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Ce qu’il faut, c’est gagner les élections. En France comme partout dans les pays démocratiques. Or, une fois qu’elles sont remportées, il est judicieux de prendre les places partout où l’on peut. Une fois prises, se profilent ensuite les élections suivantes. Tel un coureur de fond face à un effort endurant, il ne faut pas relâcher l’effort. En matière d’élections, la France est un état démocratique particulièrement bien pourvue. Deux ans après les présidentielles, il y a eu les élections pour le Parlement européen. Maintenant, on prépare les élections municipales. Et l’on a déjà, en arrière-pensée, les futures échéances présidentielles qui se profilent à horizon 2022….

TRIBUNE : Or, lors des élections européennes, les écologistes ont obtenu un très bon score de 13,2 %. Tandis que le parti au pouvoir ne glanait que 22,4 % des suffrages juste derrière le Rassemblement national, médaille d’or avec 23,3 % des voix. 

Le parti des écologistes est donc devenu le troisième parti de France. Arriver en seconde position pour LREM, ça fait un peu désordre. Il faut donc surfer sur la vague écologiste pour grignoter quelques voix. À défaut de traverser l’Atlantique à la voile comme notre jeune égérie suédoise Greta THUNBERG, on va évoquer le devenir de la forêt amazonienne. Comme le loto, ça ne coûte pas cher mais ça peut rapporter gros…électoralement, bien sûr !

Est-ce la seule forêt qui soit pillée ainsi dans le monde ? Certainement pas. La forêt équatoriale en Afrique subit aussi les ravages de la déforestation. Elle recèle, il est vrai, des arbres dont les essences sont très recherchées. Elle est moins grande en superficie que l’Amazonie. Mais, il serait plus facile d’intervenir parce qu’elle fait partie de la « Françafrique »...

Est-ce qu’on s’en inquiète ? Pas trop. Ce n’est pas vendeur électoralement. Plus loin, en Nouvelle-Guinée, la forêt pour les mêmes raisons qu’au Gabon est également détruite de façon systématique. Les braves Papous qui ont été livrés à l’Indonésie après la Seconde Guerre mondiale aimeraient bien sauver leur territoire mais ça n’intéresse personne.

La forêt équatoriale qui couvre le Gabon et une partie des pays limitrophes plus Bornéo représentent tout de même 30 % de la forêt amazonienne environ. Mais pour l’effet d’annonce, ça ne compte pas !

 

Une déforestation à l’échelle de la planète mais à géométrie variable au niveau de l’intérêt…

 

Plus près de nous, juste de l’autre côté de la Méditerranée, il y a l’Afrique du Nord et le Sahara. Cette immense zone désertique s’étend inexorablement chaque année vers le nord et vers le sud dans ce que l’on appelle le Sahel. Le sable recouvre les terres agricoles. Les puits s’assèchent. Les arbres utilisés pour chauffer les aliments se font de plus en plus rares. Ce phénomène gagne les pays au-delà du Sahel. Les migrants chassés par la guerre civile et poussés par la faim veulent gagner le paradis, c’est-à-dire l’Europe.

Et nous, Européens, que faisons-nous face à ce phénomène qui ne peut que s’amplifier ? Rien. Pourtant, il y avait un grand et beau projet consistant à créer une forêt allant de l’Atlantique à l’océan Indien. Ce n’est pas simple et ça demande beaucoup d’argent. Ce projet reste dans les cartons d’où il ne sortira sans doute jamais.

Pourtant, c’est la seule solution pour endiguer le Sahara. Est-ce que l’Europe qui craint tant les migrants ne pourrait pas s’unir pour mettre en œuvre ce projet d’envergure ? Ne rêvons pas et parlons de la forêt amazonienne et de l’écologie. Sur le plan politique, pour gagner des villes aux prochaines élections municipales, c’est bien plus utile. Soyons réalistes.

