Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

En marge de l’assemblée générale, statutaire et ordinaire, de la coopérative agricole régionale, l’éditorialiste de L’Express et de BFM TV analysera les perspectives et conjectures d’une future année riche, en rebondissements, celle qui pointe le bout de nez à brève échéance : 2020…

AUXERRE : Sa dernière visite consacrée au territoire de l’Yonne datait de janvier 2018. A l’époque, l’invité médiatique de la Maison de l’Entreprise s’était interrogé avec sa verve et truculence habituelles sur les projets de réformes engagés par le président de la République, Emmanuel MACRON, à propos des milieux économiques et de l’emploi.

Accessible, agréable avec le sens du relationnel qu’on lui connaît, le journaliste à l’écharpe rouge, aussi célèbre que sa personne, avait échangé lors du cocktail, concocté dans les locaux de la Maison de l’Entreprise, avec des chefs d’entreprises. Qui ne manquèrent pas de le questionner sur ce que demain sera fait.

Il en sera vraisemblablement de même à l’issue de l’assemblée générale de la coopérative agricole, 110 Bourgogne, ce vendredi 06 décembre. Accueillis dans l’enceinte principale du parc des expositions d’Auxerre, les adhérents de la structure présidée par Gérard DELAGNEAU, auront tout le loisir de pouvoir écouter la causerie pleine d’allant de l’éditorialiste qui fait les beaux jours de BMF TV depuis plusieurs années.

Si la plongée systématique dans l’avenir de ce que représente la future année sera le point de départ de son intervention, Christophe BARBIER balaiera toutefois un spectre de sujets nettement plus larges, croisant ses réflexions sur le devenir économique de l’Hexagone et de l’Europe, la place de cette dernière dans le cadre de la nouvelle Politique agricole commune (PAC), sa vision du monde agricole et les enjeux politiques, à l’orée des prochaines municipales du mois de mars.

Bref : pas mal de choses à se mettre sous la dent pour comprendre, voire anticiper, ce que demain sera fait en ce bas monde…

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’actualité agricole a tenu le haut du pavé, partout en France mais aussi sur le territoire de l’Yonne au cours de la semaine écoulée. Revendications visibles dans les rues, conférence sur les vertus de l’agro-écologie, assemblée générale de la coopérative YNOVAE : le milieu de l’agro-alimentaire s’est signifié à notre bon souvenir de consommateur aiguisé que nous sommes. Cerise sur le gâteau : la venue de la présidente nationale de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) à Auxerre a ponctué de très belle manière cette semaine « verte et environnementale » vitrine promotionnelle idéale contre les zélateurs de l’agribashing…

AUXERRE : Christiane LAMBERT est en colère et le fait savoir à bon escient ! Peu avare en commentaires explicites sur le sujet de prédilection qui l’anime au quotidien, à savoir la défense des intérêts de sa corporation, la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) ne lésine pas sur le temps de parole à accorder aux journalistes lors d’une conférence de presse. Plus d’une heure d’entretien où tous les thèmes liés à l’actualité du moment ont pu être balayés sans langue de bois.

De passage dans la capitale de l’Yonne, ce vendredi 29 novembre, la « wonder woman » du monde rural a pu s’expliquer longtemps avec les médias sur les motivations essentielles qui la poussent à mener bec et ongles ce combat de la dernière chance face à un gouvernement de moins en moins inflexible. Un combat qu’il est nécessaire de remporter car il y a péril en la demeure.

Mardi 03 décembre, la syndicaliste à la tête d’une exploitation porcine laissera de côté son emploi du temps professionnel pourtant bien garni afin de regagner Paris en vue d’une rencontre qui se présente déjà comme capitale avec le Premier ministre.

Fruit d’une âpre négociation obtenue avec les conseillers agricoles de l’Elysée et de Matignon au terme de la journée de revendication de mercredi, ce rendez-vous avec Edouard PHILIPPE et le ministre de l’agriculture Didier GUILLAUME peut-il augurer de l’adoption de préconisations judicieuses et pertinentes ?

