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L’ex-responsable de « S’Engager pour l’Auxerrois » a bien failli réussir son pari. Celui de l’emporter au soir du second tour de ces départementales qui auront brillé par le taux d’abstention record. Même si, sur le canton d’Auxerre 4, avec le binôme qu’il constituait aux côtés de Fanny TURPIN, il s’en est fallu d’un cheveu pour qu’il ne coiffe sur le fil du rasoir la figure de proue du MoDem de l’Yonne, Pascal HENRIAT.

 

AUXERRE : Question à soumettre aux candidats de l’épreuve du baccalauréat littéraire, option philosophie : « en matière de défaite électorale, est-il plus acceptable pour son bien-être psychologique d’être battu à plate couture avec six mille voix d’écart sur son adversaire que d’échouer d’un petit rien à six voix près ? ». Le sujet mérite amplement réflexion car il n’est guère commun dans le paysage politique actuel.

Six voix d’écart, c’est ce qui sépare le vainqueur de l’élection départementale sur le canton d’Auxerre 4, le MoDem Pascal HENRIAT, associé à Delphine BILLON, du binôme citoyen et sans étiquette, composé de Fanny TURPIN et de Mathieu DEBAIN. Une nano seconde en référence temporelle, un simple chouia sur un plan plus trivial !

Pour autant, le groupe « Un Nouvel Avenir » où se raccordaient également Laura DEON et Christophe SYDA en leurs qualités de suppléants, totalisait 1 490 voix aux alentours de 22h30 en cette journée dominicale, décidément peu ordinaire à vivre. Arrivés en tête à Auxerre et au coude-à-coude à Chevannes, le quatuor n’aura pu savourer sa victoire au terme d’une soirée si riche en péripéties.

 

 

Des irrégularités importantes pouvant donner lieu à un recours…

 

Mais, à quoi tient précisément ce différentiel aussi minime qu’il soit in fine ? Selon ces quatre mousquetaires, prêts à en découdre initialement sur le terrain du juridique, « à trois importantes irrégularités… ».

« Nous avons pris attache avec un avocat spécialisé, explique Mathieu DEBAIN, ce dernier a conclu qu’un recours permettrait de faire invalider cette élection. Or, après réflexion, nous n’irons pas dans ce sens… ».

Le motif de cette décision est simple, en vérité. Les deux chefs de file et leurs remplaçants ne veulent pas prendre les électeurs en otage ni être responsables d’un nouvel échec démocratique qui placerait à coup sûr l’abstention à un niveau record, supérieur à 80 % en cas d’échéance partielle.

 

 

Une sage analyse qui n’empêchent pas de rasséréner les quatre anciens prétendants aux départementales sur le bien-fondé de leurs candidatures.

« Le résultat est honorable et atteste qu’il est possible de faire de la politique sans soutien de partis, précisent en chœur via un communiqué de presse les quatre candidats du « Nouvel Avenir ».

Et de poursuivre, « en proposant aux habitants de notre territoire des projets pour son développement, c’est un espoir de dépasser les vieux clivages… ».

En l’occurrence ceux qui opposent traditionnellement la gauche de la droite.

Prophétiques, Fanny TURPIN, Laura DEON, Mathieu DEBAIN et Christophe SYDA prennent d’ores et déjà acte avec leurs électeurs (et potentiellement les autres votants) en promettant de revenir avec de nouveaux projets, lors de prochaines échéances.

Serait-ce une allusion à peine voilée aux prochaines législatives ou aux municipales ?

 

Thierry BRET

 


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C’est une question d’équilibre entre partenaires. En filigrane, le maître mot, justifiant la signature de cet accord de coopération entre Paris et le territoire de l’Yonne. Une convention faite de réciprocité, de partage de valeurs qui augure de réelles perspectives à moyen terme pour ses signataires. Ainsi que les filières qu’ils représentent. L’agriculture, fournisseur de denrées alimentaires, et le tourisme dont il sera louable de consolider la promotion dans la capitale…

 

JOIGNY : Ce n’est pas tous les jours qu’un accord de partenariat valide le rapprochement entre la capitale de l’Hexagone et les organismes institutionnels qui défendent les intérêts économiques de l’Yonne.

Ce n’est pas tous les jours, non plus, que l’édile de Paris se déplace sur notre territoire, au demeurant si peu éloigné de la première métropole hexagonale. Surtout, pour y parler développement de projets et d’économie.

