Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Etre partout à la fois, voire plus si possible ! Voilà ce que pourrait être ou presque la folle journée du représentant de l’Etat dans l’Yonne ce vendredi 30 août ! Cinq jours seulement après son retour à la vie professionnelle, Patrice LATRON ingérera un copieux programme institutionnel. Un menu, un brin complexe décliné en un laps de temps très court, autour du déplacement du ministre de l’Intérieur Christophe CASTANER qui sera présent à la cérémonie concoctée par l’Ecole nationale de police de Sens en matinée, et la visite, le tantôt à Auxerre, du secrétaire d’Etat en charge de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, accompagné d’une douzaine d’ambassadeurs. Kafkaïen !

AUXERRE : Mais, comment fait-il pour conserver son calme olympien et sa maîtrise de soi, le représentant de l’Etat Patrice LATRON ? Dans la catégorie « Vis ma vie », beaucoup de nos concitoyens devraient s’inspirer de l’auguste personnage et de sa manière sereine à appréhender les coups de boutoir imputables à un agenda parfois complexe et surchargé à gérer.

L’exemple le plus probant est celui que vivra le représentant de l’exécutif étatique ce vendredi 30 août à travers le territoire icaunais. Le hasard, précise l’adage, fait bien les choses. Or, en cette journée de la Saint-Fiacre, le préfet de l’Yonne devra partager son emploi du temps entre deux événementiels majeurs qui ponctuent l’actualité institutionnalo-politique régionale.

La venue du ministre de l’Intérieur, Christophe CASTANER, à la cérémonie de sortie de la 250ème promotion des gardiens de la paix et de la 122ème promotion d’adjoints de sécurité, à l’Ecole nationale de police de Sens constituera un sérieux préambule pour entamer la journée.

Le locataire de l’hôtel Beauvau a confirmé sa venue très tardivement dans le Sénonais. Mais, devant l’importance de l’évènement, une promotion qui comprend 1 402 sortants dont 116 gardiens de la paix formés à Sens, le ministre ne pouvait se soustraire à cette obligation d’honorer l’abnégation et le courage des forces de l’ordre, durement éprouvées au fil des semaines cette saison.

D’autant, que la 250ème promotion a choisi d’illustrer la mémoire de Marlène CASTANG, gardienne de la paix affectée à la CSP d’Albi, percutée mortellement par un véhicule le 15 octobre 2018 alors qu’elle effectuait une intervention sur un accident sur la rocade de contournement de la cité albigeoise.

Aux côtés des officiers de l’école, Christophe CASTANER visitera ensuite le centre national de formation des motocyclistes tout en bénéficiant des explicatifs d’usage sur son fonctionnement.

 

 

Une course contre la montre pour regagner Auxerre…

 

Ensuite, il sera grand temps pour Patrice LATRON de s’extraire de la première manifestation et de se rendre en toute hâte à la préfecture où se déroulera la suite de son copieux programme. Soit la réception du secrétaire d’Etat en charge de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE. Celui-ci accompagnera une délégation d’une douzaine d’ambassadeurs de France, parés à regagner d’ici peu leurs postes dans leurs pays de résidence.

Deux séquences dites de « diplomatie publique » composeront le contenu d’un après-midi nourri d’échanges et de discussions. La première des sessions mettra l’accent sur les jumelages et la francophonie autour d’une présentation de l’activité de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux dont Auxerre possède le siège régional (francophonie).

La seconde offrira l’opportunité aux ambassadeurs de pouvoir parler économie et entrepreneuriat avec des lecteurs et partenaires de Presse Evasion, média à vocation économique.

Avant que les instigateurs de cette visite particulière s’accordent à distiller des informations aux journalistes lors d’une conférence de presse.

Le terme de la partie visible de cette « folle journée » pour le représentant de la préfectorale s’achèverait aux alentours de 17h15.

Précisons pour couronner le tout que Patrice LATRON aura reçu pour hôtes, dans les salons préfectoraux le midi lors d’un déjeuner républicain, moult invités du sérail politique et économique de la région dont la présidente Marie-Guite DUFAY !

Bref : reposé et détendu après la période salvatrice des congés, Patrice LATRON sera dans de bonnes conditions pour remettre le pied à l’étrier !


