Il y a urgence ! Et le communiqué de presse, signé du Nouveau Front Populaire, reçu dans les rédactions en milieu d’après-midi, est sans ambiguïté. Urgence, à mettre en œuvre tout le programme de l’union de la gauche afin de répondre à la crise environnementale (gouvernementale, aussi !) et clore ainsi, dignement, le chapitre des législatives en nommant Lucie CASTETS au poste de Premier ministre…Un désir que toutes les forces politiques et syndicales pourront faire entendre de leurs voix ce vendredi à 18h30 lors d’un rassemblement devant la préfecture.
AUXERRE : « Nous voulons que Lucie CASTETS soit le chef du prochain gouvernement ! ». Quasiment inconnue du grand public en début de semaine, la haute fonctionnaire de 37 ans, proche de la maire de Paris Anne HIDALGO, et spécialiste des finances, est devenue en l’espace de quelques jours une véritable vedette de la sphère politique hexagonale que tous les médias nationaux s’arrachent ! Normal : elle a fait consensus au sein des quatre formations politiques qui composent le Nouveau Front Populaire (NFP) pour être installée dès que le Président de la République l’appellera au poste de Premier ministre à Matignon. Sauf que le locataire de l’Elysée n’a pas encore daigné la joindre au téléphone depuis que son patronyme s’est affiché parmi les gros titres de la presse. Et qu’il n’a pas l’intention de le faire, au grand dam des représentants de l’opposition présidentielle…
Vu de l’Yonne, le NFP a donc décidé d’appeler toutes les forces politiques, syndicales, associatives et citoyennes à se rassembler ce vendredi 26 juillet dès 18h30 place de la préfecture, afin d’adresser un nouveau message vers le palais de l’Elysée.
« Nous exigeons que le Président de la République arrête sans délai ses petits arrangements politiciens pour empêcher le Nouveau Front Populaire d’accéder aux responsabilités et qu’il désigne immédiatement Lucie CASTETS en qualité de première ministre, est-il précisé sur le communiqué de presse appelant à cette mobilisation populaire.
Pour le NFP, cette nomination représente « la seule solution démocratique pour faire face à la grave crise politique et sociale que traverse le pays ». Une France qui enregistre davantage de misère, de factures impayées, de problématiques climatiques. Sans trêve olympique !
« La France doit être gouvernée pleinement, précise le document commun, son peuple attend les mesures urgentes que le Nouveau Front Populaire va mettre en place ».
Autant d’arguments que ne manqueront pas de relayer verbalement vendredi 26 juillet en début de soirée les soutiens à la « future Première ministre »…
Thierry BRET
« Voir loin pour faire bien ». Serait-ce un bref résumé de la ligne politique du parti proche de la ligne présidentielle ? En tout cas, c’est celle que portera le nouveau délégué départemental d’Horizons dans l’Yonne, après sa désignation survenue le vendredi 19 juillet, à l’issue du bureau politique national de la formation, créée par l’ancien Premier ministre, Edouard PHILIPPE. Une nouvelle corde à l’arc du vice-président du Conseil départemental de l’Yonne et maire de Saint-Denis-les-Sens, Alexandre BOUCHIER…
AUXERRE : Ca y est, c’est fait ! Le conseiller communautaire du Grand Sénonais et édile de Saint-Denis-les-Sens ajoute un nouvel accessit à sa carte de visite de représentant politique dans le département.
Depuis le 19 juillet, le vice-président du Conseil départemental de l’Yonne en charge des Ressources humaines vient d’hériter d’une nouvelle responsabilité en qualité de délégué départemental de la formation politique « Horizons » sur le territoire nord-bourguignon.
A 46 ans, Alexandre BOUCHIER aura pour objectif de représenter le parti proche de la ligne présidentielle en lien avec le référent régional et les délégués municipaux sur le territoire de l’Yonne. Une implication personnelle qui devra faciliter la tenue d’évènements, la coordination de grandes actions nationales déclinées au plus près du terrain mais aussi la poursuite du développement de la formation en termes d’effectifs. La création de nouveaux comités municipaux s’inscrit aussi parmi les priorités.
Des axes de réflexion dans la perspective de la future présidentielle de 2027 ? Fondé par le maire du Havre, Edouard PHILIPPE, « Horizons » veut conforter ainsi sa structuration en vue des futures échéances électorales. A l’échelle hexagonale, le parti accueille à date plus de trente mille adhérents. Il est représenté par 38 parlementaires et 500 maires. Quant aux comités municipaux, ils sont au nombre de 1 800 à l’heure actuelle.
L’élu du Sénonais aura à cœur de les développer sur son territoire de prédilection. Dès la rentrée prochaine ?
Thierry BRET
Elle extrait un petit carnet de poche de son sac à main. Tout en écoutant les doléances de ses interlocuteurs - les victimes des violents épisodes orageux qui se sont abattus sur une large bande territoriale du Centre Yonne le week-end dernier -, elle prend en note la somme de ces témoignages. L’objectif de la parlementaire est simple : suivre au plus près la demande de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle qui pourrait être mise en place par les services préfectoraux de l’Yonne envers les communes sinistrées de sa circonscription…
VILLY : Elle a initié les rendez-vous. Prenant attache à chaque fois avec les trois édiles des communes les plus touchées de sa circonscription par la violence des orages, le week-end dernier. Des précipitations monstres, parfois assorties de grêle, qui se sont abattues dans cette partie centrale de l’Yonne, au nord d’Auxerre. Trois localités, bien ciblées. Ce sont celles que les médias hexagonaux ont mis en évidence lors de leurs journaux télévisés. Des images qui ont impressionné ! Et pour cause, au vu de l’ampleur des dégâts et les préjudices subis qui sont considérables. Tant à Ligny-le-Châtel qu’à Montagny-la-Resle, sans omettre Villy, l’étape médiane de ce petit périple ayant mobilisé sur la journée, la députée de la deuxième circonscription de l’Yonne, Sophie-Laurence ROY.
Pour sa première grande sortie sur le terrain depuis son succès aux législatives 2024, c’est par le prisme « d’un scénario catastrophe inattendu » que la néo-parlementaire s’est donc investie d’une mission de « bons offices » auprès de ses administrés.
Celle de veiller scrupuleusement au bon déroulement et à la réussite de la demande de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle envers les localités sinistrées.
Elle s’en explique volontiers au téléphone : « l’objectif est de suivre le dossier dans sa moindre évolution, depuis l’arrêté qui sera pris en préfecture de l’Yonne jusqu’au ministère concerné… ».
Des « rus » qui ne sont pas curés : le problème est amplifié
Une rencontre au contact des élus et de la population de ces trois communes qui lui aura permis de mieux comprendre le contexte, voire les causes de la problématique ayant engendré de tels sinistres.
Première observation : le manque d’entretien de ces petits ruisseaux qui parsèment nos campagnes, les « rus ». Gorgés d’eau, ils ont été les catalyseurs de ces tragiques évènements qui ont suivi en les amplifiant…
« Voilà typiquement, un défaut 100 % français, souligne l’élue du Palais Bourbon, on dépense énormément d’argent dans la vie publique, mais pas dans l’investissement. On s’aperçoit que ces rus ne sont tout bonnement pas entretenus depuis longtemps. Ils ne sont pas curés. Et on voit le résultat en l’absence de nettoyage de leurs abords et de leurs fonds… ».
Avec un zeste d’ironie, Sophie-Laurence ROY pointe de l’index l’attente interminable du passage de la police de l’eau et son autorisation pour que les élus puissent agir en pareille circonstance. Sans omettre la pression des défenseurs de la nature qui auront pris fait et cause pour une espèce de batraciens dont il faudra préserver coûte que coûte l’existence ! Si les grenouilles s’en mêlent dorénavant dans la gestion des crues ?!
