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Puisaye Forterre

Il l’a dit sans ambages, ce fut un moment très agréable pour lui. Il le doit au sénateur de l’Yonne, Jean-Baptiste LEMOYNE. C’est lui, en effet, en sa qualité de parlementaire de notre département qui a invité le ministre de l’Aménagement du Territoire et de la Décentralisation, le Dijonnais François REBSAMEN, à venir échanger avec les élus de l’Yonne sur les enjeux des collectivités locales, des élus réunis en assemblées générales dans le cadre de l’AMF 89, l’Association des Maires de France. Une immersion du ministre lors du déjeuner, accueilli dans les celliers de l’hôtel de la préfecture…

 

AUXERRE : Bon, il aura fallu patienter un peu avant de prendre connaissance des messages de l’ancien maire de Dijon, François REBSAMEN. Un retard d’une bonne trentaine de minutes, imputable à un petit détour par le Sénat en amont de sa visite icaunaise, pour l’hôte illustre du jour devant honorer de sa présence la traditionnelle assemblée générale de l’AMF 89, l’Association des Maires de France en variante départementale, réunie à l’heure du déjeuner dans les celliers de l’hôtel de la préfecture. Ou de l’hôtel du Département comme se plaisait à le narrer, non sans un zeste d’humour qui le caractérisait, le regretté président de l’institution territoriale, Patrick GENDRAUD.

Soucieux de rencontrer des élus de terrain, celles et ceux de l’Yonne qui constitue l’un des départements de la Bourgogne Franche-Comté, le président de Dijon Métropole et surtout membre du gouvernement en qualité de ministre de l’Aménagement du Territoire et de la Décentralisation n’aurait manqué sous aucun prétexte ce rendez-vous en terre limitrophe, répondant ainsi à l’invitation de l’ancien ministre du Commerce et des PME Jean-Baptiste LEMOYNE et de Mahfoud AOMAR, président de l’AMF 89.

 

 

Un léger retard totalement justifié

 

Un moment aux côtés des élus de l’Yonne que le ministre bourguignon qualifiera de très agréable. « Je vais vous faire une déclaration d’amour, plaisanta François REBSAMEN, j’aime les maires ! Il y a encore trois mois, j’étais maire de Dijon. Et je suis persuadé que malgré les souffrances psychiques et psychologiques, voire physiques que vous pouvez rencontrer, et face aux exigences de nos concitoyens, je suis convaincu que le mandat de maire reste le plus beau des mandats. C’est celui où vous pouvez agir concrètement sur la vie des administrés… ».

Evoquant les difficultés financières – autre nœud gordien pas facile à gérer dans une mandature de maire -, le représentant du gouvernement BAYROU insista sur les efforts réalisés par l’Etat, soutenu par le Sénat, cette année pour que les prélèvements sur les recettes des communes soient très fortement diminués. Une ponction qui selon lui a été divisée par trois.

Quant à son « léger » retard, le président de Dijon Métropole y reviendra lors de sa prise de parole, écoutée attentivement par Mahfoud AOMAR, le président du Département Grégory DORTE et le préfet de l’Yonne Pascal JAN.

« Il ne faut pas m’en vouloir, s’excusa-t-il, avant de venir dans l’Yonne, je suis passé par le Sénat car je porte un dossier auquel je tiens énormément, c’est la simplification… ».

 

 

 

Alléger les procédures administratives pour les maires 

 

Réaction de joie immédiate de la part de l’assistance à l’évocation de ce mot « magique » ! S’en suivirent de longs applaudissements qui résonnèrent sous les voûtes patrimoniales des celliers de l’hôtel de la préfecture.

« Quand j’en parle à des maires aujourd’hui, ils me disent tous : rendez-nous la vie plus simple ! Je vais le faire ! Avec les sénateurs, ce matin, nous avons beaucoup avancé sur le sujet… ».

