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Plus de deux cents personnes sont venues applaudir l’ambassadrice de l’Yonne dans son interprétation des plus belles chansons hexagonales à la salle des fêtes de Paron, il y a quelques jours. A la grande satisfaction de l’élu Jean-Luc GIVORD, fort généreux au nom de sa localité, avec son bouquet de fleurs ! Samedi, c’est au tour du comité des fêtes de Pourrain d’honorer l’artiste icaunaise, férue d’Edith PIAF et de Juliette GRECO. Rendez-vous est pris en l’église de la bourgade, à 20h30…

 

POURRAIN : Elle enchaîne les récitals, celle qui ressuscite les grandes voix de la chanson française traditionnelle. Une tournée de printemps qui l’a mènera ce samedi aux alentours de 20 heures 30, en l’église de la petite localité, sise entre Auxerre et Toucy. Pour le plus grand plaisir de ses fans, un public qui lui est fidèle depuis longtemps désormais.

Christelle LOURY qui vient d’ajouter une autre spécialité artistique à son arc avec la publication de son premier opus littéraire – « Lettre n°0 » paru aux éditions Les Souliers Blancs – et dont nous reparlerons prochainement dans ces colonnes, convie les spectateurs à plonger en sa compagnie, avec bonheur et nostalgie, dans cette France des années 30 à 70, des périodes synonymes de sérénité, de joie de vivre, de convivialité, de camaraderie, d’insouciance. Tout ce qui est à l’opposé de cette France du vingt-et-unième siècle au bord de la crise d’apoplexie et de la paranoïa sur fond de guerre nucléaire et de catastrophes climatiques !

Un public qui ne restera pas sans voix (voie ?) pour accompagner l’artiste dans ses interprétations d’œuvres à l’estampille de Charles AZNAVOUR dont on vient de célébrer le centenaire de la naissance mais qui reste toujours autant d’actualité, BARBARA, Yves MONTAND, Léo FERRE, Gilbert BECAUD, Françoise HARDY, et tant d’autres encore. Du rêve à l’état pur pour nos âmes d’éternels optimistes !

 

 

En savoir plus :

Concert « Paris et les belles chansons françaises » avec Christelle LOURY (Hommage à Paris et aux grands interprètes des années 30 à 70)

Accès : Entrée payante

Tarif : 15 €

Réservation sur internet

Contact info/resa : 03 86 41 13 96 (Mairie de Pourrain)

Site web : www.christelleloury.com

 

Thierry BRET

 

 


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Trois périodes de travail sont proposés par l’artiste auxerroise - elle est diplômée de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris – à l’occasion de cette exposition printanière de belle facture qualitative, installée jusqu’au 02 juin à l’espace MOUV’ART à Auxerre. On y voit une série de linogravures et de gravures sur bois anciennes, réalisées entre 1990 et 2006. Des œuvres qui sont quasi inédites pour les amateurs d’art car elles sont restées très longtemps dans les tiroirs de l’artiste, les ayant très peu exposées. A ne manquer sous aucun prétexte pour mieux comprendre une créatrice pudique…et à l’imaginaire très fécond.

 

AUXERRE : C’est une façon pour elle de renouer des liens et de retrouver des fils conducteurs. Avec la créativité qui ne l’a jamais quittée ? Avec le passé où l’on sent poindre un zeste de nostalgie à l’évocation de ce travail intense qui court sur plusieurs années entre deux décennies ? Avec son public, aussi, pour lui montrer ce que sont des œuvres réalisées à partir de la technique de la linogravure et la gravure sur bois ? Une quarantaine de pièces trônent en bonne place dans cet espace idoine et savamment mis en lumière, pour les pratiquants des arts de la région, qu’ils soient peintres, sculpteurs, photographes, céramistes, etc. L’espace MOUV’ART, tout un symbole et du dynamisme jusqu’à son appellation ! Du mouvement dans les arts, la belle affaire en somme pour s’attirer la sympathie du public.

Interrogée alors qu’elle entame sa première journée de présentation, l’artiste explique la finalité de son travail, fait de récurrence et de diversité quant à l’usage des médiums. Depuis le dessin jusqu’à la broderie (on en aperçoit installées sur les cimaises plusieurs illustrations), de la gravure, aussi, qui lui permet d’autres cheminements créatifs et intellectuels.

