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L’exercice se définissait comme un contact participatif avec les habitants de la capitale de l’Yonne. Articulé autour d’une vingtaine d’items indissociables du quotidien, un questionnaire a circulé via de multiples canaux (Facebook, e-mail, papier…) avant d’atteindre sa cible. Celle qui compose les strates de la citoyenneté. Plus de deux cents réponses ont permis aux instigateurs de cette enquête, les représentants de la majorité présidentielle (AGIR, LREM et MoDem) de récolter de précieux renseignements sur les attentes des Auxerrois à l’aune des municipales. Une somme d’indicateurs devant nourrir leurs réflexions…

AUXERRE : Problématique du stationnement en centre-ville, désir d’une démocratie participative renforcée avec les élus ou souhait de voir booster le commerce de proximité représentent le lot de réflexions, parmi tant d’autres, émis par les Auxerrois se prêtant au jeu de cette enquête d’opinion.

Adressé il y a plusieurs mois, le questionnaire instruit par les formations proches de la majorité présidentielle, AGIR La Droite constructive, le MoDem et La République en Marche ainsi que des représentants de la société civile aura recueilli plus de deux cents réponses en un laps de temps relativement court.

Distribué sur les réseaux sociaux, par courrier ou remis à la main, ce document contenait une vingtaine de thématiques. Celles-ci englobaient la sécurité, l’environnement, la propreté, le commerce, le sport, l’économie ou la culture. Analysées, les informations ont été restituées lors d’un point presse en présence de plusieurs ténors de la politique locale, dont deux soutiens inconditionnels aux valeurs de LREM Malikha OUNES et Nordine BOUCHROU, ainsi que le chef de file du MoDem dans l’Yonne, Pascal HENRIAT.

  

Circulation et stationnement : une sinécure à Auxerre ?

 

Si 35 % des personnes interrogées désirent une vraie réflexion autour de sujets qui engagent l’avenir de la ville, d’autres espèrent la recrudescence d’une démocratie plus orientée vers le participatif. Voire une évolution du rôle de l’élu qui pourrait optimiser la communication envers les citoyens.

La lutte contre les incivilités se dégage parmi les arguties prioritaires qui ressortent de cette lecture affinée de ce sondage. Il en est de même de ce besoin sécuritaire que réclament les habitants. Même la propreté de nos rues doit s’améliorer pour 29 % des personnes testées. Curiosité qui ne manque pas de sel : le cas des sempiternelles déjections canines. Elles apparaissent comme un fléau pour celles et ceux qui aiment flâner sur les trottoirs (20 %).

La présence des poids lourds en ville (24 %) nuit à la tranquillité des riverains. Amenant la récurrente question qui se rapporte à la fameuse déviation et son prolongement. Enfin, le stationnement figure en bonne place des priorités à traiter par une municipalité. « Nous ne savons plus où garer nos véhicules ? » constatent 36 % des sondés.

Le volet économique n’a pas été omis. Près de 20 % des testés aimeraient l’accueil plus significatif de nouvelles entreprises sur le bassin auxerrois. Tandis que le petit commerce indépendant trouve encore intérêt et gain de cause auprès de 24 % de ce panel.

Si 34 % de la population interrogée refusent l’idée de nouvelles taxes, 31 % indiquent que le patrimoine et sa réhabilitation constituent un cheval de bataille important dans la préservation des valeurs de la ville.

Le transport (surtout le ferroviaire) interpelle et interroge. 26 % des sondés se plaignent du manque de places assises sur certaines liaisons entre Auxerre et Paris lorsque les trains sont bondés (le dimanche soir).

Un item qui a pour résultante de se pencher sur la mythique électrification de la ligne Laroche Migennes-Auxerre et du devenir de ce nœud gordien ferroviaire, identifié par le passage à niveau de Jonches…

Quant à l’environnement, il occasionne des réponses pertinentes obtenues avec le retour de ces documents. 18 % aimeraient l’installation de panneaux solaires sur les toits des bâtiments publics de la ville. 19 % veulent lutter contre les ilots de chaleur. 19 % disent traiter leurs déchets verts alors que 6 % se disent fiers de la qualité du fleurissement de la cité.

Enfin, l’un des points sensibles de toute projection financière sur l’état de santé d’une collectivité, son désendettement, a également été abordé lors de cette compilation non exhaustive de résultats. La ville a vu ses dettes se réduire entre les deux échéances électorales. De 65 millions d’euros en 2014, Auxerre est passée aujourd’hui à 57,8 millions d’euros de dettes. Une diminution qui lui permet d’être classifier parmi les critères normatifs acceptables.

Gageons que l’ensemble de ces éléments statistiques représentatifs exprimés par une frange, certes minoritaire, de la population auxerroise serve à densifier les bases d’un futur programme porté par une équipe. Celui de cette union hétéroclite, née de la mouvance « la Renaissance » qui arborait les couleurs de la majorité présidentielle aux récentes européennes et qui perdure depuis ?


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Boudée par l’ensemble des médias régionaux, la conférence de presse, concoctée en marge des manifestations populaires contre le fonctionnement de l’élevage canin des Souches, aurait pu tourner court pour le Rassemblement national la semaine dernière. Faute de combattants ou presque ! Malgré la présence d’un trio d’élus, plutôt communicatif, composé de la députée européenne, Aurélia BEIGNEUX, d’un membre du bureau national et adjoint au maire d’Hénin-Beaumont, Christopher SZCZUREK et du président RN au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Nonobstant cet état de fait anecdotique, ces trois jeunes loups de la politique hexagonale avaient néanmoins des arguments à faire valoir sur cet épineux sujet de la maltraitance animale. Une thématique qui s’appréhende telle une priorité essentielle pour le mouvement « bleu marine »…

MEZILLES : Visiblement, le Rassemblement national ne fait pas recette lorsque ses représentants organisent un entretien spécifique avec la presse régionale. Surtout si l’objet de cet exercice oratoire participatif fait état de la maltraitance animalière, comme item principal.

Profitant de la grande manifestation unitaire organisée le 07 septembre à MEZILLES contre le fonctionnement de l’élevage canin des Souches, des élus du parti « bleu marine » ont dénoncé à leur manière ce qu’ils considèrent comme une « honte » locale. Dont ils demandent l’arrêt sine die.

D’une part, en se greffant, à cette opération revendicative publique à laquelle participait une forte concentration de de mouvements associatifs défendant les droits et la protection des animaux. Sans y être nécessairement les bienvenus. D’autre part, en capitalisant sur cette vitrine de communication pour y rencontrer les représentants des médias du terroir.

Or, force est de constater que dans un cas comme dans l’autre, l’exercice fut assez complexe pour le Rassemblement national. Hormis votre serviteur numérique, la conférence de presse fit chou blanc sur toute la ligne. Les journalistes répondaient aux abonnés absents. Alors que certains d’entre eux arpentaient les ruelles du village en quête d’informations croustillantes à mettre dans leur escarcelle sur la thématique du jour.

Faisant fi de ces pratiques déontologiques pour le moins surprenantes, les élus du RN décidèrent après de longues minutes de patience de débuter enfin un exercice introspectif qui se mua en un tête-à-tête circonstancié !

« Nous sommes là sans aucun parti pris ni quelconque sectarisme, introduisit le régional de l’étape, le très médiatique porte-voix Julien ODOUL, à propos de la présence du RN sur cette manifestation, il n’y a pas de volonté de récupération de notre part car la cause animalière est l’un de nos sujets de préoccupation depuis fort longtemps… ».

 

Une proposition de loi pour protéger les animaux domestiques

 

D’ailleurs, l’élu régional d’affirmer qu’il a à maintes reprises, notamment lors des assemblées plénières du 25 mai 2018 et du 29 mars 2019, fait connaître l’opposition de son groupe à l’élevage d’animaux à des fins expérimentales.

« Nous avons demandé explicitement au préfet de l’Yonne de s’engager en faveur de la fermeture du centre de MEZILLES… ». En vain.

Quant à la volonté des organisateurs de la manifestation de ne pas voir l’ombre d’un membre du RN dans les parages, Christopher SZCZUREK s’est montré très catégorique : « c’est une opération unitaire, nous n’avons pas à nous exclure de tous les clivages…La cause animale mérite la mobilisation de chacun : il était donc évident que nous participerions à la manifestation… ».

Dès 2007, le leader historique du Front national Jean-Marie LE PEN affichait ses convictions en faveur de la cause animale. Ses héritiers, aujourd’hui réunis sous le vocable de Rassemblement national, continuent sur cette lancée. Même si les grands dossiers abordés en règle générale par le parti d’extrême-droite se situent parfois aux antipodes de celui-ci…

« Nous observons la recrudescence des actes de malveillance vis-à-vis des animaux, constate Aurélia BEIGNEUX, nous sommes favorables au principe d’identification devant s’appliquer aux animaux domestiques. Une proposition d’un texte de loi du député RN Bruno BILDE vient d’être déposé afin de mieux encadrer la possession des animaux domestiques et d’éradiquer le plus possible les actes de nuisance envers nos compagnons… ».

 

 

Privilégier les procédés de substitutions…

 

Quant au délicat dossier de la vivisection, les choses apparaissent encore plus évidentes pour les lieutenants de Marine LE PEN.

« En 2014, nous avons soutenu plusieurs initiatives contre cette pratique odieuse d’un autre temps, précise la députée européenne du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen, personne ne possède le monopole de la protection animale en France, c’est pourquoi nous prenons à cœur de défendre cette cause oubliée par la gouvernance actuelle… ».

Evoquant leur présence en terre icaunaise, les deux élus d’Hénin-Beaumont s’en expliquent : « Le centre des Souches de MEZILLES est le plus important élevage de chiens destinés aux laboratoires de France avec un effectif de 1 500 beagles et golden retriever dont deux cents chiots. Ces animaux de compagnie, les meilleurs amis de l’homme, sont élevés dans des conditions épouvantables pour la vivisection. C’est-à-dire servir de chair vivante aux expérimentations… ».

Précisons que la capacité du centre et son agrandissement jusqu’à 3 200 têtes ont été validés par un arrêté préfectoral d’octobre 2018, actuellement contesté devant le Tribunal administratif de Dijon.  

« Conformément à la législation européenne, enchaîne Julien ODOUL, l’usage des animaux pour l’expérimentation médicale doit se réduire, se raffiner et être remplacée par des méthodes de substitution telles que les simulations par ordinateur, le croisement des résultats d’autres expériences passées, les tests in vitro sur des cellules souches. Il est devenu urgent d’interdire de telles méthodes dans l’ensemble des programmes de recherches financées par l’Etat et les collectivités… ».

Sur un tout autre registre, et dans les villes où leurs élus occupent le poste de maire, le RN a interdit la présence de spectacles de cirque mettant en scène des animaux. Quant aux accords de libre-échange avec le Canada (CETA) ou le continent sud-américain (MERCOSUR), le Rassemblement national les conspue pour les mêmes raisons, servant la cause animale.

« On veut nous faire manger de la viande en provenance du Brésil produite dans des conditions d’élevage calamiteuses. Il nous faut refuser cela à tout prix… ».

Naturellement, l’entretien ne put se conclure sans le couplet sur l’opposition à l’abattage rituel et à la présence du ministre de l’Agriculture, Didier GUILLAUME, à une corrida lors de ses vacances.

Avant de poursuivre sur les activités cynégétiques pratiquées en France : « la chasse est nécessaire à la régulation des populations animales. Il est judicieux de la contrôler pour prévenir des désastres écologiques qui peuvent exister après le passage d’une horde de sangliers dans les cultures. Arrêtons de caricaturer les chasseurs : ce sont les premiers écologistes qui vivent la nature comme des passionnés… ».

Clap de fin ! Et pas un mot de Julien ODOUL sur ces velléités électorales dans sa ville de prédilection : Sens. On devrait y voir plus clair d’ici peu sur ses intentions de chasser ou pas sur les terres de la Républicaine Marie-Louise FORT.


