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A quoi bon investir des trésors d’ingéniosité et de technologie, si ce n’est pour servir le progrès ? Expert à la réputation de renommée internationale, exerçant ses activités professionnelles auprès des institutions, notre personnage possède une intime conviction. Il faut faire évoluer le contexte de production d’innovations. Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence a rencontré Pierre GOHAR. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre cet expert de l’innovation…

TRIBUNE : Après avoir créé une start-up technologique et dirigé l’innovation dans les institutions de recherche les plus prestigieuses, Pierre GOHAR est devenu un expert réputé et incontournable dans ce domaine. Au CEA, en tant que directeur-adjoint de l’innovation au CNRS et à l’Université Paris-Saclay comme directeur de l’innovation, Pierre GOHAR a accumulé des connaissances précieuses de ce monde. Il a acquis des convictions qu'il met aujourd'hui au service de son entreprise WISIM (www.wisim.tech - Wisdom In Motion). La réflexion qu'il développe aujourd'hui est le fruit d'une longue expérience et d'une analyse méticuleuse du champ de l'innovation.

Pierre, pour choisir il faut qu'il y ait du choix. Mais le néophyte que je suis, a plutôt l'impression que l'innovation est rare, qu'en est-il ? 

En fait, elle est pléthorique. Plus de 2,9 millions de brevets ont été déposés (dont 30 % chinois) en 2015. Au CNRS, on recense 4 500 familles de brevets. Mais la transition entre celui qui crée et celui qui exploite ne se produit que dans un cas sur cinq. Par ailleurs, souvent l'innovation naît là où les marchés ne sont pas les plus mûrs : elle émerge en France alors que son marché se situe en Asie, aux États-Unis, ou en Afrique...De plus, contrairement à ce que l'on peut croire, le potentiel d'innovation est immense au sein des PME traditionnelles, mais il faut bien connaître la PME, son métier, son histoire, ses équipes.

Justement, comment repérer les innovations à fort potentiel d'un développement durable ? 

Pour être synthétique, je vous livre trois axes qui, une fois combinés, permettent de clarifier cet exercice apparemment complexe. Appréhender les innovations à partir de ces critères permet assez aisément de distinguer celles qui seront réellement porteuses, sur les plans économique, éthique et sociétal.

- Le premier axe tient à la notion de progrès.

Le progrès n’est pas l’innovation. Il y a des innovations qui ne servent pas le progrès. Une innovation qui s’inscrit dans le progrès respecte l’individu, la collectivité et l’environnement. Et ceci de façon durable. Les jeunes générations sont sensibles à cette notion du progrès car elles portent en elles-mêmes celle du sens. Or, aujourd’hui, le sens est devenu une valeur qui détermine l’engagement et qui met en perspective le besoin de réalisation de soi à travers des réalisations extérieures à soi. Dans certains pays, on voit actuellement apparaître, et même se substituer à la notion d’innovation, cette notion de progrès ou même de sagesse.

 

 

- Le second axe relève du marché, plus particulièrement de la compréhension des comportements des utilisateurs.

Nombre d’innovations ont échoué et échouent car les équipes en charge de la conception de celles-ci ne se sont pas intéressées aux comportements des utilisateurs. La difficulté de cet exercice est que les comportements varient selon les cultures. Donc, dès que l’on pense à l’international, il faut avoir une compréhension très spécifique des comportements des utilisateurs dans un contexte culturel différent. Cette compréhension s’inscrit aussi dans le progrès car elle replace l’individu au cœur du processus de conception d’une innovation. Et là, dans cette approche, nous ne sommes pas égaux sur l’échiquier international. En effet, on voit aujourd’hui que les pays qui sont performants en innovation ont des systèmes éducatifs qui intègrent une dimension collaborative dès les plus jeunes âges. Il est clair, dans ce cadre, que le système éducatif français, basé sur la compétition, n’est plus en phase avec l’émergence de ce monde nouveau.

- Le troisième axe, enfin, appartient au registre des valeurs.

Si les valeurs de l’entreprise, qui reflètent les valeurs du ou des dirigeants, sont basées sur des notions d’écoute, de respect, de bienveillance, qui sont toutes des piliers d’une intelligence collaborative féconde en créativité et production d’innovations, alors nous avons une base solide pour réussir dans ce monde nouveau dont nous ne percevons aujourd’hui que les prémices. Des enquêtes ont montré que les entreprises qui avaient intégré ces valeurs dans leur ADN avaient un indice élevé de sentiment  de bonheur au travail de leurs salariés. Et également des performances supérieures à la moyenne. Une entreprise qui intègre ces trois axes dispose d’un fort potentiel de productions d’innovations durables. Elle est également prédisposée à développer une stratégie d’innovation collaborative que l’on appelle aujourd’hui « l’innovation ouverte » ou « open innovation ». L’open innovation est une des sources de productions d’innovations les plus performantes et elle est appelée à s’amplifier dans les prochaines années. Dans cette perspective, le rôle d’éco-systèmes, où peuvent se croiser des entreprises qui se situent dans des métiers différents, est particulièrement important.

Finalement, êtes-vous plutôt optimiste par rapport au contexte actuel ? 

Je le suis complètement. J'entrevois aujourd'hui de très belles opportunités pour les entreprises qui s'engagent dans une dynamique de coopération et d’ouverture à l'international. Et en France, spécifiquement, ces approches peuvent se nourrir du riche potentiel de créativité des femmes et des hommes - pour l’entreprise, ses salariés - pourvu que les valeurs normatives qui stérilisent en permanence les visions rebelles  - que ce soit au niveau de l’individu, de la collectivité, ou de la nation - soient réduites au silence.

 L’application :  

Considérez que chaque collaborateur peut porter un autre regard sur votre entreprise et booster le processus de création de valeur.

Réunissez votre équipe autour de ce sujet et emmenez-la à la découverte d'autres territoires.

Portez-vous volontaire pour un projet de mentorat de start-up.

Rencontrez l'incubateur le plus proche de chez vous.

Enfin, en tant que manager, impulsez une dynamique d’innovation ouverte !

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com


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Pour la deuxième année consécutive, les Pyrénées-Orientales possèdent les faveurs du mouvement centriste. L’UDI y a organisé ce week-end, et ce durant trois jours, ses Universités d’été en présence de son état-major au grand complet. L’occasion pour son leader Jean-Christophe LAGARDE de brosser le tableau des prochaines échéances municipales. Présente, la fédération de l’Yonne, conduite par la sénatrice Dominique VERIEN, y était d’ailleurs la plus représentée grâce à une quinzaine de membres mobilisés…

LE BARCARES (Pyrénées-Orientales): Se préparer aux futures échéances électorales en débattant de la stratégie, des enjeux, des orientations et du projet que l’UDI portera en 2020/2021 a constitué le socle prioritaire de ces retrouvailles après la longue trêve de la période estivale.

Temps fort de la rentrée politique pour l’Union des démocrates et des indépendants (UDI), cette université d’été avait choisi comme cadre idéal la station balnéaire du Barcarès pour y jalonner ses différentes interventions, ateliers et conférences. Joindre l’utile à l’agréable, en substance ?

Les nombreuses personnalités du sérail national auront-elles eu pour autant l’opportunité de faire trempette dans la « Grande Bleue » ? On peut en douter à la vue du copieux programme qui attendait les quatre cents participants de ce raout fleurant bon la rentrée des classes.

 

De probables alliances aux municipales pour barrer le RN...

 

Bien sûr, la question des municipales demeurait le point culminant de toutes les discussions. La tête de file nationale, Jean-Christophe LAGARDE, a évoqué la possibilité de rapprochements. Cibles visées : LREM et le MoDem. Dans la pratique, le leader de l’UDI a déjà donné quitus à la candidature de Benjamin GRIVEAUX (LREM) dans la capitale.

Dans d’autres villes, l’UDI adoptera une stratégie similaire pour barrer la route au Rassemblement national, l’adversaire principal à abattre. Des alliances avec les Républicains, LREM, le MoDem, et des non-inscrits, représentent de sérieuses possibilités. Une chose s’avère probante : d’ici novembre, tout devrait être validé au niveau des directives.

Le président de l’UDI a profité de cette rentrée politique pour adouber au rang de secrétaire général des centristes, Olivier HENNO. Sénateur et vice-président du département du Nord, ce dernier a désormais toute la latitude pour faire progresser une formation qui peut s’enorgueillir de posséder parmi ses effectifs près de 300 conseillers départementaux, un peu plus de deux cents conseillers régionaux, une quarantaine de maires élus dans des villes de plus de vingt mille habitants, plus de trois cents maires au total.

Bref, la troisième force d’élus locaux en France compte tenir son rang lors des prochaines municipales. Les participants ont pu s’en rendre compte à maintes reprises durant ce long week-end de travail.

 

 

L'agriculture thème majeur de l'intervention de Dominique VERIEN...

 

Ils eurent le choix de pouvoir se former aux techniques politiques en prenant part à des modules instructif au contact d’exégètes de la communication et des relations publiques. Ainsi, parmi les thématiques, pouvions-nous noter les plus récurrents : la visibilité sur les réseaux sociaux, le soin à apporter à son image, la prise de parole en public ou des médias, ainsi que la gestion des collectivités locales.

Quant à la délégation de l’Yonne, conduite par la sénatrice Dominique VERIEN, il s’avère qu’elle aura été la plus nombreuse à présenter des représentants lors de ce séminaire.

L’élue Icaunaise s’est également invitée à la tribune sur une thématique inhérente à la défense de l’agriculture. Elle a aussi évoqué le devenir du service public. Ce qui mettra un terme à ce week-end studieux pour les représentants de l'UDI malgré le soleil persistant !

 


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Ce qu’il faut, c’est gagner les élections. En France comme partout dans les pays démocratiques. Or, une fois qu’elles sont remportées, il est judicieux de prendre les places partout où l’on peut. Une fois prises, se profilent ensuite les élections suivantes. Tel un coureur de fond face à un effort endurant, il ne faut pas relâcher l’effort. En matière d’élections, la France est un état démocratique particulièrement bien pourvue. Deux ans après les présidentielles, il y a eu les élections pour le Parlement européen. Maintenant, on prépare les élections municipales. Et l’on a déjà, en arrière-pensée, les futures échéances présidentielles qui se profilent à horizon 2022….

TRIBUNE : Or, lors des élections européennes, les écologistes ont obtenu un très bon score de 13,2 %. Tandis que le parti au pouvoir ne glanait que 22,4 % des suffrages juste derrière le Rassemblement national, médaille d’or avec 23,3 % des voix. 

Le parti des écologistes est donc devenu le troisième parti de France. Arriver en seconde position pour LREM, ça fait un peu désordre. Il faut donc surfer sur la vague écologiste pour grignoter quelques voix. À défaut de traverser l’Atlantique à la voile comme notre jeune égérie suédoise Greta THUNBERG, on va évoquer le devenir de la forêt amazonienne. Comme le loto, ça ne coûte pas cher mais ça peut rapporter gros…électoralement, bien sûr !

Est-ce la seule forêt qui soit pillée ainsi dans le monde ? Certainement pas. La forêt équatoriale en Afrique subit aussi les ravages de la déforestation. Elle recèle, il est vrai, des arbres dont les essences sont très recherchées. Elle est moins grande en superficie que l’Amazonie. Mais, il serait plus facile d’intervenir parce qu’elle fait partie de la « Françafrique »...

