Le séculaire château de Puisaye Forterre a bénéficié de l’extrême générosité d’un mécène privé dans le cadre de la reconstitution de la chambre à coucher de l’illustre pensionnaire de ce haut lieu du tourisme régional. Partenaire inféodé à la sauvegarde et à l’embellissement du patrimoine historique et culturel sur son territoire, soit quatorze départements, l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire a injecté une enveloppe de 80 000 euros à la réalisation de ces travaux…Ancrant un peu plus sa présence territoriale.
SAINT-FARGEAU : L’instant se veut solennel. Il se vit juste à l’entrée de la pièce, une chambre à coucher, objet de toutes les convoitises du jour. Sous le feu nourri des crépitements photographiques, il est fixé à jamais parmi l’éternité immuable du temps.
Comme le joli portrait de la Grande Mademoiselle qui orne cet espace enchanteur, dont on honore aujourd’hui grâce à ce geste symbolique le poids historique à travers les siècles.
Elle, la malheureuse cousine de l’intransigeant Louis XIV, qui se vit privée d’un mariage d’amour avec le romanesque Monsieur de LAUZUN ; le duc payant au prix fort durant une décade cet hymen à jamais refusé par le roi Soleil dans la geôle de la sombre forteresse de PIGNEROL située dans le piémont turinois.
Un sinistre édifice où furent emprisonnés avec la même détermination royale le mystérieux « Homme au Masque de fer » ou l’intendant FOUQUET…
Intègrent-ils ces éléments en parfaite conscience les auteurs de ce moment de grâce lorsqu’ils découpent le ruban jaune qui officialise par la voie du protocole la phase inaugurale de la reconstitution de la chambre de la duchesse de Montpensier, Anne-Marie Louise d’Orléans ?
Ce geste cérémonial exhume en effet à notre bon souvenir la mémoire vive de l’illustre pensionnaire de ce château de Puisaye, devenu entre-temps un haut lieu du tourisme régional (35 000 visiteurs à l’année), où elle s’installa en novembre 1652, exclue de la cour par la seule volonté du roi de France…
Les largesses d’un mécène imprégné de culture et de valeurs patrimoniales…
Entièrement détruits lors d’un incendie survenu en 1752 et qui endommagea le bâtiment, les appartements de la Grande Mademoiselle et leur reconstitution sont l’œuvre de toute une existence. Celle de l’actuel propriétaire. Michel GUYOT, un personnage au charisme incroyable et qui œuvre depuis tant d’années, aux côtés de son frère, Jacques, pour redonner la vie à ces joyaux du patrimoine national.
Il aura fallu une simple rencontre fortuite avec l’une des clés de voûte d’un investisseur privé pour que naisse l’ambitieux et incroyable projet. Lors de ce contact initial qui ne fut pas imputable au pur hasard, Philippe RENOUX présidait encore la Fédération départementale des caisses locales de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire, dans l’Yonne.
Une entité solidement ancrée dans sa zone de prédilection territoriale. S’octroyant, de temps à autre, l’excellente opportunité de pouvoir insuffler un air nouveau par le prisme du mécénat lorsqu’il s’agit de valoriser les pépites de notre patrimoine.
Le château de Monte-Cristo, lieu de résidence de l’écrivain romanesque Alexandre DUMAS dans les Yvelines à Port-Marly, a pu, entre autre, bénéficier des largesses inhérentes à la générosité de ce groupe. Une décision qui fut validée unanimement par l’organigramme collégial de la structure mutualiste, à savoir son Conseil d’administration et la direction générale.
Comme ce fut le cas présentement dans l’Yonne. Après ce coup de cœur réservé à cet endroit cher à Jean d’ORMESSON, à la suite d’une visite privée qui fut organisée de fond en comble en avril 2018.
Il est donc légitime de retrouver parmi les officiels de la cérémonie protocolaire de cette découpe de ruban, le président du Conseil d’administration Daniel COLLAY aux côtés du directeur général, Eric GELPE. Les deux dirigeants ont eu la courtoisie d’y associer également le successeur de Philippe RENOUX, le chef d’entreprise du monde agricole, Pascal MAUPOIS, nommé en 2018, à cet événement.