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Vitrine ouverte de la dynamique commerciale locale, la foire exposition d’Auxerre possède d’autres atouts non négligeables dans son jeu. Elle s’inscrit chaque année parmi les points de passage prioritaires de la sphère institutionnelle et politique départementale en cette période de rentrée. Y être vu tout en y voyant et appréciant les dernières innovations proposées par les exposants constitue un exercice de communication savamment orchestré dans les travées du parc des expositions. Un moment propice où il est de bon d’échanger et d’observer…

AUXERRE : Un rendez-vous destiné à accueillir les peoples et autres VIP de l’Yonne, la foire d’Auxerre ? Toujours est-il que la traditionnelle cérémonie inaugurale, bien que quelque peu modifiée et raccourcie depuis une paire d’années, répond en tout point à cet objectif.

Intégrer le copieux cortège qui forme l’ossature protocolaire des officiels, devant cheminer durant près de deux heures chaque recoin de l’espace commercial figure depuis belle lurette sur les agendas des personnalités influentes.

C’est une tradition à laquelle nul ne doit déroger sous peine de susciter les commentaires les plus extravaguant des coteries du sérail ! Bien sûr, les contraintes de calendrier justifiant les absences des uns nourrissent le questionnement quelque peu amusé et intrigué des autres ! Ainsi est faite l’existence…et surtout l’humain, toujours avide de sensationnel !

Invités à se rendre sur le parvis du parc des expositions sous un soleil guilleret, les heureux élus de ce tour de chauffe matinal, soit la phase d’ouverture de la manifestation, eurent à cœur de suivre l’encadrement de Centre France Evènements dans ce périple.

 

Les arts de vivre, valeurs sûres de la foire…

 

Avec une première et étonnante halte auprès de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, et de leurs chefs, tout auréolés de pareilles retrouvailles dès onze heures du matin. Une gougère dans une main, un petit gobelet fleurant bon l’escargot persillé cuit dans sa sauce au chablis dans l’autre, le prologue de la visite se montrait déjà sous d’excellents auspices pour les suiveurs. Il n’y a pas à dire : il fait bon vivre en Bourgogne, terroir de succulentes traditions.

Puis, tour à tour, les hôtes des lieux, Guy ROS (directeur général de Centre France Evènements Auxerrexpo) et Sébastien FUENTES, son adjoint, expliquèrent dans les grandes lignes les tendances attrayantes de cet évènement, le énième, placé celui-ci sous le chiffre symbolique du 89. Comme 89ème édition. Ou en référence pour les puristes de la géographie au département de l’Yonne. Des discours écoutés studieusement par le parterre de personnalités.

Guy ROS exposa par ailleurs des réflexions pour le moins pertinentes sur le rôle stratégique d’Auxerre dans le registre du tourisme d’affaires (voir article correspondant).

Commença alors la lente déambulation du cortège, allée après allée, sous les commentaires explicatifs du Monsieur Loyal, officiant micro à la main, fidèle au poste depuis dix ans tout pile.

 

 

A la découverte de mythiques personnages de B.D.

 

D’un univers à l’autre, chacun prit le temps de saluer, de discuter et de tâter le pouls des cent cinquante artisans/commerçants à forte connotation icaunaise. Le tracé de ce sinueux parcours offrit une excursion en plein air.

Sur le parvis du parc auxerrois où les forces militaires étaient bigrement représentées. Des chasseurs alpins à l’armée de terre, avec armes et paquetages à la clé. Y aurait-il eu quelques incitations au recrutement avec la bénédiction de l’adjudant-chef Bruno NIRLO ?

Plusieurs élus n’hésitèrent pas à revêtir les tenues et attributs militaires, se remémorant peut-être quelques lointains souvenirs de leur incorporation au sein d’un régiment. Crépitement des flashes : la communication l’emporta haut la main avec ces clichés mémorables !

La visite se termina peu après par l’une des attractions novatrices de cette édition 2019. L’espace consacré aux « Avengers », les célèbres personnages apparus dans les comics américains de l’après-guerre.

Un « Captain America » plus vrai que nature attendait bouclier en main les suiveurs. Avant que ces derniers ne découvrent, plongés dans une relative pénombre, les figurines de « Hulk », « Spiderman » ou « Iron Man ».

