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Les propos tenus par le chef de file du mouvement des démocrates de l’Yonne, Pascal HENRIAT, lors d’une récente conférence de presse, a entraîné une cascade de réactions parmi les soutiens au maire d’Auxerre, Guy FEREZ. Pour Mathieu DEBAIN, l’une des figures en pointe de La République en Marche sur l’Auxerrois, le retrait annoncé par l’actuel adjoint en charge des finances et du budget de la Ville ne représente qu’un pur avis personnel. N’engageant nullement le MoDem a travaillé dans l’équipe constituée autour de l’édile pour sa réélection…     

AUXERRE : « L’accord né des échanges fructueux entre le maire sortant, Guy FEREZ, et La République en Marche (ndlr : le parti présidentiel a fait clairement entendre sa décision d’apporter son soutien à l’édile en place le 18 septembre) reste le même ! ».

Prompt à réagir aux déclarations de retrait exprimées par le chef de file du MoDem de l’Yonne, Pascal HENRIAT, de ne plus soutenir le maire d’Auxerre, Mathieu DEBAIN désire remettre les pendules à l’heure.

Notamment sur la présence effective de membres du mouvement des démocrates parmi les colistiers du candidat-maire Guy FEREZ.

« Ils sont trois, devait confirmer celui qui avait obtenu un véritable plébiscite par le comité auxerrois d’En Marche pour qu’il mène à bien les discussions avec le maire. Les déclarations de Pascal HENRIAT faites à la presse sont strictement personnelles et n’engagent que lui, et non pas le MoDem et ses représentants à ne pas figurer sur la liste… ».

Selon les attendus de l’accord, la liste s’articulera autour de la présence de huit personnes issues de La République en Marche, de deux AGIR La Droite constructive (Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, référent départemental du mouvement de Franck RIESTER a validé ce choix), de deux Radicaux et donc in fine, de trois MoDem. Sans omettre des représentants du Parti socialiste et de la société civile…

L’absence du soutien officiel du leader de la formation centriste ne semble pas affectée, outre mesure, Mathieu DEBAIN.

« Personne dans sa propre formation n’avait été informée de ses intention en amont de cette conférence de presse, précise ce dernier.

Il balaie, par ailleurs, les allégations de Pascal HENRIAT qui avait expliqué son refus de participer à une liste de fermeture à la coloration nettement socialisante.

« Déjà le précédent mandat, Guy FEREZ avait fait montre d’ouverture en accueillant diverses composantes politiques à ses côtés. Je rappellerai que pour la future mandature, s'il est élu, un tiers des personnes qui collaboreront avec le maire d’Auxerre proviendront de la droite ! Alors, parler de fermeture aujourd’hui n’est pas crédible ! ».

Dont acte.

 


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La discussion visant à travailler sur le projet électoral et l’équilibre de la future liste municipale aura tourné court. Une vingtaine de minutes, à peine, entre le chef de file du mouvement des démocrates, investi par la majorité présidentielle, et l’édile d’Auxerre, Guy FEREZ, candidat à sa succession, soutenu par La République en Marche. Une entrevue suffisamment longue, néanmoins, pour que le divorce entre ces deux ténors de la politique auxerroise ne soit consommé. De manière irrévocable ?

AUXERRE : Le torchon brûle entre Guy FEREZ, maire de la capitale de l’Yonne, et son adjoint chargé des finances et du budget, Pascal HENRIAT. Et ce n’est pas la rencontre, brève mais supposée tendue, entre les deux hommes il y a peu qui aura changé quelque chose à la situation.

Au terme de ces vingt minutes de faux dialogue, il n’y aura eu ni propositions sérieuses ni réel consensus sur la ligne à adopter et le choix des hommes dans le cadre stratégique des prochaines municipales.

Provoquant une conférence de presse ce vendredi 08 novembre, le chef de file du MoDem de l’Yonne, ayant reçu au préalable l’investiture de la majorité présidentielle pour entamer des discussions avec Guy FEREZ, a fait part de sa profonde amertume et de sa réelle déception. Avant de se prononcer sur ses choix.

