonne.

Quant à la population, elle aura été consultée en amont afin de donner son choix sur les palettes de couleurs utilisées par les artistes. Ces derniers se sont rencontrés en 2017. SILAS et LEMILO – ils créent alors le collectif « La Douceur » - travaillent sur l’aménagement et le design d’espaces par le biais de différents médiums. Créant des fresques et autres installations, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur pour différents secteurs d’activités publics et privés.

 

 

 

Même Patrick GENDRAUD a trouvé le concept très chouette…

 

En un laps de temps record de trois mois, ce projet a donc vu le jour. « Le délai était très court, confirme Karine LASCOLS, il fallait tenir compte de la concertation avec les habitants et le montage des dossiers afin d’obtenir des subventions auprès de la Région… ».

Conçu dans le cadre du projet « A(r)tmosphère », c’est-à-dire changer l’atmosphère d’un quartier, DOMANYS réalise des œuvres artistiques pour embellir plusieurs bâtiments dont le bailleur a la gestion, notamment à Saint-Julien-du-Sault, Chablis ou à Joigny. Il était normal de s’intéresser à Migennes.

« C’est aussi une manière de sensibiliser les habitants à l’art et de les rendre fiers de leur quartier, ajoute la directrice de DOMANYS, et là plus particulièrement sur la thématique du sport, avec le reflet sur l’actualité olympique… ».

Quant au budget (il s’élève à 50 000 euros), il a été cofinancé dans le cadre de la politique de la Ville et de la Région, permettant de redonner de l’attractivité au quartier avec des couleurs visibles de très loin. Même absent de ce rendez-vous, le président de DOMANYS, Patrick GENDRAUD, s’est dit ravi de la réalisation lorsqu’il a vu le cliché de l’immeuble habillé de sa fresque : « il a trouvé cela très chouette, confirma Karine LASCOLS en guise de conclusion.

 

Thierry BRET

 

 

 


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La ministre des Sports et des Jeux Olympiques/Paralympiques a effectué un bref déplacement en terre de l’Yonne, à l’occasion du 54ème Relais de la Flamme, ce jeudi en fin de journée à Auxerre. Une visite qui s’ajoute à celle effectuée en avril dernier à l’occasion de la phase inaugurale du musée de l’AJA où elle avait déjà été accueillie par les personnalités politiques et institutionnelles de notre territoire. Jamais deux sans trois ?!

 

AUXERRE: Elle en plaisante, elle-même, Amélie OUDEA-CASTERA ! La représentante du gouvernement revient en terre auxerroise en ce mois de juillet à l’occasion du passage de la flamme olympique dans l’Yonne, quatre mois seulement après son dernier déplacement occasionné par l’inauguration du musée de l’AJA, accueilli dans le complexe sportif de l’Abbé Deschamps.

« C’est normal, concède-t-elle, Auxerre est une grande ville sportive. Je suis très contente d’être ici. A l’époque – il y a quatre mois de cela -, j’avais été invitée par le club d’Auxerre. J’ai pu prendre de ses nouvelles et de ses équipes. C’est formidable pour l’AJA de se retrouver en Ligue 1 la saison prochaine. Et de débuter la reprise en championnat de France le 18 août face à l’OGC Nice… ».

Quelques minutes auparavant, aux côtés de Crescent MARAULT, président-maire de l’Auxerrois, de Grégory DORTE, premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne et du préfet Pascal JAN, la ministre des Sports et des Jeux Olympiques/Paralympiques avait pu profiter pleinement de l’allumage de la grande vasque de métal, le chaudron, par l’ultime relayeuse de ce parcours atypique proposé dans les rues du centre-ville, la basketteuse Emmeline NDONGUE.

Un rituel qui se répète ainsi d’étape en étape à travers l’Hexagone depuis le 08 mai dernier, date à laquelle « le BELEM » avait ramené la flamme depuis la Grèce, berceau de l’olympisme.

 

Les valeurs de la flamme, entre paix, unité et concorde…

 

En l’espace de deux heures et plus, la représentante du gouvernement se sera immergée dans cette ambiance chaleureuse et festive à plusieurs endroits stratégiques de la ville, avant de terminer son périple au parc Roscoff, site de l’allumage du chaudron. Sans omettre de visiter auparavant les installations du club de football et son centre de formation.

