Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ils ont envie de secouer le cocotier politique à en arracher la moindre de ses tubercules envahissants, les représentants de « L’Yonne en Commun » ! Fruit d’un assemblage historique unifiant forces de gauche et écologistes, ses candidats proposent de dire « toute la vérité, rien que la vérité aux Icaunais ». Et de faire, en substance, « toute la lumière sur l’ambiance opaque et obscure » qui règne depuis si longtemps au sein de l’institution départementale…

 

AUXERRE : On se croirait presque dans un prétoire à la lecture des termes utilisés dans les communiqués de presse. Pourtant, que l’on ne s’y méprenne pas, le contexte de cette communication scripturale se rapporte toujours aux élections départementales des 20 et 27 juin.

Les représentants de la liste « L’Yonne en Commun » ont des envies folles de procéder au grand nettoyage de printemps dans l’institution à laquelle ils prétendent jouer les premiers rôles en cas de succès de leurs binômes. Précisons, qu’à l’instar du Rassemblement national qu’elles exècrent, les composantes de cette liste se présentent dans tous les cantons de notre territoire.

« L’Yonne en Commun » repose sur les bases unionistes établies entre le Parti Socialiste, La France Insoumise, le Parti Communiste, la Gauche Républicaine et Socialiste et Europe Ecologie Les Verts. Des citoyens issus de la société civile les ont rejoints. Une entente historique dans notre département qui ne peut qu’évoquer pour les plus anciens les vertus angéliques de l’Union de la Gauche, tel que les hérauts de l’époque, c’est-à-dire les signataires du Programme commun de gouvernement d’union de la gauche, François MITTERRAND, Georges MARCHAIS et Robert FABRE, les avaient entérinés en grandes pompes médiatiques. On connaît la suite, parachevée par la victoire de cette union sacrée au soir du 10 mai 1981.

Dans le cas présent, et là s’arrête la comparaison avec les enjeux nationaux, il ne s’agira en fait que de gravir l’Olympe de l’Yonne en faisant tomber dans l’escarcelle de la gauche, un département inféodé à droite depuis très longtemps.

 

    

Faire la lumière sur le mode opératoire du Département…

 

 

Des mois de tractations furent nécessaires pour aboutir à cette harmonie factuelle qui, a contrario ne l’est pas au plan hexagonal. Toutefois, le mot d’ordre est le suivant : « transparence et participation citoyenne ».

Aujourd’hui, le défi est lancé. Rassemblés sous la même bannière identitaire en étant force de propositions, ces candidats souhaitent bouter hors de l’hémicycle la majorité départementale. En pointant d’un index vindicatif et rageur les « failles d’un système qui, selon eux, n’existera plus à l’avenir ».

Dans le communiqué de presse, il est question « d’opacité, d’obscurité, de décisions prises à huis clos, de luttes fratricides entre mêmes factions de la majorité, de partenariats publics/privés réalisés uniquement pour dorer le mandat présidentiel… ».

Bref, autant d’allégations contre le « système » qui tombent comme les preux combattants à Gravelotte ! Et le grand nettoyage de printemps voulu par « L’Yonne en Commun » ressemble plutôt à un déménagement à réaliser de fond en comble dans l’institution pour tout ce qui s’y trouve !

 

 

 

« Il est grand temps de faire toute la lumière sur le fonctionnement politique du Conseil départemental, clame haut et fort, l’un des acteurs de cette élection, l’écologiste Andrew WALKDEN, se présentant à Auxerre 3, qui explique tout de go lors de la conférence de presse dévoilant ce programme commun, que « la fibre optique ne sera jamais au rendez-vous des Icaunais fin 2023 ».

Il précise : « C’est un leurre ! Tous ceux qui connaissent ce dossier savent que c’est tout simplement impossible ; non seulement, le travail est immense avec un million d’heures de travail pour raccorder les quelques 150 000 habitations encore non-connectés à date, mais en outre que les contrats sont parasités par le manque de connaissance et de formation des services concernés… ».       

Des arguments qui s’opposent aux avis chiffrés des responsables d’ORANGE qui, en matière de déploiement de la fibre optique, maîtrisent leur domaine de compétences…

 

 

La participation citoyenne, une déclinaison largement plébiscitée…

 

Coté projets, en revanche, soulignons une initiative très intéressante qui prendrait la forme d’un Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) à l’échelle du département.

