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L’essayer, c’est l’adopter, précise le vieil adage ! Alors, suivez les conseils de la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY et de son vice-président en charge du tourisme Patrick AYACHE, fervents défenseurs de notre patrimoine ! Faites comme eux et munissez-vous cet été de ce passeport unique en France. A moindre coût, il offre l’opportunité de découvrir plus de 90 sites d’exception…

CHATEAUNEUF (Côte d’Or) : Même s’il représente une judicieuse alternative à la crise sans précédent que connaissent les professionnels du tourisme et des loisirs, le concept « Pass découverte » ne date pas d’hier. Sa gestation remonte déjà à deux ans. Elle est le fruit d’une symbiose parfaite entre le Comité régional du Tourisme de Bourgogne Franche-Comté et de la Région.

Un organe institutionnel qui n’a de cesse de promouvoir via son Schéma de développement du tourisme et des loisirs les valeurs patrimoniales de son territoire d’influence. Et pour cause : le tourisme représente l’un des vecteurs essentiels de l’activité économique de cette zone géographique du Centre-Est de l’Hexagone.

Vis-à-vis de la clientèle étrangère qui, chacun le sait, fera cruellement défaut en cette période estivale à la suite de l’épidémie virulente de coronavirus. Mais aussi, de ces visiteurs Français qui daignent retrouver le temps des vacances ou d’un court séjour les charmes bucoliques et champêtres de ce terroir qui a donné naissance à de si grands nectars et qui accueille de si beaux édifices. A l’instar de ce vestige architectural de Châteauneuf, sublime construction moyenâgeuse propriété de la vénérable institution régionale.

 

 

Des prix modiques pour des découvertes exceptionnelles…

 

Parler de tourisme et de ses offres promotionnelles en ces murs ne présentait donc aucun signe d’incongruité sur le papier. Bien au contraire ! D’autant que ledit castel intègre la liste bien fournie des quatre-vingt-dix sites prestataires retenus faisant office de relais idéal à ce « Pass découverte » que chacun se doit de posséder.

Evoquons son coût, de prime abord. Il est très modique au vue de la qualité de la prestation. Proposé auprès des offices du tourisme que comptent les huit départements de notre vaste contrée, la grille tarifaire oscille entre 30, 45 et 80 euros pour les adultes, sur la base respective d’une durée d’utilisation de trois, sept et 365 jours. Pour les enfants, le prix est à diviser par deux !

Une paille lorsque l’on connaît la suite. Une fois acquis, ce passeport vers la découverte et l’immersion au cœur de l’Histoire entraîne son possesseur à visiter gratuitement une noria de musées, châteaux, centres culturels, édifices religieux et autres sites pittoresques. Pas uniquement dans son département de prédilection mais bel et bien sur l’ensemble des huit zones qui constituent la Bourgogne Franche-Comté !

On l’aura compris : ce concept insolite pousse le principe opérationnel dans ses ultimes retranchements : il est le seul et unique sous ce format à exister à ce jour en France !

 

 

Un outil de sensibilisation destiné aux habitants de notre territoire

 

L’idée originelle de ce projet est surtout la captation de nouveaux touristes qui parfois méconnaissent injustement le patrimoine même le plus proche de leur domicile : c’est-à-dire la population locale.  

Il s’agit donc de séduire et d’interpeller les Bourguignons Francs-Comtois en priorité pour qu’elles ou ils mettent les bouchées doubles cette saison en se prenant de passion pour les richesses dites de proximité.

Derrière l’initiative apparaît ce désir de joindre l’utile à l’agréable. L’utile étant la relance économique d’une filière particulièrement affectée par cette période de marasme. L’agréable, on le sait ne se cantonne pas à la simple découverte d’un lieu empli de souvenirs. Nécessairement, les visiteurs ne manqueront pas de consommer et de se sustenter localement.

 

2 000 spécimens offerts par la Région…

 

En outre, le lancement de ce « Pass Découverte » s’accompagne d’un jeu afin de gagner par le biais du hasard et d’un tirage au sort préalable l’un de deux mille exemplaires. Il suffit de se connecter sur la référence suivante : jeu.bourgognefranchecomte.fr et de remplir le formulaire en ligne.