Quelles sont les grandes modes écologiques ? Les panneaux solaires, les éoliennes, l’isolation des combles et les bicyclettes. Donc, le gouvernement fait un grand tapage médiatique et financier pour les panneaux solaires et l’isolation des combles.

Sur Internet, à peine avez-vous cliqué pour ouvrir votre écran, que défilent les propositions d’isoler ses combles pour un euro. Voire pour poser des panneaux solaires pour moins que rien. Quant aux municipalités, à grands coups de peinture, elles tracent sur la chaussée des pistes cyclables.
Revenons au score des élections européennes. La République en Marche a obtenu 22,4 % des voix et les écologistes 13,2 %. Ensemble, cela fait 35,6 %. Toutefois, il y a une statistique qu’il ne faut pas oublier, c’est le taux de participation.

Il s’est élevé à 51,3 %. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’en fait la République en Marche et les écologistes réunis représentent 18,3 % des électeurs en France. Ce qui revient à dire qu’avec 18,3 % des électeurs, on est majoritaire en France. Ça vaut bien la peine de parler de l’Amazonie, de promouvoir les panneaux solaires et l’isolation des combles et de peindre dans toutes les villes de notre douce France des pistes cyclables.

Chers partis politiques, chers candidats aux élections, verdissez bien vos discours. Vive la République, Vive l’écologie, Vive la France !

Emmanuel RACINE


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Vient septembre et son cortège de bonnes résolutions de rentrée. Et si cette année, on décidait de ne plus chercher à être parfait ?

TRIBUNE : L’inaccessible quête de la perfection. Elle nous vient souvent de l’enfance, de l’éducation que nous avons reçue, et des angoisses que nous ressentons, parfois, encore aujourd’hui, à l’âge adulte.

Un mécanisme de défense contre les angoisses :

  • de ne pas être à la hauteur de ce que nos parents attendaient de nous,
  • du regard des autres, de la peur d’être jugé,
  • d’être moins aimé, voire abandonné,
  • de répéter ses erreurs passées,
  • de ne pas avoir l’approbation d’une personne « spéciale pour nous ».

C’est vrai dans tous les domaines de notre vie, amoureuse, amicale, familiale, professionnelle.

Mais, ce principe possède son lot d’inconvénients ! Ce désir de perfection permanent amène à une forme de rigidité mentale, qui bride l’adaptabilité et la créativité.

La sociabilité en est affectée. Le repli sur soi amène le risque de s’isoler, de se couper de sa famille, de ses proches, de ses partenaires.

La perfection n’étant pas de ce monde, cet objectif, inatteignable, génère la procrastination, cette fâcheuse tendance à remettre au lendemain, à temporiser, à l’inaction. 

Quant aux avantages de ne pas attendre que ce soit parfait, les voici :

  • S’autoriser l’évolution, pour s’adapter à un environnement en perpétuelle mutation, que ce soit dans le domaine social, familial, ou écologique,
  • Retrouver l’envie de faire mieux, d’être pragmatique, d’agir à l’instant « T », avec les moyens dont on dispose,
  • Allumer un moteur formidable : faire bien, ce qui n’est pas faire parfait, mais faire le mieux possible, en sachant que ce sera imparfait ; prioriser le moment où cela doit être fait … même si ce n’est pas parfait.
  • L’imperfection est une sacrée opportunité. Parce qu’elle permet l’ouverture ! Jusque dans le langage, dont elle génère l’évolution … et elle autorise, entre autres, la poésie et la créativité.

Comment faire pour se libérer ? En acceptant que ceux qui nous aiment nous voient avec nos imperfections. Il faut arrêter de se comparer, et de se soucier des opinions extérieures. Mais, il est aussi nécessaire de pratiquer un sport régulièrement. Et puis, il faut vous aimer comme étant unique, avec vos talents … et vos imperfections, vos fragilités : c’est ce qui fait que vous êtes « VOUS » !