« Devant le refus de dialoguer de Guy FEREZ, j’ai compris que ce dernier ne souhaitait plus que l’on travaille ensemble… ».

Un camouflet auquel Pascal HENRIAT a désiré faire face. La réaction de l’intéressé ne s’est donc pas fait attendre. Le responsable du mouvement des démocrates de l’Yonne a annoncé son retrait sine die de la course aux municipales 2020. Lui qui occupait jusque-là un poste névralgique au sein de l’organigramme auxerrois depuis 2014. Les finances et le budget.

« Je ne ferai aucunement parti de la prochaine liste des municipales aux côtés du maire sortant, devait-il déclarer avec véhémence, Guy FEREZ est venu me chercher il y a six ans pour barrer la route à Guillaume LARRIVE ; je lui donne aujourd’hui mon bon de sortie en assumant le travail mené avec lui. Mais, en revendiquant désormais mon statut d’homme libre… ».

 

Un contexte kafkaïen difficilement compréhensible…

 

Nonobstant, le représentant du centrisme dans l’Yonne qui siège au Département conserve sa fonction au sein de l’équipe municipale actuelle jusqu’au terme de son mandat. Soit en mars 2020.

Toutefois, Pascal HENRIAT assume pleinement le travail qu’il a mené auprès du maire actuel. « Je ne suis pas en désaccord avec le bilan de Guy FEREZ, concède-t-il, ce que je n’admets pas résulte de l’absence de concertation qu’il y a eu pour bâtir le projet de la nouvelle mandature… ».

N’accordant plus sa confiance à l’ancien maire socialiste d’Auxerre, Pascal HENRIAT se dit ne plus être en sérénité avec lui-même pour poursuivre l’aventure. 

Vu de l’extérieur, le contexte semble très kafkaïen. Démontrant ainsi toute la complexité de l’appareil politique qui auréole l’univers de La République en Marche depuis plusieurs mois. D’un côté, Guy FEREZ, qui a officiellement quitté sa formation originelle le Parti socialiste en juin 2019, a reçu le soutien des instances suprêmes du parti présidentiel pour mener à son terme la bataille auxerroise. L’entrevue avec le délégué national de LREM au printemps, Stanislas GUERINI, nous le remémore.

Dans le même temps, le leader du MoDem, Pascal HENRIAT, était désigné par le bureau exécutif de ce même organe politique pour mener à bien des tractations orales avec le maire sortant. Tout en veillant à ce que la représentation des idées dans le projet, devant être en cohérence avec les dix engagements éthiques de l’élu local progressiste, permette une représentation juste et équilibrée des équipes au sein de la future liste municipale et de l’agglomération. La lettre de mission à l’estampille de LREM sera datée du 26 septembre.

On connaît la suite : les attaches prises par le destinataire de cette missive, Pascal HENRIAT, avec Guy FEREZ afin d’engager des discussions sérieuses devant aboutir à un consensus n’ont pas eu les résultats escomptés pour le représentant du MoDem.

 

 

Des appels du pied qui resteront lettres mortes…

 

Pour autant, une question demeure : cette fin de non-recevoir exclut-elle définitivement du jeu des municipales le responsable centriste de l’Yonne ?

Les appels du pied d’autres candidats pourraient peut-être infléchir la position de Pascal HENRIAT. Pour l’heure, lui, affirme le contraire.

« C’est vrai que sur de nombreux points, Crescent MARAULT présente des idées qui ne sont guère éloignées des miennes. Comme moi, il a soutenu Alain JUPPE et Emmanuel MACRON aux dernières présidentielles. Comme moi, il est centriste. Mais, je n’oublie que c’est le représentant de la droite dure, Guillaume LARRIVE, des Républicains, qu’il l’a adoubé pour cette campagne électorale. Donc, je ne le suivrais pas. Quant aux Verts, on les a poussés à bout dans le mandat actuel alors qu’il n’y a jamais eu en six ans la moindre critique au sein de l’équipe municipale. J’approuve leur candidature ; ils ont eu raison de s’émanciper de la tutelle actuelle… ».

