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La montagne a donc accouché d’une souris. Un minuscule rongeur, bien sage et  inoffensif qui a disparu dans un infime interstice du…Palais Bourbon pour ne plus réapparaitre de sitôt ?! Beaucoup l’espèrent, en vain !

Tout ça pour ça, in fine ! Quinze jours de palabres inutiles, de calembredaines à n’en plus finir, d’invectives pitoyables et d’insultes loufoques à qui mieux mieux, de noms d’oiseaux et de fausses crises de nerf pour arriver au dénouement inattendu d’une tragicomédie qui ne fait rire plus personne dans l’Hexagone : le texte du projet de réforme des retraites n’a pas été voté à l’Assemblée nationale !

Pire, à minuit tapante, puisque tel était le verdict de cet examen de projet législatif saupoudré du syndrome de Cendrillon et de sa fameuse citrouille temporelle devant disparaître des radars, le fameux article sept, celui relatif à l’âge de départ à 64 ans, tant contesté depuis plusieurs semaines par des millions de Français qui battent le pavé dans les rues de l’Hexagone, n’a pu être abordé légitimement lors de ces échanges si « instructifs », traduisant la pauvreté, la médiocrité et la stérilité des débats proposés dans l’hémicycle.

Un semblant de démocratie dont se souviendront longtemps les électeurs de ce pays ô combien cocardier et fiers de l’être. Et ce, dès les prochaines échéances électorales à venir ?  

 

 

Une France coupée en deux : celle de la rue qui travaille et celle qui légifère…

 

Quinze jours à peine pour examiner un projet de réforme aussi fondamental que celui-ci que rejettent pourtant 71 % de nos concitoyens, y compris une large frange de retraités. Ne parlons pas des cadres, des indépendants, des professions libérales, des étudiants, des artisans, des commerçants, des représentants de la société civile, des fonctionnaires qui ont décidé de faire cause commune dans ce combat idéologique aux côtés des ouvriers, des employés, des enseignants  et de leurs syndicats !

A croire que la fracture sociale entre une France coupée en deux – celle au faite de la situation puisque la vivant et la subissant au quotidien dans le monde du travail – et celle devant la légiférer sous les ors du Palais Bourbon est bien réelle !

La déception est immense quant à la nature de ces retrouvailles parlementaires et des débats constructifs qui doivent y être associés qui aura achoppé tristement sur l’examen des articles principaux de ce texte.

D’ailleurs, sitôt le couperet tombé à l’heure dite, vendredi soir à minuit, les têtes de file du syndicalisme à la française n’ont guère tardé à réagir et à montrer leur désappointement, à défaut leur colère.

 

 

A commencer par le patron de la CFDT, Laurent BERGER : il ne s’est pas fait prier pour mettre les pieds dans le plat de la protestation, criant au scandale et à la honte après une telle tartufferie qui n’aurait pas déplu au sieur Molière et à ses inspirations pamphlétaires.

Fustigeant l’attitude des députés, le responsable de la CFDT a jeté l’anathème sur les parlementaires de toute obédience qui, selon lui, « n’ont pas pris en considération les demandes répétées des Français au cours des différentes manifestations publiques orchestrées depuis le début de l’année en France… ».

En sus, la séance de vendredi soir devait se terminer dans une confusion totale, un brouhaha chaotique insupportable, un capharnaüm indescriptible que même nos chères têtes blondes de niveau de la maternelle n’oseraient pratiquer dans leur cour d’école car réprimandés par le regard sévère de leur maîtresse !

 

 

Seul point positif après une dizaine de jours de débat : le timing y mettant un terme !

 

Pendant ce temps-là, les Français actifs et les retraités qui comptent beaucoup sur la revalorisation de leurs pensions à 1 200 euros brut mensuelles sont « gros Jean comme devant », en bons spectateurs groggys qu’ils sont de la chose publique.       

Le seul point positif de cette dizaine de jours de débats insipides et entravés par des milliers d’amendements à la pelle, déposés par les élus zélés de la NUPES dans le seul but de faire obstruction et barrage à toutes discussions intelligibles, aura été le respect du timing stricto sensu de l’examen du projet de réforme, imposé par la Constitution à la seconde près, soit minuit pile ! C’est tout dire !

Toutefois, peut-on raisonnablement être sérieux, du côté du gouvernement, en accordant aussi peu de délai aux parlementaires du Palais Bourbon pour débattre en leur âme et conscience du bien-fondé de ces différents articles prévus par ce texte, ayant une incidence aussi considérable sur l’existence de la majorité des Français ?

Pas sérieux s’abstenir, aurait-on dû placarder dans la salle des «pas perdus » de l’édifice étatique menant à l’hémicycle ! Juste à côté de la pancarte, « le 49.3, c’est pour bientôt ! ».

Seuls deux articles de ce projet de réforme dont celui se rapportant à « l’index senior » devant s’appliquer aux entreprises non coopératives envers les quinquagénaires et les sexagénaires, qui par ailleurs a été proprement rejeté par l’Assemblée à la stupéfaction de la majorité présidentielle, auront été examinés par l’auditoire parlementaire.

Le plus important d’entre eux, nous l’avons dit, celui de l’âge de départ à 64 ans, n’a pu être débattu publiquement et s’en va ainsi comme une lettre à La Poste – sans le timbre rouge pour ne pas aller trop vite ! – vers le Sénat qui, dans sa grande mansuétude, va prendre le relais de son examen avec davantage de sagesse et de discernement ? On ne peut que l’espérer !

Reste que l’image désolante renvoyée par cette Assemblée nationale en ébullition n’est pas digne de la démocratie et du respect de ses valeurs. Ni envers ces citoyens, ces millions de Françaises et de Français qui ont pour la plupart la tête sur le billot dans l’attente de connaître enfin leur triste sort et savoir à quelle sauce ils seront finalement mangés entre un départ à la retraite de plus en plus tardif, des pensions qui s’amenuisent, des salaires en berne, une inflation galopante, une paupérisation accrue, une flambée des prix persistante, une progression des injustices, une fracture sociale devenant abyssale…La liste n’est pas limitative !  

Des Français, lassés mais aussi en colère par ce spectacle parlementaire indigeste  et saugrenu, bien loin de la réalité du terrain et dépités devant ces énièmes bagarres politiciennes de chiffonniers en col blanc et en pulls qui ne les font même plus rire…Pathétique !

 

Thierry BRET

 

 

C’est le fruit de cinq années d’âpres négociations. Cinq longues années qui furent passablement perturbées par l’omniprésence de la COVID ; ce qui devait entraîner son lot de retards intempestifs et parfois de légitimes frustrations. Mais, cette fois-ci, le dirigeant de la filiale asiatique de LOGI Yonne, Didier MERCEY, n’aura pas effectué le voyage en terre vietnamienne pour rien. La convention de partenariat a pu être enfin paraphée entre les signataires ce 15 février. Et concrétiser ainsi les futurs échanges estudiantins tels que le souhaitait l’entrepreneur du Sénonais…

 

DANANG (Vietnam) : Cette fois, la chose est entendue entre l’Université du Havre-Normandie et l’Institut polytechnique de Danang. La convention de partenariat unissant désormais ces deux entités a bel et bien été ratifiée par ses signataires à l’autre bout de la planète, aux antipodes du territoire de l’Yonne, alors que l’un des participants à cette cérémonie protocolaire inhabituelle n’était autre que Didier MERCEY, la figure de proue du Port de GRON et de la société exploitante locale, LOGI YONNE.

Il aura donc fallu cinq années de lentes négociations, perturbées par les soubresauts épidermiques d’une pandémie sanitaire internationale, la crise de la COVID 19, pour que le projet né de l’imaginaire fécond du chef d’entreprise de l’Yonne n’aboutisse concrètement. Un entrepreneur qui connaît particulièrement bien le Vietnam puisqu’il y a érigé sur le sens vertueux des affaires et avec le concours de son partenaire local, la société commissionnaire de transport ASIA TRANS, sa filiale locale, implantée à Danang, LOGI VIET France.

 

 

Un rôle d’ambassadeur privilégié de la Chambre de Commerce et d’Industrie à l’international…

 

L’adhésion de la structure au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie française présente au Vietnam a permis à Didier MERCEY de jouer le rôle d’ambassadeur privilégié de l’Hexagone au développement de l’économie et de ses dérivés, dont la formation et l’enseignement supérieur, dans le pays du Dragon.

S’appuyant, par ailleurs, sur des compétences intellectuelles vietnamiennes au sein de sa jeune filiale asiatique qui rayonne sur les pays du Sud-Est de ce continent, le patron de LOGI Yonne a toujours souhaité dans le cadre de ce partage de culture initier des ponts pédagogiques entre les deux pays, la France et le Vietnam où il réside désormais plusieurs mois de l’année en compagnie de son épouse et de ses enfants.

Un atout majeur pour ces jeunes diplômés qui peuvent ainsi maîtriser à la perfection les deux langues que sont l’anglais et le français, entre des séjours d’immersion d’un continent à l’autre.

Dans l’absolu, la convention de partenariat qui lie désormais l’Université du Havre-Normandie à l’Institut polytechnique de Danang favorisera les échanges de ces étudiants en soif de découverte pédagogique et d’aventures dans le domaine de logistique dans les prochaines semaines. Du pain bénit pour ces ingénieurs qui vont ainsi renforcer leurs connaissances intellectuelles. Avant de rejoindre, pourquoi pas, l’équipe de LOGI VIET France ou celle de LOGI Yonne ?

 

Thierry BRET

 

 

De notoriété internationale, la Coupe Georges BAPTISTE représente aujourd’hui encore, 62 ans après sa création, une incontournable référence des arts de la table, en tant que plus vieux concours de service en salle destiné à auréoler les professionnels. Une épreuve à laquelle participera, le 04 mars à Orléans, la jeune Auxerroise. Elle a obtenu le précieux sésame après sa victoire à la sélection régionale…

 

AUXERRE : Elle se prénomme Eléna. Sans le « H » habituel. Mais, avec le sourire de circonstance. Celui d’une gagnante ayant su valoriser l’excellence et ses valeurs inculquées par les équipes pédagogiques du lycée des métiers de l’Yonne, Vauban. Elève de classe de première, section bac professionnel, la jeune Auxerroise vient de se distinguer de la meilleure des manières en Saône-et-Loire, en enlevant le concours régional de la Coupe Georges BAPTISTE. Avec en sus, la qualification pour aller se frotter aux meilleures de la catégorie, avec toutes ses chances, lors de la finale hexagonale accueillie dans le Loiret, à Orléans. Ce sera le 04 mars, date à biffer sur les agendas pour ses supporters !

L’élève de l’enseignante, Mélissa POULET, aura donc su se transcender et réaliser des prouesses au cours de l’épreuve écrite et celle de la pratique, articulée autour d’un axe de commercialisation et des accords subtils à connaître entre les mets et les boissons.

Et à ce petit jeu, Eléna MONATE en digne représentante du lycée qui l’accueille depuis plusieurs années aura fait des merveilles ! Il ne lui suffit plus que de réitérer son savoir-faire, début mars à Orléans, pour espérer décrocher le Graal puisque la finale nationale portera sur les mêmes épreuves que les sélections délocalisées dans les régions. Voir ci-dessous pour connaître ces épreuves dans le détail.

 

Une compétition d’une rare exigence : la Coupe Georges BAPTISTE…

 

Le service en salle demeure l’une des spécialités de notre contrée. A travers « La Côte Saint-Jacques », chère à la famille LORAIN, mais aussi d’autres établissements, les grandes maisons ont su mettre en lumière le travail effectué par ces acteurs indispensables de ce service en salle avec des esthètes répondant aux patronymes de Guillaume FAVREAU, Philippe CAILLOUET et Sébastien CAVAILLES, tous deux « Meilleurs Ouvrier de France », option « Maître du service et des arts de la table » après avoir gagné cette compétition en qualité de professionnels. Une compétition d’une rare exigence qu’est la Coupe Georges BAPTISTE.

D’ailleurs, ce même Sébastien CAVAILLES, n’est-il pas désormais le vice-président de ce concours !

« J’ai souhaité m’investir pour la profession et permettre aux jeunes élèves et professionnels de valoriser ce beau métier du service, explique-t-il.

Un professionnel qui est également impliqué dans le tissu local avec « Gourmand’Yonne », une structure associative qui met en lumière les producteurs, les artisans et les épicuriens tant dans la transmission que la tradition. Il a troqué ses couteaux de tranches de « La Côte Saint-Jacques » pour enseigner et transmettre sa passion au lycée des métiers Vauban à Auxerre. Un établissement dirigé par Capucine VIGEL, ardente défenseuse des valeurs de l’excellence. Et comme le précisera Sébastien CAVAILLES en guise de conclusion : « Sur les flots de l’Yonne, le « service » ne reste pas à quai et se met sur le devant de la scène… ». La belle formule, il est vrai !

 

 

En savoir plus :

 

Sébastien CAVAILLES remercie également les différents partenaires nationaux (Eurolam, Bragard, Linvosges, Robur, Valrohona, Degrenne, Philipponnat, Malongo, Un Œil en salle…) mais aussi les locaux (Le Borvo, Valour-Lemaire, Denaux, La Chablisienne, Métro, Fayyar, Maddam, Védrenne, Domaine Michelle Philipon, Domaine Brocard…) qui permettent aux jeunes de se perfectionner dans les concours tant dans la visite des entreprises pour mieux comprendre le terrain que dans la réalisation technique.

 

Les épreuves de la Coupe Georges BAPTISTE

 

A L’épreuve écrite : porte sur 5 thèmes

- Le parrain : Christophe DELMOY groupe Grape Hospitality

- Des châteaux de la Loire " Chenonceau, Chambord, Azay Le Rideau"

- Les produits régionaux : Région Centre

- Les eaux minérales du groupe Danone France 

- La maison Philipponnat et l'élaboration des vins de Champagne

B Les épreuves pratiques autour d’un axe de Commercialisation et d’accords mets boissons :

1 Argumentation commerciale (mets et vins)

Prise de commande à partir d’une carte imposée avec  Notions d’anglais

2 Épreuve technique : Atelier découverte olfactive des produits

Reconnaître de manière olfactive 3 liqueurs ou eaux de vie en verres noirs

3 Poissons :

Flamber, dresser des gambas « façon amoureuse »

4 Viandes :

Trancher, servir une côte de bœuf, garniture Pommes Macaire, Proposer, servir à l’anglaise les produits de la maison « Pouret »

5 Fromages :

Réaliser une vinaigrette, puis dresser un chavignol chaud sur une salade de mâche,  avec les produits de la « Maison  Pouret »

6 Desserts :

Flamber, dresser une poire à l’eau de vie de poire d’Olivet, Finir à la fève de Tonka de la maison « Terre exotique »

7 Bar :

Réalisation d'un cocktail  « clin d’œil » à base de bière locale, issu du carnet des cocktails contemporains  Références : APEB-MCB.fr

 

Thierry BRET

 

Pierre PALMADE défraie tristement la chronique aujourd’hui. De nombreux membres du show-biz ont tenu à afficher leur  soutien à leur collègue, dès l’annonce de l’accident. Puis, devant l’ampleur du drame, la mise en cause de l’humoriste et la révolte des réseaux sociaux, qui s’indignaient à juste titre, les édiles du spectacle nous ont joués un remake de « courage fuyons », en retirant leurs tweets… Journalistes, politiques et anonymes sur la toile se sont ensuite acharnés sur celui qui hier, ressemblait plus à une idole, qu’à un épouvantail ! Le cas « PALMADE » ou la complaisance des artistes, des politiques et du monde, pour l’intérêt de la drogue dans le cadre de la création artistique !

 

TRIBUNE : On pense souvent, à tort, que l’argent et la gloire font le bonheur. Pourtant, le milieu artistique est reconnu comme étant l’un des domaines où l’on retrouve le plus de personnes dépendantes aux drogues. Tous ont hélas admis que la prise de drogue est nécessaire à la création artistique. Opium, mescaline, cocaïne, alcool… autant de substances aux effets plus ou moins recherchés, que certains artistes se sont empressés d’essayer à des fins pas toujours médicamenteuses.

Flirtant entre hallucinations et folie, les drogues et leurs effets en ont inspiré plus d’un, à l’instar de Francis PICABIA, les opiacés à l’œuvre, punk avant l’heure, dandy dada puis surréaliste. C’était un provocateur inventif, adepte de drogue en tout genre. Henri MICHAUX, peintre, écrivain et poète de son état, cultivait un faible pour la mescaline ! La substance hallucinogène aux effets synesthésiques.

