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Sacré Guy ! L’œil pétille toujours d’excitation, malgré ses 85 ans. Mais, il n’aurait voulu manquer, le moins du monde, une pareille fête. Celle du sport universel et de l’olympisme, vécue avec beaucoup d’intensité et d’émotion au contact de la foule. Surtout lorsque l’évènement est célébré dans sa ville de prédilection, Auxerre, dont il a su populariser le nom aux quatre coins de l’Hexagone quand ce n’est pas dans l’Europe entière. On retiendra de cette 54ème étape du « Relais de la Flamme » cette image pour la postérité de l’ancien coach de l’AJA, soulevant la torche en tenant la main d’un petit garçon, sur la pelouse de l’Abbé Deschamps. Comme un passage de témoin…devant les dieux de l’Olympe.

 

AUXERRE : Sur le torse, un numéro « EO59 ». Celui-là, les aficionados du célèbre personnage auxerrois le conserveront longtemps en mémoire, en souvenir de ce jour de gloire, celui du passage de la flamme olympique dans la capitale de l’Yonne. Un numéro floqué sur la tenue blanche de l’homme qui aura été le premier relayeur (elle est presque immaculée à l’estampille des Jeux de Paris) et qui répond désormais à la presse, au terme de cette journée historique.

Goguenard, l’œil malicieux et vif, Guy ROUX se prend un malin plaisir à expliquer son ressenti après une telle journée, face à la caméra de nos confrères de « France Télévision » et aux micros des médias régionaux.   

Un exercice oratoire qui n’a jamais fait peur au charismatique ancien entraîneur de l’AJA, toujours aussi bavard et prolixe devant un micro, et dont l’aura demeure quasi iconique auprès des suiveurs et autres supporters du club blanc et bleu, qui évoluera de nouveau en Ligue 1, dès la saison prochaine.

 

 

Le premier relayeur démarre à l’allure tranquille à 17h50 !

 

Guy ROUX, le premier des relayeurs de la flamme, à Auxerre. Ce n’est que de la pure logique, en vérité, tant le personnage a changé la configuration de la ville, de son bassin et du département par sa conception du sport de haut niveau, lui donnant ses lettres de noblesse aux quatre coins du Vieux continent, quand ce n’est pas un peu plus loin ! Avec le bonnet bleu ou pas, rivé sur la tête ! D’ailleurs, l’actuel actionnaire du club n’est-il pas originaire de Chine ?! C’est dire !

Guy ROUX, l’éternel meneur d’hommes, en véritable ambassadeur de ce territoire qui devait s’élancer un peu avant 18 heures, l’allure tranquille ce jeudi 11 juillet, date à mettre dans les annales (précisément aux alentours de 17h50) sous le regard attendri de la ministre des Sports, Amélie OUDEA-CASTERA, effectuant de la sorte son second déplacement dans l’Yonne en moins de trois mois !

On se souvient de son précédent séjour en terre septentrionale de la Bourgogne : c’était pour l’inauguration du musée de l’AJA ! Déjà !

« En 1960, j’étais aux Jeux de Rome, glisse l’emblématique figure du football hexagonal avec le souci de l’anecdote savoureuse et complice, mais là, je n’étais pas encore connu ! ».

 

 

La transmission entre deux générations comme un passage de témoin…

 

Dans la zone réservée aux interviews, Guy ROUX ne cache pas sa satisfaction de se trouver là. « On arrive à rassembler dans la joie et le bonheur toute une population, constate-t-il, avec un brin de feu (allusion au chaudron qui devait s’enflammer par le geste assuré par la basketteuse Emmeline NDONGUE). L’homme est fait pour avoir le feu… ».

Auparavant, au beau milieu de la pelouse de l’Abbé Deschamps, stade où il a connu les plus grandes joies de sa carrière d’entraîneur pendant quatre décennies, Guy ROUX devait être rejoint par un jeune garçon, porteur du maillot de l’AJ Auxerre. La torche soulevée au-dessus de leurs têtes, le plus âgé des deux transmettait-il sa flamme au plus jeune ?