Quant à l’évocation de sa propre candidature en 2020, Pascal HENRIAT balaie la suggestion d’un revers de la main.

« Beaucoup me l’ont demandé, ajoute-t-il, j’y ai moi-même pensé. Mais, j’ai une vie professionnelle et je ne souhaite pas la mettre en difficulté. En outre, je ne voulais pas rajouter de candidats supplémentaires à cette élection qui en est déjà bien fournie… ».

Préférant se retirer de la vie politique auxerroise, Pascal HENRIAT qui est aussi l’un des acteurs clés de l’opposition au Conseil départemental, n’en demeurera pas moins attentif aux programmes des uns et des autres. Histoire de donner à un moment précis ses consignes de vote pour tel ou tel candidat.

Mais, attention, prévient-il solennel : « je ne suis pas à vendre ni moi ni les représentants du MoDem même s’il y aura des tentatives de l’équipe actuelle de débauchage… ».

Se disant au service de la politique au sens noble du terme plutôt qu’au service d’un politique qui en incarnerait le rôle, Pascal HENRIAT ne met pas un genou à terre, en acceptant n’importe quelle compromission.  

A 58 ans, mature et aguerri à la chose politique, le leader du MoDem ne veut prêter allégeance à qui que ce soit. Se contentant d’exercer un droit de retrait, en homme libre, qui lui permettra peut-être de mieux rebondir ultérieurement ?

 


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Se déplacer ce vendredi soir chez l’avant-dernier du championnat ne ressemblera pas nécessairement à une partie de plaisir pour les Bourguignons. Pas facile, en effet, d’évoluer face à un adversaire qui doit se réhabiliter coûte que coûte aux yeux de son public. Toutefois, le coach auxerrois, avec sa nature faconde et sa décontraction, accorde sa totale confiance à son groupe qu’il sait capable d’un rebond après la contre-performance enregistrée la semaine dernière à domicile face à Grenoble. Ce sera l’un des enjeux de cette treizième journée, vue sous le prisme de l’AJ Auxerre…

AUXERRE : Ce qui est toujours plaisant avec l’entraîneur du club de l’Yonne, c’est sa manière d’aborder l’exercice pourtant impitoyable de la conférence de presse avec sérénité. Calme, détendu, ne pratiquant pas la langue de bois, y saupoudrant parfois quelques zestes d’un humour qui lui est propre, Jean-Marc FURLAN manie le sens du verbe et de la parole avec un réel brio.

Du pain béni pour celles et ceux des suiveurs médiatiques qui souhaitent l’interroger sur le dessous de toutes les ficelles stratégiques d’un avant-match.

Jean-Marc FURLAN ne se contente pas de répondre aux questions sous un format minimaliste ou de manière lapidaire. Que nenni ! L’emblématique personnage de ce sport qu’il a en haute estime, et c’est normal, explique avec minutie ses choix tactiques, ses options de jeu, ses plans de travail. Bref : ses ambitions.

Après vingt semaines à la tête du club icaunais, notre homme excelle toujours autant dans cet exercice oratoire qui requiert de la vivacité d’esprit et un sens profond de la communication.

Avant le déplacement qui le conduira ce vendredi soir à accompagner son équipe face à l’adversaire du jour, La Berrichonne de Châteauroux, Jean-Marc FURLAN distille les préconisations idéales qui seraient à appliquer une fois le coup d’envoi donné.

Le mot d’ordre du jour se nomme le rebond. Fi de celui du basket-ball, mais bien celui se rapportant à cette action de rebondir avec enthousiasme après une incompréhensible défaite contre le FC Grenoble, 1-0 le week-end dernier.

« Nous sommes toujours pétris d’intentions favorables, constate-t-il après les revers enregistrés face à Troyes et au club de l’Isère, mais à la sortie, nous perdons le match. C’est l’imprévisibilité du football à laquelle nous ne pouvons pas grand-chose, malheureusement… ».

