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L’au-revoir à l’ancien président de la République française, décédé la semaine dernière, a été salué avec extrême solennité et respect dans la salle des pas perdus de l’hôtel de la préfecture de l’Yonne…

AUXERRE : Un microphone disposé dans un des angles de l’immense pièce. Et puis, à proximité un portrait. Celui d’un Jacques CHIRAC qui rayonne dans toute sa splendeur de chef d’Etat. Le cliché l’immortalise dans les jardins de l’Elysée au temps où il exerçait encore son influence au nom et pour la grandeur de la France.  

« Une vie hors norme consacrée au service de l’être humain… ». La phrase de Patrice LATRON résonne un long moment dans la salle des pas perdus qui accueille cette cérémonie du souvenir. Celui dû au rang et à la qualité de l’homme d’Etat.

A l’instar de l’ensemble des organismes et institutions français, et en ce jour de deuil décrété par la nation, la préfecture de l’Yonne a rendu hommage à l’un des siens, un digne serviteur de l’Etat.

L’ensemble du personnel du corps préfectoral assista à cette courte cérémonie où Patrice LATRON raviva en quelques mots la mémoire et le parcours de l’ancien président de la Vème République. S’inspirant de quelques annotations, jetées çà et là, sur un bristol lui faisant office de mémo.

La minute de silence nimba la salle des pas perdus dans un espace quasi irréel pour ce lieu qui est d’ordinaire l’un des passages névralgiques facilitant l’accès soit aux bureaux du Département soit à ceux de la préfecture.

Avant que ne se clôture quelques minutes plus tard, et sur de simples remerciements exprimés par le préfet de l’Yonne, cette très respectueuse cérémonie d’un souvenir impérissable…

 

 

 


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Dans les mois qui viennent, va-t-on nous rejouer avec Richard FERRAND le même spectacle politico-tragi-comique sur la scène nationale comme nous y avons eu droit par le passé avec François FILLON et François de RUGY ? Pourquoi tragi-comique ? Comique, parce que, selon cette merveilleuse expression de Beaumarchais, « il faut se hâter d’en rire avant d’être obligé d’en pleurer ! ». Tragique parce que nous autres, Français, nous voyons, une fois de plus, une classe politique à la fois inconsciente, légère et osons l’écrire, souvent peu reluisante aux manettes du pouvoir...

TRIBUNE : Mais ne commençons pas à répéter ce slogan un peu usé : la présomption d’innocence. Comme la langue d’Ésope, c’est la meilleure et la pire des choses. La meilleure parce qu’il règne dans notre pays, tant bien que mal, une justice qui avance prudemment. La pire des choses, parce que ce beau principe est mis à toutes les sauces et que les gâte-sauces s’en donnent à cœur joie.

Qui sont-ils ? Nous tous, bien sûr ! Parce que, ignorant la présomption d’innocence, nous allons nous repaître dans une version moderne des jeux du cirque, du spectacle des hommes livrés aux bêtes féroces. Heureusement, on a un peu progressé : il n’y a plus de mise à mort. Mais, il y a la perte de l’honneur. Rappelez-vous l’affaire Dreyfus et prenez la peine de lire quelques extraits de presse de l’époque. Nous restons confondus par le déchaînement de l’ignominie qui peut se faire jour dans notre douce France.

 

S’inspirer des pensées de Beaumarchais…

Relisons cet auteur : « D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait. Il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche, il va le diable. Puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil. Elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au Ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. Qui diable y résisterait ? »
Avez-vous reconnu l’origine de ce texte qui dit tout dans un grand style ? C’est la description de la calomnie dans « Le Barbier de Séville » Il commence ainsi : « Monsieur ! Vous ne savez guère ce que vous dédaignez. J'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés ».
Maintenant, prenons du recul et posons-nous la question : la presse qui se répercute dans les réseaux sociaux, ne joue-t-elle pas un rôle essentiel dans nos régimes qui se disent démocratiques. Mais, dont le pouvoir tombe en permanence dans l’ornière des abus de toutes sortes.

« Le pouvoir corrompt », disait Churchill. Quel est le seul frein à la corruption des hommes au pouvoir sinon la presse ?

