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L’actualité agricole a tenu le haut du pavé, partout en France mais aussi sur le territoire de l’Yonne au cours de la semaine écoulée. Revendications visibles dans les rues, conférence sur les vertus de l’agro-écologie, assemblée générale de la coopérative YNOVAE : le milieu de l’agro-alimentaire s’est signifié à notre bon souvenir de consommateur aiguisé que nous sommes. Cerise sur le gâteau : la venue de la présidente nationale de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) à Auxerre a ponctué de très belle manière cette semaine « verte et environnementale » vitrine promotionnelle idéale contre les zélateurs de l’agribashing…

AUXERRE : Christiane LAMBERT est en colère et le fait savoir à bon escient ! Peu avare en commentaires explicites sur le sujet de prédilection qui l’anime au quotidien, à savoir la défense des intérêts de sa corporation, la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) ne lésine pas sur le temps de parole à accorder aux journalistes lors d’une conférence de presse. Plus d’une heure d’entretien où tous les thèmes liés à l’actualité du moment ont pu être balayés sans langue de bois.

De passage dans la capitale de l’Yonne, ce vendredi 29 novembre, la « wonder woman » du monde rural a pu s’expliquer longtemps avec les médias sur les motivations essentielles qui la poussent à mener bec et ongles ce combat de la dernière chance face à un gouvernement de moins en moins inflexible. Un combat qu’il est nécessaire de remporter car il y a péril en la demeure.

Mardi 03 décembre, la syndicaliste à la tête d’une exploitation porcine laissera de côté son emploi du temps professionnel pourtant bien garni afin de regagner Paris en vue d’une rencontre qui se présente déjà comme capitale avec le Premier ministre.

Fruit d’une âpre négociation obtenue avec les conseillers agricoles de l’Elysée et de Matignon au terme de la journée de revendication de mercredi, ce rendez-vous avec Edouard PHILIPPE et le ministre de l’agriculture Didier GUILLAUME peut-il augurer de l’adoption de préconisations judicieuses et pertinentes ?

 

Ne pas suivre les propos hystériques des politiques en campagne électorale…

 

Pas un jour ne passe en effet sans que le milieu agricole ne souffre de manière concrète et brutale dans sa chair. Placé sous haute vigilance, le secteur est en proie à de profondes désespérances humaines pouvant aboutir au drame. Conspuant le nouveau phénomène disruptif de l’agribashing, largement répandu par les réseaux sociaux, la présidente de la FNSEA n’a pas caché sa virulence et son émotion contre ces fauteurs de trouble de l’ordinaire qui retranchent les professionnels dans leur isolement.

Mercredi dernier, à Paris mais aussi dans la plupart des grandes agglomérations de l’Hexagone, les agriculteurs sont descendus dans la rue afin d’y manifester leur mécontentement mais aussi pour y faire entendre leur désarroi.

Plus de mille tracteurs ont ainsi bloqué les deux voies de circulation du boulevard périphérique qui contourne de la capitale au grand dam des forces de l’ordre, qui se sont contentés d’observer sagement la situation.

Comme devait le signifier Christiane LAMBERT, la présence de ces manifestants agricoles en nombre n’aura occasionné ni scènes de violence ni pillage dans les rues adjacentes de la capitale.

Lassés des incertitudes économiques qui planent au-dessus de leur tête, les agriculteurs ayant suivi la feuille de route de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs (JA) n’en rejoindront pas nécessairement les cortèges qui arpenteront les rues des métropoles françaises le 05 décembre prochain. Quant à participer au mouvement social imputable aux Gilets jaunes, il existe une frontière vers laquelle la dynamique présidente ne souhaite pas franchir.

Dénonçant la politisation de ces mouvements sociaux, dont celui prévu le 05 décembre, Christiane LAMBERT ne désire pas associer le syndicat de professionnels dont elle représente les valeurs à des phénomènes de masse qui ne cessent de prôner le chaos et la destitution de telle ou telle représentant institutionnel ou politique.

En outre, la dirigeante syndicaliste rappelle que les exploitants agricoles sont avant tout des chefs d’entreprises devant faire fonctionner leur modèle économique.

