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Une page se tourne dans le grand livre de la vie. Une de plus, me direz-vous ? Ainsi vont les choses en ce bas monde. Toutefois, point de tristesse dans le regard de Pascal MAUPOIS, ancien président de la Fédération des caisses locales de l’assureur mutualiste qui a décidé de se mettre en retrait de ses fonctions administratives. Son successeur est désigné : un maraîcher, producteur de légumes, déjà bien rôdé aux arcanes institutionnelles de l’établissement départemental, Olivier THIBAULT…

 

AUXERRE: Voilà, c’est un nouvel exemple de ce que l’on appelle communément une passation des pouvoirs. Entre deux hommes qui ont travaillé ensemble et qui se connaissent très bien. L’un a décidé de quitter, même avant la prescription requise de l’âge butoir (65 ans) son poste de président ; l’autre s’est aguerri ces dernières années en qualité d’administrateur aux rouages fonctionnels de l’entreprise, cet acteur clé de l’assurance et de la prévoyance sur notre secteur territorial que représente GROUPAMA Paris-Val-de-Loire.

Un passage de témoin vécu en douceur et dans les règles de l’art de la convivialité, lors d’une explication de texte réservée à la presse au « Mermoz », l’une des tables gourmandes de ce que compte en qualité optimale et prestations à petits prix la restauration auxerroise.

Si l’arbitre du jour aura été finalement peu prolixe dans les commentaires – Ludovic DAME,  directeur des deux établissements de la Seine-et-Marne et de l’Yonne -, il n’en aura pas moins assuré la confiance en ce nouveau binôme décisionnel qu’il forme désormais aux côtés d’Olivier THIBAULT, une personne que l’on connaissait déjà pour l’avoir croisé lors des fameuses rencontres annuelles du printemps, où les dirigeants de GROUPAMA font le tour des « popotes » à la puissance dix afin d’y rencontre les sociétaires de la grande maison. Agriculteur lui-même (à l’instar de son prédécesseur Pascal MAUPOIS qui intervenait jusqu’alors et avant la cession de son exploitation dans le domaine céréalier), le nouveau président est quant à lui dans le maraîchage, en qualité de producteur de légumes du côté de Villechétive, bourgade située entre Sens et Saint-Florentin.

 

Donner du sens à la mission : le credo d’Olivier THIBAULT

 

Citoyen convaincu dans l’engagement, Olivier THIBAULT s’est investi en qualité de conseiller municipal et trésorier du comité des fêtes – le vide-grenier local est réputé – ayant été par le passé administrateur de différentes coopératives, ayant donné naissance à YNOVAE.

Au sein de GROUPAMA, le nouveau président âgé de 56 ans – il est du signe du taureau - a appris tous les rudiments fonctionnels de l’assureur mutualiste depuis 2012. Au sein de la caisse locale Vanne Pays d’Othe, notamment.

 

 

Unique candidat à avoir postulé à la succession de Pascal MAUPOIS, le garçon s’engage à exercer son nouveau mandat en complémentarité avec le binôme directionnel, incarné par Ludovic DAME – lui-même est le successeur de l’emblématique Jacques BLANCHOT – dans la bonne humeur, la convivialité mais aussi l’efficacité. « Je veux exercer mon rôle en donnant du sens à ma mission…résume-t-il.

Quant à son prédécesseur, qu’adviendra-t-il de lui ?! On a connu le degré d’implication de Pascal MAUPOIS lors de ses interventions au sein de l’établissement, en véritable ambassadeur de GROUPAMA aux quatre coins de l’Yonne.

 

Continuer les missions et les faire prospérer

 

Au terme de son mandat, l’ancien agriculteur devenu retraité – il siège toujours dans les instances de la chambre départementale agricole – présente un bilan des plus honorables. Malgré des périodes complexes à vivre ces dernières années, entre l’épisode de la COVID-19 et la hausse de la sinistralité climatique, imputable au dérèglement de l’environnement.

