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Des bistrots de la place dans nos villages, on aimerait en rencontrer plus souvent. Ils sont une sorte de garants d'un lieu de rencontre, mais aussi d'un lien social, de ces endroits où l'on discute de tout et de rien. Mais, force est de reconnaître qu'il en demeure hélas de moins en moins dans l'Yonne, tout comme ailleurs. A Champs-sur-Yonne, jolie bourgade de 1 600 habitants, la RN6 étant déviée, on ne pense pas - à tort - à aller s'y promener. Notamment au bord de la rivière. Antan dans ce village, « L'Auberge des Rosiers » fut une belle ambassade bourguignonne, tenante d'une cuisine simple et bonne…

 

CHAMPS-SUR-YONNE : Ce bistrot villageois était tenu, voici une douzaine d'années, par « Gilou », un truculent bistrotier qui commença boulanger, comme nombre de bistrotiers jadis d'ailleurs, troquant le travail de nuit pour des horaires, plus diurnes. Il faisait bon s'y accouder quelques instants au comptoir en formica, avec l'ami vigneron Philippe DEFRANCE de Saint-Bris-le-Vineux !

Aujourd'hui, la dynamique patronne du lieu n’est autre que Cécile, que l'on connut par le passé à Auxerre. La vie à la campagne semble lui convenir parfaitement, tout comme la gestion de ce commerce villageois, épaulée par une jeune et sympathique équipe. On y propose une cuisine simple, faite maison et servie au déjeuner à 15,5 euros pour deux plats et 18,5 euros avec entrée, plat et dessert. Il y a aussi une carte. Il est toutefois prudent de réserver, car le succès est au rendez-vous.

 

 

Un mets symbolique de notre région : le jambon à la Chablisienne

 
Le vin, côte d'Auxerre blanc, proposé au comptoir, manque peut-être un brin de corps. Mais, il est accompagné de quelques croûtons et de rillettes : une bonne idée,  trop rarement mise en œuvre dans nos bistrots, à contrario des bistrots espagnols, portugais ou encore italiens.

Attablés, le repas commence plaisamment avec un aligoté du réputé domaine Giraudon de Chitry. La terrine de poisson est bonne. Elle est servie avec une salade bien assaisonnée. En plat, le jambon à la chablisienne offre une sauce très onctueuse. L'accompagnement (carottes et riz) convient parfaitement à ce mets, si symbolique de notre région. Le plat au menu est un jarret, agrémenté de frites qui hélas ne sont pas maison. En dessert, la tarte à l'Alsacienne est bonne : mention spéciale pour le café qui s’accompagne d'une rarissime mignardise maison.

 

 

 

 

Des bistrots à l’ancienne à préserver !

 

En salle, on s'active avec le sourire. Les ouvriers ne tardent pas à retrouver leur fourgon, à destination d'un chantier quelconque. L'étape dans ce bistrot villageois, toujours d'une propreté impeccable, est des plus plaisantes. Nous reviendrons ! Des bistrots de cet acabit sont à préserver impérativement avant qu'il ne soit trop tard. Une bonne solution, c'est d'y aller ! CQFD.

 

 

En savoir plus

Les - : les frites sont surgelées, dommage !

Les + : la propreté des locaux est à signaler. Le rapport qualité-prix est bon tandis que le service est aimable.

 

 

Contact

 

Le Bistrot de la Place

02, Place Saint-Louis

89290 CHAMPS-SUR-YONNE

Tel : 03.86.33.42.59.

Ouverture du lundi au samedi au déjeuner, en soirée les jeudis et vendredis.

Première formule : à 15,5 euros.

Stationnement facile, et la gare à proximité.