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La teneur de la conférence de presse, concoctée par le service communication de la Ville et mettant en scène l’édile d’Auxerre ce mardi n’avait pas pour objectif d’évoquer le sujet de sa candidature aux futures échéances municipales. Un thème qui est en substance déjà fort brûlant dans l’actualité du territoire icaunais. Toutefois, l’élu de l’Auxerrois sans avoir à occulter cet item de sa prise de parole a pu y faire une brève allusion. Il devrait se prononcer sur sa volonté ou pas de tenter la passe de quatre mandats entre la mi-septembre et la mi-octobre. Voire avant si le besoin s’en fait ressentir. Reste une question en suspens qui brûle toutes les lèvres des observateurs : avec quelle étiquette le maire actuel se représenterait-il puisqu’il n’est plus membre du Parti socialiste ?

AUXERRE : Trop tôt, mesdames et messieurs les journalistes ! Ce n’était ni le moment approprié ni l’objet de cet exercice oratoire de rentrée. La conférence de presse, prévue par le service communication de la Ville mardi après-midi, n’avait pas pour vocation de s’épancher davantage sur une thématique (les municipales) qui fait déjà couler beaucoup d’encre dans le microcosme.

Ira-t-il ou n’ira-t-il pas ? La sempiternelle question ne cesse de tourner en boucle auprès des esprits chagrins qui ne disposent, il est vrai aujourd’hui, que de bien peu d’indices à se mettre sous la dent quant aux réelles intentions du maire. Celui-ci aime cultiver l’art du secret…

Maître du temps et prince du suspense (le film « Les Oiseaux » d’Alfred HITCHCOCK demeure son long-métrage préféré), l’édile d’Auxerre fera connaître sa décision ultime à l’amorce de l’automne. Plus exactement dans une période comprise entre mi-septembre et mi-octobre selon ses desiderata.

« Peut-être, pourrais-je avancer quelque peu la date de cette annonce si le besoin s’en faisait ressentir…, précisera-t-il un brin évasif.

 

Un maire attentif à la conduite de son mandat jusqu’au bout…

 

Un bail où les prétendants à la chaire municipale devront donc s’armer encore de patience en attendant d’y voir plus clair dans la configuration de la future joute électorale qui s’esquisse à l’horizon de mars 2020.

Pour autant, Guy FEREZ a martelé qu’il saurait être un maire attentif et mobilisé jusqu’au terme de son mandat, au vu des nombreux dossiers déjà engagés, voire en projet.

Il profiterait alors, à l’instant de son choix, d’un nouveau point presse qui servirait d’état des lieux non exhaustif à son bilan, avant qu’il ne se déclare ou pas candidat à sa propre succession.

D’ici là, Guy FEREZ se contentera d’observer, comme il a pris soin de le faire avec célérité depuis plusieurs mois, une situation qui évolue chaque jour.

Mais, l’une des informations marquantes que le maire d’Auxerre aura consenti à lâcher au plan politique, avant qu’il n’égrène la présentation d’une douzaine de gros dossiers liés à l’aménagement de la ville (voir article complémentaire), est son départ définitif du Parti socialiste (PS).

Une formation à laquelle il appartenait depuis 1981. Date de l’avènement d’un certain François MITTERRAND au pouvoir suprême. Las des turpitudes politiciennes habituelles, ce radical modelé à la sauce Jacques DELORS se définit comme un homme d’ouverture en sa qualité d’ancien professionnel de la communication qu’il a été jadis.

 

Une candidature, s'il y a, sous le prisme de LREM ou libre et indépendante…

 

S’il se décidait à se lancer dans l’arène d’ici quelques semaines, subsisterait alors la question cruciale concernant son appartenance à une fratrie politique pour prétendre à ce nouveau mandat.

La République en Marche (LREM) pourrait-elle être raisonnablement celle-là ? Le Comité national d’investiture du mouvement présidentiel n’a pas encore tranché sur la désignation de l’élu(e) qui bénéficiera à Auxerre de l’adoubement officiel de la majorité.

D’autant qu’une noria de candidats est déjà bien présente sur la ligne de départ de cette course d’endurance.

En cas de non-investiture de LREM, Guy FEREZ aurait aussi, seconde hypothèse, l’opportunité d’y aller en qualité de candidat libre et indépendant.

Pour mémoire, au printemps, le délégué national de LREM, Stanislas GUERINI, en visite dans la capitale de l’Yonne, avait pris soin de s’entretenir publiquement avec le maire d’Auxerre. Une prise de contact qui s’était avérée chaleureuse et détendue entre les deux hommes à la terrasse d’un café. Une convergence d’intérêts qui augure de la mise en place d’une nouvelle stratégie à Auxerre ?