Autant dire que la visite de Madame le maire de Paris, Anne HIDALGO, revêtait d’un caractère très particulier à la limite de l’évènementiel. Il suffisait pour s’en convaincre d’observer l’aéropage d’élus et de personnalités présents dans le salon d’honneur de l’hôtel de ville de JOIGNY. Au premier rang desquelles siégeait l’ancien président du Conseil départemental et ministre de la Coopération, Henri de RAINCOURT. Un élu aux appétences LR.

Conviée par Nicolas SORET, maire mais aussi président du PETR Nord-Yonne (Pôle d’Equilibre Territorial et Rural) et de la Communauté de communes du JOVINIEN, Anne HIDALGO ne s’était jamais rendue de manière officielle dans le centre de l’Yonne. L’opportunité lui en a été donnée ce 24 juin. Elle y a paraphé l’important document qui lie désormais la ville monde que représente la capitale à notre territoire.

 

 

Des lentilles vertes à la conquête des cantines parisiennes…

 

De quoi s’agit-il précisément avec la présence de cette liasse de papiers ? De renforcer tout bonnement les relations économiques entre les deux instigateurs de ce partenariat.

La Ville de Paris, via la compagnie « Eaux de Paris », est propriétaire de champs favorisant la captation de l’eau dans l’Yonne, et ce, depuis longtemps. Ne dit-on pas, volontiers, que quatre Parisiens sur dix boivent de l’eau en provenance de notre département ?

L’Yonne possède des vertus nourricières envers la métropole voisine et ses 2,2 millions d’habitants. Grenier fruitier et légumier séculaire de la capitale, le territoire du nord de la Bourgogne a toujours entretenu des relations privilégiées avec sa puissante voisine. Le bois, les céréales, le vin, le lait transitent immuables vers Paris au gré de la rivière et de ses bateaux lourdement chargés. Celle qui coule jusqu’à Montereau, avant de se muer en un fleuve, la Seine.

Effet gigogne en guise de bon procédé : bon nombre de structures industrielles quittent la capitale pour s’installer dans cette partie de la province dans les années 1950 sous l’impulsion de Charles de GAULLE. C’est donc à une vieille histoire d’amour perdurant entre Paris et la terre icaunaise que nous avons à faire avant que celle-ci ne s’altère au début des années 1980.

Entraînant une trop longue période d’oubli.

 

 

 

Mais, le Conseil de Paris a une autre idée en tête. Elle prend corps, en partie, grâce à la maturation du temps. Premier aspect : l’Yonne et la capitale expérimentent l’installation d’agriculteurs bio. Ils produisent des lentilles vertes de très belle facture sur les terrains que possède la métropole lui servant de zone de captation de l’eau. L’expérience enregistre d’excellents résultats. Une fois récoltées, ces lentilles sont ensuite servies directement dans les cantines du XIème arrondissement, sans un quelconque intermédiaire.

Les professionnels de la filière, ceux de la Terre d’Othe, se frottent les mains. Non seulement, leurs produits nourrissent les jeunes têtes blondes scolarisées de la capitale, mais l’initiative, encourageante, augmente la rémunération des producteurs. Un constat positif, à l’origine de l’accord de coopération entériné ce jeudi 24 juin.

 

 

Agriculture et tourisme : les secteurs avantagés par ce contrat commercial gagnant/gagnant…

 

Il y a douze mois, le Conseil de Paris vote à l’unanimité la ratification de cet accord. Il en est de même chez ses deux partenaires icaunais, lors d’assemblées délibératives, le PETR Nord-Yonne, instance présidée par Nicolas SORET, et le PETR du Grand Auxerrois, dont le premier vice-président n’est autre qu’Etienne BOILEAU, signataire ce jeudi.  

Toutefois, un bénéficiaire de cette convention hautement stratégique suit avec moult  intérêts l’évolution du dossier. La Chambre d’Agriculture de l’Yonne qui en a étroitement défini les fondements.

L’organe consulaire, présidé par Arnaud DELESTRE, aurait eu tort de se priver de ces tractations dont il est profitable. L’accord offre, en effet, une immense opportunité pour les producteurs de l’Yonne d’ouvrir grandes les portes du juteux marché parisien. Avec en sus, une garantie de volumes et de prix sur plusieurs années !

 

 

 

Le contenu de ce premier rapprochement qui en appelle peut-être d’autres à terme s’articule autour de trois axes principaux : primo, la fourniture de denrées alimentaires à la ville de Paris ; secundo, la fourniture de matériaux issus de produits renouvelables destinés à la rénovation des logements parisiens ; tertio, l’aide que va apporter les structures ad hoc de la capitale à la promotion des richesses patrimoniales et touristiques de l’Yonne.