 

 

Ainsi, la voie est tracée avec deux garde-fous : d’un côté, une justice qui essaie d’être impartiale, assortie de la présomption d’innocence, de l’autre les médias, quatrième pouvoir de nos sociétés, qui veillent et surveillent au nom des citoyens les hommes sensés diriger notre pays : « Ne croyez pas que tout vous soit permis une fois que vous avez été élus ».

 

Le choix entre dignité ou indemnités ?

 

Enfin, apparaissent une vertu, la dignité, et une qualité, l’habileté. N’a-t-il pas été affirmé haut et fort par plusieurs dirigeants politiques avant les élections, bien sûr, que l’on devait afficher une République exemplaire ?

Cela n’implique-t-il pas de façon absolue que tout homme politique, surtout quand il est investi de fonctions importantes, doit démissionner dès qu’il est mis en examen et rester en retrait jusqu’à ce que lumière soit faite ?

Voilà pour la dignité. Évidemment, cela prend du temps. Et pendant tout ce temps, on ne perçoit pas ses grasses indemnités ! Alors, dignité ou indemnités ?
Quant à l’habileté, ça consiste à tenir compte à la fois de la psychologie des fauves qui ne lâchent pas leur proie tant qu’elle bouge et de l’opinion publique qui se repaît du spectacle tant qu’il dure. Les réseaux sociaux ont amplifié ce phénomène. Tous les jours, en ouvrant leur smartphone, des millions de Français lisent des commentaires sur l’homme politique du jour. S’il avait démissionné, la justice aurait suivi son cours dans le silence et les journalistes et l’opinion publique auraient trouvé d’autres gibiers pour planter leurs crocs.
L’affaire Richard FERRAND suivra-t-elle le même cours que les séries FILLON et de RUGY ? Ou passera-t-elle comme une lettre à la poste du côté des pertes et profits ? Le suspense reste entier !

Emmanuel RACINE

 


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Candidat déclaré aux municipales dès le mois de janvier, le porte-étendard du centre droit et des Républicains s’est depuis montré relativement discret, voire un peu en retrait de la sphère publique et médiatique. Un choix stratégique que l’intéressé assume en son âme et conscience. Il avoue de ne pas être un fervent adepte de l’hyper communication à tout crin, ni de la gesticulation inutile. Pour autant, cela ne nuit pas à l’avancement de son projet qu’il peaufine de manière besogneuse avec sa garde rapprochée. Il entend d’ailleurs l’élargir au plus grand nombre pour être fin prêt, deux mois avant l’échéance du scrutin, c’est-à-dire dès le début de la campagne officielle…

AUXERRE : A celles et ceux qui se poseraient la question sur la relative discrétion du candidat aux prochaines municipales, Crescent MARAULT ne répond que par une seule affirmation : « avec mon équipe, nous travaillons ! ».

Chef de file de la liste « Auxerre au Cœur », l’actuel maire de Saint-Georges-sur-Baulche vit cette période pré-élective en vrai sportif qu’il est, comme un parcours d’endurance.

Une course de fond où il serait prématuré de brûler toutes ses cartouches énergétiques en occupant trop tôt le devant de la scène. Sage stratégie qui ne l’a pas occulté néanmoins des débats actuels, puisque son nom circule à qui mieux mieux dans les alcôves du microcosme politique.

Bref, l’art et la manière de se faire oublier des péripéties politiciennes habituelles et des supputations les plus folles afin de se concentrer uniquement sur sa feuille de route : celle qui doit conduire son projet au sommet de l’affiche. Du moins, l’espère-t-il…

Entrepreneur dans la vie civile, l’élu icaunais n’en est pas moins un vrai meneur d’hommes inféodé aux principes du management. Son équipe qui le suit depuis plus d’un semestre collabore étroitement à son projet. « Ce sont de véritables ambassadeurs, lâche-t-il le sourire en coin, c’est-à-dire des personnes inquiètes pour le devenir de leur ville, qui veulent analyser ce qui se passe pour mieux comprendre la réalité avant de se prononcer autour d’un diagnostic et faire essaimer des préconisations… ».