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le déclic tant espéré par les supporters était-il au rendez-vous de la précédente journée. Celle qui a vu l’équipe de Jean-Marc FURLAN recoller aux basques des Bretons de Guingamp en partageant les points. Le destin de ce match a été forcé de très belle manière. En tordant le cou à une défaite assurée après une première mi-temps complexe où le score était en défaveur des Icaunais (0-2). La rencontre en terre auvergnate face au premier du classement de Ligue 2 ne sera pas une promenade de santé ce vendredi soir.   

AUXERRE : Un match nul faisant office de victoire ? Après la prestation de ses joueurs face à l’En Avant Guingamp (2-2), le coach auxerrois ne peut se montrer au final que satisfait. De bon augure juste avant de tenter de vaincre le « Puy-de-Dôme » de ce championnat : le Clermont Foot sur ses terres.

Une formation que l’ex-entraîneur de Brest connaît bien. D’autant que de nombreuses analogies existent entre les deux équipes, proches l’une de l’autre en matière de possession et de stratégie.

La prudence demeure toutefois de rigueur. « Nous sommes dans l’observation, précise Jean-Marc FURLAN, la question est simple : quelles sont nos capacités d’adaptation face à ce genre d’adversaire qui possède déjà dix points au compteur alors que notre besace n’en accueille que quatre ? ».

Depuis le début de la saison, Auxerre est confronté à un manque de réussite chronique malgré une domination constante sur le terrain.

« Le travail est la réponse idéale à cette malchance, assure le coach, il n’y a ni scoumoune ni malédiction au-dessus de nos têtes. Transmettre l’enthousiasme et l’envie à mes joueurs est une priorité avant chaque rencontre… ».

Il est encore trop tôt pour se faire une réelle opinion de la méthode FURLAN sur l’équipe. Mais, une chose est sûre : tout cela progresse dans le bon sens.

« Je n’ai pas encore assez de recul vis-à-vis de mon effectif, concède le responsable de la team, mais au vu des CV de certains, je sais qu’ils peuvent faire beaucoup mieux… ».

Ne pas se mettre la pression…

Patient, Jean-Marc FURLAN ne se met pas la pression. Il possède la parfaite maîtrise de l’exercice, lui qui a disputé 300 matches de Ligue 1 en qualité de coach.

« Laissez-moi un peu de temps avant de faire des analyses analytiques, ajoute-t-il, on reparlera de tout çà au bout de quinze journées… ».

Si l’on parle de philosophie de jeu, l’idéal serait de pratiquer une possession du ballon durant les quatre-dix minutes de la partie. Sans trop se livrer et en espérant glaner quelques points de manière éparse.

« C’est totalement utopique dans le milieu du football, affirme-t-il. Souvent la différence de jeu ne se fait pas au niveau de la technique mais bel et bien avec le cerveau. En France, on sépare le corps et l’esprit dans la pratique du sport. Ce qui est une hérésie. Il faut bien au contraire utiliser ses capacités intellectuelles au maximum et prôner l’art du dépassement de soi pour réussir… ».

Gageons que ce raisonnement soit nourri d’efficacité lors de cette cinquième joute du championnat.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le milieu de l’apprentissage est en proie à une grande effervescence à l’amorce de ce mois de septembre. Surtout depuis la promulgation d’un texte de loi (05 septembre 2018) qui a visiblement embrouillé les pistes du pragmatisme en matière de formation. Notamment, au sujet du financement des CFA où les enjeux sont d’importance. D’autant que les régions vont être dessaisies de leur compétence au 01er janvier 2020. De passage à Auxerre, le président de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et fabrication) Bernard STALTER n’aura pas manqué de s’entretenir de cet item ô combien capital en marge de sa visite au centre de formation de l’apprentissage de l’Yonne, le CIFA, qui l’a accueilli ce mercredi en fin de matinée…

AUXERRE : Le postulat est simple. L’apprentissage se situe aujourd’hui à la croisée des chemins en France. Ignorée, voire le plus souvent galvaudée durant plusieurs décades par les pouvoirs publics, cette approche didactique fondamentale de la jeunesse en quête d’une intégration rapide dans la vie active retrouve enfin grâce aux yeux de la gouvernance de l’ère MACRON. Il était grandement temps, pourrait-on dire !

Et l’importante période, vécue par le prisme de sa réforme, n’apparaît nullement comme une mauvaise chose. Confirmation de ce positivisme par Bernard STALTER, double président de la CNAMS et de l’UNEC (Union nationale des entreprises de la coiffure). Ce dernier effectuait une courte escale ce mercredi dans l’Yonne en découvrant l’un des fleurons pédagogiques régional, le CIFA d’Auxerre.

