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L’engagement court sur une durée de trente ans. Il concerne la gestion de la distribution d’électricité dans l’Yonne. Ce renouvellement de concession sur la base de la confiance faite à ENEDIS conforte la vision de modernisation du territoire. Applicable au 01er janvier 2021, ce nouveau contrat prévoit un programme d’investissements de plus de 52 millions d’euros injectés pour améliorer les réseaux électriques…

VENOY : C’est un signal fort qui a été fait en faveur de la transition énergétique déclinable sur notre territoire. Une signature de partenariat aux conséquences beaucoup plus importantes qu’il n’y paraît. Gravant ainsi dans le marbre cette date du 26 octobre 2020 où les signataires ont apposé avec sérénité leurs paraphes au bas des documents.

D’ailleurs, les propos exprimés à brûle pourpoint par l’un des deux acteurs de cette journée quasi historique pour l’essor de la transition énergétique dans la Bourgogne du Nord n’ont laissé aucune place aux doutes : « ce premier contrat signé dans la région permettra une accélération de cette transition dans l’Yonne et la mise en place d’innovations partagées… ».

Avec ces mots, Jean-Noël LOURY, président du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne (SDEY) pointe du doigt les réseaux intelligents en vue du développement du photovoltaïque et le déploiement de nouvelles bornes de recharge destinées à alimenter les véhicules électriques. Un domaine spécifique que le responsable de l’institution connaît déjà fort bien…

En confiant à ENEDIS la gestion de la distribution de l’électricité, le SDEY vise en fait deux objectifs essentiels. Le premier se rapporte au renforcement qualitatif du service public d’électricité sur son territoire de prédilection, l’Yonne. Le second est un acte tangible du soutien à la transition énergétique, au service du territoire et de ses habitants.

Bref, entre ces acteurs inéluctables de la distribution de la fée électricité auxquels il est impérieux d’ajouter EDF, cette alliance ne peut que présenter de multiples avantages à termes.  

 

La parfaite osmose au plan opérationnel…

 

D’une part, force est de constater qu’entre l’autorité organisatrice de la distribution publique d’électricité dans l’Yonne (le SDEY), le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité (ENEDIS) et le fournisseur d’électricité au tarif réglementé (EDF), c’est la parfaite osmose au plan opérationnel.

D’autre part, ce contrat assure une gestion harmonisée et une gouvernance renforcée à l’échelle des 412 communes rattachées au syndicat départemental. Un renfort qui se traduit aussi au niveau de la coordination des travaux entre le concessionnaire et l’autorité qui concède ses pouvoirs.

 

 

Quant à la politique d’investissements, elle a été qualifiée d’ambitieuse par les protagonistes de ce dossier. Il est vrai que ce nouveau contrat à horizon 2050 va favoriser la consolidation de la qualité de la fourniture d’électricité par la modernisation, l’entretien et la maintenance régulière des réseaux. Un moyen intelligent de réduire davantage les incidents et les temps de coupure chez les clients utilisateurs des prestations.

Autres atouts appréciables : la sécurisation du réseau de distribution face aux aléas climatiques et aux risques d’inondations, la résorption des technologies potentiellement « incidentogènes » sur les réseaux moyenne et basse tension ainsi que le renforcement de la bonne intégration des ouvrages dans l’environnement.

 

  

Signature de plusieurs conventions spécifiques…

 

Partant du postulat qu’un bonheur ne se manifeste jamais seul, les partenaires ne se sont pas cantonnés à la simple signature du contrat de concession. Ils ont validé d’autres conventions spécifiques.

De prime abord, il fut question d’un accord en faveur de la transition énergétique avec la mise à disposition de données informatives pour accompagner le service d’optimisation énergétique mis en place par le SDEY. Dans ce droit fil, l’accompagnement des Plans Climats Air Energie Territoriaux des EPCI, la lutte contre la précarité énergétique, le développement et planification de la production d’électricité renouvelable, l’évolution des réseaux, les informations relatives aux flexibilités, aux réseaux électriques intelligents et aux actions de responsabilité sociale et environnementale (RSE) furent évoqués.

Autre item intéressant : celui se traduisant par l’adoption d’un programme de résorption des cabines hautes et des fils nus sur le réseau. Une préconisation qui s’accompagne d’actions de modernisation et d’innovation. Sur ce point, ENEDIS contribuera financièrement à ce projet, à hauteur de 3,3 millions d’euros sur une période de huit ans.

Enfin, un ultime sujet intègre ce travail de réciprocité : la participation à des expérimentations novatrices et la facilitation de l’intégration des énergies renouvelables comme du développement de la mobilité électrique.