« Tout ce que j’ai voulu faire, je l’ai fait, explique-t-il sans l’once d’un regret, depuis la progression de la féminisation parmi les administrateurs des caisses locales jusqu’au renforcement de nos actions traduisant notre ancrage territorial et le développement de multiples partenariats avec les acteurs économiques et institutionnels de l’Yonne… ».

Evoquant la nécessaire proximité à développer au centuple, d’être un relais majeur de l’activité économique sur le département (Centre de Développement Economique du Tonnerrois, la BGE Nièvre-Yonne…), Pascal MAUPOIS a pu égrener comme dans un inventaire à la Prévert la somme d’actions réalisées sous sa présidence. Tant dans le domaine du sport avec l’AJ Auxerre que celui de l’éducation, de la prévention aux gestes qui sauvent et de premiers secours, avec le concours des sapeurs-pompiers ou de la Gendarmerie nationale sur les risques sécuritaires, voire l’amélioration de la conduite automobile auprès des plus jeunes, via des outils appropriés.

Bref, un bilan de belle composition que le nouveau président aura à cœur de conforter dans la continuité, voire si possible en homme de challenge de faire progresser !

 

Thierry BRET

 


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Cherchez-là et vous la trouverez, immanquablement ! Elle se cache toute petite dans le pli d’une feuille colorisée sur la toile posée sur un chevalet. Minuscule, même. A dimension…quasi réelle, en somme ! Presque aussi vrai que nature….Mais quoi donc ?! La griffe de l’artiste ? Son signe de reconnaissance ? Son subtil clin d’œil à Dame Nature ? Voire les trois en même temps ? Non, c’est une coccinelle ! D’un rouge vif éclatant qui est punaisée au beau milieu d’un tableau, il fallait y penser ! Mieux encore que la dernière affiche des partisans des « animalistes » placardée sur les panneaux électoraux ! Le signe distinctif et amusant d’un artiste à (re)découvrir : Philippe LALLEMAND !

 

AUXERRE : C’est un petit jeu. Ou presque. D’un tableau à l’autre. A exercer pour soi-même mais aussi accompagné d’enfants, pourquoi pas, à initier aux vertus divines de la création et de l’imaginaire fécond. Un indice, malin et ingénieux, à découvrir là, dans l’agréable espace galerie de l’un des établissements bancaires qui offre l’heureuse opportunité aux artistes de pouvoir s’exprimer, en exposant leurs travaux. Suffisamment rare pour être mentionné. Qu’ils soient peintres, photographes, sculpteurs ou céramistes. Ici, à la Caisse d’Epargne, à l’agence centrale d’Auxerre, place des Cordeliers.

Sept tableaux sont ainsi présentés dans cet endroit ravissant à l’architecture lourde et pesante par le poids des années (le patrimoine haussmannien dans toute sa splendeur !) jusqu’au 07 juillet. Suffisant pour y trouver l’indice inhabituel sur une toile, bien sûr, mais l’on sait que dans la contemplation de l’art pictural le temps n’existe pas !

 

Dix ans déjà pour la « Huitième Source » : un grand millésime…

 

Ah oui, je l’a vois ! La marque de fabrique de l’auteur de ces œuvres aux inspirations botaniques. La signature adroite de cet amoureux de la nature si perspicace dans le rendu de son travail, mettant en exergue des végétaux aux couleurs chatoyantes, en jouant sur la transparence du support. La coccinelle ! Non pas celle que mit en scénographie filmée l’immense Walt DISNEY dans ses livraisons cinématographiques des années 60 lors de folles aventures automobiles d’un fameux constructeur allemand, mais là, en représentation animalière, tellement naturelle que l’on croirait qu’elle vit, prête à s’envoler si on osait la toucher !

Une coccinelle sur une toile. Et là aussi sur la deuxième œuvre ! Puis, la suivante ! Et ainsi de suite…Un ode à la coccinelle au fond qui nous est proposé là ?