 

 

Faire confiance aux décisions de l’agence de sécurité sanitaire…

 

Bref, pour elle, il sera plus important de s’entretenir avec le pensionnaire de Matignon dès mardi en lui faisant part des doléances actuelles qui ont pour nom l’agribashing, la hausse des revenus, les attentes de la Politique agricole commune (PAC) européenne ou l’approche pratique des ZNT, ces fameuses zones de non-traitement aux pesticides, sujet à bon nombre de griefs et d’atermoiements parmi les représentants de la filière.

Sur ce dernier point – l’une des clés de voûte des revendications actuelles avec les revenus -, Christiane LAMBERT rappelle qu’il faut se fier pour y voir plus clair aux décisions émises par les scientifiques. Et non aux propos hystériques de bon nombre d’élus qui agissent au nom de leurs coteries personnelles dans un cadre de pré-campagne électorale.

« Je préfère m’en remettre aux décisions fournies par des organismes ayant des compétences sur ces sujets à l’instar de l’ANSES, devait-elle ajouter, en citant la fiabilité des travaux de l’agence de sécurité sanitaire.

Christiane LAMBERT qui avait répondu par l’affirmative à l’invitation de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire et de ses dirigeants (Daniel COLLAY, président de la Caisse régionale, Eric GELPE, directeur dudit établissement, Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l'Yonne, Jacques BLANCHOT, directeur d'établissement Yonne) s’est également entretenue au terme de ces échanges avec les leaders départementaux de la FNSEA (Damien BRAYOTEL), des Jeunes agriculteurs et de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Arnaud DELESTRE.

Avant de réviser ses dossiers en vue de se préparer à l’entretien avec le Premier ministre de mardi…

 

 

 


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Les résultats de cette épreuve hors norme ne seront divulgués qu’en fin d’après-midi sous les ors de la préfecture de l’Yonne ce lundi 02 décembre. Auparavant, les dix finalistes de ce premier championnat du monde concocté en terre de l’Yonne se seront affrontés avec élégance et savoir-faire pour obtenir le meilleur des suffrages de la part d’un jury d’exception. Valorisant ainsi ce métier noble et stratégique de maître d’hôtel, clé de voûte de la filière des arts de la table et de la gastronomie…

AUXERRE : La course aux étoiles et aux paillettes universelles pour ces esthètes des arts de vivre et du bien-vivre débutera dès potron-minet ce lundi 02 décembre parmi les salles aptes à accueillir ce type d’évènementiel au lycée des métiers Vauban.

Même si les premières épreuves de ce rendez-vous international ne commenceront qu’au neuvième coup de pendule, gageons que les dix candidats en lice dans cette compétition de haute volée seront fin prêts au niveau mental et physique bien avant cet égrenage de l’horloge les rapprochant du moment fatidique.

Quatre disciplines, et non des moindres, attendent ces talents déjà confirmés de la filière de l’hôtellerie/restauration. La mise en valeur d’une table à partir d’éléments décoratifs imposés par le cahier des charges de ce concours requiert un sens de l’esthétisme avéré. D’autant que les courageux prétendants au sésame suprême devront faire preuve d’audace et de créativité. Puisqu’ils auront le loisir d’accommoder la thématique du jour d’une sélection d’objets et d’éléments de leur initiative.

Seconde subtilité tout aussi réjouissante à aborder : la découpe. A partir d’un plat préparé en cuisine et servi devant les membres du jury, les concurrents traiteront le sujet avec doigté, finesse et technique. D’autant que les critères d’élégance, de rapidité, d’efficacité et de réponses judicieuses aux interrogations que ne manqueront pas de poser les exégètes de la corporation qui auront à noter les candidats, favoriseront la notation finale de l’épreuve.

Pendant que les sélectionnés de ce championnat s’affaireront sur ces ateliers, d’autres auront déjà pu tester leur sagacité sur l’épreuve de créativité.

Celle qui consiste à flamber un dessert, imposé il va de soi, où les alcools permettant la caramélisation du produit seront désignés par avance. Mais, le candidat pourra laisser libre cours à son imaginaire pour tenter de passer l’obstacle !

La quatrième circonvolution amènera les dix finalistes à commercialiser à leurs clients (les membres du jury) deux plats extraits d’un menu imposé. Un exercice de style oratoire où il sera nécessaire de vanter les qualités gustatives des plats, avec aisance et amabilité, dans une langue qui leur est étrangère de manière naturelle !