« Cette réforme votée par le législateur, nous l’attendions déjà depuis vingt ans, concède sans ambages ce haut personnage de la filière artisanale, pensez donc : l’artisanat enregistre depuis une nette carence de ses capacités en matière d’attractivité et d’emplois. Surtout depuis une décision arbitraire prise il y a cinq ans par Bercy (le ministère de l’Economie et des Finances) qui a tout bonnement cessé de distribuer une manne financière essentielle à la filière s’élevant à l’époque à 550 millions d’euros. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’artisanat a enregistré une perte sèche de 20 % du nombre de ses apprentis dans les années qui ont suivies… ».

 

Un déficit de 700 000 emplois pour l’artisanat par manque d’apprentis…

 

Un constat au goût amer que le président de la CNAMS n’a semble-t-il toujours pas eu le loisir de digérer. Et pour cause : du fait de cette coupe sombre et irréfléchie dans son budget de fonctionnement, l’artisanat tente vainement de combler depuis un manque abyssal de 700 000 emplois !

Une équation aux multiples inconnus qui n’est pas prête d’être résolue d’autant que d’autres motifs d’inquiétude se sont rappelés au bon souvenir du président STALTER. Celui-ci assure mordicus qu’il se battra pied-à-pied pour obtenir gain de cause quant au financement du coût contrat.

« Je travaille à la mobilisation générale de l’ensemble des métiers de service que je représente pour que le nombre d’apprentis augmente dans des filières qui en manquent cruellement : les métiers de bouche, le bâtiment, la coiffure. Certes, il y a eu par le passé quelques ersatz de mesures distillées par l’Etat pour tenter de remédier à la situation (des aides destinées aux petites entreprises qui s’octroyaient les services d’apprentis âgés de moins de 18 ans) mais cela n’aura guère eu d’effets à terme... ».

Muni de multiples cartes de visite corporatistes (il a été élu en décembre 2016 président de l’ACPMA, c’est-à-dire l’Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat), Bernard STALTER dispose de plusieurs atouts dans sa besace. Pour faire entendre sa voix, au sommet de l’Etat. En qualité de porte-parole légitime des différentes filières professionnelles dont il est un précieux ambassadeur.

 

 

Le digne successeur de Pierre MARTIN, figure emblématique de la vie économique bourguignonne (le Tonnerrois a été l’ancien président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne), ne s’en laisse pas conter en bon alsacien pugnace qu’il est face à la ministre du Travail Muriel PENICAUD. Voire lorsqu’il est reçu à Matignon par le Premier ministre Edouard PHILIPPE comme ce sera le cas d’ici une quinzaine de jours.

« L’inquiétude que nous éprouvons n’est pas d’ordre politique, précise-t-il, mais elle est de nature technique. Les ministres que nous rencontrons comprennent les difficultés qui sont les nôtres. Sur le financement de l’apprentissage, il est anormal que de grands groupes (certains issus du CAC 40 et qui redistribuent de forts dividendes) ouvrent des centres de formation en bénéficiant d’un coût contrat qui soit nettement supérieur au coût préfecture que nous avons tous, les CFA existants, aujourd’hui… ».

Et le président STALTER de se poser légitimement la question : est-ce que l’on veut octroyer davantage de moyens financiers aux grands groupes entrepreneuriaux en fragilisant de facto de petits CFA qui ont perdu des subsides par simple arbitrage budgétaire ?

 

La mobilisation des acteurs économiques contre la morosité…

 

« L’apprentissage ne peut pas être un facteur politique, ajoute le prolixe président, on ne peut pas avoir un conflit entre les régions et le gouvernement sur ce sujet. Ce mode d’enseignement correspond à une priorité pour l’emploi et les entreprises de l’Hexagone. N’oublions pas que nous avons 25 % des chefs d’entreprise de notre pays qui sont âgés de plus de 55 ans…Ce serait un véritable drame social si ces entreprises ne se reprenaient pas lors d’une cession d’activité, faute de candidats qualifiés... ».

85 % des jeunes qui passent par l’apprentissage trouvent un emploi à l’issue de leur cursus. 50 % des chefs d’entreprise de notre territoire national viennent de l’apprentissage. Bernard STALTER entend bien resservir ces données statistiques majeures à ses interlocuteurs ministériels lors de ces futurs entretiens.

Reste que le sémillant personnage à la moustache abondamment fournie pousse ses réflexions intellectuelles encore plus loin. Il en appelle à la mobilisation générale contre la morosité ambiante qui grève ce pays. Et surtout à l’aide des médias !

