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Etonnant concours que celui-ci ! Soit la sélection départementale « d’Un des Meilleurs Apprentis de France », disputé dans la catégorie couverture en bâtiment. L’épreuve était accueillie dans l’un des édifices possédés par le CFA de l’Yonne sur la rive droite d’Auxerre. Elle aura vu au final deux de ses lauréats obtenir la médaille d’or et leurs accessits directs pour la finale nationale ! Tandis que deux des prétendants initiaux s’étaient abstenus de se présenter sur la grille du départ…consternant !

 

AUXERRE : Parfois, les concours à l’estampille d’Un des Meilleurs Apprentis de France (MAF) réservent encore quelques surprises, histoire de sortir du lot des innombrables rendez-vous de ce type qui parsèment la saison au gré des titres et des distinctions ! Bien malin qui aurait pu prévoir ce qui allait réellement se produire dans l’enceinte du pôle couverture du centre de formation du bâtiment (CFA) auxerrois.

L’épreuve accueillie en ces murs, la sélection départementale de l’Yonne, allait révéler quelques surprises afin de pimenter un challenge tout droit promis aux plus véloces et ingénieux de ces apprentis couvreurs dont les entreprises du BTP ont tant besoin afin d’honorer leurs chantiers une fois le précieux sésame – le diplôme et non le titre de MAF – dans la poche !

Primo, ils (les concurrents) devaient être initialement sept, puis cinq au départ de ce défi, d’importance dans l’existence d’un apprenti alternant. Or, à la grande surprise du maître de cérémonie et grand officiant devant l’éternel, Marc LABARDE, président du Comité départemental des Meilleurs Ouvriers de France et président de jury, ils ne furent que cinq, in fine, à s’être inscrits sur la feuille de candidature, dont deux manquaient déjà à l’appel, dès le début du concours !

Un fait surprenant qui laissa un bon moment perplexe, l’ami Marc et sa célèbre écharpe rouge qui aurait presque pu virer au noir de la colère face à ces désistements de dernière minute.

 

Un désengagement reflet de notre société ?

 

Ce 39ème concours MAF couverture aurait même pu laisser un sérieux goût d’amertume au palais du MOF président de jury. Il aurait aimé que tous les jeunes aillent dans le même sens que les deux lauréats, obtenant in fine la médaille d’or, des jeunes gens qui ont su se mettre en danger dans la réalisation de cette pièce de belle taille, soumise à l’appréciation du jury, après coup.

« J’ai constaté un grand nombre de désistements des jeunes candidats sur cette promotion, observa Marc LABARDE, est-ce que les jeunes apprentis n’ont plus envie de se dépasser dans le bâtiment ? Est-ce qu’ils n’ont pas envie de se mettre en compétition avec eux-mêmes ? J’ai peur qu’il y ait désormais un désengagement et que ce soit le reflet de notre société… ».

Sans doute, le président du jury de ce MAF couverture en bâtiment n’est-il pas très loin de la vérité !

« Nous devons en être tous conscients, poursuivit-il, et que nous devons redoubler d’efforts dans l’amélioration de ce dépassement, dans le savoir-faire et le savoir-être… ».

 

 

Deux médailles d’or synonymes de qualification nationale…

 

Un dépassement de soi en matière professionnelle synonyme de bon ouvrier et de bon patron demain mais aussi d’employabilité garantie, selon Marc LABARDE, plutôt soucieux pour l’avenir.

« Ce concours MAF couverture en bâtiment est l’un des rares dans l’Hexagone qui soit reconnu au niveau national, devait ajouter l’homme à l’écharpe rouge.

Quant aux pièces réalisées par Antoine BOBIN et Gabin RINKER LIGAULT, elles ont obtenu les meilleurs suffrages de la part des membres du jury, malgré quelques imperfections. Ingéniosité et maîtrise de la complexité auront été des atouts imparables pour obtenir le maximum d’étanchéité de la pièce de toiture travaillée, dans les règles de l’art. Avec en outre la médaille d’or pour chacun et un billet pour la finale nationale ! Une manière de sauver brillamment la face et d’être l’arbre qui cache la forêt.

 

Thierry BRET

 

 


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Il a décidé de mettre les pieds dans le plat, le député de la première circonscription de l’Yonne. En apportant son total soutien au principal du collège Jean Bertin, Olivier CHOLET, chef d’établissement de ce lieu pédagogique, implanté à Saint-Georges-sur-Baulche, au cœur de l’actualité. Elle n’est d’ailleurs pas sans rappeler celle vécue par le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris, selon le porte-voix du RN…

 

TOUCY : C’est depuis le bureau de sa permanence en terre de Puisaye que le parlementaire à l’estampille bleu marine a décidé de se positionner et de réagir à la suite de l’incident survenu lors des récentes portes ouvertes de l’établissement scolaire de Saint-Georges-sur-Baulche, le 23 mars.

Rappelons les faits qui se sont déroulés la semaine dernière : le directeur du collège Olivier CHOLLET aurait demandé à trois représentantes d’une association auxerroise, « L’Olivier 89 », de quitter l’établissement au cours des portes ouvertes car elles se présentaient à l’entrée vêtues d’un voile.

Connue depuis l’été 2023 par ses activités d’accompagnement à la réussite scolaire et à ses projets de solidarité, l’association intervient auprès des établissements scolaires de l’Auxerrois afin d’y dévoiler ses axes de réflexion auprès des familles.

Le port du voile a visiblement été le facteur déclenchant de la polémique. Si l’une des trois femmes incriminées a bel et bien retiré le tissu au centre des discussions houleuses, il n’en a rien été des deux autres représentantes de la structure associative qui se sont vues interdites l’accès à l’école secondaire. Selon le principe de laïcité, qui doit être privilégié, dixit le rectorat…Toutefois, le directeur académique a exigé que le principal présente ses excuses. Démontrant ainsi une certaine dichotomie au sein de l’Education nationale !

 

« La République ne doit pas céder à l’entrisme islamiste »

 

Il n’en fallait pas davantage pour que ce faits divers, sorte de l’anonymat et suscite des réactions de la part des figures politiques locales. A commencer par le député de l’Yonne, Daniel GRENON.

« Il est inacceptable qu'un principal de collège soit condamné par sa hiérarchie pour avoir défendu les valeurs républicaines et éviter un trouble à l’ordre public, écrit le parlementaire dans un communiqué de presse. Il a pris une décision courageuse, pourtant, au lieu de recevoir un soutien de sa hiérarchie, il est maintenant contraint de présenter des excuses, ce qui est totalement inacceptable… ».

Puis, un peu plus loin de rajouter : « La République ne doit jamais céder face à l'entrisme islamiste encouragé par certaines formations politiques islamo-gauchistes et le laxisme politique au pouvoir depuis tant d’années. Il est urgent de prendre des mesures concrètes pour renforcer la loi de 2004 et sanctuariser toutes les enceintes publiques, notamment les écoles… ».

Daniel GRENON enchaîne : « En tant que représentant élu du peuple, j'appelle fermement le directeur académique de l’Yonne à écouter le recteur de l’Académie de Dijon et à retrouver la raison. Par conséquent, il doit surseoir à cette injonction d'excuses envers le principal du Collège Jean Bertin. Nous devons défendre nos principes républicains avec détermination et fermeté, sans compromis… ».

Ni compromis, ni compromission, donc pour le député RN qui réaffirme « son engagement à soutenir les établissements scolaires du territoire dans leur mission d'enseignement et de préservation des valeurs républicaines ».

Et de conclure par la phrase suivante : « Nous devons rester unis dans la défense de notre modèle laïque et démocratique… ».

C’est dit !

 

Thierry BRET

 


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C’est à ne rien y comprendre dans cette France qui ne tourne pas toujours bien rond ! Voilà l’exemple parfait d’une belle entreprise, possédant deux boutiques à Auxerre, joliment décorées et abondamment fleuries – c’est normal, la fleur et le végétal sont leur raison d’être professionnelle -, qui peine à recruter de nouveaux collaborateurs/collaboratrices alors que les potentialités de développement existent ! Y compris en s’installant dans les départements limitrophes au nôtre. Une incongruité sans nom qui trouve pourtant son explication…dans l’absence de formation locale.

 

AUXERRE : Lorsqu’il aborde le sujet de l’emploi et des vocations, on le sent un tantinet désolé, voire courroucé Olivier LECLERC. Pourtant, celui qui aux côtés de son épouse, égaie l’existence de celles et ceux qui convolent en justes noces avec ses sublimes compositions florales, celles et ceux qui célèbrent un anniversaire de mariage ou une fête en les agrémentant des plus beaux végétaux aux couleurs chatoyantes ou celles et ceux qui accompagnent à sa dernière demeure un proche passé vers l’au-delà en fleurissant le cortège funéraire n’est pas d’un naturel pessimiste. Loin s’en faut !

Depuis quinze ans, déjà, ce professionnel de la fleur et du végétal, présentée et commercialisée dans toutes ses variantes et configurations, aime avec passion ce métier, qui lui occasionne tant de plaisirs.

Toutefois, là, sur le registre de l’employabilité de nouveaux collaborateurs – en l’occurrence des collaboratrices car il semblerait que la filière « fleur » soit à l’apanage de la gent féminine en France, à tort bien sûr -, son visage n’affiche plus le même sourire bienveillant que celui de la présentation de la seconde boutique, ouverte il y a maintenant deux ans, le long de l’avenue Charles-de-Gaulle.