« La gravure réinvente l’espace de mon dessin, souligne-t-elle, car je suis quelqu’un qui a toujours beaucoup dessiné. Et cette gravure représente un complément de travail à ces différentes périodes, même si aujourd’hui je ne la pratique plus beaucoup… ».

 

Une source d’inspiration pour l’une de ses œuvres : un tableau de GAUGUIN

 

Au fil de cette intéressante rétrospective, où se détache du regard des choses très colorées et de belles illustrations de la gravure sur bois, le visiteur s’immerge dans ce travail très minutieux voulu par une artiste qui aborde plusieurs thématiques dont la représentation du corps et sa protection. Une vision très intimiste, parfois, entre l’homme et l’animal. Le thème de la maison, rassurant, n’est pas oublié non plus.

Ici, l’on découvre une pièce inspirée d’une œuvre de Paul GAUGUIN, « La Femme et le Renard ». Commentaires de l’intéressée…

« C’est au cours d’une résidence à laquelle j’ai pris part à La Napoule que je me suis concentrée sur ce tableau, explique Florence MERCIER, c’était en 1991… ». Un résultat admirable.

Un peu plus loin, un tableau qui rappelle des graffitis. « J’ai toujours été très sensibilisée aux signes graphiques, confirme-t-elle, l’objet m’a également inspiré entre abstraction et figuration dans les années 90. Le corps humain est très présent dans mes travaux… ».

 

 

Une histoire de déclic et de fil…

 

On le constate ensuite sur de petites toiles, intimistes, où ce corps humain est une source de créativité sans fin pour l’artiste. « Ce thème fait ressortir mes émotions comme un journal tenu au jour le jour à l’époque… ».

Une période où parallèlement à ses linogravures, Florence MERCIER effectuait une série de dessins sur des feuilles de livre pour raconter le plus profond de ses pensées.

Aujourd’hui, ayant passé un cap, la diplômée des Beaux-Arts de Paris ressent le besoin de montrer ce travail éclectique et si riche, longtemps caché.

« Oui, il y a eu un déclic en moi, confie-t-elle, une façon de rejoindre les époques qui ont été toujours très différentes. Il me fallait trouver un fil conducteur à tout ça… ».

Un fil très important pour elle par rapport au trait du dessin. « On le retrouve même dans l’une de mes linogravures avec une œuvre qui s’appelle « Le Fil »…. ». Tout simplement.

Trouver des liens en harmonie pour donner du sens aux choses et à sa vie, c’est ce fil d’Ariane qui s’apparente au trait du destin…que souhaite partager avec le public une Florence MERCIER à découvrir ou à redécouvrir sans modération…

 

En savoir plus :

Exposition Florence MERCIER (linogravures et bois)

Espace MOUV’ART

Du 21 mai au 02 juin 2024

2 Rue de l’Yonne

89000 AUXERRE

Entrée libre,

Vernissage le vendredi 24 mai à 18 heures

Ouverture du mardi au dimanche de 14h à 18h.

 

Thierry BRET

 


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Après leur sacre de la veille au soir à l’Abbé-Deschamps et avant la grande fête populaire organisée place de l’Arquebuse en leur honneur, les joueurs de l’AJ Auxerre ont fait un détour par la préfecture samedi matin, répondant à l’invitation de Pascal JAN, qui ne cachait pas son plaisir à recevoir les champions 2024 de Ligue 2. Le plus étonnant étant qu’en dépit du palmarès qu’on lui connaît, c’était la première fois que le club était ainsi invité dans l’ancien palais synodal…

AUXERRE : C’est sous les applaudissements que les joueurs, entourés de leur actionnaire James ZHOU, du président du club, Baptiste MALHERBE, ainsi bien sûr de leur entraîneur, Christophe PELISSIER et d’une partie du staff ont foulé la pelouse des jardins de la préfecture en toute fin de matinée ce samedi. Pour beaucoup, la nuit aura été courte, voire inexistante et en dépit de la grisaille du ciel, les lunettes solaires étaient de circonstance pour masquer les yeux fatigués ! Mais le sourire était toujours là ; celui d’une bande de « gamins » pas peu fiers de remonter ainsi en Ligue 1, un an tout juste après avoir connu la gifle de la relégation !

 

Une illustration parfaite de l’exemplarité

 

Le préfet de l’Yonne n’aspire sans doute pas à occuper un jour la fonction suprême, mais c’est en songeant à tous ces sportifs nationaux reçus par le président de la République en son palais, que Pascal JAN a eu l’idée d’inviter les champions icaunais à la préfecture : « certes, c’est plus modeste qu’à l’Élysée, je le concède… ».

L’ancien étudiant de sport-études qui se souvient dans sa prime jeunesse avoir été approché pour intégrer un « certain » centre de formation cher à Guy ROUX, n’a pas manqué dans son discours, de saluer le parcours d’une équipe à ses yeux exemplaire et participant par ses victoires, au rayonnement de tout un territoire : « à travers vos résultats, que ce soit pour vos supporters et plus globalement, pour les Auxerrois et tous les Icaunais, il y a une identité, l’affirmation d’un destin commun… ».

Associer le public au titre de « champion » n’est pas encore à l’affiche des instances footballistiques nationales et le préfet de l’Yonne le regrette : « vous avez un public exceptionnel, fidèle, répondant toujours en nombre, avec des records d’abonnés et de guichets fermés, un socle extrêmement fort pour continuer vos exploits sportifs. Un public qui croit en vous… ».

Saluant au passage une exemplarité de comportement tout au long de la saison, que le responsable de la sécurité publique dans le département ne pouvait qu’apprécier à sa juste valeur.

 

 

 

Concilier le sport de haut niveau, l’environnement et les enjeux stratégiques

 

Même tonalité dans les propos du premier vice-président du Conseil départemental Grégory DORTE, représentant Patrick GENDRAUD soufrant : « ce club est unique et sur un bassin de vie de 40 000 habitants, vous êtes vraiment l’étendard de tout un département… ».

Au point de souhaiter accoler un jour au stade le nom de « l’Yonne », en remplacement de celui qu’on lui connaît ! Pas certain que l’abbé là-haut sur son nuage soit d’accord ! Le destin du maire d’Auxerre est-il lié à celui de l’AJA… ? Nul doute que la remontée du club en Ligue 1 ne pourra que jouer en faveur des projets portés par Crescent MARAULT et son équipe pour l’avenir d’Auxerre : « il nous faut être déterminés, l’enjeu étant d’essayer de concilier à la fois le sport de haut niveau, l’environnement, les enjeux stratégiques d’un territoire et je pense qu’aujourd’hui les planètes sont alignées… ».

Avec toutefois cette interrogation que ne manqueront pas de souligner ses opposants : « j’espère que l’on sera aussi efficaces que vous l’avez été pour remonter en Ligue 1… ».

 

 

Une entorse à la vie stricte des sportifs, gougères et crémant en mains !

 

Invité à prendre la parole, le président de l’AJA, Baptiste MALHERBE, évoquant une saison « historique et mémorable », s’est attaché lui aussi à saluer les joueurs et pas seulement pour leurs succès sur le terrain : « je tiens à souligner leur attitude et les valeurs qu’ils ont incarné. C’est un vrai plaisir de les accompagner car au-delà d’être de grands sportifs, ce sont vraiment de belles personnes… ».

Le mot de la fin revenait à Christophe PELISSIER, qui se projette déjà dans l’avenir et rêve d’autres ambitions pour son équipe : « revenir ici l’an prochain avec un autre titre… ». Celui de champion de l’élite ? Chiche !

Mais pour l’heure, place aux photos et aux dédicaces. Une séance à laquelle la « bande à JUBAL » s’est prêtée sans retenue et avec le sourire, pour le plus grand bonheur des invités présents, avant de s’accorder quelques accrocs au régime sportif, gougères et verre de crémant en mains, à l’image de Gauthier HEIN, grand artisan de la remontée du club en division supérieure. Mais ce n’est pas tous les jours que l’on peut à la fois fêter la remontée, le titre de champion de Ligue 2 et celui de « meilleur joueur de L2 » aux Trophées UNFP… Chapeau bas et ballon haut !

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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C'est l'histoire d'une vénérable maison de la gastronomie française, installée dans l'Yonne. Mais avant  de s'y attabler en ce jour pluvieux de mai 2024, prenons le soin de s'attarder sur son glorieux passé. Cet ancien relais de poste vit passer l'empereur Napoléon, lors des « Cent Jours » qui se terminèrent tragiquement par  la bataille de Waterloo en juin 1815. En 1900, dans le premier guide Michelin, « L’Hôtel de la Poste » figure en bonne place. Son adresse, la  place Vauban, n'est pas encore en travaux ; contrairement à 124 ans plus tard !

 

AVALLON : Puis viendra le temps de la fin de cette terrible Seconde Guerre mondiale. René HURE, fils d'hôteliers auxerrois, et petit-fils d'aubergistes sénonais, ancien élève d'école hôtelière, s'installe alors dans ce chef-lieu d'arrondissement de l'Yonne. Il s’aperçoit que tout est à refaire dans cet hôtel abandonné. C'est avec courage qu'il  s'emploie alors à d'importants travaux de rénovation, dans ce qui deviendra « L'Hostellerie de la Poste ». En 1948, tandis que les restrictions alimentaires commencent à s'amenuiser, le Michelin accorde deux étoiles à l'établissement pour ses escargots de Bourgogne, son jambon chaud à la « chablisienne », ainsi que pour les petites pièces de volaille fourrées cuites en pâte.

 

 

 

Une belle maison qui a perdu sa 3ème étoile dans les années 60

 


En ces années sans autoroute, l'axe Paris-Côte d'Azur est devenu la grande route française de la gastronomie. En 1953, Michelin décide que l'établissement de Simone et René HURE vaut le voyage et décroche les prestigieuses triples étoiles. On s'y régale alors de quenelle de homard à  la crème, de truite fourrée au fumet de Meursault et de poulet en civet au vieux Bourgogne. Sans oublier le « Dolce Borghese », un dessert d'anthologie !

A la fin des années 60, cette belle maison perd sa troisième étoile. La seconde perdurera une vingtaine d'années jusque vers les années 1985, qui verront l'avènement de jeunes cuisiniers icaunais : Marc MENEAU et Michel LORAIN. Puis, ce sera la fin des étoiles Michelin, pour cette maison au passé chargé d'âme, qui sera cependant  mentionnée au Michelin jusqu'au début des années 2010. Quel noble parcours !

 

 

Et pourquoi pas l’appellation « 1805 » plutôt que « 1815 » !

 

De cette maison fermée et à l'abandon, le couple COHEN a eu le courage et la témérité aussi, de croire en son avenir. Madame aime les lapins, ces petites poteries en attestent ! Depuis peu, chambres et restaurant sont ouverts à la clientèle, pour le plus grand plaisir des Avallonnais, mais pas que ! Sinon, comment dire : le courage financier est une chose, et l'amour de la bonne cuisine, une autre.

La première formule-déjeuner est ici à 29 euros. Le choix est fait du menu à 82 euros, intitulé « 1815 » (on eût préférés « 1805 » et Austerlitz,  mais l'histoire en ainsi faite !). Le service, avec une douzaine de couverts, semble aimablement débordé ! Il en sera ainsi durant tout le repas, à l'attente parfois un brin longuette entre deux assiettes. L'un des souriants chefs de rang ressemble quelque peu au chanteur STROMAE !

 

 

 

Des accompagnements pas forcément adaptés…



A l'apéritif, l'Américano commandé se fait attendre. Le barman l'a confondu avec...un café, passons ! La salle est belle avec ses boiseries soignées et ses tapisseries au plafond. Les pains et le beurre en accompagnement sont plutôt bons. En première entrée, l'escalope de foie gras de canard poêlée et la sauce l'accompagnant, un brin acide, constituent une entrée en matière plutôt solide !

L'autre entrée, les pleurotes, semble un brin imprécise et confuse entre crème  de chou-fleur et écume de parmesan. La seconde entrée, la « seriole ikejime » (pratique nipponne) est un plat agréable et bien assaisonné, plutôt plaisant à consommer. Mention vineuse spéciale pour le Pouilly-Fuissé de Jacques SAUMAIZE, fort gouleyant !

Enfin, nos plats principaux arrivent, toujours servis dans de jolies assiettes. Déceptions à l'unisson pour le ris de veau à la texture bizarroïde. Si le lieu jaune est impeccablement poêlé, on y retrouve l'écume de parmesan (????) qui couvre l'esprit des agrumes de l'assaisonnement. L'accompagnement des lentilles ne semble pas le plus adapté.