Bref : un concours d’éloquence à la gloire des arts de vivre et de la gastronomie sans doute déterminant dans l’attribution du titre.

 

 

Une quinzaine de nationalités distinctes pour cet évènement…

 

Initialement prévu à Bordeaux, ce championnat du monde des maîtres d’hôtel se déroule pour la première fois dans l’Yonne, accueilli par l’un des établissements pédagogiques reconnus par ses pairs, le lycée des métiers Vauban à Auxerre.

Le 06 mai dernier, le centre de formation de la filière hôtelière avait été le théâtre des sélections nationales pour ce mondial.

Deux jeunes gens, Elisa JEANVOINE, qui officie à l’Azimut de Courchevel, et le premier maître d’hôtel du Relais Bernard LOISEAU à Saulieu, Valentin MEROT s’y étaient distingués en obtenant l’accessit pour aller plus loin dans leur quête au Graal suprême.

Précisons que ce championnat sera véritablement d’une envergure planétaire avec pas moins une quinzaine de nations représentées entre les talentueuses jeunes pousses et les représentants du jury.

On notera aussi la présence de sacrés pointures de la profession dont Gil GALASSO (MOF, lycée hôtelier de Biarritz, François PIPALA (MOF, restaurant Paul Bocuse), Loïc GLEVAREC (de la maison Hennessy à Cognac), Romuald FASSENET, le chef étoilé du Mont-Joly dans le Jura ou le local de l’étape, Sébastien CAVAILLES, MOF qui œuvre au lycée Vauban.

Capucine VIGEL, responsable de l’établissement et son pygmalion sur l’aspect organisationnel de ces épreuves, Serge GOULAIEFF, lui-même MOF de la discipline en 2004, assisteront à ce concours avec beaucoup d’intérêt accueilli dans leurs murs.

 

 


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L’Auxerrois peut-il devenir un territoire modèle, favorable au développement d’une alimentation durable, où l’agriculture jouerait un rôle essentiel en créant de l’emploi et en revitalisant les campagnes ? Président de Bio Bourgogne 89, Philippe CAMBURET évoquera ce thème lors d’un échange jeudi soir à Auxerre. En guise de préambule, la parole sera donnée à l’agronome et chercheur, Marc DUFUMIER. Le conférencier présentera les vertus de l’agro-écologie qui considère chaque exploitation comme un écosystème cohérent…

AUXERRE: C’est un exégète de l’agro-écologie qui effectuera le déplacement dans la capitale de l’Yonne, jeudi soir. A l’invitation de la liste « Auxerre écologie, la ville envie », portée par Denis ROYCOURT, le digne successeur du candidat vert à la présidentielle de 1974, René DUMONT, à la chaire d’agriculture comparée et de développement agricole à AGRO PARIS TECH, prendra le temps d’interpeller l’auditoire sur les vertus d’une alimentation saine et durable.

Membre de la Fondation Nicolas HULOT, Marc DUFUMIER se posera dans l’une des salles municipales d’Auxerre (salle Anna) afin d’y développer ses arguties sur son modèle d’agro-écologie englobant plantes, bactéries, arbres et animaux.

Adepte de l’économie circulaire, le conférencier propose une agriculture relocalisée, respectueuse des saisons, en filière courte. Celle-ci débouchant sur une alimentation à faible coût énergétique grâce à la réduction des transports, des conditionnements, à l’absence d’utilisation de produits chimiques ; bref, une agriculture qui a aussi pour objectif de préserver en la protégeant l’eau potable.

Partant du postulat que bien s’alimenter suppose de s’intéresser aussi à la manière dont les aliments sont produits, comment ils viennent à nous et à la façon dont on gère les déchets, Marc DUFUMIER parlera de la défense de l’agriculture bio qui n’est en rien contradictoire avec le droit des nations de l’hémisphère Sud de reconquérir leur souveraineté alimentaire.

 

 

Un échange nourri de réflexions pertinentes, n’en doutons pas ! L’intervention de l’enseignant-chercheur se poursuivra par les propos du président de Bio Bourgogne 89 et co-président de la filière agricole bio régionale, Philippe CAMBURET.

Ce dernier qui a apposé récemment sa griffe au bas d’une convention d’objectif portée par la Région et favorable à l’essor de la filière s’interrogera sur la place de cette alimentation durable tant au plan économique que sociologique sur le bassin de l’Auxerrois.

 

Une conférence à vivre ce jeudi 28 novembre à 18h30 Salle Anna à Auxerre.

 

 


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L’accord  fera date pour l’ensemble de la famille agricole. D’une part, il est tripartite en unissant trois composantes fortes du paysage régional. D’autre part, il marque la volonté farouche de la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté de s’engager durablement aux côtés de ces professionnels. Une agriculture en grande souffrance que l’élue souhaite accompagner du mieux possible. Observant que la filière bio représente un réel avenir, Marie-Guite DUFAY apporte avec son paraphe au bas d’une convention d’objectifs un précieux soutien technique et financier à une filière prometteuse sur notre territoire…

CHABLIS : C’est fait. La filière agricole biologique apparaît désormais parmi les marqueurs identifiables de la Région Bourgogne Franche-Comté. Grâce à une convention d’objectifs qui a été entérinée lors de sa récente visite en terre icaunaise, la présidente de l’institution régionale confirme ainsi l’aide qu’elle désirait apporter aux professionnels de la corporation.

Une plus-value judicieuse aux arborescences différentes : technique et financière. Bref : le coup de pouce idéal qui est peut-être porteur de nouveaux espoirs pour cette frange de l’économie vivant parfois dans une profonde déshérence.

La présidente du Conseil régional aura donc profité de sa venue à Chablis pour y graver dans le marbre un acte fort. « Nous soutenons cette très belle initiative de l’agriculture biologique, certes fort complexe, mais vécue avec immensément de passion, a-t-elle confié à l’issue de la signature de cet accord, partagé avec Christian DECERLE, président de la Chambre régionale de l’agriculture et les deux co-présidents de la Fédération régionale de l’agriculture biologique, Philippe CAMBERET et Patrice BEGUET.

Quels seront les engagements de l’organisme régional vis-à-vis de ses nouveaux partenaires ?

 

Faciliter l’essor de la filière en mutualisant les échanges…

 

Pour faire simple, et cela fait l’objet d’un cahier des charges d’une douzaine de pages, la Région s’engage à financer les moyens humains dédiés à un certain nombre d’actions sur la base minimum des financements attribués en 2018. L’outil exécutif régional construira des appels à projets et règlements d’intervention, faisant en sorte de respecter les objectifs propres à l’agriculture biologique. Il est bien entendu que ces actions qui en découleraient seraient accompagnées, sous réserve du respect des critères d’éligibilité et de la sélection prévue dans les appels à projets.

« Nous assisterons, autant que possible, en qualité d’observateur aux réunions de mise en œuvre de ces actions, précisa Marie-Guite DUFAY.

De toute évidence, la Région s’invitera aussi parmi les différentes instances qui faciliteront l’essor de la filière : comité de pilotage, conférences des filières. Bref, une présence renforcée de l’exécutif aux côtés des professionnels de l’agriculture bio qui ne peut être que stimulante et dynamique.

L’observance d’un doublement des surfaces depuis 2015, à la suite de vagues de conversion majeures de la part des agriculteurs traditionnels, aura donc modifié les paradigmes.

Il est clair, dorénavant, que pour être viable et pérenniser à moyen terme le système doit bénéficier d’un accompagnement accru de la structure régionale qui possède les compétences économiques. L’optimisation de la filière bio, à travers de potentielles retombées rentables, ne peut s’entrevoir que si l’ensemble des réseaux de ces acteurs est coordonné.

 

 

Une convention qui court sur une période de trois ans…

 

En terme clair, il s’agit désormais de se doter de tous les moyens nécessaires (humains, techniques, budgétaires) pour coopérer à tous les niveaux afin de renforcer la dimension collective de cette nouvelle variante de l’agriculture régionale.

Un enjeu majeur que ne souhaite ni manquer la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté, ni les acteurs institutionnels qui la suivent, à savoir la Chambre régionale d’agriculture et la Fédération régionale de l’agriculture biologique.

Grâce à cette convention datée de novembre 2019, il s’agira d’acter et de rendre plus lisible l’engagement des trois parties en lice pour la prospérité de la filière. En mettant en exergue des actions qui répondent aux objectifs du Plan régional pour le développement agricole (PRDA), lui-même voté à l’unanimité en octobre 2017.