A l’aide de cet outil qui se voudrait participatif, les citoyens seraient ainsi régulièrement consultés, via une expression publique à concevoir entre votations et référendums sur des faits de société prioritaires comme le retour de la vitesse maximale à 90 km/h sur les routes.

La référence participative se développerait également par le prisme d’un grand projet baptisé « Yonne 2030 » (idée qui en son temps soit en 2010 avait déjà été évoquée par le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ sur un tout autre registre purement économique), permettant ainsi d’esquisser les enjeux directionnels et stratégiques de l’Yonne de demain.

 

 

Un autre point qui est abordé par ce programme d’union inédit : le renforcement de la présence des fonctionnaires dans la prise de décisions adoptée par le Conseil départemental.

« Si le département est une entreprise, alors nous le voulons plutôt comme une coopérative qu’une multinationale ! ».

Quant aux grands thèmes de société, valeurs intrinsèques de ces diverses composantes politiques n’en faisant plus qu’une le temps d’un scrutin, ils constituent la colonne vertébrale de cette profession de foi collégiale.

On y retrouvera pêle-mêle le développement durable et la transition écologique, l’essor des circuits courts, l’alimentation de meilleure qualité avec le bio qui s’étend dans la restauration collective y compris les collèges,  le tourisme éco responsable, la lutte contre les discriminations faites aux femmes, l’accompagnement des jeunes dans leur cheminement éducatif et professionnel, l’agriculture paysanne, l’optimisation de la protection sanitaire en luttant contre les déserts médicaux ou la protection animalière…Sans omettre la culture et le sport, de véritables vertus cardinales pour le citoyen d’aujourd’hui, en phase de sortie de crise sanitaire.

 

 

La liste « l’Yonne en Commun » sur les cantons d’Auxerre :

Auxerre 1 :

Yves LEGOFF (EELV),

Carine GUINOT (EELV).

Suppléants : Eric POINSOT (PS) et Sabine TORT (citoyen).

Auxerre 2 :

Marie-Noëlle LEHODEY (LFI)

Vulfran BENARD (LFI)

Suppléants : Luc DUINAT (EELV) et Pascale MARLIN (PCF).

Auxerre 3 :

Laurence BONDOUX (citoyen),

Andrew WALKDEN (EELV).

Suppléants : Brigitte NAHAN (Divers gauche) et Mathieu DEBURGHRAVE (LFI).

Auxerre 4 :

Christiane ANTENNIE (EELV) et Denis ROYCOURT (EELV) ;

Suppléants : Sylvie MOSTAERT (citoyen) et Thierry PICQ (LFI).

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le siège des « Estivales de Puisaye » à Champignelles était en effervescence il y a peu. Cette belle équipe de bénévoles s’y est retrouvée pour trier, ranger, préparer accessoires et matériels en vue de la dix-neuvième saison. Vice-président de la structure associative, Gilles PETITOT a répondu à nos questions. La semaine a été dure. La tension s’entendait au téléphone lors de la prise de rendez-vous. Il avait d’ailleurs été différé. D’où ce mot de l’intéressé : « pardon, c’est un peu cavalier… ».

 

CHAMPIGNELLES : Maintenant, assis derrière un bureau que les dossiers encombrent, Gilles PETITOT sourit. Détendu, il explique les tenants et aboutissants de la convention qui a été signée hier. « Nous allons pouvoir héberger tout le monde… ».

Depuis des années, l’internat du lycée agricole est mis à disposition. Choristes, musiciens et bénévoles y séjournent. « Héberger de 80 à 120 personnes simultanément, ce n’est pas si aisé » glisse notre hôte.

Le lycée agricole a quitté Champignelles pour Venoy. Le Conseil régional est vendeur des murs. La communauté de communes est acheteuse, mais pas au même prix. Est-il possible de s’entendre à quelques semaines d’un scrutin ? Personne ne voulant être responsable d’un désastre, un accord a été trouvé pour cet été 2021, pour ne pas mettre en péril « les Estivales de Puisaye ».

 

HAENDEL et les Frères JACQUES : entre diversité et qualité…

 

Président et directeur artistique, Philippe BROCARD a élaboré le programme. Par prudence, il a renoncé à créer une opérette cette année. Par prudence aussi, Gilles PETITOT a tout mesuré au moindre centimètre près dans tous les lieux de concerts.