 

 

 

Celle de la pugnacité, de la force tranquille, de l’envie ? Belle image, pleine de symboles, que celle-ci !

Reconnaissant qu’il aurait dû la porter plus longtemps sur le parcours qui lui était réservé, Guy ROUX avoua avec un zeste d’humour qu’il avait connu un petit problème de résistance au niveau des bras, l’obligeant à écourter quelque peu l’exercice physique.

« Pourtant, je m’était préparé, devait-il souligner avec humour, mais le public était là à mes côtés ! ».

 

 

L’étonnement, le ressenti de Guy ROUX…

 

Surpris, d’ailleurs, par la densité de la foule, présente et participative réunie au Parc Roscoff. « Vous voyez, il y a beau avoir cinq gros nuages noirs là-bas dans le ciel – des nuages peut-être annonciateurs de futurs orages -, personne ne s’en va ! Les gens aiment ce genre d’évènement ».

Guy ROUX aurait-il vécu ce Relais de la Flamme comme une cure de jouvence qui fait du bien à l’âme ?

« Je ne sais pas si ce que j’ai vécu correspond à une nouvelle jeunesse, répondra-t-il amusé, mais je suis comme tout le monde, ici, on a tous oublié nos problèmes en vivant cette journée très étonnante ! ».

L’étonnement ? Le mot reviendra à maintes reprises dans la bouche de Maître Guy ! « Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de mobilisation et d’engouement autour de cet évènement dont tout le monde me parlait ces derniers jours ! ».

Quant à l’émerveillement suscité auprès des enfants, Guy ROUX n’en revient toujours pas. « J’ai commencé à saluer les 500 jeunes garçons et filles qui fréquentent l’AJA en début d’après-midi, ils étaient tous là à admirer cette flamme ! S’ils avaient vu MBAPPE, cela aurait été pareil… ».

La magie de l’olympisme brille dans le regard du « vieux grognard » du football français. Il en apprécie la moindre des minutes en prenant son temps, apposant sa griffe sur un maillot ou signant un autographe pour un gamin dont les parents filment la scène en étant fous de joie de l’autre côté de l’espace presse. L’éternel Guy ROUX aura su marquer de son empreinte cette très belle cérémonie auxerroise. Lui, le « roi des coaches » intègre de plain-pied la légende de l’Olympe, en porteur de torche…

 

Thierry BRET

 

 


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Il a un peu les traits tirés, Damien LECLERC. Non pas à cause du « jet-lag » et du décalage horaire : Londres ne se situant qu’à trois quarts d’heure de la capitale hexagonale par les airs ! Mais, la journée de ce mardi 09 juillet fut gérée au pas de course pour le directeur général de la coopérative viticole centenaire. Un aller-retour chez nos voisins Anglais qui lui aura valu son lot d’émotions et son pesant de joie avec à la clé le titre pour la maison dont il a la destinée de « meilleur vinificateur de vin blanc » au monde ! Une distinction qu’il doit à la jeune et talentueuse œnologue, Estelle ROY…

 

CHABLIS : Un large sourire s’affiche sur le visage encore juvénile de la jeune femme. Arrivée au sein de la fameuse coopérative viticole icaunaise en juillet 2019, cette native du Territoire de Belfort savoure son premier titre de gloire, avec délectation. Fruit de son travail qualitatif et de son expertise qui elle, n’a rien de naissante. Un succès collectif, se plaît-elle à souligner, aux côtés du chef de cave de la maison, Cyril GROS.

Elle le reconnaît, elle a aussi beaucoup appris aux côtés de Vincent BARTEMENT, l’ancien œnologue de la maison de Chablis, parti aujourd’hui vers d’autres aventures, et qui avaient ramené dans l’escarcelle de « La Chablisienne » bon nombre de trophées prestigieux, dont le « White Winemaker of the Year », obtenu lors du très rigoureux processus d’évaluation, « IWC », déjà accueilli à Londres en 2022.