250 passeports sont à gagner chaque semaine : le sort désigne chaque jour à 10 heures un nouvel élu ! Ce jeu de l’été arrivera à terme le 26 août prochain.

Précisons, pour conclure, que le Pass est proposé gracieusement aux professionnels du tourisme de la région dans sa formulation annuelle.

 

 

En savoir plus :

Dans l’Yonne, parmi les prestataires associés à ce concept, citons

Le château d’Ancy-le-Franc, le Musée de la Vigne et du Bouchon, le GAEC du Champ Beaublé, le Centre régional d’Art contemporain au Château de Tremblay, le Jardin de La Borde, le Centre d’Art La Métairie Bruyère, le Musée de l’Aventure du Son, l’Office du tourisme du Sénonais et le Château de Ratilly.

 


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Opérationnel depuis juin 2018, ce nouvel acteur de la sphère immobilière icaunaise a tissé petit à petit sa toile d’influence sur l’Auxerrois. Avec ce supplément d’âme qui lui permet aujourd’hui de se différencier de la concurrence : grâce à son concept de prestations et de services façon cousu main ! Une trouvaille inspirée du sur mesure que revendique sciemment sa jeune dirigeante, Julie GENEST…

AUXERRE : La différenciation est le mot d’ordre de la jeune enseigne qui possède pignon sur rue dans la capitale de l’Yonne, au 24 Rue de la Draperie, depuis la fin septembre 2019. Un terme auquel il faut ajouter le professionnalisme.

Entourée de trois collaborateurs, Julie GENEST pilote cette fringante corvette filant bon train qui n’a rien d’un frêle esquif sur la mer des Sargasses de ce monde économique, si tourmenté par la présence persistante du coronavirus. Pourtant, les embruns ne semblent pas l’atteindre.

Bien au contraire, dynamique et pugnace, la jeune femme assure en concomitance la destinée du cabinet de conseils J3G Patrimoine, aux côtés de son créateur, son père Gilles GENEST. Une affaire de famille savamment orchestrée où fiscalité et immobilier riment à l’unisson pour faire qu’aujourd’hui ces deux structures soient intimement liées.

Négociatrice immobilière et femme d’affaires dans l’âme, Julie GENEST a su prodiguer un souffle pertinent dès le début de l’activité. Proposant des tables rondes au printemps dernier qui avaient réuni la fine fleur des spécialistes régionaux et franciliens autour de thèmes disparates mais complémentaires tels que les investissements à l’étranger. La nation lusitanienne (le Portugal) y avait trouvé grâce aux yeux de bon nombre d’investisseurs-retraités !

   

Une alliance avec de nombreux référents partenaires…

 

La méthodologie de l’Atelier de l’Immo repose sur la mise en exergue d’une multitude de partenariats établis avec des structures incontournables de la filière. VASCO Invest, Histoire et Patrimoine, SWISS LIFE (ce ne sont que quelques exemples) apparaissent comme autant de précieux auxiliaires qui contribuent au succès de cet écosystème novateur impulsé par la jeune cheffe d’entreprise. Un processus qui se développe autour de l’immobilier, par le prisme de moult expériences vécues par ces spécialistes…

La déclinaison de ces savoirs s’applique à l’acquisition et la vente de biens immobiliers. Mais pas seulement ! Les investisseurs qui considèrent la pierre y compris papier comme la valeur refuge dont il faut promouvoir les mérites bénéficient ainsi de conseils, de l’écoute et des stratégies élaborées par l’équipe ad hoc.

 

 

Le mode opératoire ne se cantonne pas uniquement à la gestion patrimoniale privative. Elle se poursuit dans le milieu professionnel.

« Puisqu’il est si compliqué d’appréhender un investissement dans des bureaux ou des espaces commerciaux, précise Julie GENEST, l’expertise du tissu économique et des produits porteurs du marché est à la disposition des chefs d’entreprises qui veulent considérer leur patrimoine professionnel sous un jour nouveau… ».