Enthousiaste, le ministre a même souhaité l’aide des élus présents dans la salle. « Vous pouvez m’aider ! Vous pouvez écrire à mon conseiller chargé des élus toutes vos idées de simplification. Je les étudierais toutes, j’en prends l’engagement ! ».

François REBSAMEN est-il reparti avec une besace de simplifications émanant des élus de l’AMF 89 ? On ne le sait ! En tout cas, il aura retenu l’attention de celles et ceux des édiles qui assistèrent à la « déclaration d’amour » du ministre envers les maires !

« Il faut alléger tout cela et redonner de la simplification à notre système administratif national comme en Allemagne où les délais sur les phases d’étude sont nettement plus courts, ajouta l’orateur.

Autre sujet qui retint l’intérêt des élus de l’Yonne : le renfort des statuts de l’élu de proximité.

« Nous allons voter un statut de l’élu. Il prendra en compte notamment le statut des élus des petites communes rurales. Vous allez être allégés de certaines obligations administratives. On va vous aider à avancer avec vous… ».

Nouveau tonnerre d’applaudissements au terme de cette brève intervention où François REBSAMEN remerciera l’assemblée avant de dire « Je vous aime, continuez de travailler et comptez sur moi ! ».

In fine, déjà 72 propositions de simplification ont été répertoriées par un élu dont c’était la mission, une cinquantaine ont été acceptées et transmises au Sénat pour étude. Vingt-deux supplémentaires ont été ajoutées. Bref, le chantier de la simplification pour les maires semble enfin lancé en France. Les élus devraient en voir les premiers effets dans les semaines à venir.

 

Thierry BRET

 

 


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Dur, dur, d’être un bébé ! C’est JORDY qui chantait çà en 1992. Une ritournelle qui aura bercé longtemps les oreilles des auditeurs français avec un thème traité sur le mode humoristique sur les conditions existentielles complexes de nos jeunes pousses en devenir ! Bon, qu’on se le dise, ce ne sera pas l’hymne de ce 6ème Salon du Bébé et de la Petite Enfance 2025 concocté par le KIWANIS Ycaunae de Sens. Peut-être que les nombreux visiteurs auront cet air-là qui leur trottera dans la tête lors de leur venue ce samedi 05 avril, salle René Binet !

 

SENS : Ici, on accueille les parents, les futurs parents, les oncles, les tantes, les cousins, les cousines, les grands-parents, les aïeuls…Bref, tout ce qui compte dans la composition d’une famille de base, sans oublier les…enfants ! Qu’ils soient petits, voire un peu plus grands, naturellement ! Fort de ces succès observés lors des éditions précédentes, le Salon du Bébé et de la Petite Enfance pose ses valises pour la sixième année dans la salle des fêtes de la sous-préfecture septentrionale de l’Yonne. Un rendez-vous à la fois familial – il ne pouvait en être autrement – mais également convivial.

A la baguette, un club service. L’insigne au revers du chemisier ou de la veste car il est féminin, est celui du KIWANIS. Nom de baptême : YCAUNAE. Sémantique originelle : ICAUNA, déesse de la rivière Yonne, célébrée dans la religion païenne gallo-romaine bien avant le christianisme. Le club service de Sens se nomme donc KIWANIS YCAUNAE SENS. En abrégé : KYS. Rien à voir avec les musiciens du célébrissime groupe de hard-rock (KISS), dont la signification, vous l’aurez compris, est tout autre : le baiser !

 

De quoi s’instruire et s’éduquer au rôle de parents

 

Mais, justement des baisers et autres bisous, il y devrait y en avoir à foison avec toute cette progéniture (les bébés et la petite enfance) qui se retrouvent ainsi au centre de cette actualité généreuse, orchestrée par les membres du KYS Sénonais. Bien sûr, les visiteurs y retrouveront tout ce que compte la filière professionnelle intervenant sur ce thème : ceux de l’accouchement (il faut bien commencer par un point de départ) à ceux de la puériculture, de la santé et de l’éducation. Tous seront là pour y prodiguer conseils et préconisations, répondant ainsi à toutes les interrogations des parents ou futurs parents. D’ailleurs, la plupart de ces professionnels interviennent au sein du département Femme Mère Enfant, la nouvelle entité du centre hospitalier local.