« J’aime me retrouver sur le terrain, explique-t-elle, il y a une mise en valeur exceptionnelle du patrimoine de l’Yonne, aujourd’hui, avec l’accueil de la flamme à Vézelay, dans le vignoble de Chablis ou ici, au centre-ville d’Auxerre. J’ai pu apprécier aussi la ferveur qui existe toujours autour de Guy ROUX et cette admiration qu’il suscite même auprès des plus jeunes. C’est magique et c’est cela l’esprit du Relais de la Flamme… ».

Une alchimie entre un territoire, des personnalités, le temps qui passe, aussi.

« Les valeurs de la flamme veulent dire beaucoup, ajoute-t-elle, au niveau de la paix, de la concorde, de l’unité. Tout cela a un sens… ».

 

 

Une ministre rassurée par la qualité de l’eau de la Seine…

 

A J – 15 de l’échéance, la France est donc fin prête à accueillir ces Jeux d’été. « Même s’il y a encore quelques finitions, précise Amélie OUDEA-CASTERA, mais cela est normal. On est excités de recevoir le monde entier et de sentir que l’image de notre pays va être positive en montrant notre art de vivre à la française, tout en mettant à l’honneur les sportifs de la planète… ».

Question que l’on se pose de toute évidence : les récents chamboulements politiques auront-ils un impact sur l’organisation de ces JO de Paris ?

Réponse catégorique de la ministre : « Non, pas du tout ! On continue de travailler en équipe avec la même concentration, avec le même engagement. Tout est réuni pour que le pays livre un évènement exemplaire… ».

Reste la qualité de l’eau actuelle dans la Seine. Une qualité de l’eau qui pourrait peut-être faire défaut pour les épreuves du triathlon ?

« Cela ne m’inquiète plus, assure la ministre, les mesures de la qualité de l’eau nous rendent optimistes. Nous sommes tout à fait confiants pour la bonne tenue des épreuves… ».

Pour respecter l’adage, jamais deux sans trois, reverra-t-on le 18 août Amélie OUDEA-CASTERA du côté de l’Abbé Deschamps au soir du match d’ouverture de la Ligue 1 ? « Ah pourquoi pas ! En tout cas, je suivrais de très près les résultats de l’AJA cette saison… ».

 

Thierry BRET

 

 


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Sacré Guy ! L’œil pétille toujours d’excitation, malgré ses 85 ans. Mais, il n’aurait voulu manquer, le moins du monde, une pareille fête. Celle du sport universel et de l’olympisme, vécue avec beaucoup d’intensité et d’émotion au contact de la foule. Surtout lorsque l’évènement est célébré dans sa ville de prédilection, Auxerre, dont il a su populariser le nom aux quatre coins de l’Hexagone quand ce n’est pas dans l’Europe entière. On retiendra de cette 54ème étape du « Relais de la Flamme » cette image pour la postérité de l’ancien coach de l’AJA, soulevant la torche en tenant la main d’un petit garçon, sur la pelouse de l’Abbé Deschamps. Comme un passage de témoin…devant les dieux de l’Olympe.

 

AUXERRE : Sur le torse, un numéro « EO59 ». Celui-là, les aficionados du célèbre personnage auxerrois le conserveront longtemps en mémoire, en souvenir de ce jour de gloire, celui du passage de la flamme olympique dans la capitale de l’Yonne. Un numéro floqué sur la tenue blanche de l’homme qui aura été le premier relayeur (elle est presque immaculée à l’estampille des Jeux de Paris) et qui répond désormais à la presse, au terme de cette journée historique.

Goguenard, l’œil malicieux et vif, Guy ROUX se prend un malin plaisir à expliquer son ressenti après une telle journée, face à la caméra de nos confrères de « France Télévision » et aux micros des médias régionaux.   

Un exercice oratoire qui n’a jamais fait peur au charismatique ancien entraîneur de l’AJA, toujours aussi bavard et prolixe devant un micro, et dont l’aura demeure quasi iconique auprès des suiveurs et autres supporters du club blanc et bleu, qui évoluera de nouveau en Ligue 1, dès la saison prochaine.

 

 

Le premier relayeur démarre à l’allure tranquille à 17h50 !