Obtenir la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle
L’élue LR, ayant fait alliance avec le Rassemblement National, évoque aussi la problématique des grandes surfaces agricoles. Elles ont engendré la suppression des haies et des taillis, une végétation naturelle qui avait pour office de retenir l’eau. Une politique du remembrement, désormais contestée par beaucoup.
« A l’écoute et à la visite de ces communes touchées par les intempéries, j’ai mis le doigt sur bon nombre de choses que j’ignorais, avoue-t-elle, mais j’espère bien ainsi améliorer ma connaissance de ces problèmes afin de mieux défendre les intérêts de mes concitoyens… ».
Surprise par l’esprit d’altruisme et de solidarité dont les habitants de ces communes auront fait preuve après coup, la députée de l’Yonne doit contacter au plus vite le préfet Pascal JAN afin d’examiner ensemble le contexte et son évolution.
« Je ferai tout mon possible pour aider les victimes de ces sinistres pour qu’elles obtiennent la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle au plus vite, devait-elle conclure.
Les premiers « devoirs de vacances » d’une élue qui n’en prendra peut-être pas, visiblement…
Thierry BRET
Derrière l’échange de maillots, il y avait de la tristesse qui embuait les regards. Logique ! Comment ne pas regretter que cette immersion en terre icaunaise ne dure pas plus longtemps, en compagnie de joueuses nord-américaines, si joviales et en totale décontraction, lors de la cérémonie de clôture de ce stage préparatoire à l’échéance olympique. L’équipe féminine de rugby à VII du pays de l’érable se souviendra longtemps de l’accueil qui lui fut réservée au complexe sportif du RCA. Un club qui s’est accommodé soudain de sa stature internationale…
AUXERRE : Des remerciements, il y en aura eu à la pelle ! De la part du Conseil départemental de l’Yonne et de ses représentants (son vice-président en charge des Sports, François BOUCHER) ; mais aussi de la Ville d’Auxerre, via l’un de ses élus, Sébastien DOLOZILEK ! Des satisfécits, également, qui émaneront des dirigeants du Rugby Club Auxerrois (RCA), trop heureux d’avoir su accueillir dans leurs pénates structurelles la délégation sportive du Canada, comprenant une quinzaine de joueuses ainsi que le staff des cinq encadrants, de l’équipe olympique du rugby à VII aux couleurs de l’érable.
Dix jours après son arrivée sur le sol de l’Yonne, la délégation canadienne de rugby à sept tirait donc sa révérence à l’issue d’un stage préparatoire d’avant Jeux des plus réussis, selon David PARIZOT, l’ancien président du RCA. L’occasion était trop belle de se quitter dans l’allégresse, à l’occasion d’une petite cérémonie peu protocolaire, organisée dans les salons d’honneur du club auxerrois.
Une médaille dans le viseur de la formation canadienne
Avant de procéder à l’ultime séance d’entraînement sur la pelouse du stade Pierre-Bouillot, les féminines de l’équipe canadienne auront eu tout le loisir de participer dans un esprit festif et convivial à ces retrouvailles avec leurs « copines » du Rugby Club Auxerrois, heureuses de vivre ce beau moment de fraternité sportive aux cotés de leur coach, Jérôme LEGARE.
Sans doute avec beaucoup d’admiration dans le cœur : cinquièmes mondiales, les Canadiennes peuvent prétendre en effet à l’une des médailles olympiques dans ce futur tournoi qui débutera à Paris au Stade de France dès le 28 juillet.
A raison de deux séances physiques par jour, le quotidien des joueuses nord-américaines fut plutôt intense dans la capitale de l’Yonne. A peine, le temps de se détendre aux abords de la rivière afin de respirer un peu !
Une délégation internationale à Auxerre ? De bon augure pour l’avenir !
De l’avis de David PARIZOT, l’expérience a été des plus encourageantes pour le club de l’Yonne. « On a prouvé après l’accueil de la phase finale du championnat de France militaire que le club d’Auxerre pouvait recevoir des délégations internationales, confia-t-il, c’est de bon présage pour de futurs évènements que nous pourrions accueillir à l’avenir sur notre territoire… ».
Un objectif confirmé par l’ancien président du club, renouant ainsi avec les relations presse et publiques au cours de cette soirée. David PARIZOT ne manqua pas de remercier l’ensemble des bénévoles de la structure associative, mobilisée sur ce qui restera un très bel évènement dans le calendrier de l’année 2024. Un suivi 24/24 que le groupe canadien aura su apprécier à sa juste valeur…
Thierry BRET
Le cap de la quarantaine lui sied comme un gant ! Un vrai profil de jeune homme prêt à croquer la vie à belles dents tout en s’octroyant de jolies perspectives à la tête de sa propre structure professionnelle, via une franchise interposée ! L’ancien directeur de la concession Opel d’Auxerre – il en dirigeait trois autres entre l’Aube et l’Yonne – Kamel AQQAOUI nous revient en forme olympique. Normal, c’est de circonstance ! Sa nouvelle marotte ? Développer une enseigne spécialisée dans l’intermédiation et la sécurisation des transactions automobiles auprès des particuliers et des entreprises. Nom de code : EWIGO !
MONETEAU : Une page s’est bel et bien tournée dans la vie professionnelle de ce toujours jeune homme de 40 ans, Kamel AQQAOUI ! Tout sourire, la tenue décontractée, bien dans l’air du temps estival, il nous accueille dans le bel espace cosy couleur bois qui lui fait office de lieu de réception, la poignée de main affirmée. Sur le bureau, plusieurs dossiers. Derrière son fauteuil, le cadre le certifiant membre du réseau « EWIGO ». Après une quinzaine d’années vécues dans le circuit traditionnel de la vente automobile en concession (pour la marque allemande Opel), Kamel a décidé de tirer un trait définitif et construire un autre projet professionnel qui corresponde davantage à ses appétences du moment. Tout en demeurant dans son domaine de prédilection qui lui colle à la peau depuis ses débuts de carrière, l’univers automobile.
Redonner confiance : la priorité des priorités sur le marché de l’occasion
Est-ce sa bonne étoile ? Est-ce une fine analyse poussée du marché ? Toujours est-il que le garçon opte ensuite pour un projet qui lui tient à cœur dans un segment de l’activité commerciale automobile, encore peu connue du grand public mais en total développement côté usage : l’intermédiation et la sécurisation des transactions auprès de la clientèle de particuliers et de professionnels. Fruit du hasard, cette rencontre avec les dirigeants de l’enseigne « EWIGO », et le premier d’entre eux, Florent BARBOTEAU, créateur de la marque il y a une décennie de cela ? Que nenni !
« Ce qui me plaisait dans cette structure, explique Kamel AQQAOUI, c’était que nous portions les mêmes valeurs autour de la transparence, de la qualité des prestations offertes aux clients, et de la confiance… ».
Une notion de confiance dont il ne cessera de vanter les mérites lors de cet entretien explicatif très détaillé où le jeune quadragénaire se fera volubile dans le verbe. Et de la confiance, il est vrai qu’il faut en répandre en nombre lorsque son entreprise se positionne sur le segment du véhicule d’occasion ! Un secteur où les arnaques ne sont pas en reste, d’ailleurs ! Des escroqueries qui se traduisent notamment par des défauts de paiement au moment de la vente du bien automobile…
« C’est simple, explique le gérant de la structure auxerroise – il existe une autre entité à l’estampille d’EWIGO implantée à Sens – les acheteurs ont peur de se faire avoir et les vendeurs de ne pas être payés en retour ! ». Une « drôle » d’équation à double inconnue, aux conséquences parfois funestes si l’on n’y prend pas garde…
Une implantation aux multiples avantages près de la bretelle nord de l’A6
Pour faciliter cette convergence d’intérêt entre acquéreurs et vendeurs, la base de la relation commerciale, EWIGO a imaginé un point de vente automobile ad hoc, en y développant cette filière commerciale novatrice qui semble séduire de plus en plus les consommateurs du véhicule d’occasion. Il en existe à date plus de 150 dans l’Hexagone, à la fonctionnalité identique que celui sis depuis le 03 juin à la périphérie de la capitale de l’Yonne. Histoire d’améliorer cette loi immuable de l’offre et de la demande dans le domaine du marketing !