Directeur Clients et Territoires Europe pour ENEDIS, Christian BUCHEL s’est réjoui « de la prise en main avec les territoires des formidables enjeux de la transition écologique à travers un modèle de distribution publique d’électricité français, porteur de solidarité et de cohésion sociale… ».

De son côté, Robert POGGI, directeur régional ENEDIS Bourgogne, souligna que « le distributeur national ENEDIS voulait être un partenaire local fort et pérenne sur la durée de ce contrat avec son autorité concédante, le SDEY, afin que la ruralité soit une terre d’excellence énergétique et d’innovation en termes de mobilité ».

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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In fine, il n’y aura pas de changement de cap autour de la politique applicative en faveur de la transition énergétique sur l’Auxerrois. Les hommes peuvent bien changer au gré d’un scrutin ; les idées demeurent, voire persistent si tant est qu’elles soient dans l’air du temps, louables et acceptables par toutes les composantes ! L’adoubement de la poursuite du projet hydrogène, pourtant initié par l’ancienne gouvernance, en est la parfaite démonstration consensuelle…

AUXERRE: L’orientation budgétaire de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois aura beau être compressée du fait de la conjoncture actuelle propre à la situation sanitaire (elle sera votée le 17 décembre prochain), le projet de développement de l’hydrogène sur ce secteur géographique reste bel et bien d’actualité. Et un choix prioritaire.

Ainsi en a décidé l’assemblée communautaire lors de sa séance de travail du jeudi 22 octobre, à l’unanimité. Un choix consensuel exemplaire qui mérite d’être souligné, bien au-delà des tergiversations politiciennes coutumières qui viennent agrémenter les échanges. Parfois, en les rendant inaudibles.

Pour une fois, les élus de la majorité comme ceux de l’opposition sont tombés d’accord. Faisant montre d’unité, un fait plutôt rarissime dans l’absolu.

L’enjeu est de taille, il est vrai. Non seulement, l’Agglo deviendra propriétaire de cinq bus à hydrogène devant desservir les lignes principales facilitant la fluidité du transport sur zone ; mais en outre, l’édification d’une station de production s’inscrira parmi les éléments à prioriser dans un intervalle temporel maîtrisé faisant de la ville de Paul Bert une référence à l’échelon hexagonal.

Grâce à ce mode de transport collectif, celui-ci devant s’adosser à la circulation des trains à hydrogène devant relier Auxerre à Laroche-Migennes, la capitale de l’Yonne deviendra une ville vertueuse en matière de gestion environnementale, ne rejetant plus aucun gramme de gaz carbonique dans l’atmosphère.

 

 

Un premier bus livré en décembre, quatre autres suivront en 2021…

 

D’ailleurs, le programme, tel qu’il avait été défini par l’ancien président de l’Agglomération de l’Auxerrois Guy FEREZ, envisage de doter la structure institutionnelle de ce mode de combustible sur l’ensemble du parc de bus. Ainsi, ce sont 31 véhicules qui devront rouler vert à terme.

Quant à la station, elle serait implantée sur la plaine des Isles à Auxerre où elle servirait à la fois à la production du précieux combustible mais aussi à son stockage.

Certes, un surcoût grèvera quelque peu le budget initial. Le président de la Communauté d’agglomération Crescent MARAULT ne s’en est pas caché. C’est aussi le prix à payer pour être autonome et devenir propriétaire de ces cinq premiers bus.

L’enveloppe est plutôt élevée. Il en coûtera 3,7 millions d’euros à la collectivité territoriale pour devenir acquéreur de ces moyens de locomotion performants sur un plan environnemental. Sachant que des subsides en provenance de fonds européens et de la Région Bourgogne Franche-Comté compenseront pour moitié les dépenses nécessaires à cet investissement.

 

 

Livré courant décembre, le premier de ces cinq véhicules sera mis en circulation immédiatement. Il faudra ensuite s’armer de patience, c’est-à-dire jusqu’à l’automne 2021 pour que les quatre autres bus ne viennent grossir la flotte de la collectivité icaunaise.

Construite non loin de la gare SNCF, la fameuse station de production et de stockage sortira de terre d’ici un an. Sa construction incombera à une filiale du groupe EDF, HYNAMICS.

Labellisé Territoire à énergie positive pour la croissance verte (TEPCV), l’Auxerrois ne pouvait manquer ce rendez-vous crucial pour sa politique de sauvegarde de l’environnement. Implanter l’hydrogène aura aussi pour conséquence de jouer la carte de la modularité puisque ce combustible ne se cantonnera pas à la seule alimentation des bus à l’estampille de la collectivité. Sont concernés par le projet les transports ferroviaires, sans doute en 2023, et routiers. Et pourquoi pas, à perspective plus ou moins lointaine les cycles fonctionnant à partir de ce gaz…

Thierry BRET

 

 


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Le parc d’activités du nord d’Auxerre suscite-t-il un quelconque intérêt de la part des investisseurs ? Beaucoup d’interrogations planent autour du concept : de prime abord, celles de la nouvelle gouvernance de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Loin d’accueillir la trentaine d’entreprises industrielles prévues et de porter les 1 500 emplois supplémentaires sur le bassin, l’extrême prudence semble être le mot d’ordre actuel vu le contexte économique…

AUXERRE: Où en est aujourd’hui le projet de développement du parc d’activités AuxR_Parc ? Si quatre implantations potentielles d’entreprises figuraient jusqu’alors dans les petits papiers de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, la donne arithmétique semble avoir changé quelque peu au cours de ces dernières semaines.

Pourtant, trois sociétés s’étaient manifestées positivement en signant un accord de principe à leur installation sur le site de cinquante hectares dont YCARE et IBB Tech. La quatrième de ces structures a préféré renoncer à ce jour à cette venue, rendant désormais obsolète sa demande. Une disparition des écrans radar sans doute imputable aux effets pernicieux de la conjoncture actuelle qui pénalise fortement les velléités entrepreneuriales des dirigeants de société.

Mais, le constat est flagrant. Pas l’ombre d’une construction ni l’esquisse d’un bâtiment professionnel ne s’érige sur ce vaste espace aménagé de lampadaires, d’abris bus et d’asphalte situé entre Appoigny et la bretelle septentrionale de l’autoroute A 6.

De quoi susciter des interrogations sur la pertinence réelle de ce dossier dans le cénacle politique de l’Auxerrois. A commencer par l’un des porte-étendards de l’opposition, le premier secrétaire fédéral du Parti socialiste Mani CAMBEFORT qui a interpellé le président de l’Agglo Crescent MARAULT lors de la session communautaire ce jeudi 22 octobre.

 

Pas de PME/PMI originaires de l’Ile-de-France…

 

Une mise au point légitime pour mieux appréhender les tribulations de ce dossier au demeurant vertueux sur le papier qui selon son cahier des charges prévoyait l’installation d’une trentaine d’entreprises de la sphère industrielle et l’accueil à terme de 1 500 emplois. Des éléments favorables devant booster le bassin de l’Auxerrois !

Or, force est de constater que les 34 hectares de foncier proposés sur ce parc qui englobe trente-trois lots de 1 300 à 50 000 mètres carrés ne répondent pas en l’état à cet objectif ambitieux.

 

 

Les emprunts réalisés autour de ces travaux d’aménagement se sont avérés élevés. Sachant que le budget d’investissement pour initier ce parc représentait une enveloppe d’une vingtaine de millions d’euros à l’origine dont deux émanant de subventions de l’Etat, de la Région, et du Département. Une somme affectée à la réalisation d’études, de travaux, à l’archéologie (près d’une dizaine d’années de fouilles et recherches), et à la compensation de l’impact du projet sur l’environnement.

Si le concept avait pour vocation de séduire des PME/PMI franciliennes à la recherche d’un foncier et d’un immobilier attractifs (le prix du mètre carré s’établit à 45 euros), aucune de ces entités professionnelles originaires de l’Ile-de-France n’a pour l’heure daigner contractualiser avec les services de l’organisme communautaire son désir de délocaliser ses structures dans l’Yonne.   

 

 

La Bibliothèque nationale ? Un projet sous-dimensionné au plus offrant…

 

Le président de l’Agglo Crescent MARAULT l’a d’ailleurs précisé dans sa réponse à l’élu socialiste Mani CAMBEFORT : les quatre dossiers déjà étudiés émanaient de sociétés icaunaises ayant choisi un transfert de leurs activités d’une zone d’accueil à une autre. En outre, l’édile d’Auxerre de rajouter que l’impératif critère industriel n’était pas respecté au vu de la typologie desdites entreprises. Celles-ci étant davantage orientées vers la notion de services et de commercialisation…

Lors de cet échange nourri avec les leaders de l’opposition, l’inéluctable question sur la délocalisation de la Bibliothèque nationale de France au nord d’Auxerre surgit de la bouche de l’écologiste Denis ROYCOURT. Un dossier « sous-dimensionné » de l’avis de Crescent MARAULT pour qui les projections de postes (de 80 à 100 pas plus), si tant est que le projet soit retenu après les tours de table et les appels d’offres au plus offrant, ne permettraient pas de répondre au « cahier des charges initial de créer 1 500 emplois ! ».

Un commentaire en forme de boutade, certes, mais qui traduit la lucidité de l’édile d’Auxerre sur le devenir de ce projet.