En charge du relationnel et de la communication – le garçon le fait très bien par ailleurs au vu de sa verve explicative– au sein de la structure associative « La Huitième Source », Philippe LALLEMAND a, depuis la création de l’entité survenue en décembre 2014 – dix ans bientôt, cela se célèbre et on prend date ! – assuré la promotion d’une kyrielle d’artistes peintres fréquentant cet organe auxerrois, en phase avec la préparation de leurs œuvres.

 

 

Ne plus être le cordonnier le plus mal chaussé…

 

Surnommé « Philou », ce dernier était nonobstant moins loquace lorsqu’il fallait mettre ses propres réalisations en avant. On connaît l’adage : les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés !

Cette fois-ci, l’artiste à la coccinelle pour signe distinctif aura passé outre et répondu aux sirènes bienveillantes de ses amis artistes et des responsables de la galerie bancaire pour y accrocher non pas sur des cimaises mais sur de beaux chevalets d’atelier ses toiles.

Sept au total, ni plus ni moins, un chiffre haut en symboles qui lui sied comme un gant pour celui qui défend les valeurs artistiques des « Huitièmes sources » !

D’ailleurs, Philippe LALLEMAND l’explique si bien avec un zeste d’humour à peine voilé : « La Huitième Source » - une appellation qui ferait penser un tantinet à un nom de secte ! – est précisément dans son éthique et sa définition « une secte de la liberté d’expression » !

Et par les temps qui courent, cela procure un bien immense à l’âme et à l’esprit qu’il soit créatif ou pas, ne changez rien, pourrait-on lui rétorquer !

Passionné de prises de vues (il a travaillé avec le Photo Club Auxerrois), préférant de loin l’argentique au numérique, Philippe LALLEMAND nous livre avec ce travail sa perception picturale de l’art. A partir de matériaux issus de la récupération – c’est dans l’air du temps -, et revisités avec de significatrices touches de couleurs, sa sensibilité s’apprécie à sa juste valeur. Une sensibilité ponctuée de ce petit clin d’œil à la nature, à la vie et à l’humour, avec cette coccinelle, une griffe personnelle qui ne se dépareille pas à l’ensemble de son œuvre. Admirable…et poétique.

 

En savoir plus :

Exposition Philippe LALLEMAND dans le cadre du collectif « La Huitième Source ».

Jusqu’au 07 juillet 2024 à la Caisse d’Epargne, agence centrale de la Place des Cordeliers à Auxerre ;

Entrée libre.

 

Thierry BRET

 

 


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« Elections, piège à cons » ! Le vieux slogan soixante-huitard faisait son grand retour dimanche soir chez nombre de ténors de la vie politique, sonnés par un séisme qui sur l’échelle de Richter, dépassait de loin celui enregistré le 21 avril 2002. Avec 16 points de plus que le parti présidentiel, le Rassemblement National affirme son ancrage dans le paysage politique français, ravi d’avoir fait tomber Emmanuel MACRON dans le piège de la dissolution et fait basculer la soirée dans une autre dimension. « Soyez réaliste, demandez l’impossible » disait un autre slogan resté célèbre, mais depuis hier soir, on sait que l’avenir ouvre surtout le champ des possibles, comme de voir la droite extrême prendre les rênes de Matignon dans trois semaines…

 

HUMEUR : Ces dernières semaines, les sondages avaient donné la mesure et la soirée s’annonçait comme une « chronique de la défaite annoncée » pour la majorité présidentielle, avec pour seul enjeu, le fait de savoir si Raphaël GLUCKSMANN et sa liste « Parti socialiste/Place publique » allaient réussir à coiffer Valérie HAYER sur le poteau en montant sur le podium. Mais l’annonce d’une allocution en direct de l’Elysée, tombée peu avant 20 heures, allait créer l’ambiance, anxiogène pour certains, espérée pour d’autres.

Avec une implication dans la campagne sans pareil, Emmanuel MACRON était en droit d’être tenu comptable des résultats et du succès de Jordan BARDELLA qui, dans son allocution, semblait avoir déjà revêtu le costume de Premier Ministre et n’avait plus qu’à évoquer tout à la fois « un vent d’espérance, un chemin pour l’avenir, un désaveu cinglant et le jour 1 de l’après MACRON… ».

 

 

Plus de communistes à Bruxelles !

 

Dans les autres QG de campagne, l’urgence semblait être de donner le change et « sauver les meubles », comme François-Xavier BELLAMY, pour « Les Républicains», évoquant « un nouveau départ et un nouvel élan »… Rien de mieux que la méthode Coué pour se forger un destin national ! Même tonalité dans le discours de Sandrine ROUSSEAU chez les Verts, appelant à ne pas refaire l’erreur de la division « en laissant un boulevard au RN », appelant à la mobilisation générale et « à ne plus porter la radicalité, « projet contre projet ». Il faut que la gauche soit au rendez-vous pour créer la surprise… ».

La surprise étant, autre séisme de la soirée, que la députée d’Europe Ecologie Les Verts, abandonne toute idée de radicalité dans son discours ! Et dire qu’il représentât naguère, dans les scrutins d’après-guerre jusqu’à près de 30 % des voix ! Funeste soirée pour le Parti communiste de Fabien ROUSSEL et de sa tête de liste, Léon DEFFONTAINES qui, sous la barre des trois points et ne devançant la liste « Animaliste » que de 0,3 %, n’enverra pas de représentants à Bruxelles !

 

 

« Ne plus faire de conneries », l’appel de François RUFFIN

 

La France Insoumise savourant pour sa part ses 10 %, avec la satisfaction d’avoir su mobiliser les jeunes et les quartiers. Se présentant comme « combattant de l’Europe », Raphaël GLUCKSMANN se refuse à envisager l’accession du Rassemblement National au pouvoir, évoquant « une vague qui ébranle la démocratie… ». Mais avec quelles troupes repartir à la bataille des législatives ? Prêt à tendre la main, mais qu’en dira le grand marionnettiste de LFI qu’est Jean-Luc MELENCHON… ? Même si l’esprit libre qu’est François RUFFIN appelle « à ne plus faire de conneries », il n’est pas certain que trois semaines suffisent avant le 30 juin, à reconstruire une forme d’union, fut-elle appelée « Front populaire », sur les cendres de la NUPES…

 

  

Le résident de l’Elysée avait-il encore le choix ?

 

Si la dissolution est dans l’esprit de la Ve république, c’est la première fois dans l’histoire, qu’elle s’applique en prenant acte d’une défaite électorale. A des années lumières de la dissolution plébiscitaire décrétée par Charles de GAULLE en 1968, qui lui valut un triomphe après un mois de mai enregistré comme l’un des plus « chauds » que la France ait connu ! Mais que penser de cette décision annoncée à la France entière peu avant 21 heures, coup de dés dangereux pour certains, acte lucide et courageux pour d’autres… ?

Confronté à un vote sanction réceptacle de toutes les colères et toutes les frustrations, Emmanuel MACRON avait-il encore le choix ? Pour beaucoup d’observateurs de la chose politique, c’est un pari extrêmement dangereux, voire suicidaire…

On parle même de « roulette belge », (pardon à nos amis d’outre-Quiévrain !), avec six balles dans le barillet ! A moins que ce ne soit un coup de billard à trois bandes appelant à « l’Union nationale », comme ce fut le cas dans le passé, oubliant un peu vite que les « castors » sont fatigués de dresser des barrages pour ensuite être remisés aux oubliettes ! « No pasaran »… ! Mais comment faire quand « ils » sont déjà passés… ?

 

Dominique BERNERD

 

 


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Une première pierre à poser afin de prendre date avec la construction d’un nouvel édifice : c’est toujours un exercice des plus sympathiques pour les personnalités du sérail politique, se prêtant au jeu du maniement de la truelle et du ciment ! A observer le sourire du premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, Grégory DORTE s’est donc livré à ce geste symbolique avec une certaine bonne humeur, aux côtés de ses collègues élus et des représentants du collège Albert Camus à Auxerre !

 

AUXERRE : Coiffé d’un casque de chantier, mais bel et bien habillé de sa veste de costume qu’il n’aura pas maculé de ciment, l’élu du Conseil départemental de l’Yonne Grégory DORTE, en charge de l’Education et de la Jeunesse, a tenté de maîtriser du mieux possible le maniement de la truelle, avec une relative précaution, lors de la pose de la première pierre de la demi-pension du collège Albert Camus, une animation protocolaire prétexte à ce rendez-vous entre collègues et institutionnels.

 

 

Un collège qui accueille près de 500 élèves

 

Après avoir été imité par quelques collègues de l’assemblée départementale – Marie-Laure CAPITAIN, vice-présidente en charge des Finances ou l’expert Christophe BONNEFOND nettement plus véloce dans ce type d’exercice ! -, le maire de Pont-sur-Yonne s’est accordé un temps de pause photographique, avec la taloche et le niveau en main, afin d’immortaliser ce moment des plus cordiaux entre personnalités.

Quelques minutes auparavant, et au pupitre cette fois, l’élu du nord de l’Yonne, plus à l’aise avec un micro, évoquait les origines de ce chantier.

Il y a plusieurs semaines devait débuter la réhabilitation de cette demi-pension de l’établissement accueillant 500 collégiens, situé non loin du cimetière des Conches. L’actuelle étant de conception provisoire, à partir de constructions modulaires mais de belle facture où les élèves peuvent se sustenter chaque midi dans un cadre fonctionnel dans de bonnes conditions, avec les repas livrés par la société ELITE Restauration à Joigny, assemblés sur place.

 

 

 

Cinq établissements de l’Yonne concernés par ces réhabilitations

 

Pour s’en rendre compte, les élus en petite délégation purent visiter cet ensemble modulaire en compagnie des responsables de l’établissement, la proviseure Nathalie ROMANOWSKI, accompagnée des encadrants.

Juste à côté, les ouvriers s’affairaient sur le chantier de la construction du nouvel accueil de cette demi-pension. Une opération d’envergure nécessitant dix-huit mois de travaux pour une enveloppe financière globale de six millions d’euros. Le terme du chantier est prévu pour l’été 2025. Le bâtiment bénéficiera de toutes les normes techniques en vigueur. Ici, dans ce qui est encore à l’état embryonnaire seront servis 11 300 repas chaque année aux collégiens utilisant cette prestation.

Le Conseil départemental réhabilite beaucoup de demi-pensions à l’heure actuelle, sur le budget global de 100 millions d’euros consacrés à ces rénovations de collèges. Cinq établissements profitent de ce sérieux lifting à Villeneuve l’Archevêque, à Pont-sur-Yonne, à Sens dans le quartier des Champs-Plaisants et Courson-les-Carrières. 85 % des entreprises travaillant sur ces différents chantiers viennent de l’Yonne. Quant au chantier du collège Albert Camus, il est suivi par le maître d’œuvre UBIK, cabinet d’architecture de Vermenton.

Le projet comprend dans sa globalité l’agrandissement et la réfection de la demi-pension, mais aussi la réfection du terrain de sport et de la piste d’athlétisme. On a hâte d’admirer le résultat final en…2025 !

 

Thierry BRET

 

 

 


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A la base de cette initiative, il y a de la pédagogie. Un facteur important pour mieux s’approprier l’ensemble des outils qui sont mis à la disposition des acteurs de l’économie afin qu’ils améliorent le volet de la transition énergétique. En ce sens, l’animation portée conjointement par le MEDEF et l’UIMM de l’Yonne se sera soldée sur un sentiment de réussite. Au vu de l’intérêt et du questionnement qui résulteront de cette matinée en immersion au sein de l’écosystème spécifique, développé depuis plusieurs années sur le bassin de l’Auxerrois…

 

AUXERRE : Bon, c’est vrai que sur le papier, on y perdrait presque son latin si l’on est un tantinet néophyte ! Savoir à quelles catégories thématiques appartiennent les différentes appellations qui sont déclinées par l’écosystème de la transition énergétique de l’Auxerrois, suppose un certain nombre d’explications en amont ! Afin d’en comprendre le lexique ! Entre « Aux’R_Lab », « Aux’_HYGen » ou « Aux’R_Factory », même une mère poule dans une basse-cour n’y retrouverait pas ses petits, sans l’once de quelques informations complémentaires !

Sans doute est-ce le terreau de cette connaissance des choses à exploiter à titre intellectuel qui ont conduit le MEDEF et l’UIMM (Union des Industries des Métiers de la Métallurgie) de ce territoire, deux entités accueillies au sein de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, à proposer cette séance immersive au cœur de ce noyau dur, synonyme du développement économique de la  transition énergétique dans notre département. Plusieurs dirigeants d’entreprise avaient répondu favorablement à cette invitation qui se voulait à la fois ludique, démonstrative, explicative et relationnelle.

 

 

Une visite entre différents sites à bord d’un bus à hydrogène

 

Des chefs d’entreprise qui pour la plupart découvraient pour la première fois les différents sites visités, en débutant en guise de préambule avec celui de l’avenue des Plaines de l’Yonne, près du Parc des expositions, avec ce qui fut autrefois « le Pôle de l’Environnement », baptisé désormais avec une toute autre configuration organisationnelle, « Aux’R_Lab ».

Ce périple fut accompli d’un site à l’autre en utilisant un moyen de locomotion tout à fait adéquat et adapté aux circonstances, soit un bus alimenté à l’hydrogène, devant emmener ensuite avec les explications fournies par le responsable de l’exploitant du réseau de transport KEOLIS à son bord, les visiteurs jusqu’à la station de production située à deux encablures de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, gérée par HYNAMICS.

Là s’en suivirent moult explications techniques et détaillées sur les potentialités de cette énergie « verte » qui assurera demain l’alimentation des réseaux de bus de l’Agglomération auxerroise – cinq de ces cars sont déjà opérationnels avant que l’ensemble de la flotte ne bascule dans cette transition -, mais aussi ferroviaires.

 

 

 

Chacun de commenter les possibilités futures de cette énergie et de comparer avec l’existant, en matière de coûts et de rentabilité.

Les responsables de la société HYNAMICS mirent à profit le remplissage du bus convoyant les entrepreneurs avec de l’hydrogène pour répondre à toutes les interrogations d’un public ayant soif de curiosité.

 

Comprendre les enjeux de la décarbonation…

 

Après la découverte de l’incubateur de start-ups point de ralliement de cette visite, la station de production d’hydrogène auxerroise – elle fut l’une des premières à être inaugurée en France en 2021 – offrit une autre facette concrète des opportunités stratégiques existantes avec la mutation de nos moyens énergétiques à l’avenir.

L’après-midi fut consacré à la découverte immersive du nouveau « Fab Lab » baptisé sous la déclinaison sémantique « Aux’R_Factory », un lieu entièrement dédié à l’innovation, avec à l’intérieur des espaces de travail et de réflexion consacrés à la modélisation, le prototypage ou encore l’impression en 3D.

Moyennant quoi, les entrepreneurs eurent tôt fait de bien assimiler cette somme d’informations intéressantes, leur permettant de se projeter sur ce que sera le bassin de l’Auxerrois, d’ici peu, avec cet écosystème hydrogène, porteur de fortes potentialités de développement à la économiques mais aussi éducatives dans le but de créer de futurs emplois.

 

Thierry BRET

 

 


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