Quant aux professionnels de l’agriculture biologique, ils auront eux-aussi des devoirs envers la Région après le paraphe de cet acte. Outre le fait qu’ils doivent favoriser l’émergence de nouvelles actions prioritaires, en apportant par ailleurs l’autofinancement nécessaire aux actions qu’ils conduiront en propre, ils s’engagent à collaborer et à communiquer largement sur les actions engagées dans le cadre de cette convention tripartite. Naturellement, le souci de la valorisation de ces actions s’inscrit parmi les attendus de ce projet à l’instar de rendre compte, avec la régularité d’un métronome, de leurs actions auprès des services ad hoc du Conseil régional.

Enfin, précisons que des conventions financières concernant l’attribution d’aides annuelles matérialiseront les actions mises en œuvre ainsi que leurs engagements mutuels.

La présente convention d’objectifs a été signée pour une durée de trois ans.

 

 

 

 


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La bonne humeur et la convivialité se donnaient la main lors de cette soirée découverte du célèbre vin primeur qui permet de perpétuer depuis des lustres les traditions du bon vivre et de l’épicurisme parmi les strates de la société française. L’exercice s’avéra également très positif pour les instigateurs de cet évènement qui souhaitaient une mise en lumière des activités et du cadre enchanteur de l’espace auxerrois de remise en forme…

AUXERRE: Curieux contraste que celui-ci. D’ordinaire, le Club Vert, espace d’accueil de nombreuses activités physiques et de pratiques sportives, reçoit un public plutôt soucieux au maintien de ses formes longilignes, de la maîtrise de sa surcharge pondérale et d’une rigoureuse consommation nutritionnelle proche de la diététique !   

C’est le lot commun de tous les champions et férus d’exercices de remise en forme, histoire de la conserver de la manière la plus durable possible. Or, en ce début de soirée de ce vendredi 22 novembre, la physionomie du lieu, un cadre enchanteur de verdure qui occupe près de quatre hectares de surfaces à demi boisée en lisière de l’Yonne, était tout autre ne vérité.

Charcuteries, gougères, et surtout, tradition oblige, bouteilles d’un gouleyant nectar à la couleur rouge vermillon garnissaient abondamment le vaste hall d’entrée de la structure, ouverte aussi aux séminaires professionnels et aux réunions associatives.

Bref : on l’aura compris, les adeptes du sport et de l’exercice physique s’étaient mis en mode pause à l’occasion de l’un des événementiels les plus prisés de la saison automnale, la dégustation du beaujolais nouveau.

Exit la zumba et les règles de l’art vertueuses de la méthode PILATES, une approche disciplinaire de sport doux à exercer sur un tapis de sol avec différents agrès !

En ce vendredi soir, il n’était question que de convivialité, de bonne humeur, et de ressenti positif à la découverte olfactive et goûteuse des saveurs fruités du célèbre vin primeur qui est élevé entre les coteaux jouxtant les départements du Rhône et de la Saône-et-Loire.

 

 

Parmi les convives, de nombreuses personnalités politiques et économiques…

 

In fine, ce sont près d’une centaine de convives qui convergèrent vers ce petit coin paradisiaque à quelques encablures de la ville pour essayer de découvrir quels étaient les arômes essentiels de ce vin si apprécié des Japonais cette année : framboise, fruits des bois ou banane, comme certains des aficionados le prétendent ?

Concoctée par deux des administrateurs emblématiques de cet antre du bien-être et de la condition physique retrouvée, Michel CHAUFOURNAIS et Joël LOUBERT, cette séance de retrouvailles joyeuses d’après travail prit des allures de rencontres épicuriennes entre personnalités institutionnelles et politiques de notre territoire.

Ainsi, on nota la présence du député de la deuxième circonscription, André VILLIERS qui devisait avec le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD ; du président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, Guy FEREZ, s’entretenant avec son adjoint au commerce, Jean-Philippe BAILLY, etc.

Les personnalités issues du monde économique étaient également bien représentées. On put ainsi échanger quelques mots avec l’un des vice-présidents de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne, Denis MASSOT, qui accompagné de son épouse, se délecta ensuite de quelques agréables gorgées de ce vin si affriolant et typique en bouche.

En résumé : une belle soirée, faisant office de support promotionnel, et amicale dans le souci du respect des traditions au Club Vert.

 

 

 

 


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