Le distributeur français de fruits secs à coque répond à la tendance actuelle en matière de conditionnement. Dirigée par Benoît CHAIX, la PME vient de consacrer une enveloppe budgétaire de 70 000 euros à l’achat d’une ensacheuse, fabriquée en Italie. Grâce à ce nouvel appareillage, l’entreprise de Saint-Julien du Sault peut désormais proposer ses produits traditionnels (amandes, noisettes, noix, pistaches…) aux professionnels de l’agro-alimentaire dans des emballages beaucoup plus ergonomiques et usuels qu’auparavant.
SAINT-JULIEN-DU-SAULT : Alors qu’elle propose plus de 500 références de produits alimentaires issus de la famille des fruits secs à coque, SILVAREM améliore la qualité de ses emballages.
La PME, filiale du groupe transalpin STELLIFERI, apporte de la valeur ajoutée supplémentaire à son packaging. En accueillant ses ingrédients dans des sachets à fond plat, une variante d’emballage nettement plus valorisante quant au futur usage des paquets.
L’abandon du sachet coussin est entériné…
Pour atteindre cet objectif, SILVAREM a déboursé une enveloppe financière de 70 000 euros, une somme servant à acquérir la machine nécessaire, produite en Italie.
La nouvelle ensacheuse est en phase d’installation. Elle sera opérationnelle d’ici quelques jours après la période de formation de l’opérateur. SILVAREM emploie huit collaborateurs.
Progressivement, sauf spécificités particulières, l’abandon du sachet coussin, utilisé jusqu’à présent par la PME icaunaise, sera acté. Dorénavant, le distributeur de fruits secs optimisera les envois de ses produits à l’aide de ces sachets ergonomiques (ils offrent une meilleure mise en carton lors du transport), nettement plus présentables.
En étroite osmose avec son partenaire, Géant Casino, le commerce de la galerie Fontaines des Clairions réitère son soutien à la campagne nationale du Téléthon pour la quatrième année consécutive. Si l’exercice 2017 était synonyme d’une récolte financière de 760 euros au profit de l’AFM Téléthon, qu’en sera-t-il exactement au soir du 08 décembre ? Responsable de la vitrine auxerroise, l’opticienne Frédérique LECOMTE se mobilise, aux côtés de ses équipes, pour sensibiliser petits et grands à une cause qui leur tient à cœur…
AUXERRE : Un petit geste, fort en symbole, pour une grande aide favorisant la recherche. C’est ce que proposent durant deux jours, le 07 et le 08 décembre, OPTIC 2000 et son partenaire, Géant Casino. Le principe est simple : il suffit de profiter de la vente de brioches pour faire montre de générosité dans le cadre de la nouvelle campagne lancée par l’AFM Téléthon.
Depuis 2014, l’opticienne de la galerie Fontaines des Clairions, Frédérique LECOMTE, décline dans sa boutique, avec l’aide de ses collaborateurs, cette opération altruiste et généreuse.
En échange de cinq euros, somme intégralement reversée sous la forme de don à l’association, petits et grands peuvent déguster une brioche fournie par la boulangerie/pâtisserie de l’enseigne de la grande distribution.
Le subside financier se destine ensuite à la recherche thérapeutique dans le domaine des maladies rares ou des pathologies génétiques de la vision.
Le réseau leader de l’optique en France s’est engagé dans ce combat, aux côtés de l’AFM Téléthon, depuis 2012. Ainsi, les opticiens de l’enseigne aux 1 165 points de vente consacrent un euro par deuxième paire vendue à la structure associative.
Partenaire majeur du Téléthon chaque année, OPTIC 2000 a ainsi permis la collecte de 6,9 millions d’euros au bénéfice de l’association.
Ce fut un registre d’intervention inhabituel pour BGE Nièvre Yonne mais ô combien essentiel à la réflexion et au développement de nouvelles approches économiques. La structure associative régionale a garni les travées de l’amphithéâtre de l’IUT d’Auxerre, lundi soir, où près de deux cents personnes, issues du sérail entrepreneurial et institutionnel, ont pu apprécier à leur juste valeur les messages forts, relayés par le long-métrage, « La Terre vue du cœur ». Une table ronde, pertinente quant à la thématique abordée, en résultera. Plus que jamais économie et écologie doivent être à l’unisson à l’avenir afin d’éviter un scénario catastrophe…
AUXERRE : Un créateur d’entreprise ne peut plus décemment se lancer dans l’aventure entrepreneuriale sans être préoccupé par les questions d’environnement et d’écologie. Quel que soit son appétence sectorielle.