 

 

D’autres subtilités : le montage des crédits et la conciergerie…

 

Parmi les atouts de poids qu’elle détient dans son jeu, la professionnelle de l’immobilier et de la décoration (une passion dévorante qui a conduit Julie GENEST à initier ce concept sur mesure) a su abattre une carte maîtresse sur la table : le montage des crédits immobiliers. Précieux sésame qu’elle a su ajouter à un service de conciergerie.

« En effet, lorsque l'on cherche à acquérir un bien, le louer, le mettre à la location, on se rend rapidement compte qu'un certain nombre de démarches, souvent moins agréables s'en suit. C'est pourquoi, il a semblé indispensable de créer cette conciergerie de l'Atelier de l'Immo et de décharger notre clientèle grâce à nos partenaires spécialistes… ».

Une louable attention qui permet de positionner l’entité, membre du collectif des commerçants du Quartier de l’Horloge, sur une niche bien identifiée.

 

En savoir plus :

Aujourd’hui, l’Atelier de l’Immo se compose de :

Jérémy BONHENRY, négociateur immobilier, diplômé d'un Bachelor à Lyon et d'une licence dans le management des Unités Commerciales à Paris. Après une dizaine d’années dans le domaine de la construction, cette expérience combinée à un fort attrait pour la vente/négociation l’a guidée vers l’immobilier. De ce fait, il a décidé d’intégrer l’équipe à sa création.

Christian FIGLIOLI, négociateur immobilier, doté de vingt-cinq années d’expérience dans la commercialisation de maisons individuelles. Elles lui ont forgé ses connaissances dans le second œuvre et lui permettent d’estimer un bien à sa juste valeur. Il a intégré l’équipe cette année pour la renforcer et étendre ses connaissances du métier. 

Mélissa CHARLANNE, assistante commerciale, diplômée d’un BTS dans le management à Dijon. Elle poursuit son cursus dans l’Yonne depuis 2019. Polyvalente, son poste en alternance au sein de l’Atelier de l’Immo aide à faire le lien entre les clients, les agents immobiliers et les partenaires. Elle assure l’accueil et présente des biens en fonction des critères de la clientèle. 

Précisons que dans le cadre de la vente d’un bien par l’agence, un remboursement des diagnostics immobiliers est effectué sur présentation de la facture dans la limite de 500 euros TTC lors de la signature définitive suite à la mise en place d’un mandat d’exclusivité. Une offre dont il est possible de profiter jusqu’au 30 septembre…

 


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L’émotion à fleur de peau était palpable. Tant sur la scène de l’infrastructure champêtre que parmi ses spectateurs, certes encore trop disséminés, dans la salle. Pourtant, la présentation officielle de la 14ème édition du Festival du spectacle vivant sonnait enfin le glas de ces instants d’immenses privations que les férus de culture ont dû accepter de vivre la mort dans l’âme pendant la période de confinement…

ETAIS-LA-SAUVIN : Une note de piano retentit. Puis, une seconde qui est exprimée par le Steinway d’un noir ébène et faiblement éclairé par un projecteur blafard.

L’air se raréfie ; le temps semble se suspendre. La mélodie maîtrisée s’égrène avec grâce par le touché vif et brillant de l’excellente instrumentiste Cécile RACE. Ce n’est pourtant que le prélude à des instants émotionnels encore plus puissants. Ceux que nous propose la merveilleuse Françoise POT.

Exégète de l’art lyrique, la cantatrice nous délecte d’un extrait des légendes arthuriennes, programme composite entre le passé et le présent qui sera revisité en ces mêmes lieux les 03 et 04 octobre.

Une date qui marquera presque d’une pierre blanche le terme d’une saison artistique bien différente de celle des autres déclinée dans cet antre authentique à la gloire du spectacle vivant.

Quelques minutes auront suffi pour redonner la foi à celles et ceux qui aiment apprécier cette culture avec un grand « C ». Celle de la proximité avec les artistes. Celle de la complicité, aussi, avec les organisateurs.

 

 

Depuis quatorze ans, tous ceux qui franchissent le seuil de cet ancien presbytère métamorphosé en salle pour mélomanes avertis recherchent la quintessence de l’art. Le beau, le juste, le vrai, l’ivresse des mots et des sons, le désir de plonger dans les racines profondes de la littérature, de la danse, du one-man-show, des cabarets dans l’esprit Rive gauche de la capitale. Voire de l’humour.

Il en sera d’ailleurs question cette saison même si elle est étrangement écourtée, à cause de ce satané virus qui nous aura spolié de deux mois de représentations !

L’humour prendra les traits de Xavier CLEMENT. Un comédien metteur en scène de talent que le petit monde de La Closerie connaît très bien. Il prêtera sa voix au prince des jeux de mots et des pirouettes subtiles de la linguistique française, j’ai nommé le regretté Raymond DEVOS. Un spectacle où les zygomatiques seront soumis à rude épreuve avec l’élégance en plus, « Sens dessus dessous » à savourer sans modération les 14, 15 et 16 août.

 

 

Des spectacles à l’atmosphère contagieuse pour redonner la joie de vivre…

 

L’univers fertile de Léo FERRE sera magnifié par Natasha BEZRICHE (25 et 26 juillet), le monde des Tziganes ne possèdera plus de secrets (le duo CZARDA les 08 et 09 août), les œuvres de Brahms, Stravinski et Rachmaninov inviteront les férus de classique à se déplacer (le 26 août), le monde d’Elsa TRIOLET (les 26 et 27 septembre) interprété par Lucienne DESCHAMPS ou celui de Françoise DORIN (le 19 septembre) avec Alain GRIVEL seront autant d’invitations à se faire plaisir grâce à la découverte de textes sublimes…

Ainsi s’écouleront l’été et l’automne à La Closerie. Avec d’autres rendez-vous aux couleurs africaines (les 10 et 11 octobre) ou ceux inspirés de l’œuvre maîtresse d’Edmond ROSTAND, « Cyrano de Bergerac », création à succès de Patrick GUICHARD, maintes fois jouée au festival d’Avignon.

L’humour, encore et encore, sera distillé avec intelligence et grivoiserie par la comédienne et chanteuse Dianne VAN DEN EIJINDEN (« L’adultère pour les nulles ») programmée les 05 et 06 septembre.

 

 

 

Mention spéciale à une prestation rare : le duo piano/claquettes assuré par Alix LOGIACO (piano) et Laurent BORTOLOTTI, adepte de Fred ASTAIRE et des comédies musicales d’Outre-Atlantique. Un rendez-vous à biffer sur l’agenda des 22 et 23 août.

En guise de succulent préambule à se mettre en bouche : « Mais qui est don(c) Quichotte ? », les 18 et 19 juillet. La bonne humeur et la complicité entre deux comédiens (Didier MARIN et Philippe OUZOUNIAN) fait plaisir à voir. Le spectacle ouvre cette saison bizarre : peu importe, on se délecte déjà…

 

 

En savoir plus :

Théâtre de La Closerie

17 Route de Clamecy

89480 ETAIS-LA-SAUVIN

Tel : 03.86.47.28.16.

Réservation : www.lacloserie-spectacles.fr

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 


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Le viager mutualisé représente une réelle opportunité pour certains seniors. Ils font face à un contexte économique et social qui se dégrade de plus en plus. La baisse des retraites et les coûts du maintien à domicile, associés à l’augmentation de la durée de vie, voire additionnés à une inflation à la hausse dans les mois à venir explique cette situation délicate. Situation qui périclite pour celles et ceux qui possèdent des cheveux blancs !

TRIBUNE: A partir de ces constats, et surtout sur le fait que 74 % des retraités français sont propriétaires de leur résidence, Eric GUILLAUME, expert immobilier, crée le concept de viager mutualisé en 2019. Ce système de vente permet de céder un bien immobilier sur le long terme.

Il s’agit de transformer le bien en une rente annuelle et viagère tout en pouvant, en général, continuer à habiter son logement sans avoir d’obligation de déménagement. La vente se fait en deux étapes distinctes : après avoir effectué une estimation du bien combiné à un calcul basé sur l’âge et l’état de santé du ou des vendeurs.

Ce calcul permet d’estimer la durée du paiement des rentes mensuelles, trimestrielles ou annuelles. Lors de la signature, une première somme (le bouquet) est versée par les acheteurs (crédirentiers) aux vendeurs (débirentiers). Le reste de l’estimation est alors versé par rentes aux vendeurs.

A titre d’exemple, à Paris, il devient très difficile d’investir. D’une part, parce que le prix de l’immobilier augmente toujours. D’autre part, parce que le montant des apports personnels est de plus en plus important.

Le viager est donc un moyen de pouvoir investir sans avoir besoin d’être en possession d’une somme trop élevée. En outre, il perd de sa valeur depuis quelques années en France. Mais, une nouvelle forme de viager est apparue. Elle offre un moyen de lutter contre la baisse de son intérêt en offrant la certitude de toucher l’intégralité de la valeur du bien. Il s’agit du viager mutualisé. Un procédé  proche du viager de gré à gré à la différence que les investisseurs sont désormais des institutionnels de renom.

 

Un système lié à la longévité du vendeur…

 

Acheteurs et vendeurs ne se connaissent pas physiquement. Ce nouveau système ressemble plus à une solution technique entérinée par des experts qu’à un pari sur la mort, signé dans un viager classique. Sur ce nouveau marché constitué par le viager mutualisé, nous avons trois acteurs : le vendeur qui souhaite habiter sa résidence tout en augmentant ses revenus, l’acquéreur et une personne morale (compagnie d’assurances, caisses de retraite, Caisse des Dépôts, SCI…).

L’acquéreur souhaite diversifier la gestion de ses actifs. Les épargnants sont intéressés par l’acquisition de parts vendues par les sociétés qui achètent de l’immobilier sous la forme de viager mutualisé. Ce type de placement correspond à une recherche de rentabilité sous forme de plus-value à long terme.

Le risque de longévité du vendeur est mutualisé et neutralisé par la multiplication des acquisitions. L’effet volume lisse la performance dans la durée pour les acquéreurs. Nous avons tous en mémoire celle qui fut la doyenne de l’Humanité : Jeanne CALMENT. Elle vendit sa propriété en viager, à l’âge de 90 ans, à un notaire  qui pensait faire une bonne affaire ! Le problème pour l’acquéreur, c’est qu’elle décéda à l’âge de 122 ans et que le fils du notaire, dû régler la rente pendant de nombreuses années après le décès de son père…

Dans le cadre d’une vente en viager classique, on se réfère à un tableau des âges afin de déterminer le montant de la rente à verser. Le capital à verser, appelé bouquet, n’est pas obligatoire. Pour la vente en viager mutualisé, on définit un prix de vente qui correspond au prix du marché. Ensuite, on répartit le prix entre versement d’un capital de départ et le montant de la rente. C’est le principe « gagnant-gagnant ». Le vendeur récupérera le prix de vente estimé.  Dans un viager mutualisé, le bien est démembré : l’acquéreur est nu-propriétaire. Il paie les gros travaux et les taxes foncières, tandis que le vendeur est usufruitier. 

Il existe une autre variante des ventes en viager : c’est la vente à terme. Cette  forme de vente immobilière offre à l’acquéreur le moyen de payer le bien au vendeur de façon progressive et limitée dans le temps. Le viager classique fait peu d’émules. Retenons que si le vendeur décède dans les vingt jours qui suivent la signature, la vente est annulée.

 

Les principes de la vente à terme…

 

Contrairement à ce que l’on pourrait croire quand on lit le terme « vente à terme », l’acquéreur devient le propriétaire du bien le jour de la vente. Dans ce cas présent, c’est le paiement qui est à terme. C’est-à-dire que la durée de paiement du bien est déterminée et finie. Il s’agit donc bien d’une vente à effet immédiat. Le changement de propriétaire est effectif chez le notaire. Les impôts et les charges du propriétaire sont bien transférés à l’acheteur. Bien entendu, si l’acheteur n’honorait pas le contrat de vente à terme, alors le vendeur engagerait une procédure judiciaire de résolution de la vente pour annuler la transaction.

En fait, la vente à terme est à considérer comme un crédit vendeur. Ce dernier permet à l’acheteur d’acquérir à crédit son bien immobilier, en lui payant directement les mensualités plutôt qu’à une banque. L’acheteur fait donc l’économie de frais de dossier et des intérêts bancaires pour investir dans l’immobilier.

 

La vente à terme en viager

 

La vente à terme pour le viager offre une solution adéquate pour les vendeurs trop jeunes. En effet, en raison de leur jeunesse (âge inférieur à 70 ans), leur espérance de vie est beaucoup trop importante pour en tirer une rente correcte. De plus, l’hypothèse de vie statistique (vingt-quatre années pour un homme de 59 ans ou vingt-quatre années pour une femme de 65 ans) décourage les acheteurs d’investir dans des viagers avec des vendeurs trop jeunes. Personne ne peut se projeter sur une durée d’investissement supérieure à 25 ans.

 

 

Un viager sans aléa ?

 

La vente à terme en viager permet donc de limiter le paiement sur une période bien définie à l’avance (10, 12 ou 15 ans par exemple). Celle-ci ne dépend plus de l’âge du vendeur, ce qui permet à l’acheteur de payer son acquisition de manière planifiée et sûre. Le risque d’un paiement excessif du viager à cause d’une longévité exceptionnelle du vendeur est ainsi supprimé.

Toutefois, une incertitude demeure : celle de la date de la libération du bien par le vendeur. Ce dernier peut quitter le logement avant le terme des paiements, mais aussi bien après. En effet, l’échéancier de paiements est fixé au départ mais la date de jouissance du bien par l’acquéreur n’est pas connue. Dans le viager à terme, le vendeur bénéficie de son droit d’usage et d’habitation à vie. S’il libère le logement avant le terme du paiement alors la mensualité doit être valorisée à la hausse.

 

Les paiements de la vente à terme

 

Contrairement à un viager occupé, pour lequel le paiement de la rente s’éteint au décès du vendeur, le viager à terme requiert un paiement certain des arrérages. Autrement dit, si le vendeur décède avant la fin de la période de paiement, l’acheteur doit continuer de payer les mensualités aux héritiers.
Il ne peut donc pas avoir de plus-value avec un décès rapide du vendeur. Ce qui a l’avantage de libérer certains acheteurs de quelques problèmes de conscience sur l’achat en viager.

Pour le vendeur, l’intérêt de la vente à terme réside aussi dans le fait que les mensualités de paiement ne sont pas imposables. Contrairement à une rente viagère, l’administration ne compte pas ces paiements comme des revenus fonciers.

Enfin, pour la vente à terme, il est requis une valorisation annuelle des mensualités sur un indice défini au départ du contrat. Généralement, l’indice de la construction est préconisé dans la vente à terme. Mais les parties sont libres d’en choisir un autre. La vente à terme permet à un acquéreur de suivre une stratégie d’investissement immobilier de façon progressive sans recourir au système bancaire. Au final, la vente à terme en viager est un placement tranquille pour se constituer un patrimoine pour sa retraite ou pour le transmettre à ses enfants.

En conclusion, face à un marché du viager peu attractif (1 % des transactions immobilières), à un nombre de retraités croissants (estimé à 20 millions en 2030) et à des besoins d’épargne en augmentation, il devient important de proposer des alternatives attractives pour des vendeurs, des acheteurs et des épargnants. Le viager mutualisé permet aussi de simplifier les dispositions successorales. Si vous vous sentez concernés par la vente à terme ou le viager mutualisé, il est impératif de consulter votre notaire qui vous conseillera au mieux de vos intérêts.

« Je me suis marié en viager. Comme ça si l'un de nous deux meurt, le cœur de celui qui part appartiendra à celui qui reste ! ». Patrick SEBASTIEN.

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Les centres équestres représentent une filière extrêmement stratégique du secteur du tourisme et de l’hébergement dans l’Yonne. Certains de ces établissements ont choisi de reprendre leurs activités le 04 juillet, favorisant ainsi l’accueil de petits groupes d’enfants qui ont repris goût à la sociabilité en s’immergeant en milieu naturel au contact des animaux. Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST s’est dit très attaché et attentif à la reprise de ces occupations de loisirs…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Dans le sabir officiel de la chose administrative, un centre équestre intègre la catégorie des centres d’accueil collectif pour mineurs. Une identification plus connue sous l’acronyme d’ACM.

