Les Universités d’été PROSPACTIVE laisseront la place cette année aux Rencontres PROSPACTIVE ! Elles émanent du réseau d’experts référent dans le domaine du développement commercial qui a choisi de se réunir ce jeudi 14 septembre à Dijon autour d’une thématique ô combien passionnante : le « bien-être de l’entreprise ». Avec en prime, de nombreux témoignages sur ce sujet qui n’a rien d’utopique et dont beaucoup de dirigeants et collaborateurs rêvent de voir appliquer tôt ou tard dans leur quotidien professionnel !
DIJON : Le concept se présente sous le sceau de l’originalité. Et de la pédagogie. A l’aide d’un ensemble de reportages, d’émissions, de flashs orientés pour l’essentiel vers la thématique du jour : à savoir, le « bien-être de l’entreprise ». Et plus précisément, « l’écosystème PROSPACTIVE, vecteur de bien-être de l’entreprise ».
Plus de deux cents personnes seront accueillies lors de ce séminaire constructif dans les locaux de notre confrère de Côte d’Or, « Le Bien Public », lors d’un rendez-vous finement concocté depuis près de deux mois par les équipes du réseau, dont Frédéric LIOTARD, le président en tête.
Tout au long de cette journée intense mais aussi ludique, les participants auront le loisir de s’agréger aux success-stories, aux savoir-faire et aux expériences de plusieurs acteurs économiques de poids, apportant leur crédit sur un énoncé parfois complexe à concevoir et à mettre en place.
Parmi ces témoins exceptionnels : on relèvera les présences de Nicolas DOUCERAIN, entrepreneur autodidacte et auteur de plusieurs ouvrages à succès dont les fameux « Ma petite entreprise a connu la crise » et « Lehmann, la crise et moi », de Guillaume MULLIEZ, président de l’association « 60 000 Rebonds » et PDG de la société DIMO SOFTWARE et du président-directeur-général du cabinet de conseil ACCURACY, Frédéric DUPONCHEL, primé à maintes reprises pour le bien-être de ses salariés.
Le bien-être de l’entreprise : une utopie ou un programme ambitieux ?
Dans l’absolu, quels sont les ingrédients qui définissent ce sentiment de bonheur retrouvé sur son lieu de travail ? Pour le président de PROSPACTIVE, Frédéric LIOTARD, « c’est un objectif prioritaire à atteindre désormais au sein du tissu économique régional et national. On entend par bien-être de l’entreprise l’ensemble des facteurs dont elle a besoin pour jouir d’une bonne qualité existentielle. Ces facteurs l’aident à bénéficier d’une existence tranquille, pérenne, durable et praticable ».
La liste des exemples n’est pas limitative pour illustrer ces propos qui seront présentés avec moult détails lors de cette rencontre : des emplois dignes, des performances économiques pour satisfaire les besoins de croissance et d’innovation, des actifs matériels et immatériels pérennes et durables, des relations de qualité avec les fournisseurs et les clients, l’accès à la formation, au modernisme, et le temps nécessaire pour le rayonnement social au milieu de la cité.
« C’est au dirigeant de promouvoir le bien-être de l’entreprise, mais la tâche s’avère ardue parce qu’elle se fait de manière le plus souvent intuitive alors qu’il existe des mesures et des process afin de gommer les dysfonctionnements liés à la structure… ». Dont acte.
Plus de quarante experts au sein de PROSPACTIVE
Concrètement, le bien-être de l’entreprise implique la création de nouvelles richesses, entre autres pour faire face aux charges. Sachant que l’ensemble des acteurs de l’entreprise doivent aussi assurer collectivement cette génération de richesses. Un sérieux challenge, en vérité…
Grâce à sa quarantaine d’experts, issus de la fonction commerciale, PROSPACTIVE impose le premier événement « b to b » de la région Bourgogne Franche-Comté qui sera retransmis en intégralité et en direct sur les réseaux sociaux !
Ce rendez-vous qui se veut facilitateur de synergies et de dynamisme sera propice à la croissance de chacun de ses participants. L’ambition sera de modéliser cet événement et de le rendre itinérant sur le territoire.
Une réalité et un succès palpables que n’avait peut-être pas envisagés le fondateur de ce réseau, Frédéric LIOTARD lors de son ouverture. C’était en 1995…
Qui succèdera à Vincent TOURNAYRE, le valeureux lauréat de la précédente épreuve, au soir de cette compétition nationale ? Le centre de formation de l’Yonne réitère une manifestation qui avait séduit les professionnels des arts de la table la saison dernière. Ainsi que nos confrères des médias spécialisés, peu avares en commentaires élogieux. Une conférence de presse prévue le 20 septembre détaillera les modalités opérationnelles d’un événement pas tout à fait comme les autres…
AUXERRE : Novateur, insolite, unique mais aussi sportif et pédagogique : la liste des qualificatifs qui caractérise le défi culinaire « IRON COOK France », concept inventé de toute pièce par le CIFA de l’Yonne, n’est pas limitative. D’autres adjectifs y trouveraient volontiers leur place à commencer par ceux évoquant la modernité de cette expérience inoubliable pour ses participants.
Sous la direction technique du chef étoilé franc-comtois, Romuald FASSENET, à la tête du Château Mont-Joly près de Dôle, et entraîneur de l’équipe gastronomique du Japon qui concoure aux Bocuse d’Or, ce défi culinaire « IRON COOK France » aura déjà laissé d’incontestables souvenirs dans la tête de celles et ceux qui l’ont suivi de près à l’automne 2016.
Quatre finalistes dont les deux régionaux de l’étape, Vincent TOURNAYRE, futur vainqueur, et Gaëtan QUILLIN, s’étaient affrontés au cours d’un rude combat de chefs mémorable derrière les fourneaux du centre d’apprentissage. Ancien responsable des cuisines du Ritz à Paris, Michel ROTH en était le parrain et président de jury, éberlué par tant de prouesses techniques et savoureuses obtenues au fond de l’assiette.
Une épreuve surnommée le « triathlon » culinaire…
Encouragé par tant de réussite (25 candidats de toutes les régions de France sélectionnés, un parrain prestigieux, la présence des plus grands chefs cuisiniers de l’Hexagone dont Jean-Michel LORAIN (La Côte Saint-Jacques), une enveloppe affriolante au niveau des récompenses avec 10 000 euros de prix, une bonne couverture de la presse…), le CIFA de l’Yonne ne pouvait décemment se soustraire à ne pas renouveler l’expérience.
Beaucoup plus qu’un simple concours culinaire, ce défi « IRON COOK France », né de l’imaginaire créatif de Marcel FONTBONNE, directeur de l’établissement icaunais, ne possède pas d’équivalence aujourd’hui dans le cercle vertueux des épreuves gastronomiques qui fleurissent çà et là.
Proposé à tous les jeunes cuisiniers âgés de 23 ans minimum, il oblige ces professionnels en devenir à se surpasser durant de longues heures de préparatifs comme de véritables athlètes. Les spécialistes s’accordent à décrire ce défi hors normes comme étant un « triathlon » culinaire où trois épreuves de choix sont à concevoir dans les meilleurs délais et avec des contraintes techniques drastiques : une entrée, un plat principal et un dessert. Le tout à soumettre ensuite face à un jury, composé d’une quarantaine de VIP exigeants !
Une marraine étoilée venue de Suisse : Virginie BASSELOT
Nouveauté à l’aune de ce deuxième concours : ce défi verra la contribution d’une marraine de référence pour le présider. Seconde grande toque féminine à avoir conquis le titre de MOF (meilleur ouvrier de France), Virginie BASSELOT, chef du restaurant étoilé « La Réserve » à Genève, franchira la frontière franco-suisse à l’automne 2018 (la date n’est pas encore arrêtée) en vue d’adouber le futur vainqueur parmi l’élite.
Le CIFA de l’Yonne bénéficiera toujours de l’aide précieuse de ses deux partenaires indissociables au succès de la première opération : l’Union des métiers de l’industrie hôtelière de l’Yonne (UMIH) et l’Amicale des cuisiniers de l’Yonne. Promouvoir, grâce à ce concours les jeunes talents de la gastronomie française à l'échelle de l'Hexagone, demeure l’objectif prioritaire de Marcel FONTBONNE et de ses équipes. Gageons qu’ils réussissent avec ce nouvel opus…
Octobre 2017 : il y a cent ans la révolution russe bouleversait la planète et provoquait une onde de choc irréversible. Ce tsunami politique donnera naissance au communisme et à l’empire soviétique au travers de ses figures de proue (Lénine, Staline, Brejnev…). Auteur d’un ouvrage consacré à l’évolution de ce pays, et spécialiste de l’histoire de la papauté, l’ancien rédacteur en chef du « Figaro Magazine », Bernard LECOMTE, abordera lors d’une conférence débat le destin hors normes de ces hommes d’état. Ce sera le 15 septembre prochain à Champignelles…
AUXERRE : « La Russie de Raspoutine à Poutine… ». L’analogie existante entre ces deux puissants personnages de ce pays continent sont-elles aussi frappantes que cela ? Une interrogation que beaucoup se posent et qui trouvera sans aucun doute des réponses concrètes lors de la conférence débat proposée par le journaliste écrivain Bernard LECOMTE.
A l’occasion du centenaire de la révolution d’octobre de 2017, notre confrère s’installera à la halle culturelle de Champignelles dès 18 heures le temps d’une causerie passionnante sur ce vaste sujet de pure géopolitique.
Répondant à l’invitation de l’édile de la commune, Jacques GILET, Bernard LECOMTE éclairera de ses lumières ces pans d’histoire, teintés de mystères et de complots, qui permettront à l’auditoire de mieux appréhender la Russie contemporaine et surtout les racines du mode opératoire du chef du Kremlin, Vladimir POUTINE.
Au terme de ces échanges, le journaliste Icaunais qui a suivi le déclin du communisme en qualité de correspondant pour « L’Express », dédicacera son dernier opus, paru aux éditions Perrin.
Jugés le plus souvent trop complexes, voire indigestes par une large majorité d’entrepreneurs, les marchés publics garantissent néanmoins une recrudescence du volume d’affaires pour les artisans qui souhaitent se frotter aux appels d’offres. Dans le cadre de ses Rendez-vous de l’Artisanat, il était logique que la chambre consulaire de l’Yonne se penche en profondeur sur la question en démystifiant ce thème…
AUXERRE : L’appel d’offre. Le terme engendre parfois de la nervosité, voire beaucoup de stress, pour les conjointes collaboratrices des artisans. En règle générale, ce sont elles qui, patiemment, compulsent et remplissent les liasses de documents afin de monter le précieux dossier qui permettra à leur époux entrepreneur de décrocher le ou les lots nécessaires, synonymes de business !
Or, la plupart de ces chefs d’entreprise n’osent s’aventurer vers ce marché potentiel qui leur tend les bras. Parmi les dix-sept personnes présentes à la première des trois réunions explicatives proposées par les techniciens de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, aucune n’avait encore franchi le Rubicon.
Cela n’aura nullement empêché les interrogations de fuser, preuve que la diversification des activités pour les professionnels de ce secteur passe aussi par ce biais.
Sollicitant les interventions de deux spécialistes de Territoires Numériques, la Chambre départementale voulait apporter le maximum de précisions à ses adhérents lors de cette séance de travail. Durant près de deux heures, Krim HABIBY et Bertrand DUFOUR, se définissant ambassadeurs de proximité, ont approfondi avec démonstration à l’appui les fondamentaux des marchés publics.
En trois volets, les intervenants balayaient les matières principales à découvrir avant de se lancer dans cette démarche : la plateforme « e-bourgogne », l’ensemble des services déclinés par son intermédiaire, les MPS (marchés publics simplifiés) et le DUME, soit pour les non-puristes de la chose et c’était le cas parmi l’assistance, le Document unique de marché européen.
« e-bourgogne » : la plateforme à consulter gratuitement
Formulaire par lequel les entreprises candidates à un marché public déclarent leurs capacités et leur aptitude à y participer, ce dernier devrait considérablement simplifier les procédures administratives imposées aux sociétés désireuses de candidater.
A l’avenir, l’obligation de répondre de manière électronique aux marchés publics aura pour heureuse conséquence de bouleverser ce système, facilitant l’accès aux besoins des collectivités dans la plupart des cas. A ce titre, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat délivre une clé favorisant cette signature électronique, valable deux ans pour un coût de 75 euros. Ce support garantit l’identification du signataire et sa fonction. Mais, son pouvoir fonctionnel s’étend aussi à la déclaration de la TVA.
Quant à la plateforme « e-bourgogne », créée par la Région et ses quatre départements sous la forme d’un groupement d’intérêt public, elle propose des services aux collectivités dont une salle de marché public, baptisée « place de marché ». Sa consultation est gratuite pour les entreprises de Bourgogne Franche-Comté. Un choix voulu par ses fondateurs qui souhaitaient mettre à la disposition des entrepreneurs de leur territoire l’ensemble des marchés, y compris ceux commandités par l’Etat.
Forte de quelque 10 000 adhérents, la Fédération nationale des professionnels de l’immobilier (FNAIM) a frappé très fort durant cet été en intégrant les membres du réseau coopératif ORPI. Ce rapprochement entre deux poids lourds de l’immobilier conforte les valeurs et les visions communes de ces deux partenaires nationaux.
PARIS : Période estivale studieuse pour Jean-François BUET, président de la Fédération nationale de l’Immobilier. Le Dijonnais, de passage dans la capitale au beau milieu de juillet, en a profité pour parapher de sa griffe la convention de partenariat établie avec le responsable du réseau ORPI, Bernard CADEAU.
« Il est essentiel pour nos professions immobilières d’être représentées par un syndicat fort, devait observer ce dernier, ORPI et la FNAIM collaborent ensemble depuis de nombreuses années : il était donc naturel de pouvoir entériner aujourd’hui cet engagement mutuel avec la signature de ce partenariat ».
Avec un potentiel de 1 200 agences, ORPI a réalisé 44 000 transactions au cours de l’année 2016. Un travail fructueux qui permet de mettre en lumière les 900 associés et les 6 000 collaborateurs de la structure. En l’espace de cinquante ans d’existence, ORPI a permis à quatre millions de personnes de trouver un logement.
Créée en 1966, l’Organisme régional des professionnels de l’immobilier possède un mécanisme insolite pour ce secteur d’activité, en proposant le mode opératoire de la coopérative. Le rapprochement avec la FNAIM était donc tout à fait naturel dans l’esprit de ses responsables.
Après ERA Immobilier, Guy HOQUET, Côté Particuliers ou encore Stéphane PLAZA Immobilier, la FNAIM endosse davantage son rôle de syndicat leader en France, devenant de facto le plus représentatif auprès des professionnels de cette corporation.
Depuis la prise de son mandat, Jean-François BUET a œuvré pour fédérer l’ensemble des acteurs immobiliers. L’objectif est atteint avec cette nouvelle intégration nationale…