En résumé, l’agriculture et le tourisme devraient être les secteurs économiques largement avantagés par ce contrat gagnant/gagnant qui ne demande qu’à se développer très vite.

Une cerise vient aussi se rajouter sur ce gâteau aux subtilités déjà succulentes : la visibilité offerte aux producteurs. Ceux-ci pourraient toujours réinvestir dans des outils de transformation qui leur permettraient de créer de la valeur ajoutée dans notre département.

Un vœu, cher à Nicolas SORET, qui se satisfait pleinement d’engager un travail concret avec le monde agricole…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ils ont recueilli 14,49 % des suffrages dans le canton d’Auxerre 2, âprement disputé entre les listes SIOPATHIS/GUIBLAIN et OUNES/PICARD. Pour autant, le ticket LFI de l’union des forces de gauche, « L’Yonne en Commun », veut rester en vie lors de ces départementales. Même s’ils ne donnent pas de consigne de vote, Marie-Noëlle LEHODEY et Vulfran BENARD se réjouissent du recul du Rassemblement National…

 

AUXERRE : En obtenant 611 voix sur le très disputé canton d’Auxerre 2, les représentants de La France Insoumise (LFI), engagés sous les couleurs de la liste de l’union des forces de gauche, n’auront pu rivaliser longtemps avec les deux poids lourds de cette départementale : à savoir l’attelage d’élus composé de Magloire SIOPATHIS, maire d’Appoigny et d’Arminda GUIBLAIN, édile de Monéteau face à la conseillère départementale sortante, Malika OUNES, associée à Patrick PICARD.

Pour autant, au-delà des électrices et des électeurs qui leur ont accordé leur confiance, le tandem La France Insoumise, s’il ne soutient aucune des deux listes de droite encore qualifiées pour le second tour de ce dimanche 27 juin, se réjouit du recul enregistré par le parti bleu marine.

 

 

Avec en substance une petite phrase, extraite de leur communiqué de presse, qui en dit long sur ce que doivent faire leurs électeurs lors de la prochaine journée dominicale : « Nous savons pouvoir compter sur l’intelligence de nos électeurs et leur faisons confiance sur leur choix au second tour… ».

En terme clair, une fois traduit dans les interprétations, pour barrer la route aux abstentionnistes, phénomène qui interroge dans toutes les alcôves politiques et faire reculer les prétendants à l’estampille du RN, l’essentiel est de se mobiliser et de voter ! En son âme et conscience, évidemment…

 

Thierry BRET

 


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Pierre par pierre, les affres du temps ont endommagé les vestiges de cet ouvrage d’art, érigé en 1684 au-dessus de l’Yonne. Né de l’imaginaire fertile de l’un des architectes ayant les faveurs du Roi-Soleil, Libéral BRUANT, ce monument emblématique de la localité septentrionale du département connaîtra d’ici peu une véritable cure de jouvence afin de lui rendre l’apparence de son lustre d’antan. D’un coût de 356 000 euros hors taxes, le projet a su mobiliser partenaires privés et publics dont GROUPAMA et le Crédit Agricole…

 

PONT-SUR-YONNE : Les premiers coups de pioche sont imminents ! D’ici septembre, débuteront les travaux de restauration de l’un des ouvrages d’art les plus emblématiques du nord de notre territoire, le Vieux-Pont, construit au XVIIème siècle à Pont-sur-Yonne la bien-nommée.

Le nettoyage et la consolidation de ces vestiges patrimoniaux qui enjambèrent jadis la totalité de la rivière débuteront au plus tôt dès la fin de l’été pour une durée comprise entre six à huit mois.

Très abîmé mais en l’absence de tout danger d’effondrement, l’édifice sera de prime abord nettoyé avant d’être renforcé au niveau de ses moellons avec une reprise des joints. Les voûtes et le tablier feront l’objet de travaux de sécurisation avant de recevoir un enduit à la chaux.

La troisième arche, passablement détériorée par les aléas de la météo et le poids des années, bénéficiera elle aussi d’une rénovation très appréciable à son esthétique.

Il sera également réalisé un ponton pourvu d’un tablier en acier galvanisé et revêtement en bois. L’extrémité du monument recevra en outre une construction en verre armé et garde-corps en acier. Des éléments à l’inspiration contemporaine qui n’altèreront en rien la beauté de l’ouvrage, doté dans cette nouvelle configuration d’un éclairage des arches et du ponton approprié.

 

 

Le Vieux-Pont : un édifice originel en bois datant de… 1175 !

 

Classé à l’inventaire des monuments historiques depuis février 1991, le Vieux-Pont, situé à quelques encablures du tout aussi célèbre Pont-Neuf (la construction achevée en 1942 fait depuis peu couler beaucoup d’encre dans le sérail médiatique mais pas pour les mêmes raisons !), a été conçu par l’un des architectes favoris de Louis XIV, Libéral BRUANT.

Détruit pendant le second conflit mondial, plusieurs fois remanié, avant d’être déclassé en amont de la guerre, ce pont a connu des étapes existentielles difficiles au gré de l’histoire, même une fois terminées les exactions sanglantes entre les hommes.

La majeure partie de ces vestiges séculaires disparurent après la Libération et dans les années qui suivirent. Rappelons qu’à l’origine, l’édifice était fait uniquement de bois et ce, depuis…1175 !

Pourtant, l’Association de sauvegarde du Vieux-Pont ne s’en laisse pas compter. Son souhait le plus cher qui justifie sa constitution depuis plusieurs mois n’est autre que la réhabilitation de l’infrastructure la plus emblématique de la commune, chargée d’histoire.

Sous la houlette de son président, Patrick BIELECKI, le projet de rénovation prend forme avec le concours de la municipalité et de son édile, le conseiller départemental Grégory DORTE. Ce dernier voit d’un très bon œil ce projet d’embellissement de l’une des pièces maîtresses du patrimoine local, non loin de l’église qui domine l’édifice. Un site agréable au regard faisant l’objet de la curiosité des touristes.

Architecte, Hervé CAZELLE a présenté un projet très original de valorisation de la structure séculaire ; un concept judicieusement baptisé : « Construire sans oublier ». Un clin d’œil appuyé aux références historiques de ce pont qui a su traverser les siècles en restant arc-boutés sur ses fondations.

Pour mener à bien le projet, la municipalité s’est rapprochée de la Fondation du Patrimoine, et de l’un de ses représentants, en la personne de son délégué régional en Bourgogne Franche-Comté, Jean-Christophe BONNARD.

Objectif de la convention de souscription qui en a résulté : le lancement d’une campagne de mobilisation du mécénat populaire ayant pour vocation de recueillir des fonds indispensables à la restauration de l’édifice. Sachant que le coût global de ces travaux comprenant la maçonnerie, la métallerie, la serrurerie ou encore l’électricité s’élève à 356 000 euros hors taxes.

Conséquence, particuliers, milieux associatifs mais également entreprises ont pu s’engouffrer dans la brèche en devenant de généreux donateurs, bénéficiant d’avantages fiscaux incitatifs. La collecte participative devant à terme rapporter 50 000 euros.

 

 

Des mécènes qui agissent au nom de la préservation du patrimoine…

 

Parmi les acteurs économiques qui ont sauté sur l’occasion, du fait de leurs politiques stratégiques en matière de préservation du patrimoine, deux noms sont à retenir dans une liste qui comprend aussi le SDEY (Syndicat départemental des énergies de l’Yonne, la Région ou le Département).

D’une part, et ce n’est pas une surprise, il y a le Crédit Agricole Champagne Bourgogne. La caisse régionale a pris à sa charge, dans le cadre de son partenariat avec la délégation régionale de la Fondation du Patrimoine l’impression des différents outils de communication, sensibilisant à l’ouverture de la souscription. L’établissement financier intervient également au titre de sa Fondation AGIR.

D’autre part, on retrouve un autre poids lourd du mécénat patrimonial de notre territoire, l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire.

On connaît l’appétence de ce leader du secteur assurantiel pour inscrire dans le marbre son ancrage territorial. Ne serait-ce que dans l’Yonne où la délégation départementale du groupe est très investie à la poursuite de l’embellissement du château de Saint-Fargeau (les souvenirs de Jean d’ORMESSON y font toujours frissonner de plaisir tous les visiteurs qui en apprécient le site) depuis le retour en grâce de la chambre de la Grande Mademoiselle côté joliesse de la décoration.

 

 

Citons également l’illustre demeure du père scriptural du comte de Monte-Cristo, Alexandre DUMAS, qui depuis l’action de mécénat entamée par GROUPAMA, brille de mille feux en séduisant ses innombrables visiteurs de passage au Port-Marly (Yvelines).