 

 

Une bonne chose que cette réouverture

 

Julien COHEN passe de table en table, organise les visites des lieux, et évoque avec enthousiasme les nouveautés à venir, tel le bar. Quant au dessert à base de fraise, il est pâteux et imprécis au plan gustatif. Le café est servi dans de jolies tasses à bord fin, accompagné par de bonnes pâtes de fruit. 
C'est une bonne chose que la réouverture de cet établissement réputé, porteur d'une belle histoire culinaire et qui devra peut-être désormais s'employer avec le temps, à se faire une belle place au sein des tables locales réputées. Paris ne s'est pas fait en un jour, Avallon, non plus !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : le service est un brin évanescent.

Les + : le cadre est fort joli.

 

 

Contact :

 

Hostellerie de la Poste

13, place Vauban

89200 Avallon

Tel : 03.86.34.16.16.

Menu-déjeuner à partir de 29 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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En déplacement au stade de la Licorne à Amiens, l’AJ Auxerre a été couronnée championne de Ligue 2, vendredi dernier. Christophe PELISSIER et ses joueurs ont donc remporté le premier trophée pour le club bourguignon depuis la coupe de France 2005. L’objectif est déjà fixé pour la saison prochaine : le maintien parmi l’élite pour le club de l’Yonne…

 

AUXERRE : Lors de l’avant-match, l’ambiance était déjà hors normes pour une rencontre vécue à l’extérieur. Plus de 2 500 supporters auxerrois avaient effectué le trajet en Picardie pour encourager leur équipe et l’a voir officiellement devenir championne de Ligue 2. Le plus gros parcage du club a même étendu un « tifo » qui remplissait la tribune sud du stade d’Amiens. En face de cela, les ultras du club adverse ont exhibé une banderole et un « tifo » en l’honneur de Christophe PELISSIER, ancien coach du club picard, qui l’a fait monter de Nationale 1 à la Ligue 1 en 2017.

Après le coup d’envoi, Auxerre mit le pied sur le ballon et imposa son jeu. Cela se traduisait par une grosse occasion de Gauthier HEIN à la 14ème minute. Malheureusement, Lassine SINAYOKO devait sortir sur une blessure à la 19ème minute, après qu’il ait reçu une béquille. C’est Issa SOUMARE qui le remplacera au pied levé. Amiens subissait dans ce début de match mais monta petit à petit en régime. Plusieurs occasions donnèrent confiance aux joueurs. Mais, les bourguignons finirent en force avec une grosse occasion de Gauthier HEIN et une frappe de Gaëtan PERRIN, juste avant la mi-temps.

 

Un nul qui équivaut à une victoire avec le titre au bout !

 

Malgré un bon début de seconde période, grâce à une grosse occasion, ce sont les hommes d’Omar DAF qui vont tenir les rênes de la partie. Mais, ce sera aussi le début d’un très grand match de la part de Donovan LEON. Il sortira toutes les occasions des joueurs picards. Mais, à la 70ème minute, le gardien Auxerrois va provoquer un pénalty après une énième occasion amiénoise. Il stoppera la tentative de transformation de Louis MAFOUTA. Le score ne bougera pas et les deux équipes se quitteront sur un match nul.

 

 

Un match égalitaire mais très intense. Cette rencontre verra Donovan LEON sortir sept arrêts, il sera élu homme du match. Les Amiénois auront accumulé 14 tirs tout au long du match. Un nul bien payé pour les Auxerrois, qui grâce à ce point, viennent de remporter le titre de champion de Ligue 2.

Après le match, Gauthier HEIN soulignait l'importance de l'objectif atteint, mais également les nouveaux objectifs à réaliser. « Le championnat n’est pas fini, on aimerait vraiment terminer sur une victoire à la maison et atteindre la barre des 70 buts ».

 

Le ton est donné par le coach : ce sera le maintien en Ligue 1 !

 

Pour le réaliser, deux buts seront donc nécessaires, ce qui ferait de l’AJA une des meilleures attaques de ces dernières années en seconde division. Les Auxerrois ont donc remporté le titre dès vendredi soir contre Amiens, mais ils sont pressés de venir fêter cela à l’Abbé Deschamps, avec tous les supporters lors du dernier match, ce soir.

L’AJA retrouvera donc la Ligue 1 un an après l’avoir quitté́. Un accomplissement que peu de clubs ont réussi à faire et qui montre le bon travail des membres du club. Les accessions sont toujours de bons moments à vivre. Mais, Christophe PELISSIER est clair sur ses intentions : « on ne veut plus vivre ça. On veut se maintenir et rester en Ligue 1 ». Le ton est d’ores et déjà donné pour la saison prochaine.

 

Enzo BEAUDET

 


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