« Nous ignorons les jauges qui pourraient nous être imposées. Nous avons travaillé trois hypothèses. Nous avons calculé le nombre de places pour chacune. Nous n’ouvrirons la billetterie qu’en ayant l’assurance de pouvoir recevoir chaque spectateur » précise le vice-président avec la tranquille assurance de celui qui n’en est pas à son premier marathon.

Comment parler du programme de cette 19ème édition sans évoquer chaque spectacle ?

Le compositeur Rémi GOUSSEAU, fondateur des Estivales, apporte un concerto pour clarinette. Il sera créé le premier soir, en l’église de Saint-Privé. Antonio Vivaldi et Gabriel Fauré figurent également au programme. Ce sera le 13 août.

Le 14, à Aillant-sur-Milleron, Sara CHENAL, au violon, et Olivier PELMOINE, à la guitare, transporteront le public. Ils lui feront franchir l’océan, évoquant tour à tour l’Argentine et l’Italie. Unir cordes et âmes, tout un programme d’une harmonieuse élégance.
La soirée au château de Saint-Fargeau débutera par la musique lors des feux d’artifice royaux, de G.F Haendel. Qui dit mieux pour un 15 août ?

A Charny, le 17, cinq voix masculines et puissantes rendront un hommage vibrant aux célèbres Frères JACQUES.

 

 

Des bénévoles qui vibrent de leur passion…

 

Le concert symphonique du 18 sera donné à Saint-Sauveur-en-Puisaye. Le concerto pour piano n°3 de Rachmaninov clôturera la soirée. Avec Aurélien PONTIER au piano !

La musique traditionnelle sera à l’honneur, le 19 à Sommecaise. Les répertoires roumain, serbe, bulgare et moldave sont à l’ordre du jour. Carte blanche a été donnée à la Maîtrise Saint-Louis de Gonzague de Paris pour le vendredi 20 à Champignelles.

Bléneau ouvre sa salle des fêtes, le 21, pour un spectacle musical. Que peuvent quatre clarinettistes virtuoses face à un percussionniste déjanté ? A voir pour le croire !

Enfin, le grand concert de clôture est programmé deux fois : à Nogent-sur-Vernisson le 21, puis à la cathédrale d’Auxerre le dimanche 22.

Un dernier mot : toute l’organisation des « Estivales de Puisaye » repose sur le bénévolat. L’association ne salarie personne. Les bénévoles sont tous des passionnés. Ils sont amoureux de la Puisaye. Ils ont la musique au cœur et l’envie de partager. Ils ne demandent qu’à partager leur passion avec le public…

 

En savoir plus :

 

www.estivales-puisaye.com

 

Thierry CARABIN

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le Pôle environnemental d’Auxerre ne possède plus de secrets pour la tête de liste de la majorité présidentielle, le maire de Nevers La République en Marche Denis THURIOT. En compagnie d’une petite délégation, il en a visité les moindres recoins il y a peu. Convaincu par la pertinence novatrice de cet outil, sujet par le passé à bon nombre de commentaires versatiles de la part du microcosme politique…

 

AUXERRE : Il questionne beaucoup, le candidat de la liste « La Région partout et pour tous ». Se forgeant sa propre opinion sur le bien-fondé d’une réalisation à l’architecture si inédite qui est posée là dans un décor très verdoyant à deux pas de l’Yonne.

Même si la construction et surtout ses finalités fonctionnelles ont pu faire couler beaucoup d’encre dans le landerneau par le passé. Voire secouer le cocotier de certaines séances plénières de la communauté d’agglo !

Pourtant, il n’y a pas de critiques manifestes à l’encontre de l’édifice tel qu’il lui a été présenté par l’hôte de ces lieux, Emmanuel JOBARD. Le référent officiel du Pôle environnemental assume avec professionnalisme son rôle de « guide » durant cette visite d’environ une heure.

 

 

Le Pôle environnemental ? Un très bel endroit…

 

Bien au contraire, Denis THURIOT qualifie le site de « très bel endroit ». Un espace qui représente, selon lui, « une véritable attente pour celles de ces entreprises qui veulent jouer plein pot la carte de la transition écologique et du  développement durable… ».

Alors s’il est élu au terme de cette courte campagne au poste suprême de président de Région, consentira-t-il à débloquer des subsides pour encourager au développement de ce site encore très peu exploité au plan économique ?

La réponse ne se fait pas attendre, une fois la question posée. Elle est favorable à 100 % et sans renâcler !