 

Ne pas suivre les propos hystériques des politiques en campagne électorale…

 

Pas un jour ne passe en effet sans que le milieu agricole ne souffre de manière concrète et brutale dans sa chair. Placé sous haute vigilance, le secteur est en proie à de profondes désespérances humaines pouvant aboutir au drame. Conspuant le nouveau phénomène disruptif de l’agribashing, largement répandu par les réseaux sociaux, la présidente de la FNSEA n’a pas caché sa virulence et son émotion contre ces fauteurs de trouble de l’ordinaire qui retranchent les professionnels dans leur isolement.

Mercredi dernier, à Paris mais aussi dans la plupart des grandes agglomérations de l’Hexagone, les agriculteurs sont descendus dans la rue afin d’y manifester leur mécontentement mais aussi pour y faire entendre leur désarroi.

Plus de mille tracteurs ont ainsi bloqué les deux voies de circulation du boulevard périphérique qui contourne de la capitale au grand dam des forces de l’ordre, qui se sont contentés d’observer sagement la situation.

Comme devait le signifier Christiane LAMBERT, la présence de ces manifestants agricoles en nombre n’aura occasionné ni scènes de violence ni pillage dans les rues adjacentes de la capitale.

Lassés des incertitudes économiques qui planent au-dessus de leur tête, les agriculteurs ayant suivi la feuille de route de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs (JA) n’en rejoindront pas nécessairement les cortèges qui arpenteront les rues des métropoles françaises le 05 décembre prochain. Quant à participer au mouvement social imputable aux Gilets jaunes, il existe une frontière vers laquelle la dynamique présidente ne souhaite pas franchir.

Dénonçant la politisation de ces mouvements sociaux, dont celui prévu le 05 décembre, Christiane LAMBERT ne désire pas associer le syndicat de professionnels dont elle représente les valeurs à des phénomènes de masse qui ne cessent de prôner le chaos et la destitution de telle ou telle représentant institutionnel ou politique.

En outre, la dirigeante syndicaliste rappelle que les exploitants agricoles sont avant tout des chefs d’entreprises devant faire fonctionner leur modèle économique.

 

 

Faire confiance aux décisions de l’agence de sécurité sanitaire…

 

Bref, pour elle, il sera plus important de s’entretenir avec le pensionnaire de Matignon dès mardi en lui faisant part des doléances actuelles qui ont pour nom l’agribashing, la hausse des revenus, les attentes de la Politique agricole commune (PAC) européenne ou l’approche pratique des ZNT, ces fameuses zones de non-traitement aux pesticides, sujet à bon nombre de griefs et d’atermoiements parmi les représentants de la filière.

Sur ce dernier point – l’une des clés de voûte des revendications actuelles avec les revenus -, Christiane LAMBERT rappelle qu’il faut se fier pour y voir plus clair aux décisions émises par les scientifiques. Et non aux propos hystériques de bon nombre d’élus qui agissent au nom de leurs coteries personnelles dans un cadre de pré-campagne électorale.

« Je préfère m’en remettre aux décisions fournies par des organismes ayant des compétences sur ces sujets à l’instar de l’ANSES, devait-elle ajouter, en citant la fiabilité des travaux de l’agence de sécurité sanitaire.

Christiane LAMBERT qui avait répondu par l’affirmative à l’invitation de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire et de ses dirigeants (Daniel COLLAY, président de la Caisse régionale, Eric GELPE, directeur dudit établissement, Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l'Yonne, Jacques BLANCHOT, directeur d'établissement Yonne) s’est également entretenue au terme de ces échanges avec les leaders départementaux de la FNSEA (Damien BRAYOTEL), des Jeunes agriculteurs et de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Arnaud DELESTRE.