 

La construction du vestiaire : les fondamentaux d’une équipe pro…

 

Fataliste, l’ex-coach du Stade Brestois qui fait des étincelles en ligue supérieure cette saison ? Non ! Ce n’est pas le style de la maison.

Lui, il ne rêve que d’une chose : passer à l’abordage à chaque rencontre afin de prendre le meilleur sur l’équipe adverse.

Son projet de jeu ne se résume à pas à se procurer des occasions, il est indispensable de les concrétiser. Constatant avec un brin d’amertume que sa formation se crée des opportunités devant le but mais ne sait pas les transformer.

« Nous avons une marge de progression très importante à avoir dans le secteur offensif, souligne-t-il, j’entrevois de réels espoirs avec des joueurs qui ne sont présents au club que depuis le mois d’août… ».

Serait-il un chantre du fameux adage où il est nécessaire de laisser du temps au temps ?

« Je ne reproche rien à mes joueurs, concède-t-il, ni leur volonté ni sur leur engagement à chaque partie. Il faut simplement leur laisser un peu de temps… ».

Possédant le sabir d’un vrai manager, Jean-Marc FURLAN vit sa nouvelle expérience auxerroise tel un entrepreneur en soif de conquêtes et de résultats.

« Il existe un vrai projet de construction du vestiaire, ajoute-t-il, c’est fondamental de procéder de la sorte lorsque l’on évolue chez les professionnels. D’ailleurs, ce que j’apprécie chez ces jeunes footballeurs, c’est leur correction, leur aptitude à prendre en compte les paramètres d’exigence du coach. Ils sont très intelligents ; beaucoup plus que nous aurions pu l’être à notre époque dans les années 1980… ».

 

 

Un esprit de coupe contre les mal-classés…

 

Alors, ce match face à la dix-neuvième équipe de Ligue 2 est-il de nature piégeuse ou plus facile à appréhender pour lui ?

« Affronter des formations qui sont déjà dans le dur après une douzaine de journées suppose une énorme pression. On en oublie même le championnat pour vivre ces rencontres comme des matches de coupe… ».

Une manière intéressante de tester les membres du team et de connaître leurs appétences à pouvoir réagir ou non aux exigences de la rencontre.

Le match face à Châteauroux donnera également l’opportunité au coach auxerrois de revenir s’asseoir sur le banc de touche aux côtés de ses joueurs. Parfois colérique, Jean-Marc FURLAN avait écopé d’une sévère suspension équivalente à quatre journées après une intervention auprès du quatrième arbitre.

« Je suis très satisfait de faire mon retour sur le banc, plaisante-t-il, toutefois, il faut savoir que dans la gestion du management, en ayant soin de privilégier davantage de lucidité, il est plus facile de gérer une rencontre vue d’en haut ! ».

Qu’à cela ne tienne, c’est lui qu’il l’affirme, mais l’entraîneur de l’AJ Auxerre et son caractère bouillonnant peuvent engendrer des suspensions de banc environ tous les dix-huit mois !

Visiblement, le corps arbitral l’a à l’œil et connaît sa faille personnelle dans ce rendez-vous cyclique !

 

 

 


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Même si les chiffres de la dernière enquête de conjoncture s’avèrent positifs, le président régional de l’Union des entreprises de proximité, Christophe DESMEDT, souhaite conserver un légitime réalisme sur l’analyse de la situation. Cette croissance qu’il qualifie de « rattrapage », observée à l’heure actuelle, est encore très loin de compenser les nombreux revers subis depuis tant d’années par les entreprises de ce secteur…

DIJON (Côte d’Or) : Le responsable régional de l’U2P est clair dans ses commentaires après la publication d’une note de conjoncture de son organisme : « les bons chiffres présentés par cette enquête sont à saluer : ils sont à mettre au crédit des artisans, des commerçants et des professionnels libéraux dont l’endurance et la détermination sont exemplaires… ».

Toutefois, l’Icaunais Christophe DESMEDT demeure attentif. Si de nombreux secteurs d’activité profitent de cette croissance, elle ne peut apparaître selon lui que de « rattrapage » après les années sombres vécues par les professionnels de l’artisanat, du commerce de proximité et des professions libérales.