 

 

L’élu de la Nièvre qui s’invite dans la bataille de ces régionales 2021 avec des prétentions de victoire considère ce type d’équipement dans l’air du temps. Une réelle aubaine pour celles et ceux qui placent le digital durable parmi leur cible de développement. « Un tel édifice devrait exister dans la plupart des grandes villes que compte notre contrée… »

Tiens, tiens, ce n’était pourtant pas l’avis de tout le monde au moment de sa sortie de terre dans l’Auxerrois !

 

 

Pas de favoritisme territorial en cas de succès le 27 juin au soir !

 

D’une pièce à l’autre, d’une déambulation proposée depuis le rez-de-chaussée jusqu’aux étages supérieurs après un sympathique tour sur la terrasse ensoleillée, Denis THURIOT aura eu le loisir, en présence de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre qui roule à ses côtés, de découvrir les diverses subtilités stratégiques et architecturales de ce bâtiment conçu sur…pilotis.

Le point d’orgue idéologique du candidat en campagne demeure la proximité. Il ne cesse de le marteler. Comme peut l’être ce pôle environnemental. Il s’inscrit dans cette veine identique pour choisir ses futures orientations occupationnelles.

Une proximité que le candidat fédérant LREM, le Mouvement démocrate (MoDem), AGIR et Territoires de Progrès partage avec l’édile d’Auxerre Crescent MARAULT.

Avant que ne se déroule cette visite, les deux hommes ont eu le privilège de s’entretenir quelques instants à l’hôtel de ville. Bien loin des regards indiscrets des médias ! Dommage !

Opposer à tout favoritisme territorial, l’élu du département qui paraît être le moins favorisé de la Bourgogne entend bien trouver le juste équilibre entre zones urbaines et secteurs champêtres parmi les huit départements dont il aurait à assurer l’essor économique en cas de réussite au soir du 27 juin.

Sans doute une réminiscence de son corpus intellectuel, lui l’avocat qui aime avant tout autre chose que la justice règne…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le clapotis de l’eau ne semble nullement gêner les orateurs. L’astre diurne illumine le quintette réuni à l’heure H, telle qu’elle a été convenue. Drôle d’endroit pour tenir une conférence de presse à vocation politique ! Les rives de l’Yonne se prêtent néanmoins à cet exercice qui ne souffre ni de mélancolie ni de morosité. Pourtant, l’un des cinq, l’ancien édile et conseiller départemental Robert BIDEAU n’est plus de la partie. Qu’importe ! Faisant fi de tous regrets, sa présence est un soutien inconditionnel aux quatre mousquetaires qui reprennent le relais !

 

GURGY : C’est bien le flambeau de l’actuelle majorité départementale dont il est question avec la présentation de ces quatre candidats qui s’attaquent à la conservation du canton d’Auxerre 2. Un secteur géographique qui avait vu la victoire nette et sans bavure de la doublette composée de Malika OUNES et de Robert BIDEAU au printemps 2015.

A l’époque, l’ancien maire de MONETEAU et la future présidente d’INIACTIVE 89 arboraient les couleurs d’une droite modérée, oscillant entre une UDI bon teint et un centre droit enclin à un futur ralliement présidentiel. Le tandem avait expédié d’un revers de main dans leurs pénates les porte-voix du Front national d’alors, Sylviane BOURGEOIS et Julien GUIBERT. Un large succès réunissant plus de 63,35 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 52,26 %.

Or, une question brûle sur toutes les lèvres aujourd’hui dans ce canton très prisé par les diverses candidatures : en sera-t-il de même lors de cette double échéance du 20 et 27 juin, associant les élections régionales ?

Des quatre patronymes d’il y a six ans, il n’en reste plus qu’un seul qui souhaite poursuivre son rôle majeur, voire victorieux, à l’issue de ces retrouvailles électives si importantes.

Il s’agit naturellement de la conseillère départementale sortante Malika OUNES. Cette dernière revendique et surfe aujourd’hui sur le bilan positif obtenu par Patrick GENDRAUD au terme de la mandature dont elle fut l’un des porte-voix les plus communicatifs. Avec en filigrane, la réduction d’une dette maîtrisée et surtout le retour à des velléités excédentaires qui permettent d’envisager l’avenir sous de meilleurs auspices, grâce de nouveaux investissements.

 

 

L’indéfectible soutien de Patrick GENDRAUD au nom de la droite, du centre et des indépendants…

 

Et, sur ce registre, la tour de contrôle du développement numérique du territoire icaunais a le regard qui s’illumine comme autant de diodes d’un ordinateur lorsqu’elle évoque son unique priorité à tenir : servir l’intérêt général.

Dès l’annonce sans surprise de sa candidature, une pluie de témoignages empathiques s’est abattue comme une giboulée de mars au-dessus de ses épaules.

Ceux des fidèles d’entre les fidèles, le saint des saints des suiveurs inféodés à son dynamisme et à sa verve qui n’a pas pour habitude d’être mâtinée de langue de bois ni de circonvolutions alambiquées !

Dans ce « fan-club », on y retrouve, quoi de plus naturel en somme, la moitié masculine de l’ancien binôme qui l’a porté sur le perchoir de l’hémicycle départemental, en sa qualité de vice-présidente en charge du numérique : Robert BIDEAU.

Retiré définitivement de la vie politique, l’ancien édile de MONETEAU qui a claqué la porte sans crier gare du conseil municipal le mois dernier ? En tout cas, son influence demeure très prégnante. Cela se voit. A l’identique de son bilan dont beaucoup se revendiquent aujourd’hui…

 

 

 

 

 

 

On ne peut effacer indubitablement vingt-cinq années de vie publique (municipalité et département confondus) en deux coups de cuillère à pot ! Même l’adversaire d’hier, Patrick PICARD, rallié à sa cause désormais, vit comme un état de grâce ce privilège de marcher dans les pas de l’auguste personnage, omnipotent de ce canton.

Autre figure politique qui cautionne l’existence de ce binôme, bénéficiant de son « indéfectible soutien et son appui total » : le président de l’exécutif départemental en personne !

Patrick GENDRAUD considère en effet ses deux représentants ainsi que leurs suppléants, la trentenaire Emilie LAFORGE, nouvellement élue à Branches en charge des cheminements doux à l’Agglo de l’Auxerrois, et Emmanuel CHANUT, édile de Perrigny depuis 2014, comme membres à part entière de la majorité départementale droite, centre et indépendants. Un choix qui s’est fait au nez et à la barbe du binôme pourtant estampillé divers droite qui est piloté par Arminda GUIBLAIN et Magloire SIOPATHIS !

Ce quitus accordé par le président de la vénérable institution ressemble à s’y méprendre à un cadeau déposé dans la corbeille de la mariée pour ce nouveau couple politique constitué de deux personnages à tempérament.

 

Des axes prioritaires dont la santé, le numérique et la mobilité…

 

Sans ambages, du côté des ralliements à leur cause, le député de la deuxième circonscription, et ancien homme fort du Département, André VILLIERS, ajoute une couche de Ripolin supplémentaire sur le binôme d’Auxerre 2. « Une liste qui est la plus représentative à ses yeux… ».

Mais, le plus étonnant de ces soutiens VIP émane du milieu sportif. A commencer par l’inénarrable ancien entraîneur de l’AJ Auxerre, le toujours charismatique Guy ROUX. Entre deux séances de dédicaces servant à la promotion de son ultime opus (« Confidences »), l’homme au bonnet bleu transforme le pénalty en faveur de la pasionaria de la fibre optique, de l’économie sociale et solidaire. Un but à zéro, la balle dans le rond central avant de réengager la partie !

Enfin, avant de se lancer dans son long raid cyclotouriste qui le mènera d’ici peu au pied de l’une des plus grandes tours de la planète à Dubaï, Abderrazzack EL BADAOUI s’est fendu, lui aussi, de son message honorifique. Il a salué une vieille amitié qui perdure avec Malika OUNES, une relation qui s’est bonifiée depuis vingt ans, empreinte d’humanisme et d’altruisme…

 

 

 

Bref, tous ces compliments s’amoncellent façon « Très Haut Débit » pour celle des candidates qui désire porter un intérêt tout particulier au monde associatif, clé de voûte de la cohésion sociale d’un territoire.

De son côté, l’ancien vice-président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne) Patrick PICARD entend bien jouer lui aussi les notes harmonieuses de sa partition.

Pour se faire, l’ex-premier adjoint de MONETEAU décline son engagement dans cette campagne autour de trois axiomes prioritaires : la lutte contre la désertification sanitaire, à son paroxysme avec les effets de la COVID, favoriser le contournement sud de la ville d’Auxerre sans omettre d’évoquer la nécessaire déviation septentrionale de la même agglomération et enfin un fort accompagnement des communes dans la réalisation de leurs projets.

Un autre dossier domine les préoccupations de cette équipe : le développement de l’aérodrome d’Auxerre Branches via l’essor de l’aviation d’affaires tout en préservant et en défendant l’environnement. Sans que le moindre végétal ne soit abattu in fine. Cet item crucial dans des perspectives favorables à l’économie fera l’objet d’un article à paraître prochainement dans nos colonnes…

D’ici là, les héritiers légitimes de Robert BIDEAU vont tenter de convaincre leur électorat pour que se poursuive au quotidien après le 27 juin le travail prospectif entamé initialement par ce dernier…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elle connaît le territoire de l’Yonne comme le fond de la poche de l’imperméable qu’elle porte ce jour-là, Véronique MORLIGHEM ! Il est vrai que la déléguée régionale d’ORANGE en Bourgogne Franche-Comté n’est pas avare en déplacements. Profitant de l’inauguration de la énième armoire accueillant la fibre optique, le porte-voix de l’opérateur s’est rendu dans l’Auxerrois afin de constater que le déploiement de ce moyen de communication progresse à grands pas…

 

BLEIGNY-LE-CARREAU : 118 armoires accueillant les fils multicolores de la fibre optique (selon la diversité des entreprises proposant les services de ce mode de communication) ont déjà été installées sur le bassin de l’Auxerrois.

Est-ce à dire que la responsable régionale du groupe ORANGE, qui en facilite l’accès direct sur le terrain, aurait participé à chacune des inaugurations officielles aux côtés des autorités ? Si tel était le cas, les kilomètres affichés au compteur de son véhicule qui lui permet de voyager entre le siège de Côte d’Or et le département septentrional de Bourgogne seraient proprement vertigineux !

 

 

 

Plus sérieusement, cela traduit que la patronne de l’opérateur de télécommunication veille de très près à la bonne fonctionnalité des réalisations. Comme elle le pratique à chaque rendez-vous, accompagnée de deux de ses partenaires institutionnels en charge du développement du numérique, soit au plan départemental, Malika OUNES, soit au plan de l’agglomération de l’Auxerrois, Arminda GUIBLAIN, Véronique MORLIGHEM a donc profité de cette antépénultième visite accordée à l’Yonne pour faire le point de la situation.

Un contexte qu’elle qualifie de positif, non loin de la face émergée de l’iceberg fibre optique, c’est-à-dire ladite armoire métallique, unique représentation visuelle palpable aux yeux du commun des mortels à propos de ce sujet.

ORANGE, devait-elle rappeler, déploie à l’heure actuelle la fibre optique sur ses propres deniers dans une vingtaine de localités de cette agglomération auxerroise. Tout ceci sous le sceau du plan France Très Haut Débit.

 

 

 

 

96 % des logements de localité de l’Auxerrois peuvent souscrire une offre…

 

L’opérateur installateur de ces armoires ne chôme pas. Circulation de la COVID ou pas, d’ailleurs ! 600 000 logements de notre contrée régionale disposent déjà des connexions idoines, les reliant au monde à la vitesse de l’éclair. Sur le bassin auxerrois, ce chiffre équivaut à plus de 33 000 logements. Soit 84 % du parc potentiel de foyers à raccorder.

A Bleigny-le-Carreau, environ 96 % des 160 logements que compte la bourgade dirigée par Frédéric PETIT, peuvent désormais souscrire à une offre auprès du fournisseur d’accès Internet de leur choix.

Dans l’absolu, il ne reste plus que cinq habitations à équiper ; autant dire une broutille qui devrait être rapidement comblée.

 

 

 

Au-delà de ces armoires, ORANGE poursuit l’installation des points de branchement. Ce sont des petits boitiers qui sont indispensables pour faciliter le raccordement des logements à la fibre. L’opérateur en appelle à la mobilisation des bailleurs, des particuliers, des syndics à accepter la pose de ces points de branchement sur leur façade ou à l’intérieur des bâtiments à raccorder.

Rappelons que le terme de ce déploiement est prévu fin 2022. Conformément aux engagements pris par l’Etat pour réduire la fracture numérique et offrir l’accès aux moyens de communication modernes à chacun des Français.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil