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Diffusé en mai 2019 lors de la cérémonie des « Molières », le téléfilm du réalisateur Jacques MALATERRE consacré à l’illustre Jean-Baptiste POQUELIN, « Brûlez Molière », avait subjugué l’assistance. Par le jeu épuré, authentique et construit de ses acteurs. Mais aussi par cette théâtralité sans artifices qui nimbait ce scénario consacré à l’auteur du « Tartuffe ». Son « making of », le documentaire qui dévoile les coulisses du tournage, se découvre depuis peu sur la toile. Il est l’œuvre d’un jeune bourguignon de 20 ans qui fait ses gammes d’apprenti cinéaste aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune…

BEAUNE : Et si Molière nous permettait de sortir quelque peu de ce climat anxiogène propre à cette crise sanitaire sans nom qui s’évertue à perdurer ! Un conseil pour apprécier une bonne bouffée d’air pur culturel : visionner le documentaire conçu par une jeune pousse prometteuse du septième art, originaire de Saône-et-Loire. Il a consacré un moyen métrage à l’œuvre télévisuelle produite par le réalisateur Jacques MALATERRE.

« Brûlez Molière », téléfilm programmé le 13 mai 2019 par France 2, avait remporté à l’époque un succès d’estime par la qualité magistrale de sa reconstitution et le jeu sans fioritures de ses acteurs.

Son auteur, metteur en scène et cinéaste avignonnais, avait apporté un soin tout particulier au respect historique et chronologique des faits évoqués par le scénario : une plongée très réaliste sans tabou autour de la création de l’une des pièces maîtresses du dramaturge, le « Tartuffe ».

Créée en mai 1664, l’œuvre fut immédiatement interdite par Louis XIV qui invoqua alors des raisons religieuses. Satire de la bourgeoisie rétrograde de l’époque, encore trop engoncée dans la pratique de valeurs traditionnalistes de la religion, Molière chercha surtout à faire rire la cour en se moquant de ceux qui se servaient de la peur de la mort pour jouer de leur crédulité.

On connaît la suite : pour ne pas passer sous les fourches caudines du Roi Soleil et éviter la censure, il dût réécrire le rôle de son personnage principal afin de l’aseptiser et l’adapter aux bonnes convenances de l’époque…

 

 

Un tournage essentiellement réalisé en Bourgogne…

 

Les premiers tours de manivelle du long métrage produit par « Bonne Pioche » et France Télévisions se donnent en Bourgogne. Une région choisie par Jacques MALATERRE pour la richesse de son patrimoine, en mars 2018.

Après avoir conçu les premiers plans aux studios de Bry-sur-Marne et à Saint-Germain-en-Laye, l’équipe met cap au sud, pas très loin de la capitale.

Les châteaux de Tanlay, d’Ancy-le-Franc, de Bussy-Rabutin, de Nuits-Saint-Georges accueillent successivement interprètes et techniciens. Des scènes seront également réalisées à Noyers-sur-Serein et à l’Abbaye de Fontenay.

Dans le sillage du réalisateur qui a travaillé par le passé avec Richard ANCONINA (« La loi de Christophe »), Patrick SEBASTIEN (plusieurs de ses pièces réalisées en téléfilm dont « Une chance sur six »), se tient un jeune homme épris par les subtilités de l’art cinématographique, Pierre-Andréa BRET.

Son objectif est simple : assurer la captation de la moindre scène, de l’infime détail, de la plus petite des anecdotes liée à la conception de l’œuvre. 

« Il s’agissait de ma première expérience dans un long métrage, précise ce résident de Saône-et-Loire, âgé de 20 ans, qui suit depuis trois ans les cours aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune. Réaliser le « making of » de ce téléfilm a été d’une grande richesse pour moi… ».

Durant un mois de tournage, ce curieux de nature retranscrit pas à pas le quotidien professionnel de celles et ceux qui travaillent avec passion à la réalisation de ce film. Costumiers, décorateurs, accessoiristes, cadreurs, comédiens, réalisateur…rien ne lui échappe.

 

 

Une kyrielle de projets dans la tête…

 

Le comble : lui qui veut tout savoir de cette entreprise peu singulière obtient même un rôle de figurant dans la création artistique de Jacques MALATERRE ! On le voit furtivement apparaître avant la scène de la représentation finale du « Tartuffe », affublé d’un habit de brigadier et frappant de son bâton les douze coups annonciateurs de l’entrée en piste de la troupe.

« Cela m’a permis de comprendre ce que vivent les acteurs en terme de pression avant qu’ils ne jouent leur scène, explique-t-il, quand il y a deux caméras braquées sur vous et que toute l’équipe technique vous observe, ce n’est pas si simple ! ».