Conscient qu’il est plus que jamais indispensable de soutenir le développement des plus petites entreprises, le responsable de l’organisme régional veille à que les mesures issues de la stratégie nationale, celles voulues par la gouvernance, soient réellement adaptées aux entreprises de proximité.

Il y a peu, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Agnès PANNIER-RUNACHER, dévoilait la stratégie nationale mise en exergue au service de l’artisanat et du commerce de proximité. Des mesures qui témoignent d’une prise de conscience salutaire mais qui appellent, selon Christophe DESMEDT, là encore à la plus grande vigilance.

 

 

« Cette stratégie tend à répondre à nos demandes, explique ce dernier, à savoir remplacer la logique « imposer, contrôler, sanctionner » qui prévaut le plus souvent actuellement dans les rapports entre l’Etat et les petites entreprises pour une logique beaucoup plus pertinente, à savoir « informer, accompagner, conseiller »… ».

Afin que les choses aillent dans le bon sens et satisfassent le représentant de l’organisation patronale, il sera nécessaire de passer très rapidement de la stratégie à la phase opérationnelle dès que possible. Histoire de lever les doutes qui subsistent et instaurer la confiance entre le gouvernement et les acteurs des milieux professionnels.

 

 

 


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Valoriser l’agriculture française aux yeux de l’opinion publique passe nécessairement par des actions de grande envergure. Qui de surcroît ne sont pas toujours légion à l’heure actuelle. C’est pourquoi l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire a décidé de se démarquer sur ce registre et de prendre une initiative qui fera sans doute date dans le landerneau icaunais : profiter d’une rencontre de football de l’AJ Auxerre en la thématisant autour de cet item…

AUXERRE: Quelle merveilleuse vitrine publique que celle-ci ! La fréquentation d’une enceinte footballistique le soir d’un grand rendez-vous pour y véhiculer ses messages positifs à l’adresse de l’opinion.

L’opportunité se présentera de manière initiale le vendredi 29 novembre prochain. Le stade de l’Abbé Deschamps accueillera l’une des rencontres passionnantes faisant office de derby régional entre les deux pensionnaires de Ligue 2, l’US Orléans et l’AJ Auxerre.

Le match sera placé sous le signe de l’agriculture. Sa conception organisationnelle sera réalisée dans le cadre du partenariat existant depuis longtemps entre le club de football nord-bourguignon piloté par Francis GRAILLE et le spécialiste de l’assurance-prévoyance, dirigé par son responsable départemental, Jacques BLANCHOT.

Un projet qui a naturellement reçu la bénédiction du président des caisses locales icaunaises, Pascal MAUPOIS, et de la direction générale de la structure Paris Val-de-Loire, Eric GELPE.

Un projet original qui a conquis les représentants locaux des milieux agricoles, FDSEA, Jeunes Agriculteurs et Chambre départementale d’agriculture. D’autant que l’une des personnalités phare de la filière a accepté d’honorer de sa présence cet évènement pour le moins insolite : Christiane LAMBERT, la présidente de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles).

Cette dernière accordera une conférence de presse avant le match aux côtés des personnalités départementales de la profession et des dirigeants de GROUPAMA Paris Val-de-Loire.

Histoire de confirmer qu’entre le spécialiste assurantiel et le milieu agricole, l’amour perdure encore et toujours avec autant de force et de vigueur. Se traduisant dans les faits avec cette action.

Histoire aussi d’évoquer les réalités d’une filière confrontée à de multiples complexités qui sont inhérentes à la mondialisation des marchés et aux soubresauts de l’Europe.

Plusieurs centaines de professionnels devraient converger ce soir-là pour y assister à la confrontation sportive. Jamais avare dans ses prérogatives décisionnelles, GROUPAMA Paris Val-de-Loire a fait les choses avec minutie en réservant mille deux cents places dans les tribunes.

On annonce déjà une suite à l’initiative judicieuse en avril prochain sur le thème de la petite enfance et de l’altruisme…

 


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