Sachez clarifier votre intention et préciser votre objectif. Mettez en place votre stratégie, en organisant votre plan d’action, et en l’appliquant. Il est judicieux d’intégrer que tout ce que vous allez tester ne marchera pas, que c’est normal, et que vous allez apprendre au fur et à mesure.

Bref : il faut décider de ne pas faire ce qui n’a pas d’impact pour vous rapprocher de votre objectif et vous concentrer à 100 % sur l’essentiel.

Claire DOUTREMEPUICH


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Une semaine après la reprise de leurs cours, des élèves du lycée agricole icaunais se sont immergés au cœur de l’une des problématiques actuelles vécues par la filière : la diversification des cultures. Ils ont suivi, accompagnés de deux de leurs enseignantes, la copieuse journée « INNOV Action » concoctée par la Chambre départementale d’agriculture…

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Bloc-notes à la main, stylo prêt à être dégainé pour y transcrire la moindre indication, une douzaine d’étudiants du lycée professionnel agricole La Brosse se sont rendus ce lundi en début de matinée aux abords d’une exploitation où pousse du soja.

Participant au programme pédagogique, « INNOV ACTION », mis en place par les services techniques de la Chambre départementale d’agriculture et différents partenaires de la vénérable institution, ces jeunes gens, filles et garçons, encadrés de deux enseignantes, ont pu bénéficier à loisir des précieux renseignements distillés çà et là par le propriétaire du site, Stéphane HOGUET. D’autres agriculteurs faisaient part également de leur retour d’expérience en la matière.

Mobilisés sur l’ensemble de l’animation qui s’ouvrait vers d’autres plantations (sorgho, tournesol, millet), les studieux étudiants purent ainsi se forger leur propre opinion au contact de ces professionnels sur les phases évolutives et les enjeux du milieu agricole de demain, notamment dans l’approche des diversités végétales à appréhender du fait du réchauffement climatique…


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L’une des conséquences à la récente visite du ministre de l’Intérieur à l’Ecole nationale de police de Sens s’est convertie en un exercice épistolaire pour l’édile de la ville. La présidente de l’Agglomération du Grand-Sénonais a adressé une missive au résident de la Place Beauvau. Lui demandant de porter une attention toute particulière sur la situation du territoire en matière de sécurité. Avec en filigrane, un souhait. Celui de bénéficier de l’intervention du ministre pour obtenir davantage de moyens humains, logistiques et financiers pour le commissariat…

SENS : Signée de la main de l’élue sénonaise, la requête officielle envoyée à l’Hôtel de Beauvau au ministre de l’Intérieur Christophe CASTANER, date du jeudi 29 août. Soit la veille de la venue du patron des forces de l’ordre sur le site de l’Ecole nationale de police. Un déplacement qui se justifiait à l’occasion de la cérémonie de sortie de la 250ème promotion d’élèves gardiens de la paix.

Anticipatrice, Marie-Louise FORT y couche de sa plume la plus fouillée ses craintes sur la situation délicate de la ville de Sens en matière sécuritaire. Attirant l’attention de son auguste destinataire sur cet état de fait.

S’alarmant du nombre de crimes et délits enregistrés sur le secteur géographique où elle y exerce ses mandats, l’édile constate que les trafics de stupéfiants ne cessent de progresser.

Elle qualifie de « véritable fléau » les violences intrafamiliales dont près de 40 % des affaires sont traitées par le Tribunal de grande instance de Sens. Autant de méfaits et nuisances qui viennent jeter le trouble sur le « poumon économique » de l’Yonne tel un lourd pavé tombé dans la mare de la tranquillité pour ses concitoyens…

Pourtant, comme elle le détaille à travers les lignes, l’élue de l’Yonne, dans le cadre du Conseil intercommunal de sécurité et de prévention, a souhaité réagir à ces difficultés récurrentes. L’accent a été porté sur la sensibilisation du public. Dans les écoles, lors de vastes campagnes informatives, voire en procédant à la mise en œuvre de rappels à l’ordre dans certains cas.

 

 

Pas les mêmes moyens que des villes aux difficultés similaires en Seine-et-Marne…

 

Dès 2014, en étroite osmose avec les services de l’Etat, le maire de Sens et président de l’Agglomération du Grand-Sénonais mettait en exergue un certain nombre d’initiatives. Meilleure collaboration entre la Police municipale dont les effectifs ont été renforcés, et la Police nationale. Il y eut aussi la mise en place du dispositif de vidéo-protection qui aura permis de faciliter le travail des agents de police sur le terrain. Ce dispositif aura même reçu la visite du secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Laurent NUNEZ, en début d’année.  

Or, il semblerait que les retombées de cette visite n’ont pas eu les effets escomptés quelques mois plus tard. Et, c’est là que le bât blesse visiblement du côté de l’Hôtel de ville de Sens.

« Nous faisons face à des problématiques similaires à celles rencontrées par des villes comme Montereau, Fontainebleau ou Melun, s’en explique de manière manuscrite Marie-Louise FORT, je constate avec regret que nous ne bénéficions pas de moyens équivalents… ».

Pire : le commissariat de l’ancienne capitale des Sénons a subi une réduction inexplicable de ses effectifs. Une baisse qui ne saurait pallier l’augmentation des services rendus par la Police municipale. Et l’élue de l’écrire sous forme d’amer constat : « leurs compétences et leurs métiers, même s’ils sont complémentaires, ne sont pas substituables… ».

 

Un courrier pour faire bouger les lignes…

 

La ville de Sens ne baisse pas les bras face à la hausse des délits et méfaits sur les biens et les personnes. Il y a cinq, la municipalité a installé une assistante sociale au commissariat afin d’offrir une écoute et une prise en charge optimales des victimes.

Prioritairement ces femmes dont on parle tant depuis quelques semaines dans les medias faisant l’objet de violences conjugales. Pour mémoire, l’année dernière, le premier point d’accueil destiné aux femmes victimes de violence dans la zone septentrionale du territoire devenait opérationnel.

En interpellant le ministre régalien par courrier interposé, Marie-Louise FORT veut faire bouger les lignes. Et très vite ! Son exercice scriptural se conclue en faisant l’observation que la carte administrative, régissant les effectifs et les moyens financiers mis à disposition, ne correspond pas systématiquement aux réalités du territoire.

D’où l’intérêt tout particulier que le ministre de l’Intérieur pourrait accorder à cette demande calligraphiée, en lisant de manière attentive ce « devoir » de rentrée…


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Une petite phrase résume à elle seule l’état des lieux de la rentrée scolaire 2019 vécue dans l’enseignement secondaire de notre territoire. « La rentrée se passe bien… ». Prononcée au terme du copieux et long exposé fourni par le président du Département, Patrick GENDRAUD, elle renseigne sur la physionomie exacte de cette reprise d’activité pour les 14 150 collégiens qui fréquentent les trente établissements publics de l’Yonne.

COURSON-LES-CARRIERES : L’exercice se veut traditionnel. Il nous revient chaque année comme tombent avec la régularité d’un métronome les feuilles mortes aux premiers jours de septembre.

L’exécutif départemental aime tâter le pouls du terrain. Et tirer ainsi les premiers enseignements de la rentrée scolaire. Ponctuant celle-ci de visites ciblées aux établissements pédagogiques qui sont déjà fins prêts dans les starting-blocks.

2019 n’aura donc pas dérogé à la règle. Permettant à l’agenda déjà bien rempli du président Patrick GENDRAUD de se garnir davantage au fil des jours. Avec une étape initiale qui fut organisée à une trentaine de kilomètres à l’ouest d’Auxerre, en Puisaye-Forterre, propice à la tenue d’une conférence de presse révélatrice de la situation.