Avant de réviser ses dossiers en vue de se préparer à l’entretien avec le Premier ministre de mardi…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ce n’était nullement prémédité. Mais, les choses se sont accélérées à grande vitesse ces dernières semaines. La nomination de Sébastien FUENTES à la direction du complexe structurel d’AUXERREXPO deviendra effective au 01er décembre. A 43 ans, l’ex-cadre commercial de l’Yonne Républicaine qui avait rejoint la filiale évènementielle du groupe en 2015 peut entrevoir l’avenir avec ambition…d’autant que plusieurs projets de développement se profilent à moyen terme.

AUXERRE: Jeu de chaise musicale pour le moins inattendu à la tête de Centre France Parc Expo. Alors que le renouvellement de la D.S.P. (délégation de service public) rendra son verdict le 12 décembre prochain, à la suite des décisions prises par la Ville pour une durée de huit ans, la direction du parc des expositions aura, quant à elle, changé de main, entre-temps.

C’est en effet au 01er décembre que Sébastien FUENTES, présent dans la structure depuis 2015, endossera de manière factuelle le rôle de nouveau responsable du complexe auxerrois. En qualité de directeur. Lui qui officiait jusqu’à présent comme adjoint responsable de l’infrastructure, en charge de la promotion et du développement commercial.

Intégré au sein du groupe Centre France depuis 2000, Sébastien FUENTES poursuit ainsi son ascension professionnelle. Coïncidence ou pas, le chiffre d’affaires de la filiale du média régional double au cours de ces quatre dernières années. Pour atteindre aujourd’hui 1,6 million d’euros. Ne serait-ce que la saison antérieure, le développement de Centre France Parc Expo à Auxerre a enregistré une progression de plus de 25 %.

Très en verve à la manœuvre lors de grosses opérations évènementielles (foire exposition, salons professionnels), Sébastien FUENTES a su très vite imposer sa marque de fabrique dès la prise en main de ses dossiers.

Interrogé sur la ligne de conduite qu’il désire impulser à l’édifice à brève échéance, le quadragénaire entend accentuer les axes de communication pour que ceux-ci deviennent encore plus pertinents. Notamment sur la réception de congrès et de colloques touchant le domaine des entreprises. La création de nouveaux projets s’inscrit également parmi ses objectifs prioritaires.

 

Des embauches à prévoir notamment sur la communication…

 

Si une dizaine de collaborateurs travaillent déjà à ses côtés à l’optimisation du site, plusieurs embauches pourraient se concevoir après sa prise de fonction. Un chargé de projet et un technicien avaient déjà rejoint les rangs du personnel cette saison.

Mais, c’est bel et bien un poste de responsable de communication, considéré comme indispensable, qui devrait voir le jour au sein de l’équipe en 2020.

De profil gestionnaire de projets marketing, de plan de communication, de relations publiques et de création d’outils à destination des médias, le ou la nouvel(le) élu(e) aura pour objectif de dynamiser les liens avec exposants, journalistes, institutionnels et visiteurs.

Des initiatives qui corroborent l’engagement pris par Centre France d’adresser un message fort à la Ville d’Auxerre avant que ne soit connu le verdict de la D.S.P.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’accord  fera date pour l’ensemble de la famille agricole. D’une part, il est tripartite en unissant trois composantes fortes du paysage régional. D’autre part, il marque la volonté farouche de la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté de s’engager durablement aux côtés de ces professionnels. Une agriculture en grande souffrance que l’élue souhaite accompagner du mieux possible. Observant que la filière bio représente un réel avenir, Marie-Guite DUFAY apporte avec son paraphe au bas d’une convention d’objectifs un précieux soutien technique et financier à une filière prometteuse sur notre territoire…

CHABLIS : C’est fait. La filière agricole biologique apparaît désormais parmi les marqueurs identifiables de la Région Bourgogne Franche-Comté. Grâce à une convention d’objectifs qui a été entérinée lors de sa récente visite en terre icaunaise, la présidente de l’institution régionale confirme ainsi l’aide qu’elle désirait apporter aux professionnels de la corporation.

Une plus-value judicieuse aux arborescences différentes : technique et financière. Bref : le coup de pouce idéal qui est peut-être porteur de nouveaux espoirs pour cette frange de l’économie vivant parfois dans une profonde déshérence.

La présidente du Conseil régional aura donc profité de sa venue à Chablis pour y graver dans le marbre un acte fort. « Nous soutenons cette très belle initiative de l’agriculture biologique, certes fort complexe, mais vécue avec immensément de passion, a-t-elle confié à l’issue de la signature de cet accord, partagé avec Christian DECERLE, président de la Chambre régionale de l’agriculture et les deux co-présidents de la Fédération régionale de l’agriculture biologique, Philippe CAMBERET et Patrice BEGUET.

Quels seront les engagements de l’organisme régional vis-à-vis de ses nouveaux partenaires ?

 

Faciliter l’essor de la filière en mutualisant les échanges…

 

Pour faire simple, et cela fait l’objet d’un cahier des charges d’une douzaine de pages, la Région s’engage à financer les moyens humains dédiés à un certain nombre d’actions sur la base minimum des financements attribués en 2018. L’outil exécutif régional construira des appels à projets et règlements d’intervention, faisant en sorte de respecter les objectifs propres à l’agriculture biologique. Il est bien entendu que ces actions qui en découleraient seraient accompagnées, sous réserve du respect des critères d’éligibilité et de la sélection prévue dans les appels à projets.

« Nous assisterons, autant que possible, en qualité d’observateur aux réunions de mise en œuvre de ces actions, précisa Marie-Guite DUFAY.

De toute évidence, la Région s’invitera aussi parmi les différentes instances qui faciliteront l’essor de la filière : comité de pilotage, conférences des filières. Bref, une présence renforcée de l’exécutif aux côtés des professionnels de l’agriculture bio qui ne peut être que stimulante et dynamique.

L’observance d’un doublement des surfaces depuis 2015, à la suite de vagues de conversion majeures de la part des agriculteurs traditionnels, aura donc modifié les paradigmes.

Il est clair, dorénavant, que pour être viable et pérenniser à moyen terme le système doit bénéficier d’un accompagnement accru de la structure régionale qui possède les compétences économiques. L’optimisation de la filière bio, à travers de potentielles retombées rentables, ne peut s’entrevoir que si l’ensemble des réseaux de ces acteurs est coordonné.

 

 

Une convention qui court sur une période de trois ans…

 

En terme clair, il s’agit désormais de se doter de tous les moyens nécessaires (humains, techniques, budgétaires) pour coopérer à tous les niveaux afin de renforcer la dimension collective de cette nouvelle variante de l’agriculture régionale.

Un enjeu majeur que ne souhaite ni manquer la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté, ni les acteurs institutionnels qui la suivent, à savoir la Chambre régionale d’agriculture et la Fédération régionale de l’agriculture biologique.

Grâce à cette convention datée de novembre 2019, il s’agira d’acter et de rendre plus lisible l’engagement des trois parties en lice pour la prospérité de la filière. En mettant en exergue des actions qui répondent aux objectifs du Plan régional pour le développement agricole (PRDA), lui-même voté à l’unanimité en octobre 2017.

Quant aux professionnels de l’agriculture biologique, ils auront eux-aussi des devoirs envers la Région après le paraphe de cet acte. Outre le fait qu’ils doivent favoriser l’émergence de nouvelles actions prioritaires, en apportant par ailleurs l’autofinancement nécessaire aux actions qu’ils conduiront en propre, ils s’engagent à collaborer et à communiquer largement sur les actions engagées dans le cadre de cette convention tripartite. Naturellement, le souci de la valorisation de ces actions s’inscrit parmi les attendus de ce projet à l’instar de rendre compte, avec la régularité d’un métronome, de leurs actions auprès des services ad hoc du Conseil régional.