Décidément, les années paires sourient aux décideurs de la coopérative aux 250 adhérents ! Il suffit de contempler la grande vitrine attenante à un espace de présentation, dans le show-room, pour le constater. S’y dévoilent plusieurs trophées et carafes à l’estampille des plus grandes références internationales qui couronnent le travail d’orfèvre de ces amoureux de la dive bouteille. Côté conception et vinification, il est vrai ! 2016, 2014, 2018…les années s’égrènent et correspondent à autant de distinctions ramassées ! « La Chablisienne », une coopérative olympique au niveau des récompenses ?!

 

Une jeune femme de 34 ans épanouie et sereine…

 

Clin d’œil sympathique, le Relais de la Flamme sera accueilli quelques heures plus tard dans cette belle ville de Chablis, son cortège passant juste devant les édifices caractéristiques de la coopérative aux 60 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Pendant ce temps, Estelle ROY se raconte. Sereine, détendue après le stress occasionné par ce déplacement en territoire britannique si trépidant. A 34 ans, elle touche le Graal avec ce premier succès qui en appelle irrémédiablement d’autres de l’avis de Damien LECLERC. Epanouie, elle exprime sa fierté d’appartenir à la grande famille de « La Chablisienne ».

De son côté, le « boss » de la coopérative se satisfait des deux beaux exercices réalisés au cours de ces dernières années. De quoi mettre du baume au cœur quand les sinistres frappent dur dans les vignobles, comme ce fut le cas au printemps dernier avec la grêle.

 

 

Naturellement, la production 2024 en sera impactée. Mais, on n’y pense pas trop encore et on se contente d’engranger les bénéfices de cette magnifique animation, accueillie dans un stade de criquet londonien plein comme un œuf où devaient s’affronter une kyrielle de producteurs et de vignerons venus du monde entier.

L’international ? Une notion de commercialisation qui parle bien au dirigeant de « La Chablisienne ». L’enseigne est présente aujourd’hui dans plus de quatre-vingt-dix pays (92 pour être exact). Quasiment, sur les cinq continents et réalisant 62 % de ses ventes à l’exportation.

 

Une confrontation vineuse entre le Vieux monde et le Nouveau monde…

 

Lors de cette quarantième édition, organisée à Londres où le super jury aura dû trancher après des séances de dégustation et d’annotation très poussées, le participant de l’Yonne aura été confronté à des productions venant de pays majeurs positionnés sur le vin blanc, à l’instar de l’Afrique du Sud, de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande ou de l’Argentine. Le Vieux monde confronté au Nouveau monde, en somme !

Ce qui n’a pas empêché nullement « La Chablisienne » de glaner par le passé quatre titres de « meilleur vinificateur de vin blanc au monde » ; le cinquième lui revenant de droit il y a quarante-huit heures grâce au travail efficient de la jeune œnologue, Estelle ROY.

« Un millésime, c’est une page blanche, affirme Damien LECLERC, il faut se remettre en question, tout le temps. C’est comme un chef étoilé… ».

Ce nouveau trophée, « La Chablisienne » le doit à son travail global sur la vinification et pas à un produit en particulier, même si dix-neuf de ses nectars ont récolté au passage des médailles distinctives lors de cette cérémonie. Une soirée inoubliable pour la coopérative qui a ajouté de nouvelles contrées à son catalogue export, cette année, avec Israël, la Malaisie ou encore, et c’est paradoxal car il est gros producteur de vin, l’Australie !

 

Thierry BRET

 


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Lorsqu’il parle, il possède une toute petite pointe d’accent, le spécialiste en développement personnel et préparateur mental, Attila FARKAS. Le patronyme nous renvoie à ses origines magyares. Quant au prénom, nul n’est besoin de préciser qu’il évoque celui d’un guerrier qui pratiquait jadis la politique de la terre brûlée une fois de nouveaux territoires envahis : un certain roi des Huns dont les potaches tentent de se remémorer l’existence dans les cours de primaire. L’ex-entraîneur des gardiens de but de l’AJ Auxerre a tourné casaque avec le milieu pur sport ! A la tête de son cabinet, il prodigue ses conseils pour redonner confiance à celles et ceux qui n’en ont plus…

 

AUXERRE : La confiance. Le mental. Des mots qui font tilt dans l’esprit de ce quadragénaire aux allures sportives. Presque un jeune homme, mais bien construit au niveau de ses idées et de ses réflexions ! Peut-être s’est-il inspiré de la fameuse phrase de VOLTAIRE pour accélérer sa reconversion dans le développement personnel et le coaching ? « Le doute est un état mental désagréable, mais la certitude est ridicule… ». Beaucoup, en l’état actuel des choses, devraient s’en inspirer avant d’agir !

Le garçon a vraiment changé de cap. Lui qui a vécu durant presque trois décennies dans le sillage de l’AJ Auxerre, de ses athlètes professionnels et ses gardiens de but, parfois emblématiques, dont il fallait travailler le mental afin de les rendre encore plus performants et concentrés.

A la tête de sa structure entrepreneuriale – elle se nomme ATICOACHING, tout bonnement, la contraction de son prénom et du terme anglais -, le Hongrois le plus auxerrois dans l’âme s’est lancé de nouveaux défis, mettant à contribution toutes ses connaissances et ses expériences au service de sa nouvelle clientèle.

De prime abord, les sportifs eux-mêmes, jeunes et moins jeunes en quête de confiance si les performances ne suivent pas, mais pas seulement ! Attila est dans l’écoute, prend le temps de poser les jalons de chacune des méthodes qu’il met en place, explique dans le détail ses outils qu’il a créés pour y parvenir, s’intéresse à l’autre.

 

 

Un séminaire en septembre avec un acteur de la PNL…

 

Il s’est lui-même formé aux neurosciences, une spécialité dans la préparation mentale et le développement de soi. Le tout a été certifié par l’obtention d’un diplôme, des acquis confirmés par son expérience de coach sportif. Le nom de ses programmes sont déjà évocateurs dans la lettre : « ascension », « reboost », etc. Cela donne envie d’en savoir davantage.

Cela sera du domaine du possible en septembre prochain. La date n’a pas été arrêtée officiellement mais le lieu est connu : le château de Villefargeau – un cadre d’exception ! – qui accueillera la déclinaison du programme « Emergence ». Tout un laïus autour de la confiance en soi à toute épreuve ! Une journée immersive pour un groupe limité à cinquante personnes où Attila FARKAS s’appuiera également sur le savoir d’un maître praticien de la PNL, Franck SVENSEN. La PNL ? La programmation neuro-linguistique pour les néophytes !

Fort de cela, Attila est à la conquête de nouveaux territoires ! Les étudiants, les salariés, les cadres, les entrepreneurs ! I Ici et ailleurs, partout dans l’Hexagone ! Vu le climat délétère ambiant : le garçon ne devrait pas avoir trop de mal pour étoffer son portefeuille de clientèle.

Son credo est le suivant : « les solutions à tous nos problèmes sont en nous et autour de nous ! ». Qu’on se le dise, il n’a pas tort en vérité !

 

Thierry BRET

 


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Major des majors ! Cela en jette sur la carte de visite, incontestablement. Le meilleur des meilleurs. Le saint des saints, bref, la quintessence de l’excellence, si chère à l’esprit de la grande maison qu’est devenue en près de cinquante ans, le CIFA de l’Yonne. Entre Lily-Rose MARTENS et Alexandra DUFOUR, le cœur du public a balancé lors de la remise des prix. Deux lignes de vie différentes, certes, mais avec beaucoup de similitude entre ces jeunes filles, promises à un avenir rayonnant…

 

AUXERRE: « Oh les filles, Oh les filles ! ». Le groupe « Au Bonheur des Dames » n’avait qu’à bien se tenir en 1974 en interprétant ce fameux morceau, passé depuis à la postérité, encensant, et ce bien avant l’heure, la place prédominante de la gent féminine dans notre société. Une place depuis confortée dans toutes les strates de la vie sociale et professionnelle hexagonale, y compris dans la formation, via l’une de ses filiales phare, l’apprentissage.