Observation faisant office de préambule, le nombre des collégiens a connu une sensible érosion entre les deux exercices les plus comparables, celui de 2018 et l’actuel. Soit une baisse de 97 élèves sur l’ensemble des collèges publics icaunais. Rien que sur l’Auxerrois, cela représente une cinquantaine d’élèves en moins. Toutefois, cet état de fait n’érode pas la capacité d’accueil globale offert par les quatre établissements fonctionnels dans la capitale de l’Yonne avec 700 places supplémentaires.

 

Le numérique : une place prépondérante dans le secondaire…

 

Aux côtés de l’inspectrice d’Académie, Annie PARTOUCHE, Patrick GENDRAUD évoqua ensuite les aspects financiers. Rappelant que 30 millions d’euros étaient consacrés à l’amélioration de la vie scolaire des collégiens de notre département. Dont vingt millions pour le poste « fonctionnement ». Une somme qui se répartit entre les huit millions d’euros destinés au fonctionnement à proprement parlé de l’institution collégiale et douze millions servant à alimenter la masse salariale des 315 professionnels (des agents départementaux) exerçant leur savoir-faire sur les trente sites répertoriés.

Dix millions d’euros constituent l’enveloppe nécessaire aux travaux de réhabilitation et d’équipements. En synthèse, un collégien icaunais suivant sa scolarité dans le public coûte annuellement en moyenne 1 857 euros. 

Le volet numérique rappela à l’assistance (un aéropage de personnalités institutionnelles et politiques ayant suivi le chef de file de l’Yonne dans ses pérégrinations dont la sénatrice Dominique VERIEN et le président de la Communauté de Puisaye Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI) le poids de cet auxiliaire pédagogique très précieux dans l’Yonne.

« Tous les collèges bénéficient d’un équipement approprié, ajouta le président avant d’énumérer la liste des dotations. Ce sont 3 520 ordinateurs mis à la disposition des collégiens, 1 500 tablettes numériques, 86 vidéo projecteurs interactifs, 770 appareils du même acabit mais plus simples et une imprimante 3 D par établissement… ».

Un échantillonnage exhaustif de ce que l’institution départementale décline pour démocratiser l’usage du multimédia auprès des plus jeunes de ses concitoyens.  

Autres chiffres à retenir dans ce catalogue très précis des dépenses octroyées par le Département à l’enseignement : ceux relatifs à la restauration scolaire. L’Yonne compte dans ces collèges publics 10 162 demi-pensionnaires. Vingt-neuf restaurants scolaires gérés par le Département, tous en production directe, sont opérationnels.

« Ce qui représente au bas mot, précisa l’ancien élu de Chablis, 1,6 million de repas confectionnés par an ! ».

 

La solidarité demeure prioritaire aux yeux du président…

 

Sachant que le prix du repas au ticket revient à 3,70 euros pour les familles, le coût réel s’élevant, lui, à 8,50 euros à la charge du Conseil départemental.

Le volet « social » mit l’accent sur l’octroi des bourses. Plus de deux milles élèves (2 121 avec exactitude) les perçoivent. Globalement, cela représente un montant total de 225 666 euros. 

Très attaché à l’amélioration des conditions d’existence des personnes à mobilité réduite, Patrick GENDRAUD n’oublia pas de mentionner qu’une centaine de collégiens vivaient cette situation sur le territoire. Ils sont pris en charge pour le transport scolaire par l’institution.

Précisons que plus de 500 élèves sont accompagnés dans le premier et le second degré dans l’Yonne.

Nous aborderons dans un prochain article un aspect complémentaire à l’intervention du Conseil départemental de l’Yonne. Il est avant tout un constructeur aménageur des collèges et équipements qui leur sont liés. Notamment les gymnases. A ce titre, les projets de rénovation ne manquent pas pour cette nouvelle saison qui débute déjà sur les chapeaux de roue pour l’exécutif…


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