Quant aux thèmes de prédilection sur lesquels ces personnes travaillent, ils sont éclectiques : économie, emploi, innovation, tourisme, mobilité, stationnement, environnement…

A ce propos, Crescent MARAULT ironise sur les élus qui prennent des arrêtés contre les pesticides à 150 mètres des habitations. « C’est parfaitement démagogique et mesquin de leur part, alors qu’il serait plus judicieux de ne pas prendre de telles décisions arbitraires sans aucune concertation et de réfléchir en amont comment améliorer les choses en matière d’environnement… ».

La problématique de l’eau et sa potabilité inquiète le quadragénaire qui fait de ce sujet l’une de ses priorités environnementales.

Constatant un manque « cruel » de créativité et d’innovation sur le vivre ensemble, le porte-voix du centre droit et des Républicains désire s’appuyer sur le tissu associatif qu’il soit sportif et culturel.

 « Il y a là un terreau de concertation à construire, à mutualiser alors que cela n’existe pas à l’heure actuelle. Le vivre ensemble est une valeur que je défends car cela traduit la volonté de pouvoir se parler, s’écouter et construire dans un esprit de citoyenneté… ».

 

 Sécurité et démocratie participative : des thèmes importants…

 

Quant au volet sécuritaire, le principal adversaire de l’édile actuel se dit confiant dans le mode de traitement des incivilités qui ne cessent pourtant de croître.

« Lorsque j’ai fait acte de candidature pour ce prochain mandat électoral, confie-t-il, je ne pensais pas que les problématiques occasionnées par l’insécurité avaient atteint de tels sommets sur Auxerre. Toutefois, je voudrais rassurer celles et ceux qui en subissent les aléas. Il existe une batterie de solutions, de nouvelles technologies, un modernisme avéré sur le sujet. Je ne déflorerai pas volontairement le contenu de nos priorités mais je sais qu’il faudra faire face à cette forme de légèreté incompréhensible à la limite du laxisme que j’observe au quotidien dans la gouvernance actuelle de ce territoire qui n’ose prendre des actes courageux… ».

Décochant une première flèche en direction du camp d’en face, Crescent MARAULT en sort immédiatement une autre de son fourreau pour aborder un autre item qui lui tient à cœur : celui de la démocratie participative.

« Il y a un réel problème de représentativité au sein de l’Agglomération, observe-t-il, l’avenir de cette institution passe par un renouveau de sa modernité, mâtiné de concertation et de débats…Bref : il nous faut recréer l’agora, chère à la civilisation hellénique… ».

Serait-ce son approche des milieux économiques qui lui intime d’agir en ce sens, toujours est-il le candidat rugbyman souhaite doter l’outil institutionnel d’indicateurs de performance. Histoire de vérifier et contrôler l’efficience des résultats.

« Toutes les grandes organisations entrepreneuriales disposent d’indicateurs de performance, alors pourquoi pas nous ? ».

 

Une liste d’ambassadeurs qui se peaufine de jour en jour…

 

Plus disert sur la composition de sa future liste, Crescent MARAULT avoue que l’équipe n’est pas encore identifiée. « Une chose est sûre, ajoute-t-il, le sens vertueux des relations humaines y prendra un grand intérêt autour de la parité, et de la représentativité faite dans ce projet d’amélioration de la ville. Son management sera souple, agile, dynamique… Ce sera une liste de rassemblement entre des composantes de LR, UDI et du centre droit. En aucun cas de prête-noms qui viendraient y chercher un intérêt personnel. Dans ce cadre-là, les enjeux, c’est la ville… ».

D’une largesse d’esprit qu’il revendique, le candidat, adoubé par l’un des ténors de la droite républicaine dans l’Yonne le député Guillaume LARRIVE, peut discuter lors de ses conciliabules constructifs avec l’homme fort du mouvement écologiste. « Echanger avec Denis ROYCOURT, ce n’est pas un problème… ».

Mais, réaliste, il ponctue sur le sujet tout de go, « pour nous l’environnement ne se vit pas avec un grand E idéologique mais il se pratique dans les faits au quotidien… . Nous voulons être capables de faire rimer écologie à économie… ».

Parmi ses autres priorités, le prétendant à l’hôtel de ville d’Auxerre veut déployer le plus vite possible la nouvelle technologie dans l’Auxerrois.

« C’est extraordinaire, souligne-t-il, le WI Fi ne fonctionne pas dans le centre-ville alors que nous sommes reconnus comme une cité de tourisme d’excellence. Il est nécessaire de parler aussi de l’intelligence artificielle et de ses conséquences imputables sur le business… ».

Créer de l’évènementiel, trouver un projet culturel ayant une approche transversale ou accueillir les investisseurs qui vont fuir le BREXIT en s’installant à Paris pourraient profiter à Auxerre et son agglomération où le coût du foncier est nettement moins onéreux.

« On a refusé d’avoir des liens étroits avec le « Grand Paris », il nous faut pourtant renforcer ces pistes de développement vers la capitale. Je crois aussi à la nécessité de nous rapprocher des parlementaires qui agissent au nom de Etat et de l’Europe, afin de porter vers le débat national des enjeux qui nous portent, c’est cela aussi le corollaire de la notion d’ambassadeurs… ».

Se définissant comme un non-professionnel de la politique, Crescent MARAULT désire partager une vision réaliste du territoire en tant que simple élu.

« Je n’éprouve aucun stress, conclut-il, juste cette volonté qui est mienne de vouloir convaincre les Auxerrois de tracer une nouvelle route pour les deux décennies à venir… ».

D’ailleurs, s’il occupe à l’issue du scrutin le fauteuil de maire de la capitale de l’Yonne, le nouvel édile continuera d’exercer une activité professionnelle. « Ce sera une vraie bouffée d’oxygène qui me ramènera vers la réalité du quotidien et celle de nos concitoyens, et me permettra d’éviter de sombrer dans l’entre soi… ».

 


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Cette réflexion à l'harmonie s'édifie il y a plus de 5 000 ans en Inde par une ouverture d'esprit au mieux-être. Cette rencontre à soi la relaie également dans une approche philosophique orientale : « tout être et les choses sont constamment en mouvement et en perpétuel changement ». C'est une alliance à l'apaisement entre le corps et l'esprit, face aux intempéries de la vie. Très répandue aux Etats-Unis et dans les pays nordiques, la méditation s'infiltre de plus en plus dans « l'air » de tous nos  champs de conscience. Y compris en entreprise…

TRIBUNE : La méditation pondère le superflu. Elle se distingue dans différents canevas de vie. Sa pratique permet de se positionner dans le quotidien, à l’expansion du bien-vivre dans les entreprises et dans une démarche plus innovante mais encore réfractaires dans des structures scolaires.

Dans une démarche individuelle, face à un mental ou un environnement trop « bruyant », l'esprit se galvanise de douceur et de tempérance. La méditation a ce potentiel, dans un timing plus ou moins long, à une prise de distance partielle mais salutaire pour temporiser ce brouhaha intérieur.

Cet axe de détente se planifiera à tout moment de la journée, en fonction des attentes et des besoins de chacun et de leur challenge à se fourvoyer de leur  forme pensées envahissantes.

Telle une promenade fusionnelle à la sagesse et à la tempérance de ses différents sentiments, la méditation ajourne et aplanit un conflit en appuyant momentanément sur « Reset ». Elle se conditionne au lâché prise en s'octroyant quelques minutes de relâchement, en imaginant un environnement apaisant ou en se baladant consciemment à l’affût du moindre mouvement.

Le recueillement à soi s'invite pour reprendre un souffle de vie, une réflexion à l’harmonie pour un équilibre ajusté à ses propres désirs. Il lie pour un instant tout un ensemble de paramètres à être.

 

 

Des grands groupes l’ont testée à l’instar de rares établissements scolaires…

 

Dans le cadre où l'entreprise aborde la valeur travail et le bien-être de ses salariés, la pause méditation peut s'imposer. En 2012, une école de management crée une chair « mindfullness, bien-être au travail et paix économique  » où de grands groupes comme L’OREAL ou EDF en ont fait leur cheval de bataille.

Cette solution à l'introspection propose un état des lieux de son corps et de ses émotions. Cette clarté optimise les performances des salariés. Là, le jeu « gagnant-gagnant » prend enfin tout son sens. Un salarié apaisé et relaxé aura une prise de recul et un angle de vue différent à une problématique pesante. Le savoir-être est le vecteur d'un savoir-faire épanouissant. Combiner cette méthode à son activité salariale peut ergonomiquement soulager mentalement une logistique souvent contraignante.

Sur le banc de l'école, la méditation s'invite encore très discrètement dans nos sphères institutionnelles. En 2017, une soixantaine d’établissements français du primaire au lycée pratique le « mindfulness ». Et notamment un collège dans le nord de l’Hexagone qui a remplacé les heures de retenue par cette pratique.

De plus, envers ces bambins peu influencés au diktat de la vie, la méditation va leur apporter une valeur ajoutée aux capacités d'apprentissage et d'attention. Un temps de pause va initier l'enfant à une écoute et une sérénité plus orientée à l’accalmie. Que ce soit dans une démarche alignée à du silence ou de pleine conscience, l'élève ressentira moins d'anxiété, de stress et l'ambiance générale de la classe s’harmonisera à cette éthique.

Catalyseur au bien-être et à la quiétude, la méditation a une démarche thérapeutique au relâchement pour un retrait. Elle temporise une conscience à des problématiques environnantes et latentes. Remède à un vague à l'âme par un voyage intemporel dans le silence, elle se fourvoie de la peur pour se mesurer en toute conscience à sa confiance. Elle chemine doucement et en toute pondération vers un état d'être à soi « m'aime ». 

Alors que vous soyez dirigeants de grands groupes ou de PME, êtes-vous enfin prêts à vous relaxer, inspirez et expirez pour le bien-être de vos collaborateurs et de vous-même ?

Lyvia ROBERT

 


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Prônant les idées de Franck RIESTER sur l’Auxerrois (la Droite constructive),  travaillant aux côtés du référent départemental, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, Daniel DELVERT jouit d’une solide expérience parmi les arcanes stratégiques de la sphère politique. Créateur des Jeunes Giscardiens avec Dominique BUSSEREAU et Jean-Pierre RAFFARIN, membre de l’association « S’engager pour l’Auxerrois », cet exégète es communication auprès des milieux politiques souhaite sans plus tarder une rencontre avec le nouveau « chouchou » de La République en Marche, à Auxerre, son maire, Guy FEREZ qui vient d’obtenir l’investiture du parti présidentiel. Oui mais à quelles fins ? Interview…

AUXERRE : Vous venez de prendre connaissance de la décision de la Commission nationale d’investiture de LREM concernant la désignation de Guy FEREZ. Quels sont vos premières analyses suite à cette nomination ?

Ce n’est guère une surprise en soi. Cette orientation semblait être évidente. Le maire d’Auxerre avait annoncé il y a peu avoir quitté le Parti socialiste. En outre, ses choix récents en termes de scrutin électoral le plaçaient parmi la catégorie des hommes politiques, « Macron compatible ». Qu’il prenne un tel positionnement me semble, par ailleurs, aller dans la bonne direction…

Pourtant, cette désignation officielle vous amène à vous interroger quelque peu sur la nature profonde de ce choix stratégique…

Oui, car la décision attendue était de choisir le chef de file de LREM et non de départager différents prétendants à ce poste, comme pouvaient l’être Pascal HENRIAT ou Mathieu DEBAIN. D’ailleurs, la situation semble jouer en faveur de ce dernier. Toutefois, j’émettrai un léger bémol : il ne semble pas que la dénomination de chef de file lui soit attribuée. Cela reste du domaine de LREM…

Quelle est la position d’AGIR La Droite constructive vis-à-vis de cet accord ?

Je constate avec curiosité qu’on associe le MoDem à l’accord et AGIR. Pour le MoDem, cela semble logique : Pascal HENRIAT est également le chef de file du Mouvement des démocrates dans l’Yonne. Mais, concernant AGIR La Droite constructive, je découvre le contenu de cet accord dont je ne connaissais pas la teneur. Représentant cette formation sur l’Auxerrois, je précise qu’AGIR n’a pas été associée à ces négociations antérieures, qui ont été orchestrées strictement entre LREM et le MoDem.

 

 

Fort de cela, que demandez-vous ?

Il conviendrait désormais de rencontrer Guy FEREZ pour en connaître davantage sur ses intentions réelles avec AGIR La Droite constructive. Car, une question se pose en toile de fond à l’aune des futures échéances municipales : combien serons-nous parmi la liste des quatorze noms annoncés et pour quelles responsabilités ? Notre manière d’appréhender les choses est de réfléchir de concert sur quel projet municipal. Il est impératif, fort de ces nouveaux éléments, de rencontrer Guy FEREZ afin de pouvoir en discuter librement…

AGIR La Droite constructive représente-t-elle une force politique dans le département dont on ne peut ignorer les prétentions ?

Oui, même si la création de ce mouvement, issu des Républicains et du centre droit, est récente. Il est une composante essentielle de la vie politique. Plusieurs élus dont des maires intègrent cette famille dans l’Yonne. D’ailleurs, je m’insurge sur cette considération erronée que pourraient avoir certains élus qui prennent la valeur et le poids d’un parti politique à son nombre d’adhérents : ce n’est pas un bon critère. Nous nous définissons comme un sas de décompression qui peut accueillir tantôt des adhérents déçus de LREM ou ceux des Républicains.

Derrière vos propos, dénoncez-vous l’aspect un peu trop unilatéral des commissions d’investiture, notamment celle qui fait foi au sein de LREM ?

Oui, je regrette sincèrement cet état de fait. Par exemple, dans le cas présent, la commission nationale d’investiture de LREM a fait davantage la part belle aux représentants de LREM et du MoDem au détriment de ceux d’AGIR. Vous savez, la question fondamentale autour du rôle du centre est essentielle. En son temps, Valéry GISCARD d’ESTAING l’avait déjà signalé : deux Français sur trois ont des préférences pour le centre. Compte tenu de la poussée des extrêmes, il est grand temps que le centre reprenne ses droits et sa véritable place dans le paysage politique national…

Puisque vous évoquez le centre, que pensez-vous de l’autre grande famille que représente l’UDI ?

Sur le plan local, je suis étonné de voir que l’UDI de l’Yonne a pris position ouvertement en faveur de la liste de Crescent MARAULT. Question que je me pose au sujet de cette personne : est-elle vraiment « Macron compatible » ?

Une autre candidature a déjà fait couler beaucoup d’encre depuis quelques semaines dans le microcosme auxerrois. Celle portée par le duo Maud NAVARRE et Denis ROYCOURT avec cette coloration « verte et écologique ». Votre avis ?

Je suis très curieux de connaître le réel degré d’ouverture de cette liste qui défend les causes de l’environnement. Si cette volonté d’ouvrir était le cas, je serais plus enclin à nous rapprocher des Verts. Et de réfléchir à de nouveaux axes politiques qui semblent devenus depuis inéluctables. AGIR représente aujourd’hui l’épicentre, le noyau et la source d’un changement de la tradition des alliances politiques. Cessons de pratiquer les alliances traditionnelles et soyons prêts à mettre en exergue des modifications de stratégie importantes. La démocratie locale attend beaucoup de ces changements de paradigme…

Comment tout cela se formaliserait-il au niveau d’une municipalité, voire d’une agglomération ?

Avec un petit groupe de travail, nous avons élaboré de solides pistes de réflexion, nous engageant à améliorer le devenir de la ville, autour de projets qui nous rassemblent. Parmi ces exemples à suivre : Auxerre doit gagner son rôle de défenseur des intérêts des 29 communes intégrées dans l’Agglomération. Mais, dans le même temps, il nous faut être acteur de la transition écologique en préservant le cadre de vie des habitants. Initier une démocratie locale, plus participative et plus directe, constitue un socle de travail essentiel à notre projet. Nous devons aussi réconcilier les administrés avec la gestion de leur ville. Bien sûr, Auxerre doit être un modèle numérique, une ville intelligente qui favorise la création de l’emploi et dynamise l’économie. Tout cela sous le prisme du bien-vivre et de son corollaire légitime, le vivre ensemble en parfaite harmonie…

Et vous, quelle mesure concrète prendriez-vous tout de suite pour améliorer la vie des Auxerrois ?

Je suis favorable à ce qu’il y ait plus de bancs en ville pour que la population des seniors (ils sont plus de 9 000 à résider à Auxerre) puisse bénéficier d’endroits pour s’asseoir ; ne serait-ce que pour se reposer…

 

 

 

 

 

 

 


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