A la fin du tournage, Pierre-Andréa BRET avait dans sa besace plus de quarante heures de rushs.

Commença ensuite un long et fastidieux travail de montage et de post synchronisation que le néophyte mena à bien pour aboutir à son projet définitif.

Terminé, le document, intitulé « Les coulisses du Grand Tartuffe ou la découverte de Jacques MOLIERE » fut présenté lors du mois du documentaire dans la bibliothèque Gaspard MONGE à Beaune. Le documentaire se visionne sur la toile depuis peu.

 

 

 

 

Par la suite, le néo-réalisateur a travaillé d’autres œuvres dans le cadre de sa formation. Notamment des « making of » et un reportage consacré à l’association chalonnaise, « Un Avion, un Enfant, un Rêve », structure présidée par Benoît LEDUC et parrainée notamment par Olivier DASSAULT.

Le film qui en découlera présentait les actions offertes à des enfants malades ou handicapés. Ceux-ci effectuèrent des baptêmes de l’air pendant une journée de solidarité. Le film traduit leurs émotions…

A l’heure où s’écrivent ces lignes, ce féru des salles obscures prépare un court métrage de fiction tourné en réalité virtuelle sur le thème des araignées. Il n’en dira pas davantage sur ce projet, confidentialité oblige.  Ce sera son court métrage de fin d’étude aux Ateliers du Cinéma. Avant sous doute une exploitation en salles et dans les festivals ?

En savoir plus :

Lien du making of :

https://youtu.be/dUMDE5kZBSM

 


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Ce jeudi 09 avril, la vie de l’assemblée départementale reprendra ses droits. Ou presque. Compte tenu de la crise sanitaire que traverse actuellement le pays. Ainsi, conformément au respect de la législation et des ordonnances qui en découlent, le Département de l’Yonne  utilisera un dispositif exceptionnel, à distance et grâce à la technologie, pour l’organisation de sa future session. Celle-ci, importante, se rapportant au vote du budget primitif 2020…

AUXERRE : Le test électronique essayé ce mardi 07 avril s’est avéré probant. Les élus de l’hémicycle départemental ne pourront donc se soustraire à leurs obligations régaliennes, ce jeudi, pour remplir leurs devoirs.

D’autant que cette session printanière du Conseil départemental malgré son aspect insolite sous sa forme revêt de la plus haute importance : il s’agira en effet pour les élus de voter les délibérations présentées dont celles relatives au budget 2020.

 

 

 

 

Dès 9 heures, l’ensemble des élus départementaux pourront participer à un débat public par le prisme d’une audioconférence. Le contenu sera capté et diffusé en direct sur la page Facebook de la structure institutionnelle : https://www.facebook.com/FildelYonne/live/

La procédure technologique favorisera ensuite le vote des différentes délibérations exposées. Quant aux résultats, ils seront rendus publics dès que possible, selon la formule consacrée, après la clôture des votes.

 

 

 


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Dans cette tribune, l’édile d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois invite ses administrés à poursuivre les règles strictes du confinement. L’une des parades pour contrecarrer la propagation rapide du coronavirus partout dans le monde.

TRIBUNE: Voilà trois semaines que nous vivons confinés pour lutter contre les ravages que peut provoquer le coronavirus. C’est une séquence déjà longue qui nous a forcés à bouleverser nos habitudes en nous repliant sur notre sphère familiale ou individuelle.

C’est une période que nous avons traversée globalement dans l’ordre et la discipline et je vous en remercie. De son côté, la Ville et la Communauté d’agglomération ont tout mis en œuvre pour que le confinement des habitants puisse se dérouler avec efficacité : les déchets et ordures ménagères sont collectés, les enfants des soignants gardés, les transports assurés, les formalités essentielles de l’état civil maintenues et les personnes seules ou fragiles accompagnées.

La police municipale, en lien étroit avec la police nationale, veille au respect des consignes.

Je salue ici tous vos efforts. Mais tout indique que les mesures de confinement qui nous obligent à limiter nos déplacements et nos sorties ne seront pas levées dans les prochains jours. Cela va nous contraindre à des efforts répétés.

C’est collectivement que nous sortirons de cette épreuve. Pour cela j’en appelle au bon sens de tous. Certes, le printemps et l’arrivée du soleil pourraient nous inciter à enfreindre les règles strictes pourtant édictées pour que la pandémie soit vaincue au plus vite. Nous devons, individuellement et collectivement, faire preuve de discipline et limiter au maximum nos déplacements aux activités indispensables comme l’achat de nourriture.

Même si nous espérons tous retrouver notre ancien mode de vie le plus rapidement possible (je travaille d’ailleurs dès maintenant aux aides qui permettront à notre économie, nos entreprises, artisans et commerçants de redémarrer), il est trop tôt pour envisager les modalités pratiques du retour à la normale.

Aujourd’hui et pour quelques temps encore, je vous demande donc de respecter scrupuleusement le confinement.

Guy FEREZ

 


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Composée de huit organisations (ADENY, ALTERNATIBA Yonne, ARPENT, ASEF, C3V Maison Citoyenne, Coquelicots de Joigny, Lucytoyens et SOS Forêt Bourgogne), l’entité a fait connaître sa position suite au rapport du commissaire-enquêteur, rendu public la semaine dernière. Un retour d’analyse qui s’est fait dans un contexte de crise sanitaire particulièrement lourd. On le sait : cette synthèse donne un avis favorable à la mise en application du Plan de servitudes aéronautiques de l’aérodrome d’Auxerre-Branches. Des idées contraires aux desiderata du collectif…

AUXERRE : L’une des craintes essentielles du Collectif Citoyen pour la Forêt de Branches qui se bat bec et ongles depuis plusieurs mois pour que ne disparaissent pas les trente-trois hectares de bois menacés en lisière de l’aérodrome, est qu’une décision capitale ne survienne au cours de cette période si particulière de crise sanitaire.

Certes, l’inquiétude et le respect des mesures de confinement actuelles éloignent pour un temps les priorités données à ce délicat dossier qui perturbe l’existence des riverains évoluant autour de ce complexe aéronautique depuis de nombreux mois.

A la lecture du rapport d’enquête de ce PSA, les membres du collectif sont formels : le sujet de l’aérodrome d’Auxerre-Branches fera à nouveau l’objet de confrontations et de débats, dès que la normalisation du contexte sociétal le permettra. Evidemment, l’angle économique et sa relocalisation devront être pris en considération parmi les solutions de l’après…

Pour l’heure, le collectif qui a déjà recueilli à ce jour plus de 7 500 signatures sous la forme d’une pétition, n’en demeure pas moins sur sa réserve et dans le respect d’une extrême vigilance.

Un communiqué de presse,  publié le 26 mars, le confirme. Tout en précisant que d’ores et déjà, les représentants des huit associations signataires au principe de ce collectif de défense interpelleront les candidats en lice au second tour de scrutin des échéances municipales.

Sachant que pour l’heure, la projection la plus évidente de la tenue de ce vote au goût d’inachevé pourrait être le 21 juin, selon les préconisations du Premier ministre Edouard PHILIPPE.

Mais, le collectif ne se bornera pas à solliciter les élus du seul scrutin municipal. Il veillera aussi à poursuivre son engagement et à faire part de son entière détermination pour que ne soient pas détruits les arbres des trente-trois hectares de la forêt auprès des futurs élus communautaires qui en découleront sur l’agglomération auxerroise après coup.

 

Les élus concernés par le dossier vont devoir justifier certains points…

 

Quant au rapport d’enquête effectué par le commissaire-enquêteur, le collectif en a pris bien légitimement connaissance. Il a constaté que ce dernier s’était appuyé scrupuleusement sur une analyse inhérente à la conformité technique et réglementaire du dossier. Rappelant de fait que l’objet de l’enquête n’était pas d’en démontrer ni l’intérêt économique ni l’intérêt environnemental.

On peut lire ainsi, un peu plus loin, sur le communiqué de presse le point suivant : « en faisant mention des arguments en défaveur de ce projet (459 observations défavorables sur les 572 recueillies, 18 sans avis déterminant, 42 sans lien direct et 53 favorables), le rapporteur d’enquête indique que la question n’est pas purement technique mais surtout politique dans le traitement de ce dossier… ».

Fort de cela, le Collectif Citoyen pour la Forêt de Branches précise que cette enquête ne peut servir d’alibi aux promoteurs du dossier pour éviter de rendre compte aux populations concernées et justifier leur décision de classer l’aérodrome en catégorie 3.

Au nom de quoi, les élus concernés par le projet sont sommés de se justifier sur une série d’items fondamentaux aux yeux du collectif où leurs réponses apparaitront comme déterminantes.

Parmi les sujets évoqués, citons le solde comptable des années passées qui se rapportent aux charges totales d’exploitation hors fonction régalienne, retombées économiques et touristiques locales tangibles et vérifiables ; le plan de financement pour 2023 date à laquelle la réglementation européenne imposera de ne plus financer le délégataire ; la définition que les élus ont des concepts d’aménagement du territoire et de la mobilité quotidienne ; enfin, de leur volonté de contribuer au dérèglement climatique pour le bien-être des habitants du territoire.