 

Guy ROUX, le premier des relayeurs de la flamme, à Auxerre. Ce n’est que de la pure logique, en vérité, tant le personnage a changé la configuration de la ville, de son bassin et du département par sa conception du sport de haut niveau, lui donnant ses lettres de noblesse aux quatre coins du Vieux continent, quand ce n’est pas un peu plus loin ! Avec le bonnet bleu ou pas, rivé sur la tête ! D’ailleurs, l’actuel actionnaire du club n’est-il pas originaire de Chine ?! C’est dire !

Guy ROUX, l’éternel meneur d’hommes, en véritable ambassadeur de ce territoire qui devait s’élancer un peu avant 18 heures, l’allure tranquille ce jeudi 11 juillet, date à mettre dans les annales (précisément aux alentours de 17h50) sous le regard attendri de la ministre des Sports, Amélie OUDEA-CASTERA, effectuant de la sorte son second déplacement dans l’Yonne en moins de trois mois !

On se souvient de son précédent séjour en terre septentrionale de la Bourgogne : c’était pour l’inauguration du musée de l’AJA ! Déjà !

« En 1960, j’étais aux Jeux de Rome, glisse l’emblématique figure du football hexagonal avec le souci de l’anecdote savoureuse et complice, mais là, je n’étais pas encore connu ! ».

 

 

La transmission entre deux générations comme un passage de témoin…

 

Dans la zone réservée aux interviews, Guy ROUX ne cache pas sa satisfaction de se trouver là. « On arrive à rassembler dans la joie et le bonheur toute une population, constate-t-il, avec un brin de feu (allusion au chaudron qui devait s’enflammer par le geste assuré par la basketteuse Emmeline NDONGUE). L’homme est fait pour avoir le feu… ».

Auparavant, au beau milieu de la pelouse de l’Abbé Deschamps, stade où il a connu les plus grandes joies de sa carrière d’entraîneur pendant quatre décennies, Guy ROUX devait être rejoint par un jeune garçon, porteur du maillot de l’AJ Auxerre. La torche soulevée au-dessus de leurs têtes, le plus âgé des deux transmettait-il sa flamme au plus jeune ?

 

 

 

Celle de la pugnacité, de la force tranquille, de l’envie ? Belle image, pleine de symboles, que celle-ci !

Reconnaissant qu’il aurait dû la porter plus longtemps sur le parcours qui lui était réservé, Guy ROUX avoua avec un zeste d’humour qu’il avait connu un petit problème de résistance au niveau des bras, l’obligeant à écourter quelque peu l’exercice physique.

« Pourtant, je m’était préparé, devait-il souligner avec humour, mais le public était là à mes côtés ! ».

 

 

L’étonnement, le ressenti de Guy ROUX…

 

Surpris, d’ailleurs, par la densité de la foule, présente et participative réunie au Parc Roscoff. « Vous voyez, il y a beau avoir cinq gros nuages noirs là-bas dans le ciel – des nuages peut-être annonciateurs de futurs orages -, personne ne s’en va ! Les gens aiment ce genre d’évènement ».

Guy ROUX aurait-il vécu ce Relais de la Flamme comme une cure de jouvence qui fait du bien à l’âme ?

« Je ne sais pas si ce que j’ai vécu correspond à une nouvelle jeunesse, répondra-t-il amusé, mais je suis comme tout le monde, ici, on a tous oublié nos problèmes en vivant cette journée très étonnante ! ».

L’étonnement ? Le mot reviendra à maintes reprises dans la bouche de Maître Guy ! « Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de mobilisation et d’engouement autour de cet évènement dont tout le monde me parlait ces derniers jours ! ».

Quant à l’émerveillement suscité auprès des enfants, Guy ROUX n’en revient toujours pas. « J’ai commencé à saluer les 500 jeunes garçons et filles qui fréquentent l’AJA en début d’après-midi, ils étaient tous là à admirer cette flamme ! S’ils avaient vu MBAPPE, cela aurait été pareil… ».

La magie de l’olympisme brille dans le regard du « vieux grognard » du football français. Il en apprécie la moindre des minutes en prenant son temps, apposant sa griffe sur un maillot ou signant un autographe pour un gamin dont les parents filment la scène en étant fous de joie de l’autre côté de l’espace presse. L’éternel Guy ROUX aura su marquer de son empreinte cette très belle cérémonie auxerroise. Lui, le « roi des coaches » intègre de plain-pied la légende de l’Olympe, en porteur de torche…

 

Thierry BRET

 

 


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