Deux de ses représentantes icaunaises ont eu droit aux honneurs officiels lors de la traditionnelle cérémonie de la remise des prix, déclinée au centre de formation professionnel du CIFA de l’Yonne, il y a peu. Deux jeunes filles que les médias connaissent déjà presque sur le bout des doigts, tant les titres glanés çà et là de par leur pugnacité à accomplir des concours et à relever les challenges nous sont familiers ! Des apprenties, tout simplement. L’une a été sacrée lors du concours de l'Amicale des Cuisiniers de France meilleure apprentie de France dans sa spécialité, la cuisine. L’autre a pour particularisme de collectionner les titres de major des majors, comme ce fut déjà le cas en 2022 !

Leurs patronymes : Lily-Rose MARTENS et Alexandra DUFOUR !

 

Une véritable « Engagée de l’Yonne » selon Dominique VERIEN !

 

Non seulement, la première des susnommées a obtenu le « Graal » suprême offert par le CIFA de l’Yonne, ce titre de major des majors qui augure de belles perspectives tant pédagogiques que professionnelles mais en outre elle s’est vue décerner le trophée récompensant des « Engagées » de l’Yonne, une distinction mettant en lumière ces femmes qui permettent à notre territoire de rayonner bien au-delà de nos frontières. C’est l’instigatrice de ce trophée, la sénatrice Dominique VERIEN, qui devait remettre la récompense à l’issue de cette cérémonie placée sous le sceau des Jeux olympiques de Paris à la jeune fille, souvent distinguée lors de cette soirée.

 

 

A 20 ans, la demoiselle qui avait déjà obtenu son baccalauréat général avec une moyenne de 17, avait ajouté en guise de corde à son arc, le CAP cuisine obtenu en un an, l’année dernière. Avant de décrocher la Lune comme meilleure apprentie de France de la catégorie cuisine. La quatrième jeune femme française à déposer ce titre plus qu’honorifique dans sa besace en seulement 69 éditions ! Une réussite qui en appelle d’autres, tant au CIFA où Lily-Rose suit une spécialisation dans les desserts qu’au restaurant familial, tenu par son paternel, à Troyes, le « Midi O’Halle ».

 

Le savoir-être et les chiffres, la recette du succès d’Alexandra DUFOUR

 

Tout sourire et la parole facile aux côtés des personnalités devant se succéder sur la scène, Alexandra DUFOUR est l’autre versant de ce titre de major des majors 2024. Une fervente adepte de l’alternance qui accumule le nombre des années d’apprentissage au CIFA de l’Yonne qui est devenu sa seconde maison !

Suivant un cursus dans les métiers de bouche (la pâtisserie, notamment), la jeune fille s’est orientée ensuite vers le bac pro animation et gestion des entreprises, en épousant peut-être un jour les traces de son père, artisan.

Cette adoratrice des chiffres est aussi une férue du « savoir-être », notion qui plaît beaucoup aux responsables du CIFA qui savent récompenser celles et ceux des sujets qui y sont sensibles, mais aussi aux employeurs qui aiment embaucher ce type de profil dans leurs entreprises…Les filles de l’excellence de cet été 2024 !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est devenu une habitude. Mais, le public en redemande d’une édition à l’autre de ce rendez-vous estival qui lance la saison des festivités culturelles dans le village au célèbre château moyenâgeux. Logique : l’Ecole de Musique, Danse et Théâtre de Puisaye à Toucy (EMDTPF) possède une notoriété, faisant tâche d’huile un peu partout sur le territoire. Notamment, sa formation spécialisée dans la reprise de standards et de morceaux plus méconnus de jazz, le « Small Band ». Dirigé par l’excellent saxophoniste François CANARD, le groupe n’a pas déçu les amoureux de Count BASIE, réunis au pied du castel…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Il n’y aurait pas ce petit vent frisquet qui ébouriffe les cheveux, on se serait vraiment cru aux meilleures heures de l’été, côté atmosphère ! Le cadre, tout d’abord. La scène, devant accueillir les instrumentistes des deux formations de la soirée, est placée juste devant la muraille de cet édifice massif et chargé d’histoire qui fait la renommée touristique de ce merveilleux village, à l’appellation si « druidique » !   