Fort de cela, la marque au nom étrange est devenue le premier référent de l’intermédiation et de la sécurisation de la vente automobile en France, employant plus de 500 commerciaux. Un réseau qui mutualise ses prestations entre concessions, bien évidemment…
Une fois le choix de l’enseigne validé, Kamel AQQAOUI devait localiser sa zone de chalandise idéale avant l’installation de sa vitrine.
« J’avais deux possibilités, souligne-t-il, soit d’ouvrir cette concession dans la zone des Clairions à Auxerre qui est devenue très vite intouchable – peu de disponibilités et des prix plutôt élevés -, soit de m’installer non loin de l’embranchement de l’autoroute A6, une facilité d’accès rapide pour la clientèle extérieure de venir nous visiter… ».
Une rencontre heureuse avec l’entrepreneur auxerrois Baptiste CLERIN, propriétaire du site, aura permis au néophyte de l’entrepreneuriat de disposer d’un espace ergonomique d’environ 150 mètres carrés, comprenant show-room à la chaude esthétique et équipé de son bar américain, assorti d’un…baby-foot (!), d’un atelier pour réceptionner et livrer les véhicules dans les règles de l’art, d’une zone de stockage de véhicules de près de deux mille mètres carrés, d’un cadre fort approprié en matière de flux, non loin de grandes surfaces (Cora, Lidl), etc. Une fois les travaux d’aménagement effectués, s’en suivit l’installation de l’équipe, à savoir quatre personnes dont deux alternants en apprentissage venant de l’IFAG Auxerre ou du CFA Sup Bourgogne de Dijon.
Des prestations avantageuses pour rassurer la clientèle
Un mois après son ouverture, le commerce avait déjà vendu sept véhicules. A date, 22 juillet, sept autres voitures d’occasion les ont rejoints ! Et ce n’est pas fini !
« Ici, on prend des occasions toutes marques ayant selon notre charte déontologique moins de dix ans et moins de 125 000 kilomètres au compteur, précise le dirigeant de l’entité, des véhicules qui qualitativement doivent présenter des garanties de la part du vendeur au niveau de leur entretien et contrôles techniques si besoin… ».
Un premier coup d’œil sur le parking montre un panel plutôt éclectique de marques et de modèles dont des Porsche (deux à vendre à des prix raisonnables !), des Audi, Renault, Nissan, Toyota…Il y avait même une curiosité rarissime au coloris vert pomme acidulé de chez SMART en version décapotable !
Particularisme : même les vans et les utilitaires trouvent leur place légitime dans l’endroit !
Quant aux prestations, EWIGO s’engage à offrir toute transparence aux acquéreurs/vendeurs quant à la politique des prix pratiqués en ces murs, sur la traçabilité des véhicules et ses différents possesseurs via des historiques, les détails sur les entretiens, les imperfections de chaque voiture à la miro-rayure prêt, des conditions de visualisation optimale avec une soixantaine de visuels par automobile via le site, la labellisation « Fiable ou remboursé », la livraison à domicile de l’acheteur de leur nouveau véhicule, etc.
Le marché de la voiture d’occasion se porte parfaitement bien puisqu’il est bien plus bien plus important en volume que le marché du neuf. En 2021 par exemple, plus de 6 millions de voitures d’occasion ont été vendues contre 1,65 millions seulement d’automobiles neuves. C’est également le deuxième budget des Français après le logement.
Thierry BRET