Pour que vive à jamais le souvenir de la Grande Mademoiselle à travers les années…
L’un des leaders mondiaux de l’assurance et de la prévoyance renforce son potentiel humain en ce milieu d’année 2019. Pour se faire, elle est en quête de différents profils sur l’ensemble de l’Hexagone. Dans l’Yonne, six agents salariés sont ainsi vivement recherchés. En parallèle, il y a aussi la possibilité pour des agents mandataires, c’est-à-dire des personnes bénéficiant d’un statut d’indépendants actifs, de faire carrière au sein du groupe. Là aussi, une demi-douzaine de postes est à pourvoir sur le département le plus septentrional de Bourgogne. Explications…
AUXERRE : Petite séance explicative dans les salons du Maxime à Auxerre. Là, aux côtés de Franck DOGIMONT, inspecteur manager commercial et responsable départemental de l’Aube, et de Grégoire JAKUBOWSKI, inspecteur conseil salarié du réseau AXA Epargne et Protection dans l’Yonne, quelques personnes écoutent avec grand intérêt une explication de texte suffisamment détaillée et fournie pour qu’ils en assimilent le moindre des enjeux.
AXA France Vie recherche des collaborateurs. Mais pas n’importe lesquels. Celles et ceux qui possèdent, outre les vertus commerciales requises, un sérieux sens du relationnel et des réseaux. Car, pour répondre aux critères de sélection correspondant à la fonction d’agent mandataire, il faut parmi les prétentions à posséder une sacrée dose de tout cela.
Présent sur toute la France, les agents mandataires représentent AXA auprès des clients. Ils sont au nombre de 1 400 à ce jour. Ils évoluent sur un marché à forte progression : celui de la protection sociale et patrimoniale.
« La dépendance s’intègre parmi les grandes priorités de demain, confie Franck DOGIMONT, ce marché est très porteur et permet d’envisager de réelles opportunités de développement… ».
Exerçant son activité dans un périmètre proche de chez lui, l’agent mandataire se constitue et dynamise son propre réseau qu’il met en relation avec les spécialistes de la compagnie d’assurance.
« Ces collaborateurs reçoivent une formation pratique et théorique dispensée par nos soins dans la région, ajoute Grégoire JAKUBOWSKI, cette activité est adaptée tout particulièrement pour celles et ceux qui souhaitent disposer de leur temps libre tout en consacrant deux journées minimum par semaine pour développer leur rémunération… ».
Précisément, celle-ci peut être attractive. Elle est constituée de commissions et de primes liées à la conquête de nouveaux clients. Sachant que la première année, le nouvel impétrant dans ce système collaboratif profite d’un accompagnement personnalisé.
L’enseigne de Patrick PELONERO et des frères TRAORE s’appuie les relais offerts par la communication numérique pour optimiser ses parts de marché en créant le buzz. Notamment autour de la consommation importante de ses produits. En France comme à l’international puisque le groupe possède désormais quelques vitrines en Belgique et au Maroc. Depuis peu, le nouvel établissement de Sens a intégré l’escarcelle copieuse du groupe, qui pourrait atteindre trois cents espaces de restauration rapide d’ici la fin de l’année…
IVRY-SUR-SEINE : Chaîne internationale de restauration rapide, O’TACOS est devenue en un laps de temps relativement court, depuis 2007, l’un des chantres des tacos à la française. En France mais aussi chez nos voisins d’Outre-Quiévrain, avec une vingtaine d’établissements, au royaume chérifien. Voire un peu plus loin, aux Etats-Unis ou au sultanat de BRUNEI !
L’enseigne leader sur son marché s’est ainsi spécialisée dans une gamme de produits déclinés selon plusieurs tailles, permettant de mélanger jusqu’à quatre viandes dans ses tortillas.
Le must de cette opportunité culinaire à multiples strates, selon des variantes XXL, demeurant le « Gigatacos ». C’est une offre où le client affamé ou en mal d’originalité peut ingurgiter un tacos contenant plus de deux kilogrammes et demi de steak haché !
L’initiative a même suscité des concours alimentaires ponctuels où une frange de la clientèle se lance des défis afin de publier sur les réseaux sociaux le fruit de leur exploit, visuels et commentaires à l’appui. Un succès garanti après coup : avec plus de 2,5 millions de clics !
Les dirigeants du groupe, sous contrôle stratégique du fonds d’investissement belge KHARIS Capital et ce depuis mai 2018, ne se privent pas de reconnaître le bien-fondé de cette communication bon enfant mais surtout efficiente parmi la cible privilégiée que constituent les jeunes consommateurs. L’utilisation des réseaux sociaux l’est ainsi à bon escient.
Salariant plus de mille collaborateurs, O’TACOS sert plus de dix millions de repas à l’année.
Un article réalisé en partenariat
avec la Communauté du Grand Sénonais et la Ville de Sens.
En obtenant 363 voix favorables, le Premier ministre a réussi son deuxième examen de passage à l’Assemblée nationale. Même si l’appréciation de ce résultat positif s’est très légèrement amoindrie par rapport au vote de référence initial constaté dès le début de sa gouvernance.
Soit à l’époque 370 parlementaires qui soutenaient la déclaration de politique générale présentée par le responsable de l’exécutif. Faut-il y voir pour autant, avec ce delta minimaliste de quelques voix évanescentes aujourd’hui disparues, un quelconque recul dans la confiance accordée au chef du gouvernement ?
Certes, non. Si le contraire eut été acté à l’issue de cette intervention de près de soixante minutes face à des parlementaires attentifs, cela aurait été beaucoup plus surprenant.
Il est vrai que le Premier ministre avançait sans aucun risque dans cet exercice oratoire où il s’est affirmé plus volubile que jamais après ses timides débuts. La majorité présidentielle pouvait donc dormir tranquille sur ses deux oreilles : le gouvernement ne craignait pas d’être renversé sine die après la proclamation officielle de l’Acte II de la politique voulue par le chef de l’Etat.
Quant à l’opposition, elle a assuré le job. C’est-à-dire en restant réfractaire aux diverses propositions expliquées avec moult détails par le pensionnaire de Matignon. S’inscrivant sans ambages dans sa logique antépénultième et organique : à l’ouest rien de nouveau !
Parmi les 163 députés qui ont refusé tout de go de suivre le programme de mesures réformatrices initiées par Edouard PHILIPPE, figurent les élus des Républicains (81), mais également ceux la gauche (PS, LFI et PCF), recréant ainsi le temps d’un scrutin un semblant d’union.
Les parlementaires des partis extrêmes et souverainistes du Rassemblement national et de Debout La France embrayaient dans le même sillon. Sans que cela provoque un cataclysme en matière d’information !
Bref, un résultat d’une pure logique au bout du compte même si le nombre d’abstention (un total de 47 voix), là-aussi en légère érosion, fait observer comme point prédominant que vingt-deux députés acquis à la cause des Républicains n’ont pas daigné suivre les préconisations de leur nouveau chef de file, qui assure depuis l’intérim, à savoir Jean LEONETTI.
Les plus farouches observateurs en besoin d’analyses rétorqueront toutefois que les représentants de la droite traditionnelle et du centre issus de la famille gaulliste étaient beaucoup plus nombreux à s’être abstenus en 2017. En effet, 75 d’entre eux n’avaient pas pris position.
Néanmoins, Edouard PHILIPPE aura multiplié les annonces conciliatrices durant sa longue prise de parole au pied du perchoir. Faisant fi des clivages politiques habituels. Une stratégie de la main tendue qui, in fine, ne s’est pas concrétisée au moment du décompte définitif des bulletins.
Se réclamant lui-même de la droite républicaine, insistant sur cette volonté personnelle de faire progresser l’œcuménisme sociétal, l’ancien maire du Havre n’aura pas hésité à jongler avec les symboles de l’Histoire. Se référant tour à tour à Georges POMPIDOU, à Pierre MENDES-FRANCE, à Michel ROCARD, et à son mentor de toujours, Alain JUPPE.
Autant de condisciples ministériels qui, comme lui occupèrent la même fonction à Matignon et qui possédaient une vision élargie de la politique constructive dans l’intérêt de la France et de ses habitants.
Celui qui était dans l’ombre de la popularité, du fait de sa relative discrétion tout au début de sa prise de fonction, est passé dans une toute autre dimension. Plus lumineuse et flamboyante, après ce discours de tribun aux ambitions à peine contenues.
Au terme de ce grand oral, Edouard PHILIPPE possède la confiance de la majorité des parlementaires. Mais, aussi celle reconduite du président de la République qui a trouvé en ce besogneux personnage l’homme providentiel et idoine pour porter jusqu’au terme de son mandat son projet gouvernemental.
Il ne faut pas être devin pour comprendre que l’actuel occupant de Matignon devrait mener le train des réformes jusqu’en 2022. Et conserver de facto ce rôle de fédérateur qui lui sied comme un gant.
Lui faisant pousser, sans doute, quelques ailes velléitaires dans le dos. Lui qui jusqu’alors grenouillait de manière obscure dans l’antre des Républicains. En quête d’une autre destinée ?
Thierry BRET
Thérapeute du bien-être, pratiquant le don du magnétisme, la chef d’entreprise d’Auxerre entend bien valoriser son métier si atypique et insolite parmi toutes les sphères du réseautage existant. Il est vrai qu’exercer la profession de magnétiseuse peut surprendre à bien des égards dans le microcosme parfois très hermétique de l’entrepreneuriat. Soutenue par BGE Nièvre Yonne à l’installation de sa structure, Lyvia ROBERT a choisi d’intégrer un réseau 100 % féminin, Femmes Leaders Mondiales. Une expérience qu’elle vit comme une opportunité heureuse à l’affirmation de sa crédibilité de chef d’entreprise à part entière…
AUXERRE : Exerçant son métier depuis le 01er octobre 2017, Lyvia ROBERT n’est pas une chef d’entreprise ordinaire. Elle a pour vocation d’user de son fluide naturel, un don qu’elle a découvert en 2016, pour prodiguer le bien-être autour de soi. A l’heure où le stress, et son corollaire qui en dépend, le burn-out, se propagent à une affolante vitesse de croisière parmi les diverses strates de tous les milieux professionnels confondus.
Issue des phases sélectives des Moissons de l’Emploi (l’opération portée avec réussite par la Maison de l’Emploi et Pôle Emploi), la jeune femme est repérée par BGE Nièvre Yonne, qui lui prépare un avenir meilleur. Là, elle y suit le parcours qui mène à la conduite effective d’un vrai projet d’entreprise. Une étape obligatoire dont elle bénéficie avant d’ouvrir son cabinet.
Désireuse d’explorer des chemins de traverse qui lui sont encore méconnus, Lyvia entreprend de se rapprocher des réseaux d’affaires. Intéressée par le BNI, elle n’hésite pas à s’immerger, en y adhérent, au mouvement international des Femmes Leaders Mondiales.
Félicité par la présidente mondiale Nicole BARBIN…
Interprétant son acceptation parmi cette association non sectorielle comme un signe de crédibilité positive.
« J’ai vécu cette intégration comme un véritable encouragement, confie-t-elle, une vraie valorisation de mon activité professionnelle, qui se résume le plus souvent dans l’esprit des gens à de la simple arnaque. Au sein de Femmes Leaders Mondiales, je profite d’un équilibre, d’une dynamique qui me permet de me projeter vers l’avant. En relevant les défis et les challenges que je m’impose. Cela tombe bien puisque le thème retenu lors du prochain Congrès mondial du mouvement qui sera accueilli à Auxerre (10 et 11 octobre) sera consacré au mot « oser » ! ».
Lyvia ROBERT a été adoubée dans l’Yonne par deux marraines dont la responsable de la délégation icaunaise de la structure, Charline LENFANT. Elle a eu le bonheur d’être reconnue en tant que telle par la présidente internationale de FLM, Nicole BARBIN. De passage à Auxerre avec son staff, cette personnalité éminente du mouvement peaufinait les ultimes préparatifs logistiques du futur congrès mondial. Un événement que ne manquera pour rien au monde la nouvelle jeune recrue !