Alors que la transition écologique se rappelle au bon souvenir de nos concitoyens, surtout à travers le prisme de la mobilité énergétique et de notre dépendance aux énergies fossiles, le public, convié à découvrir les images de cette production cinématographique de bel aloi (« La Terre vue du cœur »), aura pris bonne note de ce qu’il faut faire et surtout ne pas faire dans ce nécessaire processus de sauvegarde de la planète.
Sortant de son cadre d’intervention habituel (la formation et l’accompagnement de porteurs de projets en vue de leur émancipation professionnelle), BGE Nièvre Yonne s’est donc muée en caisse de résonance intellectuelle, à la cause de l’adoption de préceptes écologiques.
Fiscalité, règlementation, actualité : tout ou presque concorde aujourd’hui pour que la transition écologique s’applique derechef au sein même des entreprises. Partant de ce simple postulat, les responsables de BGE Nièvre Yonne se sont rapprochés de quelques exégètes en la matière pour sensibiliser le commun des mortels de la TPE/PME locale.
Un excellent vecteur introductif avec le film…
Grand bien leur en a pris : ce qui aurait pu être une soirée délicate à organiser, au vu du contexte conjoncturel du moment et l’émergence inattendue des « Gilets jaunes », pour la plupart réfractaires aux idéologies écologistes, s’est transformé en une pleine réussite côté auditoire.
Refusant du monde aux accès de l’amphithéâtre, BGE a enregistré près de deux cents spectateurs pour sa grande première.
Conçu autour de la personnalité charismatique de l’astrophysicien Hubert REEVES et du philosophe Frédéric LENOIR, le film concocté par Iolande CADRIN-ROSSIGNOL interpella la salle sur la menace insidieuse qui pèse sur la biodiversité.
Largement diffusé à travers l’Hexagone depuis sa sortie initiale, le 13 avril dernier, « La Terre vue du Cœur » représentait un excellent vecteur introductif à la table ronde qui devait suivre.
Celle-ci réunissait, outre le président de BGE Nièvre Yonne, Arnauld MERIC, le vice-président en charge de l’environnement au sein de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois Denis ROYCOURT, et trois responsables du milieu professionnel, Thierry CHANUSSOT, directeur du territoire Nord Bourgogne au sein de VEOLIA Eau, Abdel Malik OUACHEN, créateur de la TPE INDHYA et le régional de l’étape, Pierre NAUDET, l’un des cadres dirigeants de la société familiale des Pépinières NAUDET à CHEU.
Interrogés par Benjamin LEMAIRE, lui-même créateur de l’agence évènementielle « Le Vin, Tout simplement », les intervenants purent exposer leurs points de vue personnels en apportant de multiples exemples concrets.
Parmi les sujets phare qui auront servi de trames à leurs propos : l’importance de l’eau, ressource vitale à l’existence de l’humanité, la préservation des arbres et forêts, la mise en place du pôle environnemental de l’Yonne (une création programmée en 2019 à Auxerre), le poids des nouvelles méthodologies en matière de gouvernance d’entreprises avec le management libérateur et les entreprises libérées.
Cette soirée riche en thèmes ne pouvait laisser personne dans l’indifférence.
Plusieurs dignitaires vietnamiens de la région de DA NANG dont le maire de cette ville, la troisième de ce pays du sud-est asiatique, et le directeur général du tourisme et des affaires étrangères, profiteront d’un court séjour dans le Sénonais pour visiter le port de GRON. Ce voyage, préparé en amont par le dirigeant de LOGIYONNE, Didier MERCEY (ce dernier vit aujourd’hui dans le pays du matin calme), a pour objectif de valoriser la ville de Sens et le département de l’Yonne auprès des autorités vietnamiennes…
SENS : Il y a peu, Didier MERCEY, dynamique chef d’entreprise icaunais, à la tête de LOGI YONNE, la structure exploitante de la zone portuaire de GRON, a conclu un agrément avec ses partenaires de la province vietnamienne de DA NANG, mettant en exergue la ville de Sens et le territoire de l’Yonne.
Le fondement de ce partenariat est simple. L’idée est de créer une synergie touristique et économique entre le département septentrional de la Bourgogne Franche-Comté et la province de ce pays de l’Asie du Sud-Est.
Première résultante de ce nouvel agrément : le montage d’un circuit touristique auprès des partenaires du Vietnam, incluant Paris, Sens et l’Yonne.
Deuxième aspect positif dans cette évolution des relations internationales avec le Vietnam : la présence, sur recommandations de Didier MERCEY, d’une délégation de douze personnalités issues du sérail politique, institutionnel et économique de ce pays en Bourgogne du Nord le 01er décembre.
Une visite des principales curiosités de Sens…
Le groupe se rendra à Sens ce jour-là. Accueillie par la Ville de Sens, la délégation profitera de cette immersion sénonaise pour y découvrir la cathédrale Saint-Etienne, berceau de la royauté française, le marché couvert ainsi que le musée.
Auparavant, les ressortissants vietnamiens se feront expliquer le processus fonctionnel du port du GRON en matinée. La délégation quittera Sens en milieu d’après-midi pour regagner Paris.
Mais, le maire-adjoint de DA NANG et deux chefs d’entreprises s’accorderont une nuit supplémentaire à Sens où ils dormiront. La délégation vietnamienne, au grand complet, se retrouvera dès lundi 03 décembre à Paris où l’ambassadeur du Vietnam en France et le secrétaire d’Etat en charge des relations européennes et des affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, se retrouveront pour signer un accord de partenariat.
Malgré le net ralentissement de la commande publique, le cabinet auxerrois ne cesse de faire proliférer de nouveaux projets vers le secteur privé. Aujourd’hui, les dossiers de construction, de rénovation et d’extension qui touchent les entreprises mais aussi la clientèle de particuliers, représentent 90 % de ses activités. D’excellentes perspectives sont d’ores et déjà envisageables à l’aune de 2019 avec la signature de plusieurs chantiers conséquents.
AUXERRE : Le cabinet d’architectes MC2 devrait aborder la future année 2019 avec le sourire. De l’avis de Mahieu CHEVILLOTTE, l’un de deux dirigeants de la structure, les carnets de commande, bien pourvus, offrent une belle visibilité à l’entreprise. Plusieurs projets, qualifiés d’importants par l’entrepreneur, se profilent à l’horizon.
Pêle-mêle, Mathieu CHEVILLOTTE cite les rénovations de différentes structures professionnelles en Puisaye. Mais aussi, l’agencement d’un gîte ouvert à la restauration sur le secteur d’Ancy le Franc, la rénovation d’un cabinet comptable et l’aménagement de locaux administratifs à Auxerre.
L’un des clous de ce prévisionnel mirifique sera le projet d’extension du site industriel des Remorques LOUAULT à Saint-Fargeau. Un dossier qui devrait être traité dans le courant du premier semestre.
Du côté des particuliers, plusieurs rénovations d’appartements sur l’Auxerrois s’inscrivent également parmi les priorités.
Hors de sa zone de chalandise habituelle, le cabinet d’architectes de l’Yonne assurera l’extension d’un chalet de grand standing à Méribel, avec la construction d’une piscine intérieure. Des chantiers sont aussi prévus dans le canton de Clamecy (Nièvre).
Une antériorité vieille de 16 ans et beaucoup de communication…
Réalisant un chiffre d’affaires annuel de 650 000 euros, MC2 Architectes ne lésine pas sur les moyens en termes de communication ni de développement relationnel. Véhicule sérigraphié, présence publicitaire dans les salles obscures du complexe cinématographique local, loge au sein de l’univers sportif de l’AJ Auxerre, la société de Marie-Claire GILET-CHEVILLOTTE et de son époux privilégient tous les supports pour asseoir sa notoriété dans la durée.
« Notre présence autour de l’environnement footballistique s’explique, commente Mathieu CHEVILLOTTE, grâce au système relationnel imputable à la loge du club, nous favorisons les contacts avec les influenceurs de la région. Même si ce type d’opération représente un budget conséquent à l’année, le retour sur investissement se traduit par de belles potentialités… ».
Le cabinet aux quatre collaborateurs développe depuis peu une nouvelle ligne de produit. Celle-ci est basée sur le conseil et la faisabilité d’un projet. Grâce à la mise en place de contacts directs avec un prospect, une prestation facturée à partir de 150 euros, les professionnels de la construction et réhabilitation de concepts immobiliers prodiguent leurs conseils.
La présence, récente de l’entreprise, sur le Chablisien s’est déjà concrétisée par la réalisation de jolis chantiers auprès des viticulteurs.