Dans le dossier qui nous interpelle, GROUPAMA Paris Val-de-Loire a placé la coquette somme de 25 000 euros dans la corbeille de la mariée, à savoir l’Association de sauvegarde du Vieux-Pont.

Un geste altruiste que son directeur départemental, Jacques BLANCHOT, expliqua lors de sa prise de parole, aux côtés de son président Pascal MAUPOIS, lors de la présentation officielle de ce lancement de projet devant faire place désormais aux travaux.

A ce titre, une signature de convention de mécénat sera officiellement paraphée début septembre par l’ensemble de ces acteurs qui ne veulent qu’une seule chose en vérité : faire en sorte que le Vieux-Pont resplendisse comme au temps jadis tel un joyau architectural sorti de son écrin !

 

Thierry BRET

 

 

 


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La crise actuelle n’a nullement brouillé les projets de développement qui se faisaient jour depuis plusieurs mois pour le cabinet auxerrois. Expert dans le conseil en gestion de patrimoine, ELANTHIA a posé ses jalons dans la capitale, s’appuyant sur une nouvelle structure depuis le 30 avril. Déjà présente à Beaune et à Troyes, la SAS pilotée par Laurianne BELLIER s’en trouve plus renforcée que jamais au niveau de son maillage territorial.

 

AUXERRE : Mais jusqu’où ira la petite structure icaunaise qui ne cesse d’accroître ses capacités d’exploitation en agrandissant son  terrain de jeu ? On peut raisonnablement s’interroger après la décision prise par la SAS de l’Yonne d’installer une nouvelle entité à Paris. A croire que la crise sanitaire et ses dérivés économiques néfastes n’ont eu aucun impact mémorable sur la feuille de route progressive de l’entreprise !

Portée sur les fonts baptismaux en 2018, ELANTHIA surfe depuis sur la vague de la réussite. Une bonne étoile veille au grain et semble assurer une solide protection à Laurianne BELLIER, PDG de l’entité, et à sa directrice générale, Delphine LAMRANI.

Positionné dans le domaine de l’ingénierie patrimoniale, intervenant sur le volet du financier, de l’immobilier et de la prévoyance, cet acteur de l’économie emploie aujourd’hui une dizaine de collaborateurs. S’installer au cœur de Paris répondait à une double stratégie pour ses deux têtes pensantes : disposer d’une appréciable vitrine parisienne dans ce bastion incomparable pour les affaires et relever de nouveaux défis.

Symbolisant la jeunesse, le punch, la vitalité, ELANTHIA possède bien d’autres cordes à son arc. Une palette d’inventivité qui fera muer la société façon harpe harmonieuse à terme !

 

Créer des relations interprofessionnelles avec la filière du chiffre et du droit…

 

Membre de la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine (CNCGP) où sont fédérés près de trois mille cabinets indépendants en France, l’entreprise de l’Yonne s’adresse pour honorer ses services et prestations aussi bien aux particuliers qu’aux gérants d’entreprise. Une adaptabilité et un panel de propositions qui ont su différencier la structure parmi la concurrence.

Comme le précise Laurianne BELLIER (très investie localement dans la vie associative puisqu’elle est l’une des courroies de transmission de la Jeune Chambre Economique), « toute personne qui souhaite développer un projet patrimonial est la bienvenue… ». Sans distinction d’âge ni de couverture financière précise.

Une fois l’audit effectué avec un prospect, les collaborateurs de l’entité peuvent ensuite procéder à la mise en forme d’une stratégie patrimoniale, la plus adaptée aux besoins du client.

Partant du postulat que chaque cas est un exemple particulier et différent, se tisse ensuite le protocole qui aboutira à l’apport de solutions pérennes. La gestion de patrimoine présente cette particularité d’être très sollicitée par les Français même avec cette période de crise où chacun a besoin d’y voir plus clair sur les opportunités à saisir, voire sur les retraites à anticiper. Entre confiance et confidence, selon les besoins.

Demain, ELANTHIA désire optimiser des axes de développement qui prendraient la forme de partenariats convenus avec les filières du chiffre et du droit, en créant des passerelles rapprochant les notaires, les avocats, les juristes, les comptables des gestionnaires de patrimoine.

Une émanation d’un guichet unique et utile qui trouverait nécessairement preneur parmi la clientèle de plus en plus nombreuse à pousser la porte de cabinets spécialisés.

 

Thierry BRET

 


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