On le voit, en effet, une fois la sortie de crise sanitaire passée, l’épineux dossier de l’aérodrome d’Auxerre-Branches refera surface tel un serpent de mer dans ce qui apparaît comme l’un des enjeux essentiels du second tour du scrutin municipal sur l’Auxerrois.

 

Rapport complet à consulter sur : https://cutt.ly/atnkvod

 

 


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« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ». La citation de Jean de LA FONTAINE sied très bien à l’état d’esprit actuel du double champion du monde de canoë-kayak auxerrois. Déçu de ne pouvoir vivre ses quatrièmes Jeux Olympiques à Tokyo en juillet prochain afin d’y briguer un podium, le sociétaire de l’OCKA s’en remet à la sagesse pour compenser le manque. Lucide et solidaire, ses pensées vont bien au-delà de la chose sportive en cette période de confinement où dit-il, « il faut savoir faire preuve d’altruisme pour endiguer le fléau… »

 AUXERRE: « Même si la situation est grave, je crois qu’il faut savoir prendre du recul, l’accepter et adopter les bonnes mesures en sachant s’adapter aux changements… Mais, au bout du compte, nous surmonterons cela !».

Craignant depuis plusieurs jours que ne tombe la décision inéluctable du Comité international olympique (CIO), Cyrille CARRE accuse tout de même le coup. Normal ! Vivre une nouvelle aventure sportive sur le toit de l’Olympe au Japon cet été, il en rêvait depuis des mois. 

Auréolé de son titre de champion du monde de short race, le kayakiste Icaunais recherchait une énorme performance aux Jeux Olympiques cet été. Un rendez-vous qu’il n’aurait manqué pour rien au monde. D’autant que le bateau avait obtenu les quotas obligatoires, synonymes de qualification.

Récemment, Cyrille qui suivait l’évolution du dossier avec la régularité d’un métronome, avait déclaré « qu’il n’était pas nécessaire de prendre des décisions trop radicales et hâtives qui auraient pu s’avérer contre-productive pour les athlètes… ».

Mais, les choses ont évolué depuis. Jusqu’à la prise de décision définitive cette semaine, la mort dans l’âme, du Comité international olympique de décaler à l’année prochaine l’évènement planétaire.

« C’est vrai au vu du contexte, cela sentait vraiment le roussi, précise le sapeur-pompier professionnel, plusieurs délégations avaient fait part de leur intention de ne pas envoyer de compétiteurs aux Jeux, menaçant d’un boycott pur et simple les épreuves. Même si c’est un crève-cœur pour le monde du sport : le choix du CIO est raisonnable et surtout équitable vis-à-vis des sportifs qui ne pouvaient pas tous décemment préparer ce rendez-vous dans des conditions optimales… ».

L’avalanche d’annulation observée autour des compétions nationales et européennes ne fait que confirmer les dires du champion. Le programme de stages et de courses officielles s’évaporait de jour en jour du calendrier : séjour au Portugal du 22 au 31 mars disparu, open d’avril supprimé, championnat de France de fond reporté, manches de la Coupe du monde du mois de mai enlevées… Bref : Cyrille CARRE n’avait plus rien à se mettre sous la dent pour parfaire sa condition physique et accroître son mental avant de disputer les épreuves nippones.

 

Le plus dur est de se projeter dans les douze à quinze mois à venir…

 

Le problème pour le garçon qui continue de s’entraîner d’arrache-pied afin de se maintenir en forme (la commune d’IRANCY lui a mis une salle confinée à disposition) est le manque absolu de visibilité sur la suite de la saison. Une saison dépouillée du moindre rendez-vous officiel même si l’accumulation du report des épreuves sur le second semestre n’est pas une garantie.

Le plus dur est de se projeter de nouveau vers un objectif à atteindre dans douze à quinze mois. Car pour l’heure, le Comité international olympique n’a arrêté aucune date au calendrier. Mettant un point d’orgue à finaliser les Jeux avant l’été 2021.

« Je vais profiter de ce temps de repos contraint pour souffler quelque peu, confie le surdoué du kayak, d’autant que la nouvelle saison à l’automne dernier avait démarré sur les chapeaux de roue… ».

Désigné sportif Icaunais de l’année 2019, Cyrille CARRE avait avalé avec un appétit d’orque les compétitions hivernales comme celles organisées à Vaires-sur-Marne où le garçon avait multiplié les performances : 2ème en K4 500 m et K2 1000 m, 4ème en K1 1000 m, 7ème en K1 4000 m, et 17ème en K1 200 m.

Une mise en condition optimale qui préfigurait une saison exceptionnelle…

Faisant montre de relativisme par rapport à la situation, le sportif bourguignon pense surtout au contexte actuel que traverse le monde. En mettant les incertitudes sportives de côté, pour ne se consacrer qu’à l’instant présent…

 

 

 


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