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La pression. Le mot est significatif et se passerait presque de commentaires superfétatoires. Mais, il a été prononcé tout de go par l’une des figures emblématiques de la filière agricole dans l’Yonne, Laurent PONCET. Pour illustrer la situation actuelle. Le président de la coopérative YNOVAE, invité à s’exprimer lors de la récente assemblée générale de la structure, n’a pas choisi ce terme par hasard. La pression, ou plutôt les « multiples pressions », pèsent aujourd’hui de tout leur poids sur les épaules fragilisées de ces femmes et ces hommes qui essaient tant bien que mal de survivre dans ce monde si complexe…celui de l’agriculture.

AUXERRE : Ce n’est un mystère pour personne. Mais de nos jours, le milieu agricole évolue dans un contexte très compliqué. En France où le phénomène de l’agri-bashing atteint des proportions jusque-là insoupçonnées. Une tendance qui est largement entretenue par l’insidieuse influence des réseaux sociaux qui se veulent être des juges de paix. L’agriculteur est devenu la bête noire à abattre si l’on peut se permettre cette métaphore.

Rien d’étonnant, au vu de la gravité de la conjoncture et du sentiment de désamour qui persistent envers la corporation que le président de la coopérative YNOVAE interpelle son public : un auditoire majoritairement composé de celles et ceux qui exercent au quotidien ce dur métier si besogneux et si ingrat.

« Ces pressions que vous subissez dans votre quotidien engendrent nécessairement des conséquences néfastes sur vos modes de production, sur vos propres motivations… ».

Seul, à la tribune, sous la lumière aveuglante des projecteurs, Laurent PONCET livre dans un silence de plomb et sous les regards convergents de centaines de paires d’yeux ses réflexions et interrogations personnelles sur le devenir de cette filière qu’il affectionne plus particulièrement.

Il ne retient dans son intervention que trois items qui prédominent selon lui dans le contexte actuel : les risques sanitaires, les effets de la géopolitique et les conditions d’évolution climatiques.

 

Une perte de la lisibilité face à l’avenir…

 

Vis-à-vis du premier argument (les risques sanitaires), Laurent PONCET fustige de qui survient avec régularité à l’autre bout de la planète. En Chine, plus précisément où la peste porcine décime les élevages de porcs. Cela impacte le marché mondial de la viande. C’est le poids réservé aux grandes puissances qui veulent jouer les premiers rôles dans un secteur économique.

« Au-delà de cela, estime Laurent PONCET, il y a une chose positive pour les éleveurs porcins français : c’est l’augmentation des importations vers ce pays de l’Asie ; c’est bénéfique par une augmentation des cours… ».

Mais, le balancier du négatif n’est jamais très loin dans la réalité. Puisque les importations d’orges d’origine françaises destinées à alimenter le cheptel porcin chinois ont subi de lourdes pertes. Pour autant, force est de constater que la qualité et la sécurité alimentaire des produits hexagonaux sont très appréciées à l’international. Faute de l’être chez nous ? Un comble !

Le volet géopolitique suscite là-aussi bien des inquiétudes de la part de l’une des têtes pensantes de la coopérative. Laurent PONCET se dit soucieux. Que penser de l’avènement au pouvoir de personnages aussi atypiques comme peuvent l’être Donald TRUMP ou Boris JOHNSON ? Ils engendrent une perte de lisibilité pour anticiper l’avenir.

Et à ce jeu-là, celui des revirements de situation ou de la proclamation d’annonces inattendues, ce sont toujours les cours et les marchés qui en pâtissent.

« La conjugaison d’une bonne récolte de canola au Canada additionnée aux tensions diplomatiques avec la Chine qui en rétorsion préfère l’origine australienne débouche sur une hausse de 42 % de l’importation européenne du canola canadien. Cela freine la hausse des cours de nos colzas que l’on espérait suite à la plus faible récolte de colza en Europe depuis plus de dix ans… ».

 

 

Un niveau de prix pas satisfaisant en France…

 

Constat désabusé de Laurent PONCET : « Dans une économie mondialisée si la Chine s’enrhume, c’est nous qui avons des poussées de fièvre ! ».

Quant aux conditions climatiques, elles se caractérisent aujourd’hui par une forte sécheresse dans l’hémisphère sud. L’Australie enregistre une baisse de volume en blé et en orge. Le Brésil est en retard pour ses semis de soja alors qu’il subsiste un sérieux doute concernant la seconde récolte de maïs.

« Chez nous, rappelle Laurent PONCET, concentré à la tribune, c’est l’humidité qui retarde les semis de blé et perturbe la récolte avec une détérioration des qualités. En Europe, l’Ukraine a battu ses records de production en blé et en maïs ; la Russie est étale en blé mais pulvérise des records en orges et en maïs. Quant à l’Union européenne, elle a battu des records en céréales à paille (148 millions de tonnes de blé) et 63 millions de tonnes d’orges… ».

Si la production mondiale atteint une fois de plus un niveau record que dire de la situation vécue par l’Hexagone où malgré une récolte de blé tendre importante (39,5 millions de tonnes), le niveau des prix n’est pas satisfaisant alors que les céréales françaises voient leur compétitivité se doper sur des marchés comme l’Egypte ou le Maroc.

Une réflexion géostratégique et économique intéressante qui aura servi de préambule au déroulé de l’assemblée générale de la coopérative sur laquelle nous reviendrons plus en détail dans une prochaine publication…

 


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Ce n’est une surprise pour personne. Ni un secret de Polichinelle à enfouir dans les alcôves! Entre le monde de l’agriculture et l’assureur mutualiste, les liens sont ténus, pour ne pas dire plus. Et ce, de manière séculaire. Aussi, inviter la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) Christiane LAMBERT au siège auxerrois du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance n’avait rien d’incongru en soi. D’autant que l’origine de cette invitation revenait aux duettistes en charge de la responsabilité de la caisse départementale, le président Pascal MAUPOIS et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT. Explications…

AUXERRE : A y regarder de plus près : la visite de la présidente du syndicat majoritaire du monde agricole dans l’Yonne était préparée sous le prisme de l’astuce. Voire de l’audace !

Christiane LAMBERT, présidente de la FNSEA, sortait en effet de la manifestation paysanne nationale qui avait bloqué le périphérique deux jours auparavant. Un acte social fort, marqué par de vives contestations populaires qui débouchèrent sur la présence de plus de mille tracteurs (1 086 engins pour être précis) à quelques encablures du cœur de la capitale. Une insolite image, en vérité.

Alors, comment se mettre « au vert », histoire de souffler quelque peu, avant de retourner à Paris pour y rencontrer le Premier ministre, Edouard PHILIPPE, et le ministre ayant la charge de la filière, Didier GUILLAUME, dans d’âpres négociations indispensables à la survie de ce secteur d’activité ?

C’est là que Christiane LAMBERT a dû en son for intérieur véritablement apprécier et bénir l’invitation faite, il y a déjà plusieurs semaines de cela par la Fédération départementale des caisses locales de l’assureur mutualiste de l’Yonne.

Une invitation qui était destinée sur le carton à réunir, au-delà d’une simple rencontre de football, la dame à la tête de la plus importante entité défenderesse des droits des agriculteurs, et ses coreligionnaires locaux. Objectif : valoriser une corporation en souffrance qui n’a pas été épargnée par les soubresauts impulsifs de l’actualité et positiver autour de ces femmes et ces hommes qui en défendent chèrement les valeurs.

 

 

La « Piste aux étoiles » de l’agriculture départementale…

 

Bien sûr, il y aura le temps consacré à la conférence de presse. Un exercice oratoire et complet, décliné dans l’une des salles de réception de l’assureur. Là, Christiane LAMBERT, comme nous l’avons relaté dans un précédent article, détaillera la vision stratégique de cette actualité sociale, riche en atermoiements et en doutes pour celles et ceux qui tentent de survivre comme des funambules aux aléas du climat et des marchés internationaux.

Cette conférence de presse avait la saveur d’une « Piste aux étoiles » avec une représentativité agricole éclectique intéressante : Damien BRAYOTEL, président de la FDSEA de l’Yonne, le président de la chambre consulaire de l’agriculture, Arnaud DELESTRE, Maxime BOUCHER, élu à la tête des Jeunes Agriculteurs de l’Yonne depuis bientôt un an à l’âge de 23 ans et Hervé MIVIELLE, directeur exécutif de la chambre départementale.

Il faut dire que Christiane LAMBERT a été reçue avec les honneurs dû à son rang de chef de file d’une fédération qui demeure la force de frappe syndicaliste de la corporation.

Aussi, du côté de l’invitant, la mobilisation des responsables étaient de rigueur. Présence du président de la Caisse régionale Paris Val-de-Loire, Daniel COLLAY, du directeur du groupe, Eric GELPE, accompagné de son responsable des relations publiques, François DELAISSE.

Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l’Yonne et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT, fermaient le ban de ces personnalités.