 


Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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Force est de reconnaître qu'il demeure peu de maisons culinaires historiques dans notre belle Bourgogne. Parfois, tel « L'Hôtel de Paris » à Sens, elles finissent tout simplement rasées. « Chez Camille » à Arnay-le-Duc (Côte d'Or) est de celles-ci. Elle traversa les époques, les crises, les guerres,  résista à l'exode des automobilistes vers la jeune autoroute A6 des années 1960. Accrochez vos ceintures qui n'existaient point à l'époque ! Marche arrière toute avec notre Peugeot 201, star naissante des années 30. Mais quelques années avant, ce fut le chemin de fer à vapeur qui nous amena ici, puisque la ligne de Beaune à Arnay-le-Duc fut ouverte à la fin du XIXe siècle.

 

ARNAY-LE-DUC : Quelques années plus tard, un épicier ambitieux, prénommé Camille ouvrit en ses lieux une cave-épicerie, avec sa jolie épouse.  Tous deux ne songeaient sûrement pas que leurs photos respectives trôneraient dans le hall d'entrée de la maison quelques 125 années plus tard !

C'est au tout début des années 30, que l'on retrouve l'établissement dans la Bible de l'époque : le Michelin. « Chez Camille » s'est transformé en hôtel-restaurant. A la fin de la terrible grande guerre, naissent les années folles, et l'essor du tourisme automobile. Traversée par la RN6, Arnay-le-Duc compte  alors nombre d'établissements fermés désormais. Seuls demeurent les calicots : « Chez Henri », cuisine soignée,  chambre à 140 francs.
Michelin nous indique alors que « Chez Camille » est un établissement sans confort moderne, mais où l'on peut déjeuner ou dîner, et éventuellement coucher. Il y est indiqué treize chambres, et présence d'eau courante froide !



Déjà la course aux étoiles…



Après la Seconde Guerre mondiale, la vie reprend tant bien que mal en France. Le  Michelin reparaît sommairement en 1945 et distribue à nouveau ses étoiles convoitées, au fur et à mesure de l'amenuisement des restrictions. En 1951, le chef LAROMANIE est étoilé pour sa cuisine « Chez Camille ». L'on s'y régale alors de jambon à la crème,  de truite à la chambrette, et autres quiches morvandelles, le tout arrosé d'aligoté et de beaujolais. La maison, quant à elle, s'est un peu modernisée : chauffage central, garage payant, mais l'eau courante y est toujours désespérément froide. Son étoile culinaire accompagnera le chef durant une vingtaine d'années.  L'un de ses apprentis est un bon « p'tit gars », il s'appelle Armand POINSOT (retenez son nom !).
Au début des années 80, le jeune Armand et son épouse Monique rachetèrent l'établissement. Ils le modernisent quelque peu, avec l'apparition de salles de bains avec WC privés. Le Michelin mentionne un « bel aménagement intérieur ».

La maison poursuit sa marche en avant. En 1988, à l'instar de son maître d'apprentissage, le chef Armand est étoilé pour sa crème de grenouille aux perles du Japon, la fondue d'escargot aux choux de Bruxelles, ainsi que la fricassée de chapon fermier archiduc arrosés de Pinot et Montagny. Les souriantes serveuses y officient en robe ! La maison demeura étoilée quelques années durant et ce couple entreprenant se partagea entre Arnay-le-Duc et Suresnes où ils avaient une table réputée «  Les Jardins de Camille » avec une vue imprenable sur la capitale. L'année d'après, celle du bicentenaire de la Révolution,  leur fille Joy-Astrid naît.

 

 

 

De l’eau chaude qui s’écoule à profusion !

 

 

Nous voici en 2024. Quelques trente-cinq années plus tard, en train de béquiller nos motos, par un soir d'hiver, devant l'établissement. Ne faut-il pas en avoir un petit coup dans le bol pour faire de la moto en février ?! Je reconnais ne pas avoir,  en la matière,  de réponse précise !  L'étape nocturne est, en tous cas la bienvenue ! Sitôt entrés,  nous sommes comme saisis, par ces photos dans le hall d'entrée, de toutes ces personnes, parfois disparues, qui ont marqué l'histoire séculaire de cette maison. Bienvenue « Chez Camille » !

L'établissement est désormais dirigé par la cheffe Joy-Astrid et son mari, le chef Alexis, ancien restaurateur parisien et roi reconnu du pâté-croûte ! Les chambres y sont au goût du jour, et pur délice, l'eau chaude y coule à profusion ! Nous ne sommes plus sous la Troisième République en 1934 !
Le salon est accueillant pour l'apéritif, avant de s'attabler dans cette jolie salle surmontée d'une lumineuse verrière. Comme un marqueur de la maison, la version beaunoise du pâté-croûte accompagne notre verre.

En salle, le service est supervisé par M. PINO, jeune pro souriant et un rien caustique. L'œil à tout, il est à son affaire, lorsque l'on ouvre la carte des vins, qui contient, de petites pépites à prix raisonnables ! Les tables sont nappées,  et l'élégance cuivrée accompagne notre repas. Le premier menu servi à 38 euros est un modèle du genre. Il existe aussi une formule-déjeuner proposée à 25 euros de mémoire. En entrée,  je choisis la morue de Miguel (prénom d'un apprenti de la maison aux origines lusitaniennes). Ce marbré est aussi surprenant que délicieux, relevé par ce condiment gambas, citron, gingembre. Rien ne domine et tout y est équilibré. C'est fort bon.

 

 

Un dessert inspiré par le maître ESCOFFIER !

 

Ensuite, c'est un plat terre/mer qui nous attend : pigeon rôti et laqué, son voile et ses Saint-Jacques, jus rôti au romarin et whisky flambé. Le volatile est de belle provenance, celle de Patrick SANCHEZ, ancien cuisinier réputé des « Terrasses de Corton », sises à Ladoix-Serrigny, proche de Beaune (un Bib gourmand à l'époque). Reconversion réussie pour ce chef ! Le plat est délicieux, même si, pareil mets pourrait se suffire à lui  tout seul, du fait de l'excellence de sa chair. Les sauces excellentes sont servies avec des cassolettes en cuivre : la classe.

Quant au pain, il est à l'unisson de ce délicieux repas, servi avec attention et gentillesse. Et pour terminer, c'est la fameuse crêpe Suzette, flambée au Grand-Marnier (à table et non en cuisine : c'est beaucoup plus joli !), beurre Suzette aux agrumes et son sorbet : un pur délice, injustement disparu de nombre de tables, et que l'on applaudit des deux mains !

Un dessert créé par le grand chef Auguste ESCOFFIER à la fin du XIXe siècle,  excusez du peu !

 

 

 

Une maison toujours boudée, à tort, par le Michelin…

 

 

La cheffe Joy arrive alors, histoire de tailler une petite bavette. Du dynamisme à revendre, elle nous explique avec drôlerie, avoir transformé deux à trois jours durant, leur établissement en routier improvisé,  durant le blocage agricole de février dernier ! Cette championne  2022 des œufs en meurette les propose à sa table chaque jeudi : qu'on se le dise !

Elle non plus n'arrive pas à comprendre pourquoi leur maison n'est plus référencée au Michelin. C'est aussi injuste qu'incompréhensible. Antan, le Michelin était légitimement fier de mentionner « ses » maisons de longue date. Il semble que cela ne soit plus le cas. Notre incompréhension va grandissante face à de tels changements de valeurs, de celui qui fut très longtemps, la Bible de la cuisine française,  enviée et respectée.

Après une nuit très bonne, rien de tel qu'un bon petit déjeuner. C'est le cas ici. Il est 9h15, nos selles sont un brin humides, alors retrouvons vite  « notre » RN6. Merci « Camille », c'est promis,  nous reviendrons ! 

 

 

 

En savoir plus

 

Les - : c'est joli l'éclairage de la table avec des bougies, mais c'est une autre paire de manches pour lire pleinement la carte des vins ! Heureusement que M. PINO est là !

Les + : la gentillesse et l’élégance des lieux.

 

Contact :

 

« Chez Camille »

1, Place Edouard Herriot

21230 ARNAY-LE-DUC

Tel : 03.80.90.01.86.

Fermé dimanche soir et lundi. Stationnement devant l'établissement. 

Gauthier PAJONA

 


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On le sait depuis longtemps : la cible préférée du député de l’Yonne à l’estampille du Rassemblement national n’est autre que la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY. D’ailleurs, l’élue socialiste, le lui rend bien ! C’est sûr : leurs idées sont diamétralement en opposition et il est évident que ces deux personnalités du paysage politique régional ne partiront pas en vacances ensemble l’été prochain. Ni à aucune autre période de l’année, d’ailleurs ! Même à l’issue du salon de l’Agriculture, leur désaccord persiste. Pire, Julien ODOUL a enfoncé un nouveau coin, en critiquant l’absence de cette dernière à Paris pendant la fameuse manifestation agricole…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il parle d’abandon. De manquement. De peur, aussi. A la limite de la couardise si on prenait les mots publiés sur un communiqué de presse au premier degré. Bref, le numéro cinq du RN est loin d’être tendre avec la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, la franc-comtoise Marie-Guite DUFAY. Une nouvelle poussée de fièvre (elle n’a rien d’aphteuse celle-là vu le contexte !) provoquée par l’absence de l’élue régionale, lors du récent Salon de l’Agriculture à Paris.

Il n’en fallait pas davantage pour que le parlementaire de l’Yonne et président du groupe RN à la Région ne s’infiltre dans la brèche, profitant de la circonstance pour remettre la pression sur l’exécutif régional.

Ses propos sont sarcastiques : « Celle qui répète sans cesse être à l’écoute des agriculteurs n’a pas jugé utile de faire le déplacement à Paris pour les rencontrer… ». Bing, une petite allusion qui fait mal.

Dans ses explicatifs, Julien ODOUL pousse le bouchon plus en avant encore. « Marie-Guite DUFAY aura sans doute eu peur de revenir du salon couverte de goudron et de plumes, souligne le député un brin ironique, elle est responsable du scandaleux fiasco des fonds FEADER en Bourgogne Franche-Comté et d’un matraquage fiscal incessant… ».

 

 

Le temps du goudron et des plumes ?

 

Du goudron et des plumes ? Rien que cela, on en serait presque revenu au temps du Far-West ! Mais, le porte-parole du Rassemblement national n’en est plus à une formule près ! Un peu plus loin, dans son communiqué de presse, le Sénonais vitupère contre la présidente de l’exécutif régional qui, outre s’être retranchée derrière ses vice-présidents, qui eux étaient envoyés en première ligne (de front !), aura servi « une pièce de théâtre savamment orchestrée qui se termine en apothéose ».

En guise d’arguments, Julien ODOUL d’évoquer le communiqué de presse officiel de la Région qui présente le salon « comme un grand moment de réconciliation ».

« C’est simple, ajoute-t-il, la majorité socialiste se retranche derrière de vagues coups de communication pour tenter de lisser un bilan cataclysmique et masquer la lâcheté de leur propre présidente… ».

S’attaquant aux technocrates européens – ceux de Bruxelles qui font voter à tour de bras des traités de libre-échange contre-productif à l’économie hexagonale -, le pensionnaire de l’Assemblée nationale qualifiera de néfaste les politiques nationales qui noient la filière agricole sous une avalanche de normes. « Nous, les conseillers régionaux du Rassemblement National, nous nous mobilisons chaque jour pour garantir des prix justes, la priorité de la commande publique et la souveraineté agricole française… ».

Réaffirmant son soutien à la profession, Julien ODOUL rappellera en guise de conclusion que « les agriculteurs vivent une situation difficile, ayant besoin d’écoute tant à l’échelle nationale que régionale ». Le temps de la câlinothérapie, en somme…

 

Thierry BRET

 

 


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Intense. Eclectique. Riche. Afin de satisfaire tous les goûts, que l’on soit petit ou grand, parmi les visiteurs ! La troisième édition de la « Family’Week », concept évènementiel familial concocté par l’Agence de développement touristique Yonne Tourisme, s’annonce plus que prometteuse à la Grange de Beauvais les 23 et 24 mars. Entre immersion musicale, spectacle circassien, référence historique à nos ancêtres Gaulois et aux Jeux Olympiques modernes, le cocktail se veut déjà savoureux sur le papier. Il le sera d’autant plus au gré de la trentaine d’ateliers opérationnels durant ces 48 heures de fête…

 

VENOUSE : Ma foi, c’est vrai ! Comme il est stipulé par le pied adresse de la page Facebook du fameux évènement annuel, celui qui nous revient au printemps depuis trois saisons déjà. La « Family’Week » : c’est vraiment la récrée préférée des jeunes et des moins jeunes dans l’Yonne ! Une récrée qui s’apparente à une salvatrice bouffée d’oxygène dans le paysage ambiant. Histoire de renouer avec les fêtes champêtres d’autrefois. Avec la présence d’artistes, d’artisans, de saltimbanques et d’animaux…, de bons produits à goûter, aussi !

Cela fleure bon la campagne. Mais, aussi, cette atmosphère envoûtante et empathique qui se dégage des murs de la Grange de Beauvais. Un site cistercien revisité à force de labeur par des bénévoles valeureux pour en faire le lieu touristique et culturel que l’on sait !

Alors, quoi de plus naturel en somme que l’Agence de développement touristique de notre territoire et ses partenaires institutionnels/économiques choisissent ce haut lieu patrimonial pour y accueillir désormais un tel évènement. Une fête de famille, où parents et leur progéniture, y vivraient des instants de joie intense au contact d’animaux, de magiciens, de clowns, de poètes, de musiciens, de comédiens. C’est cela l’esprit de la « Family’Week ». Un grand week-end qui est créé de toute pièce pour que les têtes blondes (et brunes d’ailleurs !) s’immergent dans  un univers où tout semble féérie et découverte. C’est sûr ! Les parents signent de suite pour une telle initiative. Elle a donc le mérite de se déployer depuis trois saisons dans l’Yonne.

 

 

La Gaule, le cirque et les Jeux olympiques comme fil conducteur…

 

La future édition – elle sera accueillie les 23 et 24 mars prochains – mérite le déplacement. Si l’invité d’honneur de cette double session journalière sera le MuséoParc Alésia – le site touristique de Côte d’Or localisé à Alise-Sainte-Reine a rouvert ses portes depuis peu tout en célébrant son dixième anniversaire -, le fil d’Ariane de ce programme 2024 sera bien naturellement les Jeux Olympiques de Paris. Une corrélation logique entre les deux références culturelles puisque le MuséoParc fera la part belle à l’évènement sportif planétaire cette année en accueillant moult expositions et conférences autour des Jeux antiques. Les valeurs de l’olympisme et du « paralympisme » seront mises à l’honneur autour de l’excellence, l’amitié et le respect. Des mots qui résonnent fort dans la charte olympique.

Ce ne sera pas tout. Le cirque sera à l’honneur. N’était-il pas encensé du temps des Romains dans ces fameux combats épiques entre gladiateurs et animaux, qui firent la renommée et la gloire des plus grands champions à la Spartacus ? Là, ce sera plus subtil dans sa déclinaison. Avec l’excellente troupe de jongleurs, de clowns, d’acrobates, d’équilibristes du Cirque STAR, un pur produit circassien made in Yonne que l’on ne présente plus, et d’une rare qualité visuelle et onirique. Une représentation « Le Duo tant bas » qui ne manquera ni d’humour ni de dynamique visuelle sera proposée le samedi 23 mars à 18h30.

 

 

 

Une immersion dans le monde de l’opéra…

 

Autre nouveauté : la présence immersive dans le monde de l’opéra. « Les amours de Sganarelle », autour du célèbre personnage imaginé par MOLIERE, est un spectacle musical destiné aux plus jeunes (à partir de huit ans) au décor soigné sous le sceau de la comédie. Trois représentations d’une cinquantaine de minutes ponctueront le rythme de la journée de samedi.

Ce sera sans compter la trentaine de stands déclinant de multiples activités artistiques, culturelles, sportives, ludiques qui seront à vivre en famille dans  un esprit bon enfant. Sans omettre les nombreuses surprises qui viendront compléter ce déroulé des plus alléchants ! Quant à l’animation, elle sera assurée par le comédien Thomas VOLATIER.

 

 

En savoir plus :

La Family’Week du 23 et 24 mars 2024

A la Grange de Beauvais à Venouse.

Samedi 23 mars de 10h à 20h avec spectacle à 18h30 ;

Dimanche 24 mars de 10h à 18h.

Trentaine d’ateliers démonstratifs, proposés par les partenaires du réseau Famil’Yonne.

Restauration sur place avec produits du terroir et food-trucks

Tarif : gratuit pour les enfants de moins de 12 ans, 5 euros par adulte.

Programme complet sur le site www.tourisme-yonne.com

Page Facebook La Family’Week.

 

Thierry BRET

 


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France C. et Jean-Paul ALLOU nous ont concoctés l’un de ses petits poèmes (ou chansonnette) dont ils ont le secret alors que le Salon international de l’Agriculture de Paris touche à sa…faim ! Peut-être le tube de la période printanière quand les représentants de la FNSEA, des JA, de la Confédération Paysanne ou de la Coordination rurale défileront dans les rues des villes de France et de Navarre afin de réclamer la concrétisation des promesses faites par le gouvernement !

 

TRIBUNE : Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

Ils nous ont mis aux oubliettes,

On leur donne le vin, le pain,

Mais il nous reste que les miettes

Ils nous prennent pour des clampins,

On nous spolie, on nous écrase,

On ne veut plus mourir de faim,

Fini le mensonge et les phrases.

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

Guerres, profiteur, « Bruxelphage »

Nous on bosse dur et sans bénefs,

Enarchie à tous les étages,

Poulet d’Ukraine, OQTF !

Assez, on crève toujours la dalle,

On sait bien faire notre métier,

Parole, parole, Monsieur Attal…

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

Bleu, blanc, rouge, c’est notre drapeau,

Pavillon, étendard pour oripeaux,

Les couleurs de la vie de l’amour,

Pays où on a vu le jour,

Arrêtez vos aides, enfumage

Pas de quoi payer les fermages,

Moisebat, tracteur et presse à balles,

On a plus le temps d’aller au bal,

On sème, on plante et on récolte

On en a plein les bottes,

Mais la paperasse ronge le temps !

Tout ça pour si peu d’argent…

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

  

Jachères, ça nous coûte trop cher

Et la terre prend un goût amer

On est des péquenauds, des bouseux

De la République sommes les gueux,

On a l’humour à fleur de peau,

Prêt à trinquer et boire un pot,

Nos canons sont des bons coups à boire

Et trinquer aux hommes et à l’espoir…

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

Ceux qui gardent l’amour de la terre

Sont purs et vrais paysans,

Ceux qui admirent les bords de mer

La campagne, et craignent le mauvais temps,

Ils ne sont que touristes futiles,

Prompts à pousser des cris d’orfraie

Si le coq chante trop fort, asile,

Ceux que voir du lisier effraient…

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

Ah ! « Labourage et pâturage »

Célèbres gamelles de la France,

Méfiez-vous lorsque gronde l’orage,

Sirènes Bruxelles et appâts rances…

Marcher ensemble d’un pas commun,

Trahisons et Marché Commun,

Aumône des nantis, des saigneurs,

Ils ne veulent que notre malheur !

A PAQ ou à la trinité

On garde notre dignité…

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

Debout ! Compagnons paysans, 

Aux barricades, à la révolte,

Nous laissons de la sueur et du sang

Mais nous assurerons la récolte !

Haros sur les voyous, les menteurs,

Oui un Bruxelxit maintenant,

Nous devons être les meneurs

D’une France souveraine et fière

D’une Europe unie et fraternelle,

Europe, posons la première pierre

De l’exception agriculturelle !

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates, choux de Bruxelles,

Ah ça ira, ça ira, ça ira,

Les technocrates on les aura !

France C. et Jean-Paul ALLOU

 


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