Est-ce qu’on s’en inquiète ? Pas trop. Ce n’est pas vendeur électoralement. Plus loin, en Nouvelle-Guinée, la forêt pour les mêmes raisons qu’au Gabon est également détruite de façon systématique. Les braves Papous qui ont été livrés à l’Indonésie après la Seconde Guerre mondiale aimeraient bien sauver leur territoire mais ça n’intéresse personne.

La forêt équatoriale qui couvre le Gabon et une partie des pays limitrophes plus Bornéo représentent tout de même 30 % de la forêt amazonienne environ. Mais pour l’effet d’annonce, ça ne compte pas !

 

Une déforestation à l’échelle de la planète mais à géométrie variable au niveau de l’intérêt…

 

Plus près de nous, juste de l’autre côté de la Méditerranée, il y a l’Afrique du Nord et le Sahara. Cette immense zone désertique s’étend inexorablement chaque année vers le nord et vers le sud dans ce que l’on appelle le Sahel. Le sable recouvre les terres agricoles. Les puits s’assèchent. Les arbres utilisés pour chauffer les aliments se font de plus en plus rares. Ce phénomène gagne les pays au-delà du Sahel. Les migrants chassés par la guerre civile et poussés par la faim veulent gagner le paradis, c’est-à-dire l’Europe.

Et nous, Européens, que faisons-nous face à ce phénomène qui ne peut que s’amplifier ? Rien. Pourtant, il y avait un grand et beau projet consistant à créer une forêt allant de l’Atlantique à l’océan Indien. Ce n’est pas simple et ça demande beaucoup d’argent. Ce projet reste dans les cartons d’où il ne sortira sans doute jamais.

Pourtant, c’est la seule solution pour endiguer le Sahara. Est-ce que l’Europe qui craint tant les migrants ne pourrait pas s’unir pour mettre en œuvre ce projet d’envergure ? Ne rêvons pas et parlons de la forêt amazonienne et de l’écologie. Sur le plan politique, pour gagner des villes aux prochaines élections municipales, c’est bien plus utile. Soyons réalistes.

Quelles sont les grandes modes écologiques ? Les panneaux solaires, les éoliennes, l’isolation des combles et les bicyclettes. Donc, le gouvernement fait un grand tapage médiatique et financier pour les panneaux solaires et l’isolation des combles.

Sur Internet, à peine avez-vous cliqué pour ouvrir votre écran, que défilent les propositions d’isoler ses combles pour un euro. Voire pour poser des panneaux solaires pour moins que rien. Quant aux municipalités, à grands coups de peinture, elles tracent sur la chaussée des pistes cyclables.
Revenons au score des élections européennes. La République en Marche a obtenu 22,4 % des voix et les écologistes 13,2 %. Ensemble, cela fait 35,6 %. Toutefois, il y a une statistique qu’il ne faut pas oublier, c’est le taux de participation.

Il s’est élevé à 51,3 %. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’en fait la République en Marche et les écologistes réunis représentent 18,3 % des électeurs en France. Ce qui revient à dire qu’avec 18,3 % des électeurs, on est majoritaire en France. Ça vaut bien la peine de parler de l’Amazonie, de promouvoir les panneaux solaires et l’isolation des combles et de peindre dans toutes les villes de notre douce France des pistes cyclables.

Chers partis politiques, chers candidats aux élections, verdissez bien vos discours. Vive la République, Vive l’écologie, Vive la France !

Emmanuel RACINE


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Vient septembre et son cortège de bonnes résolutions de rentrée. Et si cette année, on décidait de ne plus chercher à être parfait ?

TRIBUNE : L’inaccessible quête de la perfection. Elle nous vient souvent de l’enfance, de l’éducation que nous avons reçue, et des angoisses que nous ressentons, parfois, encore aujourd’hui, à l’âge adulte.

Un mécanisme de défense contre les angoisses :

  • de ne pas être à la hauteur de ce que nos parents attendaient de nous,
  • du regard des autres, de la peur d’être jugé,
  • d’être moins aimé, voire abandonné,
  • de répéter ses erreurs passées,
  • de ne pas avoir l’approbation d’une personne « spéciale pour nous ».

C’est vrai dans tous les domaines de notre vie, amoureuse, amicale, familiale, professionnelle.

Mais, ce principe possède son lot d’inconvénients ! Ce désir de perfection permanent amène à une forme de rigidité mentale, qui bride l’adaptabilité et la créativité.

La sociabilité en est affectée. Le repli sur soi amène le risque de s’isoler, de se couper de sa famille, de ses proches, de ses partenaires.

La perfection n’étant pas de ce monde, cet objectif, inatteignable, génère la procrastination, cette fâcheuse tendance à remettre au lendemain, à temporiser, à l’inaction. 

Quant aux avantages de ne pas attendre que ce soit parfait, les voici :

  • S’autoriser l’évolution, pour s’adapter à un environnement en perpétuelle mutation, que ce soit dans le domaine social, familial, ou écologique,
  • Retrouver l’envie de faire mieux, d’être pragmatique, d’agir à l’instant « T », avec les moyens dont on dispose,
  • Allumer un moteur formidable : faire bien, ce qui n’est pas faire parfait, mais faire le mieux possible, en sachant que ce sera imparfait ; prioriser le moment où cela doit être fait … même si ce n’est pas parfait.
  • L’imperfection est une sacrée opportunité. Parce qu’elle permet l’ouverture ! Jusque dans le langage, dont elle génère l’évolution … et elle autorise, entre autres, la poésie et la créativité.

Comment faire pour se libérer ? En acceptant que ceux qui nous aiment nous voient avec nos imperfections. Il faut arrêter de se comparer, et de se soucier des opinions extérieures. Mais, il est aussi nécessaire de pratiquer un sport régulièrement. Et puis, il faut vous aimer comme étant unique, avec vos talents … et vos imperfections, vos fragilités : c’est ce qui fait que vous êtes « VOUS » !

Sachez clarifier votre intention et préciser votre objectif. Mettez en place votre stratégie, en organisant votre plan d’action, et en l’appliquant. Il est judicieux d’intégrer que tout ce que vous allez tester ne marchera pas, que c’est normal, et que vous allez apprendre au fur et à mesure.

Bref : il faut décider de ne pas faire ce qui n’a pas d’impact pour vous rapprocher de votre objectif et vous concentrer à 100 % sur l’essentiel.

Claire DOUTREMEPUICH


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Une semaine après la reprise de leurs cours, des élèves du lycée agricole icaunais se sont immergés au cœur de l’une des problématiques actuelles vécues par la filière : la diversification des cultures. Ils ont suivi, accompagnés de deux de leurs enseignantes, la copieuse journée « INNOV Action » concoctée par la Chambre départementale d’agriculture…

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Bloc-notes à la main, stylo prêt à être dégainé pour y transcrire la moindre indication, une douzaine d’étudiants du lycée professionnel agricole La Brosse se sont rendus ce lundi en début de matinée aux abords d’une exploitation où pousse du soja.

Participant au programme pédagogique, « INNOV ACTION », mis en place par les services techniques de la Chambre départementale d’agriculture et différents partenaires de la vénérable institution, ces jeunes gens, filles et garçons, encadrés de deux enseignantes, ont pu bénéficier à loisir des précieux renseignements distillés çà et là par le propriétaire du site, Stéphane HOGUET. D’autres agriculteurs faisaient part également de leur retour d’expérience en la matière.

Mobilisés sur l’ensemble de l’animation qui s’ouvrait vers d’autres plantations (sorgho, tournesol, millet), les studieux étudiants purent ainsi se forger leur propre opinion au contact de ces professionnels sur les phases évolutives et les enjeux du milieu agricole de demain, notamment dans l’approche des diversités végétales à appréhender du fait du réchauffement climatique…


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