« Nous serons déjà très satisfaits si nous parvenons à créer 500 emplois sur cette zone, lâcha avec réalisme le président de la Communauté, en arguant que la réalité économique actuelle avait totalement brassé les cartes.

D’autant que la concurrence est rude, voire impitoyable entre les villes de l’Hexagone qui tentent de récupérer la part de ce gâteau de l’attractivité territoriale. Qui se partage désormais à la portion congrue au vu du contexte conjoncturel.

Thierry BRET

 

 


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Première région bénéficiant du dispositif national mis en place dans le cadre du déploiement du plan « France Relance », la Bourgogne Franche-Comté a profité de la venue de la ministre déléguée auprès du ministère de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, jeudi à Dijon, pour annoncer une série de mesures visant une trentaine d’entreprises industrielles. Parmi lesquelles l’Icaunaise TMS Tôlerie Mécanique Service qui profitera de ces aides…

DIJON (Côte d’Or) : Modernisation des entreprises, valorisation et encouragement de l’emploi ou accompagnement dans la diversification : autant de critères qui auront permis à la Région Bourgogne Franche-Comté et à ses partenaires de sélectionner une première liste de structures entrepreneuriales.

Celles-ci, au nombre de trente, deviennent lauréates du Fonds de soutien à l’investissement dans le cadre du concept « Territoires d’Industrie ». Elles profiteront d’une manne financière intéressante, nécessaire à leur développement.

In fine, c’est une enveloppe de 150 millions d’euros qui sera distribuée au titre de ce fonds aux industries favorisant de nouveaux projets de développement. Sachant que ces projets peuvent se rapporter à la création d’emplois, à l’essor des parcours pédagogiques ou aux économies d’énergie.

 

 

L’exemple de TMS, l’une des PME soutenues par ce fonds…

 

Dans le département de l’Yonne, la société TMS (Tôlerie Mécanique Service), localisée à Stigny, dans le Tonnerrois recevra ces subsides. Opérationnelle depuis 1996, la PME est l’un des acteurs clés dans la fabrication de tôlerie fine (découpe laser, poinçonnage, pliage, soudure et usinage) de son territoire.

Dirigée par Thierry LAFARGE, TMS avait procédé à un agrandissement de ses infrastructures en 2018, soit 400 mètres carrés de surface supplémentaire.

L’entreprise icaunaise agit en qualité de sous-traitant sur des secteurs aussi éclectiques que peuvent l’être la conception de machines spéciales, les rayonnages venant équipés les grandes surfaces de vente ou encore les activités de mécanique. Son rayon d’action dépasse largement les frontières de l’Yonne : Dijon, Paris, Lyon ou Strasbourg.

Filiale du groupe Métal Déployé Résistor (Montbard), TMS pèse près de trois millions d’euros de chiffre d’affaires. La PME emploie une vingtaine de collaborateurs et devrait augmenter ses effectifs pour répondre au grossissement de son carnet de commandes. Parmi ses clients, figurent l’emblématique FRUEHAUF ou EFIRACK.

 


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Athlétique, démontrant déjà de prometteuses qualités de placement sur le terrain, ce jeune homme de vingt ans, arrivé de Picardie où il évoluait à Amiens, s’engage pour une durée de trois ans dans le club bourguignon avec un premier contrat professionnel à la clé. Ce défenseur central figure dans les petits papiers du coach Jean-Marc FURLAN…


AUXERRE : A peine vingt ans, et déjà un premier contrat de pro dans l’un des clubs de légende des championnats nationaux : l’AJ Auxerre ! Le rêve s’est donc transformé en douce réalité pour l’Orléanais. Il devient ainsi le troisième joueur évoluant au sein de l’équipe réserve de l’AJA à franchir le Rubicon, en endossant l’habit de professionnel à part entière.

Arrivé au cours de la période estivale en terre icaunaise, le garçon a débuté à Muides-sur-Loire. Mais, c’est sous licence à Blois et s’entraînant au pôle espoir de Châteauroux qu’il a appris ses gammes. Repéré par les dirigeants du FC Lorient où il reste trois saisons, il rejoint ensuite le club d’Amiens en National 3.  

Titularisé lors des huit premières rencontres de National 2, il arbore désormais les couleurs blanche et bleu de son nouveau club de prédilection, l’AJ Auxerre. Jean-Marc FURLAN a déjà un regard bienveillant sur ce jeune défenseur : le jeune homme au gabarit athlétique (1,82 cm pour 75 kg) est régulièrement convié aux entraînements de l’équipe première. Le sas d’entrée obligatoire pour prétendre évoluer un peu plus haut dans la hiérarchie…

 


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