 

Un moyen éthéré de trouver sa source d’inspiration…

 

Antonin ARTAUD connut la drogue à la folie. Le grand dramaturge du théâtre a noué tout au long de sa vie une addiction profonde pour l’opium et ses déclinaisons exotiques, héritée d’une méningite précoce qu’il combattit en s’oubliant dans les univers parallèles de la chimie. Explorateur infatigable au royaume des substances, Antonin ARTAUD découvre au Mexique une drogue nouvelle, le peyotl, à laquelle des chamanes l’initient. Jeanne SUSPLUGAS ou la  pharmacopée inspirée : on trouve chez elle de « Lexomil », des médicaments à revendre, des boules à facettes moulées à la forme de la structure chimique d’anxiolytiques ou d’anesthésiques, ou des néons à la gloire du « Doliprane »…

Johnny HALLYDAY entre dysfonction érectile et spectacles à gogo, il se gave de cocaïne, d’anabolisants… Johnny n’a jamais caché son addiction à la cocaïne, sans parler de l’alcool !

« Mais comment aurai-je mon opium ?» se serait exclamé Jean COCTEAU en apprenant l'ordre de mobilisation générale de septembre 1939. Écrivain, dramaturge, poète reconnu, cet homme de cinquante ans est aussi un opiomane patenté, qui entretient depuis 1924 avec la drogue un flirt aussi poussé que douloureux.

De grands auteurs ont été tentés par l’opium. Cette drogue qui leur offrirait un monde nouveau. Le génie apparaît là où le talent rencontre la folie. Cette extase emporte l’auteur dans une dimension étrange aux possibilités infinies. Plus de limites au monde ni à la création ! Plus de limites aux mots ou aux images ! Parmi les « addicts » de l’héroïne et du hachich, on peut citer : Baudelaire, Rimbaud, Gérard de Nerval, Verlaine, Théophile Gauthier, Françoise Sagan et bien d’autres…

 

 

 

Le mix substances illicites et alcool du meilleur effet…destructeur !

 

Pour beaucoup, c’est l’addiction à l’alcool qui les gouverne : le chanteur François DEGUELT (« Il y a le ciel, le soleil et la mer ») reconnaît publiquement son penchant pour l’alcool en justifiant son attitude et préciser qu’il ne connaissait pas d’artiste qui ne buvait pas. Pour Gérard DEPARDIEU, c’est aussi un vice qui traduit son mal-être. Que dire d’un Serge GAINSBOURG qui au final n’est invité sur les plateaux TV que parce qu’il est ivre… Une grande question : est-ce que la prise de drogue amoindrit la performance artistique ? A chacun de répondre en son âme et conscience…

Et les politiques dans tout ça ? On se doute que certains hommes politiques ont recours à des substances illicites. Pascal PRAUD affirme sur CNEWS, le 14 février au soir : « Les hommes politiques se droguent aussi ». Telle quelle, cette affirmation est inadmissible, Monsieur PRAUD ! Votre annonce n’est plus de l’information : pas de nom (et pour cause), aucune preuve ou témoignage d’expérience ! Le plus grave, c’est que tout le monde peut aisément l’admettre mais vous jetez l’opprobre sur un groupe qui n’a pas besoin de ça pour l’instant … On notera au passage que nos braves élus mettent en place des contrôles de plus en plus drastiques pour l’alcool mais restent assez timides en ce qui concerne les drogues en tout genre.

Chez les sportifs, il existe une certaine indignation du public pour le dopage. Il aura fallu la mort du cycliste britannique Tom SIMPSON, filmée en directe sur les pentes du mont Ventoux, pour que le cyclisme prenne des mesures drastiques concernant le contrôle antidopage. On pourrait suivre l’exemple du football américain : beaucoup se droguent, aucun contrôle, car cette activité n’est pas cataloguée comme « sport » mais comme « spectacle ». Ce qui induit que les artistes peuvent se droguer…Pour les artistes, les sportifs et les hommes politiques, beaucoup admettent sa dimension incontournable. Certains la tolèrent mais peu la combattent.

 

 

Le trafic de drogue un risque pour notre démocratie…

 

Quelles sont les conséquences des drogues dans la société ? D’abord des risques sociaux avec la marginalisation, les violences commises sous l'effet d'un produit. En cas d'usage répété de substances, les sensations agréables initialement recherchées font place à de l'angoisse, voire à des sentiments de panique et de perte de contrôle de sa consommation. Ce sont aussi des risques sanitaires : les adeptes des drogues en tout genre, et on peut inclure le tabac, ont des effets extrêmement nocifs sur la santé et la prise en charge médicale à un coût non négligeable.

Des risques financiers : aujourd’hui ce sont 4,2 milliards d’euros, selon les derniers calculs de l'INSEE, qui ont été dépensé par les Français en 2020 pour s'approvisionner en cannabis, cocaïne, héroïne, crack et autres produits stupéfiants.

En décembre 2020, le ministère de l'Intérieur dénombrait 4 000 supermarchés de la drogue, ou « fours » dans le jargon des trafiquants. Selon l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives, le nombre d'amateurs réguliers, s'adonnant en moyenne dix fois par mois à leur goût du cannabis, s'élèverait à 1,4 million. Les adeptes plus occasionnels seraient, eux, 5 millions. Près de la moitié des adultes y auraient déjà goûté. Ces chiffres placent l'Hexagone en tête du classement européen des pays consommateurs, devant le Danemark et l'Espagne.

Les trafiquants aujourd’hui, imposent leur loi et les pouvoirs publics semblent impuissants, et pour le moins limités dans leurs actions possibles !

Des zones de non-droit gangrènent peu à peu le territoire national et des enfants délaissent l’école pour épauler les trafiquants (des guetteurs). Les jeunes adultes préfèrent l’argent facile de la drogue au travail…

Plus inquiétant : l’INSEE intègre le poids de la drogue dans le calcul PIB ! La drogue dope le PIB avec 2,7 milliards engrangés et 0,1 % de la richesse nationale. Sidérant et stupéfiant, sur le plan de l’éthique en politique, mais significatif de la mentalité ambiante. Dans ces conditions, on se demande bien pourquoi l’INSEE refuse d’intégrer la prostitution dans les chiffres officiels !

En définitive, le cas « Pierre PALMADE » va permettre de remettre sur la table les problèmes de la drogue dans sa globalité et de ses interactions. N’oublions pas que  dans notre système, on juge des hommes qui ont commis des actes. Si on ne jugeait que des actes, il serait alors plus simple d’engager dans l’ordinateur, la fiche du délit commis, et la sanction tomberait automatiquement.

Heureusement nous n’en sommes pas là ! Alors, que pour Pierre PALMADE, la justice passe, toute la justice, rien que la justice mais pas la vengeance ! 

En France, tout commence et tout finit par une chanson, alors je ne résiste pas à l’irrépressible envie de plagier une célèbre chanson de SHEILA : « Comme les rois mages en narguilé, fumaient un joint avant d’aller snifer… » !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

La fibre arrive chez vous ! Enfin, dirons les plus pressés d’entre nous qui en perdent presque patience ! Tant mieux, rétorquerons les autres qui y voient un maximum d’avantages à y gagner à terme ! Toujours est-il que le Département de l’Yonne a décidé de passer à la vitesse supérieure depuis le début de la saison, faisant de 2023 LA grande année de déploiement permettant à tous d’accéder à la technologie numérique…

 

COURTOIS-SUR-YONNE : Forcément, les sourires s’affichent sur les visages ravis des élus qui posent pour la postérité sur la photographie du jour ! Le déploiement de la fibre optique se poursuit sur le territoire de l’Yonne. Preuve nous en a été donnée, jeudi, avec l’inauguration du dernier SRO – l’acronyme se convertit en sous répartiteur optique – dans la commune de Courtois-sur-Yonne.

Au-delà des secteurs couverts par l'initiative privée, deux réseaux complémentaires dits d'initiative publique (BFC Numérique et YCONIK by Altitude Infra) sont construits pour servir l'ensemble des communes du département et leurs habitants.

 

 

 

Hier, dans le Sénonais, le dernier nœud intermédiaire de la boucle locale en aval duquel chaque usager est desservi par une fibre optique (le fameux SRO) a été posé dans la commune. Un dispositif qui permet d’alimenter jusqu’à 500 foyers. Une opération réalisée dans le cadre du programme de déploiement du réseau d’initiative publique BFC Numérique. A terme, cet équipement raccordera environ 330 foyers mais également des entreprises et des sites publics.

On notera la présence de Pascal HENRIAT, vice-président du Département de l'Yonne en charge du numérique, Eric BERTHAULT, premier élu de Courtois-sur-Yonne et Lionel TERRASSON, conseiller départemental du canton de Villeneuve-sur-Yonne.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

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