C’est précisément dans l’un d’entre eux, le Cirque équestre de COCICO au cœur de la Puisaye, que le préfet de l’Yonne Henri PREVOST avait choisi de se rendre à quelques encablures de la sacro-sainte date de reprise des activités publiques. Soit le 04 juillet.

Et ce, après plusieurs semaines d’inertie imputables à la propagation d’une épidémie de coronavirus qui laissera de douloureux stigmates tant au niveau économique qu’humain.

En marge d’échanges nourris et forts constructifs avec plusieurs responsables de ces centres répartis en Puisaye (cf : à lire le futur article sur ce sujet), le représentant de l’Etat, accompagné de Pascal LAGARDE, de la direction départementale de Jeunesse et Sports, aura pris soin de découvrir dans ses moindres recoins le magnifique complexe qui s’étend sur une propriété de trente hectares.

Celle de Charles GOMME, membre de la quatrième génération d’une structure familiale qui préside à la destinée de ce lieu haut de loisirs avec enthousiasme depuis si longtemps.

 

 

Un mix réussi entre les arts équestres et ceux du cirque  

   

Séduit par le cadre enchanteur de l’ancien corps de ferme transformé en lieu de vie et d’hébergement au service de l’enfance, Henri PREVOST devait ressentir l’atmosphère particulière de cet endroit si tranquille au cœur de la campagne. Celui que les petits occupants de l’été mais aussi des vacances scolaires qualifient de « magique ».

Première curiosité lorsque l’on y pénètre : la vision insolite d’un grand chapiteau aux coloris jaune et bleu. Le Centre équestre de COCICO n’est pas un endroit ordinaire.

Il y accueille les arts du cirque où les jeunes têtes blondes suivent avec passion l’initiation à la jonglerie, au rôle de clown, aux arts circassiens dans leur ensemble. Chaque année, les férus de trampoline, de voltige équestre et autres exercices d’équilibristes donnent un spectacle final devant leurs parents en présence du onsieur Loyal local qui anime ce rendez-vous ludique.

Seconde surprise : la reconfiguration de cette ancienne exploitation agricole, totalement repensée (et ce depuis 1986) en un lieu d’accueil pédagogique extraordinaire. Il est révolu le temps où la ferme produisait le lait issu de son cheptel.

Plus loin, ce sont les poneys et les chevaux (une cinquantaine de ces animaux sont accueillis dans le centre) qui attendent la petite délégation officielle. Le préfet de l’Yonne rayonne : lui qui adore les équidés.

 

 

Des conditions d’accueil qui garantissent la sécurité…

 

Le préfet s’écarte un bref instant de ses interlocuteurs pour délivrer une petite caresse à l’une des juments qui patiente. Il mesure alors toute l’importance de rasséréner les professionnels de la filière équestre qui éprouvent de sérieuses difficultés depuis de si longues semaines.

Quelques photographies plus tard, et voilà le haut fonctionnaire qui pénètre allègrement avec ce plaisir insatiable d’en savoir davantage à l’intérieur de l’une des roulottes typiques recevant d’ordinaire la visite des juniors. Celles et ceux de ces gamins qui y vivront un séjour épanouissant et inoubliable.

COCICO possède une capacité d’accueil de 130 enfants, âgés de six à seize ans. Bref : c’est la colonie de vacances rêvée pour des gosses ayant soif de grands espaces et friands de belles aventures !

 

 

 

Oui mais voilà, cet été, les choses se gèrent différemment. Au grand dam des propriétaires de cet endroit magique. Les centres équestres ont été particulièrement affectés par la crise sanitaire. De fortes incertitudes planent toujours au-dessus des épaules de leurs responsables quant à la réelle fréquentation estivale et surtout celle de l’arrière-saison.

Charles GOMME expliquera en substance au préfet que les centres peuvent redémarrer leurs activités dans de bonnes conditions. Les protocoles sanitaires y sont exigeants. La sécurité du jeune public, garantie.

Le préfet demeure à l’écoute des professionnels de cette filière. Quant aux enfants qui sont revenus depuis la crise en ces murs : ils en redemandent. Pour que ce cadre champêtre calme et verdoyant leur procure des sensations à jamais ancrées dans leur mémoire…La magie du cirque et du cheval fait oublier toute le reste !

 

 


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