 

 

En parallèle, les visiteurs pourront assister à des conférences, voire des démonstrations sur des sujets variés tels que les gestes des premiers secours – toujours très utiles, il est vrai -, la nutrition, l’éducation, l’accueil des enfants, la préparation à l’arrivée d’un nourrisson…Des animations orientées vers les adultes.

Du côté des bambins – il y en aura logiquement ! -, l’organisation s’appuie sur ses partenaires pour rendre attractifs les espaces de jeux et autres ateliers créatifs pour les plus petits, notamment. Une plage d’activité est même consacrée aux massages…

 

L’euro symbolique pour l’entrée mais utile pour l’hôpital de Sens

 

Unique salon de la région organisé autour de cette thématique pourtant essentielle de la structure familiale, ce rendez-vous qui s’articule en priorité sur des offres de services et de prestations pour les enfants âgés de 0 à 7 ans sera ouvert à partir de 10 heures, samedi, pour mieux s’achever aux alentours de 18 heures. Un droit d’entrée, certes symbolique d’un euro mais ô combien précieux pour le département Femme Mère Enfant de l’hôpital de Sens, sera demandé aux visiteurs, sauf aux enfants. Une façon astucieuse pour les adhérentes du KIWANIS YCAUNAE de réaliser leur action sociale ! Il sera même possible de se sustenter sur place et de réchauffer les biberons des plus affamés !

 

Thierry BRET

 

 


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Sans surprise, son communiqué de presse est tombé sur les bureaux des rédactions aux premières heures de la soirée de lundi. Avant un passage télé et un autre sur les ondes de Sud Radio, dès le lendemain. Condamné dans le cadre du procès des assistants parlementaires du Front National à un an d’inéligibilité sans exécution provisoire et à huit mois de prison avec sursis, le député de la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL, a décidé de faire appel de la décision du tribunal correctionnel de Paris.  

 

SENS: « Notre démocratie est en voie d’effondrement, des millions de Français ont été éliminés politiquement par tous les moyens et même les pires par le système… ». Face à Jean-Jacques BOURDIN, sans langue de bois et animateur vedette de la matinale de Sud-Radio, Julien ODOUL n’a pas assez de mots pour qualifier le coup de tonnerre vécu par la formation mariniste, lundi 31 mars en milieu de journée. « Une journée funeste pour la démocratie » avait ainsi argué quelques heures auparavant sur le plateau de TF1 la présidentiable de 2027.

Et Julien ODOUL de fustiger la décision du tribunal correctionnel de Paris : « Nous sommes victimes d’un acharnement judiciaire et d’un coup d’Etat des juges… ». Puis d’enfoncer le clou quelques instants plus tard : « ce n’est pas à la dictature des juges de décider qui peut se présenter ou pas aux suffrages des Français… ».

Un Julien ODOUL, remonté tel un coucou helvétique, qui a décidé de faire appel de la décision judiciaire et de démontrer ainsi son innocence. Il s’en explique : « La décision du tribunal correctionnel de Paris est une exécution politique. Alors que Marine LE PEN et le Rassemblement National sont innocents des faits reprochés, alors que les juges ont reconnu qu’il n’y avait ni enrichissement personnel ni corruption pour aucun des prévenus, la peine d’inéligibilité avec exécution provisoire qui frappe Marine Le Pen ressemble à un coup d’Etat judiciaire et à une volonté manifeste de l’empêcher de remporter l’élection présidentielle de 2027… ».

 

 

Conservation des mandats électifs après appel…

 

A l’instar de 23 autres personnes issues de sa formation politique, le parlementaire de l’Yonne et président du groupe RN de Bourgogne Franche-Comté a été sanctionné par le tribunal parisien dans l’affaire des présumés « emplois fictifs » des assistants parlementaires européens du Front National. Verdict : une condamnation pour recel de détournement de fonds publics avec à la clé huit mois de prison avec sursis et une peine d’inéligibilité d’un an, sans exécution provisoire.

Dans son communiqué de presse, adressé aux rédactions, Julien ODOUL s’interroge : « Dans quel pays, dans quelle démocratie ferme-t-on une chaîne de télévision ? Dans quel pays, dans quelle démocratie met-on un ancien président de la République en prison avec une peine prononcée supérieure à celles prononcées contre les trafiquants de drogue ? Dans quel pays, dans quelle démocratie, le leader de l’opposition est interdit de se présenter à l’élection présidentielle ? ».

Ayant décidé d’interjeter appel, le député de l’Yonne précise que « cette condamnation est nettement inférieure aux réquisitions du parquet et ne revêt donc aucun caractère définitif. Elle est totalement remise en cause du fait de l’appel... ».

Conséquence : l’élu icaunais conserve sa présomption d’innocence et poursuit ses mandats de député de l’Yonne et de conseiller régional de Bourgogne Franche-Comté qui lui ont été confiés par ses électeurs.

 

Thierry BRET

 

 


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Ce sera l’une des premières visites ministérielles de l’année dans le département de l’Yonne, ce jeudi 03 avril. Presqu’une formalité de bon voisinage pour l’un des rares représentants de notre territoire régional membre du gouvernement BAYROU. L’ancien édile de Dijon, François REBSAMEN, ministre de l’Aménagement du Territoire et de la Décentralisation effectuera un déplacement sur l’après-midi, principalement dans la capitale de l’Yonne, Auxerre, et à Joigny.

 

AUXERRE : Il en avait parlé il y a quelques semaines lors de la présentation de sa stratégie politique 2025 en sa qualité de président de l’AMF 89, l’Association des Maires de France de notre département, Mahfoud AOMAR. La venue plus que probable d’un représentant du gouvernement, en l’occurrence le ministre de l’Aménagement du Territoire et de la Décentralisation, le Dijonnais François REBSAMEN, lors de la prochaine assemblée générale de ladite association, regroupant les élus du territoire.

Cette fois, c’est fait. La préfecture de l’Yonne a confirmé ce lundi en milieu de matinée la venue de l’ancien maire de Dijon et président de Dijon Métropole dans l’Yonne, à Auxerre et à Joigny, ce jeudi 03 avril.

 

 

Le programme de la visite s’articulera ainsi : dans un premier temps, le ministre se rendra à Auxerre dans le cadre de l’Assemblée générale de l’Association des Maires de France et des Présidents d’Intercommunalités de l’Yonne, afin d’échanger avec les élus sur les enjeux des collectivités locales. Puis, en second lieu, le représentant du gouvernement se rendra à Joigny pour constater les résultats concrets des politiques publiques visant à lutter contre l’habitat indigne et à promouvoir la rénovation urbaine. Il y sera accueilli par le vice-président de la Région et édile de Joigny, le socialiste Nicolas SORET.

Autres contacts importants lors de cette visite : la rencontre de François REBSAMEN avec le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, et du président du Conseil départemental Grégory DORTE lors d’un entretien à l’Hôtel de la préfecture à Auxerre.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Alors que l’intelligence artificielle révolutionne les pratiques du recrutement, le rôle du recruteur humain n’a jamais été aussi stratégique. En 2025, les entreprises qui réussissent sont celles qui regardent au-delà du CV pour miser sur le savoir-être, l’adhésion aux valeurs, et la capacité d’adaptation de leurs futurs collaborateurs. La technologie sublime la pratique, mais seule l’intuition humaine fait la différence.