 

 

Plus de 1 700 agriculteurs ont convergé vers le stade…

 

Instigateur de cette visite, ce dernier s’est dit très satisfait de la tournure de l’opération, placée dans le cadre d’un partenariat avec l’AJ Auxerre. Bénéficiaire de deux soirées de gala annuelles, l’assureur mutualiste a pu profiter du derby footballistique opposant les locaux à l’US Orléans pour convier plus de 1 700 agriculteurs à l’Abbé Deschamps.

Une façon de placer sous le feu des projecteurs le positivisme de son action adressée à ce public de fidèles et de permettre ainsi à la dirigeante de la FNSEA de faire d’une pierre deux coups : vivre pleinement sa passion du football même si son cœur de supporter penche davantage pour les deux pensionnaires de Ligue 1 que sont les « meilleurs ennemis », Lyon et Saint-Etienne, et saluer celles et ceux dont elle défend les intérêts grâce à sa mission syndicale.

Le dieu du football était de la partie. Car au terme de cette rencontre, le score paritaire de deux partout au coup de sifflet final, ne pouvait que contenter les dirigeants de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, venant du Loiret, et ceux de l’Yonne !

 

 

 

 

 

 

 


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En marge de l’assemblée générale, statutaire et ordinaire, de la coopérative agricole régionale, l’éditorialiste de L’Express et de BFM TV analysera les perspectives et conjectures d’une future année riche, en rebondissements, celle qui pointe le bout de nez à brève échéance : 2020…

AUXERRE : Sa dernière visite consacrée au territoire de l’Yonne datait de janvier 2018. A l’époque, l’invité médiatique de la Maison de l’Entreprise s’était interrogé avec sa verve et truculence habituelles sur les projets de réformes engagés par le président de la République, Emmanuel MACRON, à propos des milieux économiques et de l’emploi.

Accessible, agréable avec le sens du relationnel qu’on lui connaît, le journaliste à l’écharpe rouge, aussi célèbre que sa personne, avait échangé lors du cocktail, concocté dans les locaux de la Maison de l’Entreprise, avec des chefs d’entreprises. Qui ne manquèrent pas de le questionner sur ce que demain sera fait.

Il en sera vraisemblablement de même à l’issue de l’assemblée générale de la coopérative agricole, 110 Bourgogne, ce vendredi 06 décembre. Accueillis dans l’enceinte principale du parc des expositions d’Auxerre, les adhérents de la structure présidée par Gérard DELAGNEAU, auront tout le loisir de pouvoir écouter la causerie pleine d’allant de l’éditorialiste qui fait les beaux jours de BMF TV depuis plusieurs années.

Si la plongée systématique dans l’avenir de ce que représente la future année sera le point de départ de son intervention, Christophe BARBIER balaiera toutefois un spectre de sujets nettement plus larges, croisant ses réflexions sur le devenir économique de l’Hexagone et de l’Europe, la place de cette dernière dans le cadre de la nouvelle Politique agricole commune (PAC), sa vision du monde agricole et les enjeux politiques, à l’orée des prochaines municipales du mois de mars.

Bref : pas mal de choses à se mettre sous la dent pour comprendre, voire anticiper, ce que demain sera fait en ce bas monde…

 

 

 

 


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La très belle victoire obtenue par le ressortissant d’Outre-Quiévrain permet à la Belgique de succéder à la France dans cette épreuve âprement disputée du championnat du monde des maîtres d’hôtel. Nos voisins du plat pays peuvent savourer leur titre avec délectation en ayant coiffé les représentants tricolores sur le fil, eux qui n’ont pu accéder au titre suprême. Sans l’once d’une contestation et au grand dam de nos compatriotes…Deuxièmes ex-aequo, Elsa JEANVOINE et Valentin MEROT, le régional de l’étape, ont échoué de peu mais ils réalisent en substance le concours quasi parfait…

AUXERRE : Cette fois, il n’y a aucune ambiguïté à avoir, la Belgique tient bel et bien sa revanche sur les Français ! Certes, elle ne s’applique pas à la pratique du ballon rond. Mais, elle survient dans un tout autre domaine qui, sur le papier et dans les faits, restait jusque-là l’apanage des Tricolores : les arts de vivre appliqués à la gastronomie.

Nos deux valeureux candidats, Elsa JEANVOINE et Valentin MEROT, qualifiés pour cette édition palpitante des championnats du monde des maîtres d’hôtel, s’en souviendront à leurs dépens.

Malgré leurs prouesses techniques sur la manière de découper une volaille, de dresser une table en respectant minutieusement les codes de présentation et la façon de flamber un dessert avec une justesse frisant parfois la perfection, ils n’ont pu rivaliser avec leur homologue belge. L’irrésistible et charismatique Jeff VAN HONNACKER aura tout balayé sur son passage tel une tempête chargée d’embruns venue de la Mer du Nord.

Volubile, poussant le sens de la relation à l’autre avec expertise lors de ses passages successifs face au jury, ce garçon talentueux a eu reçu les suffrages positifs d’exégètes es arts de la table et de la gastronomie. Celles et ceux qui constituaient l’exceptionnel jury, composé de fines gâchettes du savoir-vivre à la française, devant rendre son verdict inéluctable.

 

 

 

Tension palpable à l’énoncé des résultats…

 

Que le souriant japonais YAMAMOTO accède à la troisième marche du podium fut déjà une révélation en soi. Mais eu égard à la dimension internationale prise depuis plusieurs années par la gastronomie nippone, cela ne faisait que confirmer l’appétence de ces jeunes gens pour la cuisine moderne et le sens du décorum qui y est associé.      

La tension était palpable dans les salons d’honneur de la préfecture de l’Yonne qui accueillait cette remise de distinctions intercontinentales en présence de concurrents nord-américains, asiatiques et africains. Mais, en parfait maître de cérémonie de circonstance, Serge GOULAIEFF, lui-même MOF de la discipline, égrena les patronymes des deux candidats ex-aequo, que ne purent départager les inflexibles membres du jury.

Et là ce fut la douche froide dans le camp français puisque nos deux représentants, Elsa JEANVOINE et Valentin MEROT, se contentèrent de la seconde place. Malgré leurs accessits obtenus dans deux des quatre catégories. L’amère désillusion se figea sur les visages attristés de ces brillants compétiteurs qui n’auront pu semer le trouble dans l’esprit conquérant du nouvel élu, le Belge Jeff VAN HONNACKER.

Comme le chantait si bien jadis le chanteur belge Salvatore ADAMO dans le tube « Mais laisse tes mains sur mes hanches » (« oui tu l’auras ta revanche… ») ; c’est en triomphateur que le nouveau champion du monde a pu lever les bras au ciel pour saluer sa victoire.

 

 


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Seul représentant de la Bourgogne Franche-Comté à s’être qualifié pour le difficile exercice qui pourrait le sacrer meilleur maître d’hôtel de la planète, le professionnel du Relais Bernard LOISEAU intègre le panel très hermétique des favoris. Il représente une sérieuse opportunité pour la délégation tricolore de remporter le titre suprême. Sachant que la France aura avec la présence d’Elsa JEANVOINE, une autre carte maîtresse à jouer…

AUXERRE : Opposé à une douzaine de candidats aux origines internationales diverses et cosmopolites au lycée des métiers Vauban, le talentueux premier maître d’hôtel du Relais Bernard LOISEAU à Saulieu (Côte d’Or), « Le Côte d’Or », double étoilé Michelin, n’est pas venu au mondial de sa discipline professionnelle qu’il affectionne pour y faire de la simple figuration.

Lui qui avait déjà survolé avec brillance les sélections nationales, aux côtés de la seconde chance hexagonale qualifiée Elsa JEANVOINE, revient au même endroit qui l’avait consacré en mai dernier.

Est-ce à dire à la vue de ses circonstances géographiques particulières que les deux prétendants français à ce sacre universel de maître d’hôtel au sommet de son art bénéficieront de ce petit quelque chose supplémentaire pour prétendre glaner le titre ?

C’est possible. Non seulement, Elsa et Valentin avaient beaucoup apprécié l’accueil et les conditions de travail qui leur avaient permis au printemps de finir aux deux premières places qualificatives pour le challenge planétaire. Mais, en outre, ils profiteront des encouragements nourris du public de supporters qui, drapeaux en main et cocardes tricolores à la boutonnière, ne manquèrent pas d’encourager leurs poulains !

 

 

 

 

Un début de compétition sous le signe de la flamboyance…

 

Concentré, dirigeant à la perfection sa brigade de commis qui l’aidèrent à suivre ce parcours de titan lors de cette matinée faste articulée autour de quatre challenges, Valentin MEROT aura fait montre dès le premier passage  d’une réelle dextérité face au jury franco-ukrainien de l’épreuve du flambage de dessert. Il travailla une recette de sa composition à base de figues.

A trente ans, le régional de l’étape était naturellement soutenu avec fierté par toute la maison Bernard LOISEAU qui a vu en cette sélection mondiale de son jeune prodige, « un témoignage du haut niveau de qualification, de passion et d’exigence de ses collaborateurs… ».

Ce n’était que le début matinal de ce chemin complexe et technique, qui le mènera peut-être à la consécration ?

 

 

 

 


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