Entre les stars, figées mais planétaires du cinéma d’Outre-Atlantique, et les VIP bien vivants de l’Yonne qui terminèrent leur parcours, c’était incontestablement une noria d’étoiles qui symbolisa l’ouverture officielle de cette foire 2019 d’un bon cru…

 

 


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Une petite phrase résume à elle seule l’état des lieux de la rentrée scolaire 2019 vécue dans l’enseignement secondaire de notre territoire. « La rentrée se passe bien… ». Prononcée au terme du copieux et long exposé fourni par le président du Département, Patrick GENDRAUD, elle renseigne sur la physionomie exacte de cette reprise d’activité pour les 14 150 collégiens qui fréquentent les trente établissements publics de l’Yonne.

COURSON-LES-CARRIERES : L’exercice se veut traditionnel. Il nous revient chaque année comme tombent avec la régularité d’un métronome les feuilles mortes aux premiers jours de septembre.

L’exécutif départemental aime tâter le pouls du terrain. Et tirer ainsi les premiers enseignements de la rentrée scolaire. Ponctuant celle-ci de visites ciblées aux établissements pédagogiques qui sont déjà fins prêts dans les starting-blocks.

2019 n’aura donc pas dérogé à la règle. Permettant à l’agenda déjà bien rempli du président Patrick GENDRAUD de se garnir davantage au fil des jours. Avec une étape initiale qui fut organisée à une trentaine de kilomètres à l’ouest d’Auxerre, en Puisaye-Forterre, propice à la tenue d’une conférence de presse révélatrice de la situation.

Observation faisant office de préambule, le nombre des collégiens a connu une sensible érosion entre les deux exercices les plus comparables, celui de 2018 et l’actuel. Soit une baisse de 97 élèves sur l’ensemble des collèges publics icaunais. Rien que sur l’Auxerrois, cela représente une cinquantaine d’élèves en moins. Toutefois, cet état de fait n’érode pas la capacité d’accueil globale offert par les quatre établissements fonctionnels dans la capitale de l’Yonne avec 700 places supplémentaires.

 

Le numérique : une place prépondérante dans le secondaire…

 

Aux côtés de l’inspectrice d’Académie, Annie PARTOUCHE, Patrick GENDRAUD évoqua ensuite les aspects financiers. Rappelant que 30 millions d’euros étaient consacrés à l’amélioration de la vie scolaire des collégiens de notre département. Dont vingt millions pour le poste « fonctionnement ». Une somme qui se répartit entre les huit millions d’euros destinés au fonctionnement à proprement parlé de l’institution collégiale et douze millions servant à alimenter la masse salariale des 315 professionnels (des agents départementaux) exerçant leur savoir-faire sur les trente sites répertoriés.

Dix millions d’euros constituent l’enveloppe nécessaire aux travaux de réhabilitation et d’équipements. En synthèse, un collégien icaunais suivant sa scolarité dans le public coûte annuellement en moyenne 1 857 euros. 

Le volet numérique rappela à l’assistance (un aéropage de personnalités institutionnelles et politiques ayant suivi le chef de file de l’Yonne dans ses pérégrinations dont la sénatrice Dominique VERIEN et le président de la Communauté de Puisaye Forterre Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI) le poids de cet auxiliaire pédagogique très précieux dans l’Yonne.

« Tous les collèges bénéficient d’un équipement approprié, ajouta le président avant d’énumérer la liste des dotations. Ce sont 3 520 ordinateurs mis à la disposition des collégiens, 1 500 tablettes numériques, 86 vidéo projecteurs interactifs, 770 appareils du même acabit mais plus simples et une imprimante 3 D par établissement… ».

Un échantillonnage exhaustif de ce que l’institution départementale décline pour démocratiser l’usage du multimédia auprès des plus jeunes de ses concitoyens.  

Autres chiffres à retenir dans ce catalogue très précis des dépenses octroyées par le Département à l’enseignement : ceux relatifs à la restauration scolaire. L’Yonne compte dans ces collèges publics 10 162 demi-pensionnaires. Vingt-neuf restaurants scolaires gérés par le Département, tous en production directe, sont opérationnels.

« Ce qui représente au bas mot, précisa l’ancien élu de Chablis, 1,6 million de repas confectionnés par an ! ».

 

La solidarité demeure prioritaire aux yeux du président…

 

Sachant que le prix du repas au ticket revient à 3,70 euros pour les familles, le coût réel s’élevant, lui, à 8,50 euros à la charge du Conseil départemental.

Le volet « social » mit l’accent sur l’octroi des bourses. Plus de deux milles élèves (2 121 avec exactitude) les perçoivent. Globalement, cela représente un montant total de 225 666 euros. 

Très attaché à l’amélioration des conditions d’existence des personnes à mobilité réduite, Patrick GENDRAUD n’oublia pas de mentionner qu’une centaine de collégiens vivaient cette situation sur le territoire. Ils sont pris en charge pour le transport scolaire par l’institution.

Précisons que plus de 500 élèves sont accompagnés dans le premier et le second degré dans l’Yonne.

Nous aborderons dans un prochain article un aspect complémentaire à l’intervention du Conseil départemental de l’Yonne. Il est avant tout un constructeur aménageur des collèges et équipements qui leur sont liés. Notamment les gymnases. A ce titre, les projets de rénovation ne manquent pas pour cette nouvelle saison qui débute déjà sur les chapeaux de roue pour l’exécutif…


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L’accessibilité de la Foire d’Auxerre au plus grand nombre de commerces indépendants constitue l’une des priorités essentielles des organisateurs de la nouvelle édition qui débute le 11 septembre. Pour se faire : une seule recette s’applique. Un prix d’appel relativement bas pour inciter les plus petits des exposants à participer à la manifestation. Une stratégie qui s’avère payante au plan quantitatif ?

AUXERRE : Bénéficiant d’un taux de renouvellement qui dépasse les 90 %, la Foire d’Auxerre ne connaît pas de disette au niveau de ses exposants pour remplir les travées du parc AUXERREXPO.

Mieux : un vrai tour de force a été réalisé avec cette 89ème édition qui se profile. Les organisateurs de Centre France Evènements ont enregistré une hausse significative du nombre des professionnels inscrits !

Comme le confirme le directeur-adjoint de la structure porteuse du concept, Sébastien FUENTES, « une vingtaine d’artisans et de commerces supplémentaires accueilleront les visiteurs en quête de bonnes affaires cette année. Ils étaient près de 130 participants lors de la précédente édition. Cette fois-ci, la foire franchit un nouveau cap en termes de fréquentation, au-delà des cent cinquante exposants… ».

L’explication de cet engouement inattendu tient en quelques mots : la politique tarifaire exercée par le donneur d’ordre.

« Les prix d’appel que nous proposons sont très bas pour ce type de manifestation populaire, commente Sébastien FUENTES, avec un budget compris entre 300 et 400 euros, un professionnel peut être accueilli sans problème sur notre évènementiel et être pourvu d’un emplacement…».

 

Un budget de fonctionnement en progression de 15 %...

 

Une opportunité dont auraient pu profiter davantage d’autoentrepreneurs de l’Yonne à ce tarif-là. Or, curieusement, leur nombre représente la portion congrue des exposants sur cet évènement qui fleure bon le retour de l’automne. Pourquoi n’ont-ils pas su saisir la balle au bond ?

« C’est simple, estime Sébastien FUENTES, les artisans et commerçants à la tête de micro structure ne travaillent pas de la même manière que les professionnels plus aguerris. Venir sur un lieu public comme une foire suppose une autre approche relationnelle à la clientèle. Il ne faut pas hésiter à aller de l’avant en l’alpaguant afin de lui proposer ses services ou ses produits… ».

Etre à l’aise face à un prospect reste, on le sait, une saine vertu dans l’approche commerciale de notre société consumériste. Une manière de faire que l’on acquiert au fil du temps et de l’expérience…

Un mot, en dernier lieu, sur le budget consacré à l’animation commerciale. Sans qu’il soit déflorer au chiffre près : il est en progrès de + 15 % cette année par rapport à celui de 2018.

Deux postes ont requis un plus gros effort financier : la sécurité (celle-ci doit être optimale pour les organisateurs) et la part dédiée aux animations culturelles et de loisirs, en vue de satisfaire tous les publics. Vu le copieux programme de réjouissances, les suiveurs de la foire 2019 ne devraient pas être déçus !


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