TRIBUNE : L’intelligence artificielle (IA) a profondément transformé la façon dont nous travaillons : outils prédictifs, algorithmes d’analyse comportementale, « matching » automatisé des candidatures… Les recruteurs ont désormais à leur disposition une véritable boîte à outils technologique qui optimise les process, réduit les délais et améliore la qualité du « sourcing ». Mais une chose est certaine : l’humain n’a jamais été aussi central dans la décision de recrutement.

L’IA au service du recruteur, pas à sa place

Contrairement aux craintes de certains, l’IA ne remplace pas le recruteur. Elle l’assiste, l’éclaire, le libère des tâches chronophages. Grâce à l’automatisation du tri de CV, à la détection d’éléments-clés dans un parcours ou à l’analyse de la cohérence d’un profil, le consultant gagne du temps… mais conserve son rôle essentiel : ressentir, écouter, analyser en profondeur le projet d’un candidat et la culture d’une entreprise.

Ce que l’IA ne pourra jamais faire ? Créer cette alchimie subtile qui naît d’un échange, d’un regard, d’un non-dit parfois. Elle ne peut pas capter l’intuition du recruteur expérimenté qui pressent qu’un candidat atypique peut pourtant être la perle rare.

Le savoir-être : le vrai critère différenciant

Aujourd’hui, un CV impressionnant ne suffit plus. Une entreprise qui veut réussir son recrutement en 2025 doit regarder au-delà des lignes de diplômes et d’expériences. Elle doit s’attacher à ce qui fait la richesse d’un collaborateur : son savoir-être.

Capacité d’adaptation, esprit d’équipe, intelligence émotionnelle, valeurs personnelles en phase avec celles de l’entreprise… Ce sont ces qualités humaines qui garantissent une intégration réussie et une collaboration durable.

Et c’est là que l’expertise humaine du recruteur prend tout son sens. Car détecter un potentiel, lire entre les lignes d’un parcours, comprendre ce qui motive vraiment un candidat, cela ne s’apprend pas dans une base de données.

Le monde du travail évolue vite, les métiers se transforment, les compétences techniques se périment. Ce qui dure, ce sont les qualités humaines : la motivation, la résilience, la curiosité, la communication, la capacité à collaborer.

Et ces éléments, aucune IA ne peut les déceler seule. Seule une rencontre humaine, un échange sincère, permet de sentir si un candidat est fait pour une entreprise et inversement.

Vers un recrutement augmenté

Nous entrons dans l’ère du recrutement augmenté : un recrutement où la technologie sert l’humain, et non l’inverse. L’IA est un levier d’efficacité, le recruteur est un révélateur de talents. Ensemble, ils permettent aux entreprises de faire des choix plus justes, plus rapides, mais surtout plus humains.

Dans un monde en constante évolution, où les compétences techniques s’acquièrent rapidement, c’est le comportement, la posture, la capacité à créer du lien qui font toute la différence.

Chez « Le Mercato de l’Emploi », cette vision est au cœur de notre pratique. Nous utilisons la puissance de la data pour servir la pertinence humaine. Nous cherchons avant tout des personnes, pas des profils. Des personnalités, pas des cases.

En 2025, le recrutement est un acte stratégique et humain

Le recrutement ne peut plus être un simple process. Il devient un levier de performance, de cohésion et de sens. Les entreprises qui réussiront demain sont celles qui auront su miser sur la diversité des parcours, sur l’envie plutôt que sur l’expérience, sur le potentiel plutôt que sur la conformité.

Et ce pari sur l’humain, aucun logiciel ne peut le prendre à votre place.

La technologie, aussi puissante soit-elle, ne remplacera jamais l’étincelle d’un échange, l’intuition d’un recruteur qui perçoit chez un candidat quelque chose que personne n’a encore vu.

En résumé ? L’IA est là pour aider. Mais en 2025, ce sont toujours les humains qui recrutent les humains. Et c’est tant mieux.

Philippe BOUVEAU

Consultant en recrutement LE MERCATO de l’EMPLOI

 


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