Mais, ne nous plaignions pas : les conditions météo auraient pu être pires ! L’astre diurne est bel et bien au rendez-vous, occulté de temps à autre par un nuage couleur albâtre filant dans le ciel. Le soleil darde de ses rayons couchants un public encore un peu timide et sur la réserve – elle n’est pas parlementaire celle-là !-, en ce début de soirée d’un samedi marqué par le lancement des animations d’été à Druyes.

Cela sent bon les vacances à plein nez même si les organisateurs de l’association éponyme, « Jazz à Druyes », ne chôment pas derrière le petit espace faisant office de buvette et de point d’accueil, positionné dans l’herbe.

En guise de mise en bouche de la soirée, avant que le guitariste prodige, Jean-Baptiste HARDY, ne vienne produire ses notes de musique aux connotations orientales ramenées d’un séjour de plusieurs mois en Turquie, l’EDMTPF ouvre le bal !

 

 

Un standard de Count BASIE en guise de hors d’œuvre !

 

Côté jazz-rock, on se remémore les appellations à rallonge des groupes cultes et dinosaures de la spécialité musicale ayant éclos au début des années 1970 et de réputation mondiale, CTA pour « Chicago Transit Authority », devenu un peu plus tard tout bonnement « Chicago » ou encore « BS&T », à savoir « Blood Sweat & Tears ». Des références inégalées en la matière, cinq décennies plus tard !

Bon, là, avec l’EDMTPF, on est certes un cran plus modeste dans la notoriété à titre comparatif avec les deux autres formations américaines ! Toutefois, l’excellent professeur et saxophoniste, hors pair lui-même, François CANARD a su démontrer à ce public de férus que la valeur n’attend pas le nombre des années.

 

 

Embarquant à ses côtés des musiciens jeunes et moins jeunes, possédant tous cette fibre commune et viscérale de la passion du jazz, le chef d’orchestre et métronome de ce combo encore à l’état pédagogique, de par son appellation, nous a prouvé qu’il y avait de belles perspectives dans l’air et des talents à la pelle dans cette Ecole de Musique, Danse et Théâtre de Puisaye, dont le siège social est, faut-il le rappeler, à Toucy !

L’interprétation du fameux « Blues in Hoss Flat » du non moins talentueux chef d’orchestre et pianiste Count BASIE (il a co-écrit ce titre en 1957 avec son complice Franck FOSTER) fut une excellente entrée en la matière pour donner le tempo et le « la » de cette soirée de belle facture jazzy ! Un morceau qui devait illustrer en guise de bande son en 1961 le long métrage du désopilant et génial Jerry LEWIS, « Le Zinzin d’Hollywood » !

 

 

Un des airs universels du jazz servi sur un rythme chaloupé : « Lil’Darlin » !

 

Puis, la formation enchaîna après quelques explications sommaires du maître à penser François CANARD par le trépidant « Cornbread », du méconnu Lee MORGAN, trompettiste américain qui enregistra ce morceau de près de dix minutes en 1967. Sur l’album de l’époque, on notait la présence d’un certain… Herbie HANCOCK au piano !

Moment de grâce avec l’interprétation de « Lil’Darlin », que l’on doit à Neal HEFTI, l’un des trompettistes accueilli au sein du Count BASIE Orchestra, publié en 1957 ! L’une des références très mélodieuses et universelles des standards du jazz construit sur un tempo très lent. On connaissait jusque-là les versions d’Oscar PETERSON ou de George BENSON, voici désormais celle toute en finesse et en virtuosité qui nous a été livrée par les instrumentistes experts de « l’EDMTPF » !

Pour les puristes, signalons que le regretté Henri SALVADOR en avait assuré une adaptation à la française, rendant hommage au roi des rois des «big bands », sobrement intitulé, « Count Basie » en 1963 !

Ce fut un délicieux rendez-vous pour mélomanes avertis ou néophytes en soif de découvertes initiatiques ! Il se poursuivit au pied de ce château plusieurs fois séculaire…jusqu’en début de soirée. C’est sûr, vivement la saison prochaine !

 

Thierry BRET

 

 


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