Un concept store novateur, auquel il faut rendre visite, ne serait-ce que pour admirer le lieu, nimbé de lumière naturelle et regorgeant d’innombrables plantes et fleurs coupées, séchées, décoratives, stabilisées. Un endroit idéal pour se ressourcer en reprenant attache avec les merveilles créées par Dame nature.

 

 

Des boutiques au supplément d’âme évident

 

« Numéro 13 ». Le bien-nommé. Un chiffre porte-bonheur pour le couple de commerçants/artisans auxerrois qui emploie aujourd’hui huit collaborateurs au sein des deux structures. La boutique en centre-ville, si caractéristique et toujours animée en périodes festives, y compris sur les parvis. Et puis, celle de l’avenue Charles-de-Gaulle, aux quatre cents mètres carrés, judicieusement bien implantée dans un ancien site industriel.

« L’effectif idéal serait de dix personnes pour faire face à la demande croissante de la clientèle, explique Olivier, un brin pragmatique.

Une clientèle qui se décompose en différentes strates : les particuliers, le nerf de la vente, mais aussi les collectivités, les associations et les entreprises. Un melting-pot gagnant ! Rien qu’en 2023, l’enseigne a fleuri avec ses plus beaux atours 123 cérémonies nuptiales ! Qui dit mieux dans le landerneau ?

L’endroit, la seconde boutique qui est devenue le vaisseau amiral de la flottille, se présente comme un véritable parcours végétalisé. Un univers à part où il fait bon flâner, sans se préoccuper de la montre. C’est fou ce que le monde floral et végétal propose comme diversité ! E met du baume au cœur…

 

 

 

Le vide sidéral des formations en floriculture dans l’Yonne

 

Cela tombe bien, Olivier LECLERC et son épouse, aiment se démarquer. Se distinguer. Une différence assumée, certes, mais toujours dans le respect de la qualité, de la clientèle, de la politique tarifaire pratiquées, aussi. Un supplément d’âme que le couple tente tant bien que mal de transmettre aux jeunes recrues qui toquent à la porte. Des alternants, la plupart du temps, qui suivent le cursus du CAP ou du BP en s’immergeant davantage dans les arcanes de ce fantastique métier. Avec pourquoi pas, le job en guise de précieux sésame au bout du compte.

Sauf qu’il n’est guère facile de trouver, à date, des néo-apprenants qui veulent faire de la fleur et du végétal leur métier.

Un sérieux problème de recrutement qui inquiète les deux managers du magasin.

« C’est logique, explique Olivier LECLERC, les centres de formation proposant les diplômes requis pour notre filière sont implantés à Dijon, Orléans, Nevers, Montereau. Il n’y a rien dans l’Yonne… ».

 

 

Une problématique en termes d’emploi qui suppose venir s’installer dans l’Yonne, territoire pourtant d’attractivité dans certaines bouches institutionnelles mais qui ne présente pas toutes les caractéristiques de la diversité en matière d’orientation et de formation, ce qui est préjudiciable à certaines corporations. Il faudra donc revoir la copie !

Pour que le monde de la petite fleur flamboyante et de la belle plante en pamoison se ressaisisse et reprenne espoir dans l’Yonne, et suscite à défaut de réelles vocations des emplois pérennes, il serait peut-être grand temps que les acteurs de l’orientation et de la formation professionnelle se penchent réellement sur la question.

Surtout sur un marché – celui de la fleur coupée notamment – qui est en proie à un véritable dynamisme auprès de consommateurs, férus notamment de produits locaux issus de la floriculture du terroir, moins consommatrice en carbone…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Une semaine de présence sur les marchés de l’Yonne. Du moins, les plus importants. Une vraie tournée de rock star pour l’équipe communication du Conseil départemental de l’Yonne, qui durant ces sept jours d’avril tentera de ne pas trop se découvrir d’un fil avec les frimas du petit matin ! Car, dès sept heures, voire huit heures, elle sera déjà sur le pont, c’est-à-dire les marchés locaux, chers aux consommateurs de bons produits, pour y faire vivre l’esprit olympique et paralympique ! Un sacré challenge !

 

AUXERRE : C’est presque à un marathon, voire à une véritable course d’endurance à laquelle va s’atteler l’équipe du service communication de la vénérable institution départementale durant toute la semaine. Logique, c’est la Semaine olympique et paralympique dans l’Hexagone, et le Département qui en est la tête de gondole afin de promouvoir l’évènement universel sur ses terres se devait de réaliser un petit quelque chose qui sorte de l’ordinaire.

Quoi de plus naturel, en somme, que de se rendre sur les marchés – des lieux particulièrement fréquentés par les Icaunais en quête de produits nobles et de proximité à la traçabilité avérée – pour y faire souffler l’esprit olympique à quelques quatre mois des Jeux de Paris !

Place de l’Arquebuse, dès potron-minet – c’est-à-dire sept heures (anciennement six) si l’on s’en tient au changement horaire du week-end dernier -, quatre personnes du Conseil départemental de l’Yonne, celles de la communication pilotée par Fanny VAN DER HULST, installaient leur stand, non loin des commerçants qui préparaient leurs étals de fruits et légumes, sous le marché couvert.   

Objectif : y rencontrer un maximum de chalands pour leur présenter, flyers spécifiques à l’appui, la journée de la flamme, soit le 11 juillet prochain, en dévoilant quelques surprises événementielles significatives qui se dérouleront ce jour-là.

Ce sont toutes les villes relais de ce fameux trophée symbolisant depuis des siècles l’esprit pacifique et universaliste de ces Jeux qui ont été choisies pour accueillir le stand à l’estampille du Département.

Outre des documents à remettre au public, l’équipe de Fanny VAN DER HULST proposera diverses animations en liant avec les fameuses mascottes de ces JO de Paris 2024, les « Phryges ». Une manière sympathique de joindre l’utile à l’agréable…

 

 

Les marchés locaux visités

Vézelay le mercredi 03 avril de 08h à 13h

Migennes le jeudi 04 avril de 08h à 13h

Saint-Fargeau le vendredi 05 avril de 08h à 13 h

Avallon le samedi 06 avril de 08h à 13 h

Chablis le dimanche 07 avril de 08h à 14h

Sens le lundi 08 avril de 08h à 13H

 

Thierry BRET

 

 


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Week-end pascal oblige, nécessairement, l’actualité nous ramène vers les sources immuables de la croyance, pour nous autres chrétiens, avec la bénédiction papale prononcée par le Saint-Père au balcon de Saint-Pierre de Rome, dans la cité vaticane. Un temps qui se suspend, voire qui s’arrête où des hommes parlent enfin de paix, de réconciliation, de générosité, de bonté, d’altruisme…Un autre monde que celui-là ?

 

HUMEUR : « Quand les hommes vivront d’amour, il n’y aura plus de misère ; les soldats seront troubadours, mais nous, nous serons morts mon frère… ».

Qui ne se souvient pas de cette œuvre mirifique portée par les voix des trois figures québécoises de la chanson francophone, Félix LECLERC, Gilles VIGNEAULT et Robert CHARLEBOIS ?

Et si ces trois-là avaient eu raison en interprétant ce texte si profond, voire bouleversant ?

Verrons-nous, vraiment un jour, la fraternité gagnée enfin l’esprit des hommes de cette planète en totale déliquescence ? La paix retrouvée dans certaines parties du monde, totalement meurtries par la bêtise et la folie des hommes désireux de plus de pouvoir. La joie à partager dans les cœurs de celles et de ceux qui souffrent dans leur quotidien, à cause de la pauvreté, de l’absence d’emploi et de considération…de la maladie et de l’injustice, aussi.

A voir, la foule des grands jours envahir la place de Saint-Pierre-de-Rome en cette période de célébration des fêtes pascales, on ne peut que constater qu’ils sont très nombreux à croire en cela. Venus de toute la planète, même des endroits les plus reculés de la chrétienté. Une utopie ?

Une chrétienté de plus en plus malmenée dans ce monde où l’obscurantisme revient avec la vitesse grand « V ». Il n’y a pas que les chrétiens d’Orient qui sont dans la souffrance, désormais, d’autres ailleurs de par le monde vivent les mêmes angoisses, les mêmes craintes, les mêmes peurs.

 

 

Pourtant, croire, cela n’a jamais fait de mal à personne. Quelle que soient les religions d’ailleurs ! Monothéistes ou pas, car la croyance a toujours habité l’humanité depuis que le monde est monde. Et il en sera sans doute ainsi durant très longtemps…

Croire (en qui ou en quoi que ce soit) permet sans doute à bon nombre de Terriens de vivre mieux dans leur tête, dans leur âme et dans leur quotidien. Tant que cela apporte du bien-être et du positif, autour de nous et en nous.

La croyance aveugle et fanatique n’est en revanche qu’une usurpation qui conduit aux actes les plus fous, parfois sanguinaires.

On connaît la chanson, avec ce quotidien de plus en plus plombé par cet intégrisme religieux, politique, directif qui envahit notre univers. Une menace pour notre existence…et nos libertés.

« Quand les hommes vivront d’amour… » : cette complainte est à réécouter cent fois pour mieux croire en un monde meilleur, on peut toujours espérer !

 

Thierry BRET

 

 


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