Enfin, précisons que des conventions financières concernant l’attribution d’aides annuelles matérialiseront les actions mises en œuvre ainsi que leurs engagements mutuels.

La présente convention d’objectifs a été signée pour une durée de trois ans.

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Muni d’une arme, un homme s’est introduit ce lundi matin dans l’enceinte du collège Chateaubriand. Il est à peine 9 heures en ce premier jour de la semaine, vécue sous la grisaille. Retranché à l’intérieur de l’établissement, le forcené prend en otage des élèves ainsi que des membres de l’équipe pédagogique. Prévenus, forces de l’ordre et secours arrivent très vite sur place. Bouclant le périmètre de sécurité et interdisant l’accès à quiconque pourrait interférer dans les interventions à suivre. Le décor du scénario catastrophe faisant office de répétition est planté : l’exercice à grande échelle assuré par les services de la préfecture de l’Yonne peut enfin démarrer…

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Que faire en cas de situation de crise ? Comment se comporter face à l’impensable ? Quelle méthodologie employer pour sortir de l’impasse ? Pour le savoir, il n’y a d’autres alternatives que de se tester soi-même en employant les grands moyens !

C’est ce qu’ont vécu lundi 18 novembre les habitants de la localité icaunaise, prévenus au préalable de l’organisation de cette phase de tests grandeur nature. Plus de deux cents gendarmes et sapeurs-pompiers ont participé à cette opération d’envergure peu banale organisée avec le concours des services préfectoraux. La gestion d’une prise d’otages en milieu scolaire.

Une fois l’alerte donnée, l’intrusion d’un parent d’élève surexcité venu se venger des brimades subies par son fils, élève au collège, les évènements s’enchaînent rapidement : la départementale 606 est tout bonnement coupée. Quant au centre opérationnel départemental, le COD, il est activé dans les locaux de la préfecture. Permettant ainsi aux services de l’Etat d’obtenir des points évolutifs réguliers de la situation avec le terrain.

Au fil des heures, observateurs et médias seront destinataires des informations qui émanent du centre opérationnel départemental afin de clarifier le déroulé de la situation.

Ainsi en milieu de matinée, les forces de l’ordre et les secours mobilisés sur place procèderont-ils à l’extraction des victimes dont le nombre reste encore à préciser. La violence du père de famille a provoqué le décès de plusieurs personnes croisées au hasard de ses funestes pérégrinations.  

 

 

 

 

Les cellules d’entraide s’organisent avec méthode…

 

 

Non loin du site visé par le forcené s’organise la mise en exergue de cellules d’urgence médico-psychologique (CUMP). L’une se positionne à l’intérieur du gymnase du collège. L’autre est opérationnelle dans la mairie.

Deux autres cellules ne tardent pas à être fonctionnelles. C’est le cas de la cellule d’aide aux familles (CAF) qui accueille prioritairement les familles concernées par le drame. Elle prend position à la mairie.

La seconde, la cellule d’information au public (CIP), joignable sur un téléphone fixe (03.86.72.78.00.) s’active dans les locaux de la préfecture icaunaise.

Un peu plus tard au fil des heures qui s’égrènent, on apprend par un communiqué de presse que l’assaut a été donné dans le collège. Le preneur d’otage succombe à cet assaut. Mais, plusieurs victimes sont recensées sans qu’un bilan précis de la situation ne soit apporté.

Le plan « nombreuses victimes » se poursuivra ce mardi avec la mise en place de la cellule d’information et d’accompagnement activée à Joigny.

Testé en moyenne une fois par an, ce scénario de l’impossible nous rappelle que la vigilance est de rigueur à bien des égards ; et que les forces de l’ordre, les secours et les services de la préfecture se tiennent parés à toute éventualité…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil