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L’industrie 4.0, à base de haute technologie, se présente comme l’un des atouts majeurs de la nouvelle ère industrielle qui se présente à nous. Un irréductible passionné de robotique collaborative, et de surcroît jeune entrepreneur de son état, Ned CEKIC relève le défi dans le nord de l’Yonne depuis le 01er janvier. Proposant à l’aide de sa structure l’usage de la cobotique et l’application de ses vertus aux industriels qui ont besoin d’améliorer leur processus de fabrication…

COURTOIS-SUR-YONNE : A 46 ans, Ned CEKIC présente un profil professionnel hautement qualifié. Ingénieur en robotique et en informatique industrielle, le néo-entrepreneur maîtrise son sujet sur le bout des ongles.

Logique, il a bénéficié en amont d’une longue expertise de plus de deux décennies parmi des poids lourds incontestables de l’entrepreneuriat à la française : les groupes ALSTOM et SAINT-GOBAIN !

Aujourd’hui, seul, il endosse la vêture d’un dirigeant de société, une SAS, au format et à la cible parfaitement bien étudiés. Pas étonnant que l’association INITIACTIVE 89 ait flashé sur son projet, minutieusement élaboré, et approuvé par l’intermédiaire de l’un de ses conseillers, Julien LACOMBE.

Associer l’emploi qui n’a rien de futuriste de la robotique à la vision créative des entrepreneurs industriels afin que ces derniers améliorent leur mode opératoire de fabrication ne pouvait passer inaperçu dans le sérail icaunais. Le dossier se distinguait nécessairement des autres, posés sur le coin d’un bureau !

 

 

 

 

INITIACTIVE 89 s’est engouffré tout de go dans la brèche. Mais, la structure associative départementale ayant pour vocation d’accompagner les porteurs de projets via l’obtention de prêts d’honneur n’est pas la seule.

Portée sur les fonts baptismaux au premier janvier dernier, NEED ROBOTICS ambitionne de devenir très vite, et sur un plan hexagonal, une entreprise novatrice et performante. Contributrice de solutions mûrement réfléchies auprès d’industriels qui souhaiteraient éviter que leurs opérateurs ne multiplient les tâches répétitives et pénibles, ou ne portent des charges trop lourdes, synonymes de TMS (les fameux troubles musculaires du squelette).

 

 

De multiples débouchés pour asseoir sa suprématie technologique…

 

Le CETIM (Centre technique des industries mécaniques) s’intéresse de très près à cet entrepreneur à l’esprit vif qui espère une ramification rapide de son activité dans un rayonnement de deux cents kilomètres autour de sa base arrière et qui le restera : le Sénonais.

Paraphé le 08 janvier dernier, un premier contrat d’ingénierie lie la jeune start-up de l’Yonne au puissant groupe SAINT-GOBAIN WEBER. Ned CEKIC ne pouvait pas mieux démarrer sa nouvelle carrière d’entrepreneur avec autant de sérénité.

Mais, le garçon entrevoit d’autres possibilités collaboratives du même aloi avec le concept de cobotique dont il assure la promotion. Les secteurs de la santé, de la médecine, de la viticulture, de l’industrie mécanique représentent autant de filières potentielles où les débouchés offrent une sérieuse opportunité de s’affirmer.

Sachant que le coût de cellules robotisées est amortissable assez rapidement pour les PME qui opteraient dans l’achat de ces solutions pratiques (entre 80 et 100 000 euros).

 

 

Conceptualisé à partir d’une imprimante 3D, avec l’aide de partenaires (UR, YASK), l’appareil robotisé intègre après quelques mois de fabrication le site industriel de l’acquéreur afin de pallier aux manques, le plus souvent de personnel.

Une demi-douzaine d’emplois pourrait être créée d’ici cinq ans par le président de la SAS. Les profils sont déjà connus : commerciaux, automaticiens, projeteurs dessinateurs techniques, service après-vente…

 

  

Levées de fonds et partenariat utile avec les étudiants…

 

Stratégiquement, NEED ROBOTICS s’appuiera dans le cadre de son développement sur la présence d’un « tech-center » (un local de deux cents mètres carrés sera nécessaire pour accueillir les techniciens) qu’il suffira ensuite de positionner au bon endroit. Sans doute en Côte d’Or, voire en Saône-et-Loire afin de répondre aux exigences sectorielles imputables à la région Bourgogne Franche-Comté.

Quatre agences compléteraient ce maillage tactique en parallèle. Elles seraient implantées dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Aube et l’Yonne, qui conserverait le siège social de la société.

Précisons qu’une première levée de fonds aura permis à l’entrepreneur de bénéficier de précieux subsides (40 000 euros) de la part du réseau Entreprendre Bourgogne et d’INITIACTIVE 89. La BPI et la Région ont également été sollicités.

Désireux aussi de transmettre son savoir aux plus jeunes des générations, Ned CEKIC s’est rapproché de l’IUT licence professionnelle robotique et industrie de Reims avec lequel il a développé une convention de partenariat.

Côté performance, il espère atteindre les deux millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2025. Il ne serait pas surprenant qu’à cette date il dépasse aisément les objectifs fixés…

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89…

 

 

 


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Pas étonnant que l’on en voit partout, à chaque carrefour, à chaque coin de rue ou sur la moindre portion d’autoroute ! Le produit phare du constructeur au lion a réalisé avec son modèle 3008 les meilleurs scores de production de l’année 2019 ! Soit près de 260 000 véhicules qui sont sortis tout droit des unités de production de Sochaux…

PARIS : Indéniable succès pour le constructeur national. Le SUV le plus fabriqué en France l’an passé aura été le fameux 3008 à la ligne si caractéristique. Le produit devance la Toyota Yaris dans l’Hexagone.

A raison de mille véhicules jour, le site de Sochaux a élaboré depuis son origine plus de 23 millions d’automobiles.

 

 

Depuis son lancement survenu en 2016, la Peugeot 3008 s’assimile à un véritable succès de la marque, permettant au constructeur français d’occuper une place privilégiée parmi les leaders de ce segment en Europe.

Rappelons qu’en 2017, le véhicule obtenait le titre de voiture de l’année à l’issu d’un vote exprimé par 58 journalistes européens de vingt-deux nationalités. Le modèle a glané au total 63 distinctions dans le monde. Pourvu que cela dure !

 


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Le développement durable dans la diversité. La phrase est loin d’être anodine à sa première lecture puisqu’elle est le credo du CIRADE, le Cercle Ivoirien de réflexion et d’action pour le développement. Accompagné d’une petite délégation de cadres, son président, Honorable Mamadou DIOMANDE, député de son état dans le pays du cacao, a fait une halte instructive ce mercredi 26 février dans la capitale de l’Yonne. La cause de ce déplacement n’était autre que sa rencontre officielle avec Jacques HOJLO, l’homme providentiel du logement social à Auxerre (OAH) mais aussi président international de l’association Habitat et Francophonie…

AUXERRE : Même si ce rendez-vous à consonance internationale s’est tenu dans l’une des salles de travail de l’Office Auxerrois de l’Habitat, c’est bel et bien d’amitié et de solidarité entre les peuples à travers le prisme des échanges courtois qui nourrissent les relations interétatiques dont il a été question en cette fin de matinée du 26 février entre les ressortissants ivoiriens et leurs hôtes français.

Une prise de connaissance informelle et utile, loin des falbalas officiels mais qui n’en aura été que plus constructive au moment de se séparer.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que des délégations africaines, en provenance de Côte d’Ivoire, font étape dans la ville symbolisée par son emblématique club de football. D’ailleurs, le patronyme du plus célèbre d’entre eux ayant revêtu la fameuse parure sportive blanche et bleue de l’AJA, Bonaventure KALOU, devait circuler durant les préambules de cette session de travail, fort prometteuse quant à ses perspectives.

Ne pas évoquer le club sportif cher à Guy ROUX lors d’un échange intercontinental serait faire offense à la tradition !

Nonobstant, la discussion qui anima ensuite les échanges entre Jacques HOJLO,  celui-ci endossa pour la circonstance sa vêture de responsable mondial de l’association Habitat et Francophonie, et le député de Côte d’Ivoire, Honorable Mamadou DIOMANDE, en sa qualité de président du CIRADE, s’orienta autour d’items relatifs à la solidarité, l’entraide et l’éducation. Sans omettre, mais cela résultait d’une évidence légitime, celui du logement « abordable ».

Organisation non gouvernementale et apolitique qui intervient dans le pays des éléphants, CIRADE a fait le pari de ne pas transcender les divergences dans une contrée où les stigmates d’un conflit inter-ethnique sanglant ont laissé des traces profondes parmi la population. Mais, aujourd’hui, l’heure est au rassemblement. Grâce à ce type d’initiative, menée localement avec les aides et les soutiens de partenaires issus de la francophonie.

 

 

Un leitmotiv avoué : la réconciliation inter-ethnique

 

Homme politique prônant la carte de l’intégrité (il finance de ses propres deniers l’édification d’établissements scolaires dans l’une des régions ivoiriennes où il assure sa députation), Honorable Mamadou DIOMANDE travaille à l’ancrage territorial de sa jeune structure, portée sur les fonts baptismaux il y a un an à peine.

A brève échéance, CIRADE bénéficiera d’une présence physique afin d’en faciliter la coordination nationale dans l’une des trente-et-une provinces que compte le pays, bordé par l’Atlantique.

 

 

« Notre objectif dans notre mode opératoire est d’être présent dans tous les cantons du pays et de faire montre de proximité afin d’épauler toutes les personnes dans le besoin qui échappent encore au cadre organique de l’Etat par méconnaissance ou ignorance… ».

Priorité sera ainsi faite à l’éducation, la formation, l’entrepreneuriat mais aussi à la santé. Le plan de bataille contre la paupérisation et la précarité mené par le Cercle Ivoirien de réflexion d’action pour le développement démarre sous d’excellents auspices. Ceux de la félicité, visiblement.

 

Vers une probable convention de partenariat à parapher à brève échéance…

 

Attentif aux explications fournies par le dirigeant africain, Jacques HOJLO, aidé de son aide-camp en charge du secrétariat général de la structure, Prudence ADJANOHOUN, précisa tout de go qu’il se situait sur la même longueur d’ondes que son éminent collègue politique, tant au plan humaniste que social.

Il se lança ensuite dans un long soliloque lui permettant de détailler exemples à l’appui les axes de travail de l’association « Habitat et Francophonie », présente aujourd’hui dans une quinzaine de pays.

L’élu auxerrois en charge du logement et de la politique de la ville aborda également le poids de l’importante diaspora ivoirienne, très représentative dans l’Yonne à travers le président de « Lune Afrique », Dieusmonde TADET.

Ayant beaucoup travaillé dans le domaine de l’alphabétisation des publics féminins, celui-ci pourrait initier et stimuler des réseaux de compétences prépondérants au développement de ce projet solidaire qui se profile dorénavant entre les deux pays.

Disposant d’un vivier de plus de mille contacts répertoriés dans le monde francophone et reconnu par une multitude de gouvernements, Habitat et Francophonie se dit favorable à l’intégration parmi son cercle opérationnel du CIRADE de Côte d’Ivoire.

Une porte grande ouverte qui provoqua le satisfecit immédiat du député DIOMANDE. Avec sans doute, à la clé et à brève échéance, les perspectives d’une convention de partenariat bipartite qui pourrait être envisagée et signée sans doute à Auxerre. Une idée qui aura également séduit les deux autres élus de la Ville, présents à cette réunion, Jean-Claude MAHPOUYAS, et Yves BIRON.

 

 


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Le gâteau d’anniversaire n’offre que deux bougies à souffler. Ce qui traduit encore l’aspect juvénile de la structure qui, petit à petit, fait son nid dans le paysage de l’Yonne. Pourtant, après Auxerre, la marque des FESTINS rencontre aujourd’hui le succès dans le Sénonais. Régalant au passage celles et ceux qui effectuent journellement la liaison par chemin de fer entre Paris et la ville la plus septentrionale de notre département pour se rendre à leur travail. Via une application qui leur permet de réserver leur repas au camion-dépôt avant de l’emporter à bord du train.

SENS : C’est une manne de clientèle qui ne cesse d’augmenter chaque année. Près de 4 300 personnes effectuent au quotidien le trajet reliant la capitale de l’Hexagone à la ville du nord de l’Yonne. Des déplacements qui s’inscrivent dans un cadre purement professionnel.

Cette aubaine stratégique apparaît comme indéniable pour l’un des référents des arts culinaires, de la réception et du traiteur de notre contrée, FESTINS de BOURGOGNE. La société artisanale de CHEMILLY-sur-YONNE ne pouvait passer à côté de ce filon de consommateurs avides d’être interpellés par une offre de restauration rapide mais de belle facture quant à sa gamme de produits proposés et au niveau de la qualité.

Déjà testées durant une saison à Auxerre, il n’en fallait pas davantage pour décliner à son tour les prestations de service de TOQTOQUE sur le Sénonais. Si dans la capitale de l’Yonne, la cible potentielle visée concernait au tout début les particuliers désireux de dîner tranquillement à leur domicile sans ressortir de leurs pénates, à Sens, l’enseigne de ce prêt-à-consommer à l’estampille des FESTINS s’est immédiatement intéressée à celles et ceux qui empruntaient la voie ferroviaire pour se rendre sur leur lieu de travail.

Une application numérique a même été créée à leur intention sur smartphone afin de pouvoir réserver son repas et venir le récupérer au camion-dépôt, désormais positionné depuis janvier en zone des Vauguillettes dans les locaux du Village d'entreprises de la Chambre de Commerce et d'Industrie, entre 12 h et 14 h.

 

 

Viser les travailleurs nomades mais aussi la clientèle sédentaire…

 

Le concept de réservation commence à obtenir ses premiers résultats encourageants. Même si 80 % de la clientèle préfèrent encore prendre la commande en direct au point d’approvisionnement.

Il s’avère également, à la lecture des analyses initiales qui ont été réalisées par le directeur de développement de la marque, Matthieu CHAPUIS, que 50 % des clients assidus de l’offre TOQTOQUE ne sont pas nécessairement des voyageurs ferroviaires attitrés !

Bref, cela signifie que le bouche-à-oreille fonctionne plutôt bien dans le landerneau alors qu’aucune stratégie de communication n’avait été réellement déployée jusque-là. Et que la potentialité consumériste née de ce projet original et de proximité est beaucoup plus élargie qu’il n’y paraît !

Nonobstant, FESTINS a décidé de passer outre en maximisant la distribution de flyers dans les boîtes aux lettres du centre-ville. Puisque que le concept séduit celles et ceux qui ne bougent pas nécessairement de Sens la journée, autant profiter de ce cœur de cible qui désire déjeuner différemment.

 

 

Un produit d’appel dans le vent pour une clientèle rajeunie…

 

Quant aux retours de satisfaction exprimés par les habitués, ils comblent d’aise la direction des FESTINS. Les indices gradués sur une échelle de zéro à cinq tutoient les sommets, accréditant la judicieuse initiative qui est développée par le groupe de l’Yonne depuis vingt-quatre mois déjà.

L’offre de produits se décline autour de plusieurs formules comprenant entrées, plats de résistance et desserts. Parmi les spécialités alléchantes proposées, les gourmands peuvent se sustenter d’une fricassée de volaille agrémentée de morilles, de saumon à l’oseille ou à titre d’exemple à faire saliver le plus gourmet d’entre nous, un succulent rizotto au homard.

Les perspectives affichent leur insolence grâce à l’obtention de résultats à deux chiffres. Preuve que la qualité de la table, même dans une optique de déjeuner rapide sur son lieu de travail ou à son domicile ne rebute pas les consommateurs, bien au contraire, sans même trop bourse déliée.  

A l’aide de cette jeune enseigne, FESTINS de Bourgogne, groupe qui exerce ses activités sur une large zone de chalandise depuis plus de deux décennies, a souhaité en développant cette marque à la manière d’une start-up digitalisée créer un produit d’appel sympathique.