« Supprimez toutes les pages de faits divers qui garnissent à longueur d’édition la presse et mettez plutôt en valeur le vécu de cette jeunesse qui est en réussite sociale et professionnelle grâce à l’apprentissage ! Communiquez sur la valeur travail que nous devons répandre autour de nous ! L’avenir de notre pays passe par cette valeur travail et non pas par des histoires sordides et cruelles qui n’intéressent personne… ».

Curieuse invitation faite à la presse, en vérité. Mais, la démarche pour le moins insolite traduit l’optimisme et l’envie de changer la donne de notre société d’un président dévoué avec passion à sa mission.

« Croyez-moi, conclut-il, on peut vivre heureux en France. Si tous les acteurs économiques et institutionnels collaborent ensemble à l’amélioration de notre pays, chacun y trouverait son compte… ».

Et sans doute en premier lieu, la jeunesse en quête d’un avenir meilleur et les apprentis, visiblement…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Après les trois premiers rounds d’un championnat qui n’aura rien d’une partie de plaisir, l’AJA pointe à la seizième place. Mais ce positionnement n’est en soi guère significatif au plan comptable. L’équipe bourguignonne pourrait en cas de réussite profiter de la venue de l’ancien pensionnaire de Ligue 1 ce soir à l’abbé Deschamps pour marquer les esprits durablement. Il suffirait pour cela que les protégés de Jean-Marc FURLAN affolent enfin le compteur du nombre de buts inscrits (seules deux réalisations pour l’heure) pour que la dynamique et la confiance reverdissent enfin dans le cœur des supporters.

AUXERRE : L’affiche est alléchante. Elle constitue déjà un sérieux test pour la formation de l’Yonne qui l’a appréhendée avec beaucoup de philosophie et de sérénité. Reste à y mettre désormais la manière. Celle de l’offensive car les suiveurs inconditionnels du club ont grand faim de prouesses techniques, de montées d’adrénaline et surtout de buts !

Pourvu de quatre points, l’En Avant Guingamp n’a qu’un seul objectif en tête : retrouver l’élite après sa descente aux enfers après une laborieuse saison. Pas si simple, en vérité car la concurrence est rude dans un championnat qui ne cesse de s’aguerrir d’année en année. Lorient, Lens, Clermont ou le Paris FC ne s’en laissent pas compter. Ces clubs ont des prétentions : ils ne sont pas les seuls.

En s’appuyant sur les qualités professionnelles de leur nouveau coach, qui a, excusez du peu, assurer la montée du Stade Brestois à l’échelon supérieur la saison dernière, l’AJ Auxerre intègre ce maillage de moins en moins hermétique de formations pouvant jouer le titre. Et par effet gigogne l’accession.

Oui mais voilà, malgré les bonnes intentions de leur entraîneur qui ne se formalise pas le moins du monde après seulement trois journées de compétition, les scénarios tournent courts depuis le début du nouvel exercice. Et ils ne s’auréolent que de peu de réussite.

Les « blancs et bleus » possèdent la balle, la font tourner avec une relative assurance tout en occupant le terrain de l’adversaire, parfois avec de la fluidité dans la circulation du jeu. Mais, les offensives demeurent stériles et inquiètent peu les défenseurs adverses.

Bref : hormis la brillance initiale et enthousiaste face au Mans (toujours lanterne rouge du classement provisoire) du premier jour, Auxerre n’a pas encore trouvé depuis son rythme de croisière la menant vers une enfilade de victoires.

Inexpressifs en attaque lors du premier tour de la Coupe de la Ligue face à l’AS Béziers, les attaquants du club icaunais ont ensuite été piégés lors de la séance de tir aux buts (5-6) qui leur aura été fatale.

Un désir de revanche pour les deux formations…

Ce lundi soir soufflera un vent de révolte au-dessus des deux équipes. Du moins, l’espère-t-on ! Entraîné désormais par Patrice LAIR, le team breton aura sans doute à cœur de se refaire la cerise après sa piètre prestation face à Orléans en Coupe de la Ligue (4-1). Malmenés en championnat à l’instar de leurs homologues bourguignons, les défenseurs du maillot rouge et noir breton n’ont d’autres alternatives que de soigner leur image.

La méfiance est donc de mise pour les Icaunais : après une série de six saisons consécutives à l’étage supérieur, Guingamp effectue le voyage dans la cité de Paul Bert avec la ferme intention de glaner les trois points synonymes de succès.

Jean-Marc FURLAN est prévenu. Il lui faudra trouver les mots justes et précis sur le banc pour motiver ses troupes en leur instillant cette envie de vaincre le signe indien du moment. Et de ne plus connaître de mésaventure devant les buts de l’adversaire…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil