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L’ancien président de la République n’est plus. Amoindri par la maladie, retiré de la scène publique et de la vie politique depuis longtemps, ce pur produit du gaullisme s’est donc éteint dans sa quatre-vingt-sixième année, aux côtés des siens, de façon paisible comme l’a précisée l’annonce faite par son gendre à la presse.

La France perd incontestablement un grand chef d’Etat. Que l’on aime ou pas ce personnage à la truculence verbale affûtée et au timbre de voix reconnaissable parmi tous, Jacques CHIRAC restera dans les livres d’histoire comme la véritable incarnation de celui qui porte haut les valeurs à la française faites de sympathie cocardière ou de l’appétence pour la gastronomie et le bien-vivre. Ce qui ne l’empêchera jamais de prendre des positions parfois décalées et inhabituelles vis-à-vis de ses partenaires politiques.

Humaniste, universaliste dans sa relation à l’autre, cultivé, possédant un sens aiguisé de l’altruisme et de la diplomatie, tacticien, ce Parisien de pure souche aura su faire oublier ses véritables racines de « titi » de la capitale en adoptant durant une quarantaine d’années de vie publique le profil de l’homme champêtre venant de la Corrèze dont il était l’élu de cœur.

Qui ne se souvient pas de ces images audiovisuelles insolites suivant la lente déambulation de l’intéressé dans les travées du Salon de l’agriculture, porte de Versailles à Paris !  

Combien de poignées de main, rêches et vigoureuses, donnera-t-il lors de ses immersions au cœur de la France profonde que lui seul n’a jamais ignoré ? La France agricole, celle qui n’a que très rarement voix au chapitre, entretenait une relation toute particulière avec ce brillant intellectuel issu de l’ENA qui fit ses premiers pas dès 1964 sous les ors de la République.

CHIRAC aimait le peuple. Ce dernier lui rendait bien. Il n’aura jamais été aussi populaire et regretté qu’une fois après avoir quitté ce palais de l’Elysée qu’il occupa durant douze années.

Le meilleur ambassadeur en France de la bière mexicaine « Corona » était un épicurien, épris de l’existence. Un amoureux de la vie qu’il saupoudrait sans cesse de découvertes culturelles multiples à l’instar de sa passion inéluctable pour les arts premiers. Le musée du Quai Branly est son œuvre comme la Pyramide du Louvre est celle de François MITTERRAND.

 

Un visionnaire moderniste soucieux de l’humanité…

 

Hâbleur, affable, sensible, jovial, gaulois parfois dans ses attitudes et expressions oratoires que Michel AUDIARD n’aurait pas boudé de ses écrits, Jacques CHIRAC a traversé ce parcours terrestre qui a été le sien, aux côtés de son épouse Bernadette, à la façon d’un train à grand vitesse.

Toujours pressé, mais en prenant parfois le temps de poser ses jalons à la rencontre de ses concitoyens. Une œuvre personnelle forgée pas à pas au contact des autres.

Visionnaire, moderniste, lorsqu’il évoqua la fracture sociale, il fut aussi l’un des premiers chefs d’un état à la puissance mondiale à tirer la sonnette d’alarme sur le préoccupant sujet de l’environnement.

Inscrite au Panthéon des citations immortelles - « la maison brûle… » - sa phrase est d’actualité. Elle n’a jamais été aussi probante que maintenant à l’heure où les catastrophes imputables au dérèglement climatique s’enchaînent aux quatre coins du globe.

Son refus de livrer bataille dans le désert de l’Irak aux côtés d’une coalition internationale soumise au diktat américain lui a permis de prendre ses marques dans le concert international. Tel que l’aurait fait quelques années plutôt le général de GAULLE qui ne voulait rien savoir de l’OTAN…

Ses amitiés avec les dirigeants africains et ceux du Moyen-Orient, y compris en Palestine, feront de lui un messie des causes perdues lorsque ses pérégrinations politiques le conduiront à endosser la vêture élyséenne et à défendre ses convictions à New-York par ministres des affaires étrangères interposés.

On se remémorera la bravoure de son lieutenant d’alors, Dominique de VILLEPIN, au Conseil de sécurité des Nations Unies pour s’opposer au déclenchement de la seconde guerre du Golfe et aux ardeurs belliqueuses de Georges BUSH.

Jacques CHIRAC demeurera aussi celui qui n’a pas hésité à revisiter l’histoire en faisant acte de repentance pour les atrocités commises par la France envers les déportés et les Juifs, victimes de la barbarie nazie.  

Caméléon de la vie publique, kaléidoscope dans l’art et la manière de pratiquer l’entregent et les intrigues au cœur des cénacles politiques, Jacques CHIRAC aura connu aussi sa période sombre, et sans gloire. Son revers de la médaille. Sa part ténébreuse, comme beaucoup.

Ses faits d’arme peuvent se résumer ainsi : dissolution de l’Assemblée nationale qui ouvrira les portes à une improbable cohabitation avec l’austère Lionel JOSPIN, suspicions d’emplois fictifs à la mairie de Paris et de prises d’intérêt dans des affaires immobilières (son fief mais aussi son bas de laine), relations virevoltantes avec la gent féminine, échec du référendum à l’adhésion européenne, échec par deux fois aux Présidentielles.

Ce 30 septembre, l’Hexagone rendra un ultime hommage à l’un de ses plus fidèles serviteurs qui aura consacré plus de quatre décades de sa vie à redorer le blason de notre beau pays. Le souvenir de Jacques CHIRAC que personnellement j’ai eu l’opportunité de rencontrer à plusieurs reprises, planera encore longtemps sur ce cher pays auquel il a tant donné…Tel un insatiable conquérant du pouvoir suprême.

Thierry BRET

   

 


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La société manufacturière de textile chilienne pose enfin ses jalons en Europe. Par l’entremise de sa toute nouvelle filière hexagonale dont la gestion et le rayonnement incombent à un jeune entrepreneur âgé de 22 ans, Alexis AUSTRUI. Ce dernier voue une passion sans borne pour la mode. Elle lui a été transmise par son père qui a consacré sa vie à promouvoir ce segment d’activité. Des ingrédients qui s’ajoutent à une rencontre fortuite vécue dans le pays bordant la Cordillère des Andes et qui aboutissent à l’ouverture de la première vitrine commerciale dans le Sénonais…

SENS : Particularisme de la chaîne sud-américaine et ce qui l’a différencie de ses autres concurrentes : ses commerces spécialisés dans la vente de prêt-à-porter et de sous-vêtements englobent tous les univers consuméristes en un même lieu. Ainsi, dans une surface de vente identifiée selon des typologies spécifiques, le consommateur pourra tout à loisir assouvir sa quête d’achat que ce soit pour ses enfants, son conjoint(e) ou pour lui-même. Sachant qu’une grande variété de produits manufacturés au Chili y est commercialisée à des coûts modiques tout en se préjugeant d’une certaine qualité.

C’est ainsi que s’est bâtie la solide notoriété de ce groupe apparu en 1880 à Santiago-du-Chili. Son fondateur historique, Julius KAYSER, pourrait être fier de sa progéniture au vu du succès rencontré par l’enseigne. Présente dans une trentaine de pays, mais encore peu implantée en Europe, KAYSER se devait tôt ou tard de franchir le Rubycon sur le sol français.

Il aura fallu d’un voyage d’affaires dans le pays des lamas en 2017 pour que le jeune entrepreneur français, Alexis AUSTRUI, ne revienne de ce charmant pays si pittoresque avec une idée géniale dans sa besace. Implanter la marque sous le mode opératoire de la franchise et ensuite la développer aux quatre coins de l’Hexagone, et plus si affinité !

 

 

Une licence d’exploitation valable dans de nombreux pays européens…

 

Muni d’un contrat établi en bonne et due forme, le jeune homme, originaire de l’Yonne, titulaire d’un BTS Banque et assurance, c’est-à-dire aux antipodes de sa nouvelle carrière, possède l’exclusivité nationale. De surcroît, il a ajouté d’autres nations dans son bas de laine : celles de la péninsule ibérique mais également la Belgique, l’Italie et le Luxembourg.

La première boutique à l’emblématique couleur rose (ce sont les coloris du groupe KAYSER au Chili mais il existe aussi des versions de magasins en bleu) ouvrira sa devanture d’ici quelques jours. Localisée Grande rue, et d’une superficie de cinquante mètres carrés, elle y accueillera Delphine, fraîchement embauchée au poste de vendeuse.

Là, la clientèle découvrira une gamme de produits catalogués dans la catégorie des sous-vêtements : collants, bas, pyjamas, nuisettes, slips, culottes, soutien-gorge,…bref, il y en aura pour tous les goûts et à tous les prix !

 

 

Gérant de la SARL au capital de 8 000 euros, Alexis se fixe des objectifs très précis au niveau de l’évolution de la marque. Primo, il est déjà en quête de futurs partenaires pour déployer le maillage de la franchise au niveau national. Une première cible pourrait être identifiée à Lille, bastion historique du textile en France.

A cinq ans, l’ambitieux entrepreneur se voit à la tête d’un réseau de boutiques oscillant entre 25 à 40 unités sur le territoire français mais aussi dans les pays dont il possède la licence d’exploitation.

Le projet aura vu le jour grâce au coup de pouce indispensable donné par INITIACTIVE 89, la structure associative icaunaise qui accompagne les porteurs de projets dans leur développement.

Une prise de contact avec l’un des spécialistes de la création d’entreprise, Julien LACOMBE, aura permis à Alexis AUSTRUI de valider ce rendez-vous opportun en un salvateur prêt d’honneur qui sera complété par un prêt à taux zéro. Une enveloppe globale de 15 000 euros indispensables à l’agencement du commerce et à l’achat du stock.

Un article réalisé avec le partenariat de l'association INITIACTIVE 89...

 

 


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Confiant, Gian-Marco AMENDOLA n’en démord pas. Faisant fi des habituelles tracasseries administratives qui ont retardé son projet d’implantation dans l’Yonne – qui n’en subit jamais dans ce beau de France lorsqu’il désire entreprendre ! –, le franchisé de la célèbre enseigne de restauration rapide américaine (Kentucky Fried Chicken) espère accueillir ses premiers clients d’ici décembre. Explications…

SENS : La phrase, il l’a martèle à maintes reprises durant l’entretien qu’il nous a accordé. « Le KFC sera opérationnel à Sens d’ici la fin de l’année 2019… ». Méthode Coué, certitude absolue ou volonté inexpugnable de rendre fonctionnel au plus vite son outil de production ?

Quoi qu’il en soit, le franchisé de la future enseigne de fast-food, attendu avec grande impatience par toute une frange de consommateurs en pénitence de ne pouvoir savourer les spécialités de poulet frit à la sauce made in USA, a des fourmis dans les jambes.

Il a surtout hâte de démarrer au plus vite l’aventure : celle qui procure de l’adrénaline et de l’enthousiasme, à tout bon entrepreneur qui se respecte !

Le professionnel de la restauration (il évolue dans cette bulle depuis plus de deux décennies) joue la carte de l’optimisme : les premiers coups de pioche devant contribuer à la prochaine édification du bâtiment seront donnés d’ici la fin de ce mois. Celui-ci recevra ensuite en ses murs le fonds de commerce. Le bâti, érigé sur une surface d’environ 300 mètres carrés, pourrait accueillir ses premiers visiteurs avant le terme de l’année.

Gian-Marco AMENDOLA possède déjà une autre vitrine commerciale à l’estampille de KFC. Celle-ci est implantée dans la capitale du Cher, à Bourges, depuis 2016.

« Je souhaitai me développer vers la région Centre, voire un peu plus à l’est, confie le chef d’entreprise qui a jeté son dévolu sur le Sénonais. L’attractivité et la dynamique de ce territoire m’ont convaincu de poser mes jalons ci… ».

Dans un premier temps, le dirigeant s’était intéressé à l’Auxerrois. Mais, le manque de possibilité foncière telle qu’il la concevait et la proximité avec l’Ile-de-France l’ont très vite ravisé sur son choix initial. C’est finalement la ville emblématique des Sénons qui a obtenu son onction.

 

 

Une stratégie de conquête mûrement réfléchie…

 

Toutefois, Gian-Marco AMENDOLA n’occulte pas la possibilité à moyen terme de venir tâter de nouveau le pouls de la faisabilité opérative d’Auxerre. Pour valider l’installation d’un troisième point de vente.

Aujourd’hui, le projet nécessite un investissement budgétaire qui oscille entre 1,5 million et deux millions d’euros. Même si cette boutique serait moins importante que celle ouverte à Bourges (Sens ne possède pas l’attractivité comptable de la ville de Jacques CŒUR), le restaurant bénéficierait du décorum de dernière génération de KFC.

Ce dont profiterait volontiers la centaine de clients pouvant se sustenter en même temps dans l’établissement.

L’un des sponsors atypiques de l’équipe de France de football championne du monde est devenu en l’espace de plusieurs années un poids lourd de la restauration rapide.

Ses principaux concurrents demeurent BURGER KING et Mc DONALD’S, déjà implantés dans le département. Précisons que BURGER KING s’installera à Saint-Denis-les-Sens au premier semestre 2020.

Avec cette ouverture, KFC comptabiliserait environ 250 établissements en France. Sachant que le groupe américain envisage le doublement du nombre de ses magasins d’ici cinq ans.

Ciblant en priorité les familles et les adolescents, amateurs patentés de fast-food à longueur de saisons, Gian-Marco AMENDOLA ne dédaigne pas s’orienter dans sa stratégie merchandising vers les professionnels. Notamment la clientèle au profil commercial de type VRP.

 

KFC à Sens équivaut à une cinquantaine d’emplois à la clé…

 

Reste l’emploi. La présence de la marque d’Outre-Atlantique sur le Sénonais se convertit en une cinquantaine de nouveaux postes créés. Ce qui est un argument non-négligeable dans le contexte d’aujourd’hui.

La Mission locale, Cap Emploi et Pôle Emploi ont été mobilisés dans cette quête qui consiste à rechercher ces collaborateurs et encadrants.

Comme le confirme Gian-Marco AMENDOLA : « le processus d’embauche, toujours d’actualité, est long, voire complexe. Au-delà des diplômes, je suis davantage sensible aux mises en situation autour des véritables compétences de l’individu… ».

D’où le recours à la MRS, système ayant déjà fait ses preuves chez Pôle Emploi. La méthode de recrutement par simulation est déjà abondamment usitée dans d’autres univers corporatistes tels que l’industrie ou la viticulture. KFC ne pouvait pas faire autrement que d’en bénéficier.

Un article réalisé avec le concours de la Communauté du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 


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Elle se prénommait Joanna. Lardée d’une quinzaine de coups de couteau à la vue de ses enfants, la jeune femme devait succomber de ses blessures dans la rue de manière instantanée. Son bourreau ne revendiquait pourtant aucune cause terroriste. Il ne présentait pas davantage de troubles psychotiques devant l’exonérer de son geste en toute impunité.

L’auteur de ce crime odieux et lâche n’était que… son mari. Triste réalité d’une énième querelle familiale dont personne n’avait que pendre depuis bien longtemps et qui s’est donc achevée dans un horrible bain de sang.

Que restera-t-il de cette pauvre femme, au-delà de son cercle intimiste, aux yeux de l’opinion ? Qu’elle correspondait uniquement à un chiffre d’une donnée statistique glaçante. C’était la cent-cinquième victime imputable aux violences conjugales.

Depuis le début de l’an de grâce 2019, cent-cinq femmes ont donc perdu la vie. D’une manière, si ce n’est identique, pour des causes similaires. La violence conjugale tue avec la régularité monstrueuse d’un implacable métronome en France. Toutes les quarante-huit heures, une femme meurt sous les coups de son « tendre et cher ». Celui qui avait prêté le serment solennel au seuil du mariage de partager son existence avec l’autre, « pour le meilleur et le pire ».

Le meilleur est derrière nous. Le pire est malheureusement devenu une constante exponentielle dans la relation à l’autre désormais, y compris parmi les couples. C’et le visage perfide de cette société pétrie d’individualisme et d’égoïsme. Le respect a été banni des échanges. La protection de l’intégrité physique n’a plus lieu d’être. La violence possède dorénavant un véritable boulevard de choix pour pouvoir s’exprimer à sa guise. Avec en toile de fond, les substances illicites ou légales qui ne peuvent qu’accentuer le trait.

 

De multiples facteurs qui expliquent cet état de fait…

 

Alcool, stupéfiants, cannabis, excitants, drogues dures…la folie meurtrière de ces hommes au comportement à géométrie variable et imprévisible puise ses origines parmi cet inventaire à la Prévert qui, lui, n’a rien de poétique.

Comment en est-on arrivé là ? Si bas, dans la lie de cette société permissive. Bien sûr, il y a le chômage, la perte du pouvoir d’achat, la fracture sociale, les excès abusifs pour compenser le mal-être ambiant, l’incompatibilité relationnelle avec les autres, le racisme ordinaire. Cela n’excuse en rien ces actes d’une brutalité inouïe, commis au nom de quels sacro-saints principes de virilité,  ajoutant à la liste d’innocentes victimes, de surcroît les mères de nos enfants.

Bien sûr, la jalousie et la perversion (l’art et la manière de se satisfaire en faisant du mal à l’autre) pointent le bout de leur nez dans les semblants d’explication à ces faits divers sordides. La jalousie est omniprésente : c’est ce mal incurable qui ronge la plupart des hommes ne supportant pas que leurs épouses soient belles et séduisantes. Même pour elles-mêmes…

Au-delà des maux, ceux de cette société dite civilisée qui part à vau l’eau chaque jour qui s’égrène, il y a les mots. Ceux que la pudeur ne nous permet pas de prononcer en présence d’un tiers. Ceux qui iront nourrir à tort ou à raison le « quand dira-t-on ». Ceux, que certains auraient dû entendre, avant d’agir.

Pourquoi n’arrive-t-on pas aujourd’hui à endiguer de manière significative le nombre de ces malheureuses victimes ? La réponse est, on ne peut plus simple.

L’écoute de la victime potentielle se révèle défectueuse. Avec la recrudescence de ce phénomène qui éclate dorénavant au grand jour par médias interposés, les mains courantes et autres plaintes déposées auprès des services de police et de gendarmerie ont très nettement progressé.

Mais, suivent-elles réellement leur cours légitime vers les voies de la justice par la suite ? Nombreux sont les témoignages de ces pauvres femmes qui corroborent en ce sens cette interrogation.

 

Un décompte morbide qui n’est pas prêt de s’arrêter

 

Peu écoutées, pas entendues, les courageuses femmes qui osent sortir du carcan de ce silence imposé par l’omerta qui enveloppe ces sujets encore tabous peuvent-elle dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas lorsqu’elles pénètrent dans l’univers froid et austère d’un hall d’entrée d’un commissariat de police.

Laxisme, manque de crédibilité, peu d’intérêt accordé à ce type d’affaire trop banalisée, voire problématique d’effectifs peu qualifiés psychologiquement et ne pouvant prétendre traiter ces sujets de société : la multiplicité des explications ne se limite pas à cela.

Peut-être existe-t-il, au fond de nous-même, une réelle indifférence aux difficultés rencontrées par autrui, tout simplement.

On connaît l’adage : « le malheur des uns fait le bonheur des autres ». Maxime que l’on pourrait compléter par cette formule tout aussi symptomatique que notre monde traverse aujourd’hui : « pour vivre heureux, vivons cachés… ».

Et dans le silence absolu si possible lorsque l’on est une femme battue. Il est à craindre que le décompte morbide dont l’actualité nous fait écho à la surface tous les deux jours ne soit pas prêt de diminuer. Ni d’être éradiqué…parce que personne ne veut entendre, voir et savoir. La peur de l’autre a encore de beaux jours devant elle…

Thierry BRET

 

    

  


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Le successeur de Julia CAPEL-DUNN s’installe à son poste de directeur de cabinet du préfet de l’Yonne ce lundi. Parmi ses prérogatives immédiates, une rencontre dès l’après-midi avec la presse. Histoire de faire plus ample connaissance et d’expliquer son mode opératoire…

AUXERRE : A peine installé dans sa nouvelle fonction, et déjà sous le feu des projecteurs ! Ceux des médias régionaux qui ne manqueront pas de lui poser toutes les questions requises sur sa manière d’opérer aux côtés du préfet Patrice LATRON en sa qualité de directeur de cabinet dudit responsable de l’Etat.

Agé de 47 ans, celui qui a pour patronyme le nom d’un footballeur international argentin (ce qui l’amuse) et porte le prénom d’un célèbre romancier et dramaturge français (Tristan BERNARD) occupera donc le poste, laissé vacant le temps d’un week-end, de Julia CAPEL-DUNN, partie sous les cieux ensoleillés de l’Ardèche. La jeune femme officie désormais comme secrétaire générale à la préfecture de Privas.

Venant du Puy-de-Dôme, le nouvel homme fort de l’organigramme préfectoral occupait depuis l’été 2017 la fonction de sous-préfet.

Ancien officier de l’Armée de terre (son cursus s’est bonifié par son passage au sein de l’Ecole de Guerre et par le Centre de doctrine d’emploi des forces), Tristan RIQUELME débutera la semaine en procédant à un traditionnel point presse avec les journalistes du cru. Une manière d’en connaître davantage sur le mode opératoire de la nouvelle pièce maîtresse de la préfecture qui aura à cœur de se plonger dans les dossiers en instance avec pugnacité, efficience et professionnalisme…


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