Il vise à s’attirer les faveurs d’un nouveau public, désireux de joindre l’utile à l’agréable en y ajoutant parmi les ingrédients incontournables à leur confort, la qualité et la traçabilité des mets dans leur mode nourricier. Réussi…

 

 

 


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Constructive et utile. C’est le sentiment qui prévaut à l’issue de la rencontre organisée le 14 février entre les professionnels de l’agriculture et les élus du département autour d’une thématique chère à la filière, l’eau. Pédagogique, la session à laquelle participait le directeur départemental des Territoires Didier ROUSSEL servira de support à la présentation des résultats d’étape inhérents aux essais agronomiques actuellement en cours de programme…

MALIGNY : Ces échanges ont été qualifiés de riche et de positif par le porte-parole de l’UPVY (Union des Productions végétales de l'Yonne), Laurent PONCET, au terme de la session. La séance de travail réunissant élus et agriculteurs avait surtout pour objectif de permettre aux intervenants de procéder à un état des lieux précis de la qualité de l’eau, l’un des précieux auxiliaires à la pratique d’une agriculture saine et respectueuse de l’environnement.

Au vu des débats et de leur intérêt passionnel, UPVY (structure qui fédère des acteurs clés de la filière agricole comme 110 Bourgogne, YNOVAE, le groupe SOUFFLET ou encore la société RUZE) n’exclut pas de reproduire le rendez-vous à période régulière.

Engagés de longue date dans la déclinaison quotidienne de l’agro-écologie, les professionnels de l’Yonne se mobilisent afin de préserver la qualité de leur matière première nourricière. Car, le territoire, il est vrai, présente des signes de faiblesse du fait de sols et sous-sols fragilisés par la présence de zones de calcaire, de sable et d’argile.

Toutefois la qualité de l’eau s’avère conforme aux normes après analyses. Un constat qui se confirme depuis près de vingt ans, période à laquelle les services de l’Etat, assurés par l’Agence Régionale de Santé (ARS), ont renforcé les contrôles sanitaires.

 

 

L’eau de l’Yonne conserve sa potabilité…

 

Une cinquantaine de paramètres physico-chimiques étaient recherchés dans chaque prélèvement d’eau en 2000. Il y en a 596 aujourd’hui ! Même dans le cas où des métabolites, c’est-à-dire des produits liés à la dégradation des molécules-mères, et des herbicides sont repérés, les taux quantifiés restent inférieurs de 2 400 à 3 000 fois à la valeur sanitaire maximale, seuil d’impact potentiel sur la santé.

Les récents prélèvements de l’eau n’ont pas démontré de situations complexes : peu reste supérieure à la valeur guide proposée par l’ANSES, soit 0,9 microgramme/litre.

Ce qui signifie que l’eau reste potable et de qualité dans notre département. Cependant, et malgré l’optimisme de ces résultats, les agriculteurs recherchent toujours la progression.

De nombreux essais agronomiques étayent cette stratégie. Certains sont à l’heure actuelle effectués sur la commune de Maligny.

Parmi les leviers de progrès testés : le désherbage mécanique proposé avec l’aide d’une bineuse, la présence de solutions de bio-contrôles et de plantes faisant office de leurres naturels pour piéger les insectes ravageurs afin de les détourner du colza ou encore des semis réalisés à des dates différentes sur les bandes de culture pour mieux déterminer la période la plus adaptée à ces essais.

 

 

Soutenir la filière colza qui reste encore une culture névralgique…

 

Cette phase de tests offre une utilité particulière pour le colza qui demeure encore essentielle dans le paysage icaunais. Et national, du fait de ses qualités protéiniques nourricières. Or, on le sait, le grenier de l’Yonne s’amenuise avec une baisse de 25 % des surfaces cultivables.

La première ressource florale destinée aux abeilles a ainsi perdu 62 000 hectares pour ne conserver que 23 000 hectares en 2019 !  

Fort de ces observations, les premiers enseignements qui ont été dévoilés lors de cette séance de travail permettent de préciser la meilleure date à laquelle les agriculteurs peuvent implanter le colza. Soit le 09 août.

Des plantations qui ne nécessitent pas de plantes compagnes avec une fertilisation localisée sur le rang et un désherbage complet. En effet, c’est ce qui correspond à un meilleur compromis entre le nombre pieds implantés, le développement de la biomasse du colza et la gestion du développement des mauvaises herbes.

Ce n’est qu’en fin de campagne, au moment de la récolte, qu’une analyse économique globale et finale analysera les stratégies les plus pertinentes et les plus respectueuses de l’environnement à développer.

Décidément, on n’arrête pas le progrès dans la sphère agricole !

 

 


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