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Serait-ce un clin d’œil amusant à l’une des rares compositions que livra Ringo STARR, charismatique batteur des BEATLES, pour le groupe de Liverpool, publié sur leur chant du cygne, l’album à la fameuse pochette au passage piéton, « Abbey Road » datant de 1969 ? Ou une référence à une autre de ces légendes de la prude Albion, Roger MOORE, incarnant le célèbre « James BOND » dans l’adaptation cinématographique de ses aventures, « Octopussy », réalisée en 1983 ? Que nenni, de l’aveu de Thierry CADEVILLE, président de la CCI de l’Yonne ! Le projet « Octopus » - poulpe – correspond à la ramification des filières et offres qui seront accueillies au sein de la pépinière auxerroise, newlook…

 

AUXERRE : Au niveau de la sémantique, nous sommes gâtés avec la présentation de ce concept novateur ! Encore tout auréolé de mystères et de circonvolutions explicatives quant à l’adoption d’une telle appellation, pour le moins originale et inattendue, le président de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne, Thierry CADEVILLE, a donc levé le voile pour justifier enfin le nom de baptême de ce curieux projet dont il nous parle tant depuis plusieurs mois dans les couloirs de l’organe consulaire, « Octopus » !

Un terme insolite qui aurait pu être tout droit extrait d’un ouvrage d’espionnage de John LE CARRE nous ramenant à la période de la Guerre froide (tiens, tiens, le président CADEVILLE suivrait-il de très près les évolutions de la géopolitique ?) ou de…Ian FLEMMING, le père putatif et scriptural de l’inimitable James BOND !

 

Les huit activités et plus du projet « Octopus »…

 

Le projet « Octopus » ! Vous m’en direz tant ! Côté marketing, c’est plutôt brillant et malin que de le mettre en scène, au service des entreprises de l’Auxerrois ayant des velléités d’installation et de perspective au sein de la pépinière gérée par la chambre consulaire départementale. L’une des plus importantes de notre territoire et sans aucun doute l’une des plus anciennes aussi puisque sortie de terre en 1789, occupant d’anciens bâtiments militaires.

On laisse volontairement la référence amusante au titre des BEATLES (« Octopus’s Garden ») de côté - le « jardin des poulpes », ce serait bien trop étrange comme nom de code pour accueillir à l’avenir des entreprises industrielles, artisanales et de service de l’Yonne, un tantinet psychédélique, non ? - et concentrons-nous plutôt sur les explications très factuelles, livrées par le président en personne.

« Pourquoi ce projet « Octopus » ?, s’interroge-t-il dans l’un des hangars de la pépinière qui accueille cette cérémonie de pose de la première pierre alors que les éléments se déchaînent à l’extérieur apportant pluie et fraîcheur, tout simplement parce qu’ici même, il y aura environ huit activités ou tentacules (finement jouée l’allusion à la morphologie de l’animal marin !), à la fois liées et indépendantes, de l’hôtel d’entreprises en hébergement en résidence ou en domiciliation, un accompagnement destiné aux créateurs d’entreprise, des services dédiées aux activités de l’entreprise, de la formation professionnelle continue, de la formation apprenante de niveau bac à bac +5, des manifestations économiques, de la location de salle, etc… ».

Ah bon, c’est donc cela l’explication in fine !? Une recomposition complète de la pépinière auxerroise en la réhabilitant de fond en comble ou presque – c’est vrai que les bâtiments avaient un sérieux besoin de lifting – avec une redistribution des accès et des fonctions. Un projet, très ambitieux, s’inscrivant dans le cadre de la mandature 2022/2026.

 

 

 

Un marqueur fort de la nouvelle mandature consulaire

 

Aujourd’hui, l’ensemble accueille une dizaine de bâtiments situés sur plus de deux hectares de terrain dans la partie orientale de la ville. Soit 7 000 mètres carrés d’ateliers et 1 350 mètres carrés de bureaux dont disposent une soixantaine de boîtes (elles sont à la virgule près 62 entreprisses à y être répertoriées) développant près de 400 emplois.

C’est en 2021, au sortir de la crise sanitaire, que la gouvernance de la chambre consulaire décida de revoir le schéma directeur du complexe. Un programme de transformation qui va courir sur quatre étapes durant la prochaine décennie dont la rénovation du bâtiment « Bo2 » (1 800 m2) qui aura pour vocation d’accueillir le centre de formation CCI Yonne Campus – il occupe à l’heure actuelle les locaux de l’ancien siège près du Parc Roscoff – et les équipes de la chambre. Du pain bénit pour son directeur, Hervé AUBERGER, satisfait de la tournure des évènements !

On notera aussi parmi les autres éléments de l’étape « un » de ce projet le réaménagement des accès avec l’acquisition d’un terrain, placé à l’entrée du complexe (il se situe quasiment face à la station de stockage de l’hydrogène) servant une fois achevé au stationnement.

La maîtrise d’œuvre de ce vaste chantier a été confiée au cabinet « K Architectures », localisé à Paris. Une quinzaine de lots ont été définis et remportés principalement par des entreprises de l’Yonne, suite à des appels d’offres. Soit une enveloppe budgétaire pour le coût des travaux s’élevant à 6 millions d’euros, injectés dans l’économie locale. Un concept soutenu financièrement par l’Etat et la Région ;

Toutefois, Thierry CADEVILLE se veut très vigilant vis-à-vis des prestataires retenus, leur demandant au passage de respecter les prix et les délais convenus, faisant foi de leur engagement.

Ce projet sera donc un marqueur fort de la nouvelle mandature des élus de la CCI de l’Yonne. Qu’on se le dise…

 

 

En savoir plus :

Le schéma directeur immobilier de modernisation de la pépinière d’Auxerre repose sur trois objectifs :

Mettre à niveau les bâtiments dont une grande partie est vétuste,

Inscrire le site dans les objectifs de durabilité environnementale, de baisse des besoins en énergie et de qualité de vie au travail,

Repenser les usages des locaux et leur fonctionnalité dans une logique d’attractivité et d’intégration des nouveaux modes de travail.

 

Thierry BRET

 

 


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Ce n’est pas une surprise : l’été reste la période idéale et propice aux passations de pouvoirs et à la prise de nouvelles responsabilités, au sein des clubs service. Ainsi, il incombe désormais au jeune Pierre-Nicolas JOLIOT, membre du club Auxerre Phoenix, d’endosser la vêture de président de zone à l’occasion de cette nouvelle saison qui démarre.

 

AUXERRE : L’exercice se décline aux quatre coins de l’Hexagone à pareille époque. Parmi les 25 000 bénévoles qui, au sein des 1 200 clubs, s’engagent à mener des opérations d’intérêt général au service de l’humanisme et de la solidarité. On appelle cela des passations de pouvoirs entre deux exécutifs qui reprennent les rênes de la structure associative.

Dans le cas présent, ce n’est pas un changement de gouvernance à la tête d’un club. Mais, d’une zone. Celle-ci correspond à un secteur géographique qui permet de découper dans chaque district régional des périmètres précis permettant à une dizaine de clubs – parfois, c’est moins – de travailler ensemble et dans la même direction. Au profit d’une noble et juste cause. Partant du postulat qu’il existe quinze districts régionaux, composant le district national 103 – l’Hexagone, en quelque sorte – on imagine aisément que ces zones internes aux régions se sont multipliées comme des petits pains au fil des années, facilitant la construction de l’édifice Lions qui récolte tout de même la bagatelle de 20 millions d’euros chaque année, via ses nombreuses actions sociales réalisées sur le terrain !

 

 

Sensibiliser et recruter de nouveaux membres

 

On en dénombre annuellement près de 5 000 de ces animations altruistes et généreuses dont les fonds sont intégralement reversés aux causes de grande et plus petite envergure.

Dans sa zone, Pierre-Nicolas JOLIOT – on le connaît pour être à la manœuvre avec sers camarades de club derrière le succès de « la Soupe des Chefs », l’évènementiel de la Foire Saint-Martin à Auxerre, entre autres…- aura pour objectif de sensibiliser les clubs à poursuivre leurs actions solidaires, à recruter de nouveaux membres investis de cette mission sociétale du partage et de l’humilité, à jouer le rôle de partenaire de la cité et à être en adéquation avec les besoins de la jeunesse en étant à son écoute. Bref, les valeurs incarnées par le mouvement, le « lionisme », qui a pris racine en Europe, et en France en particulier, dès 1948. Un rôle qui va comme un gant à ce juriste, expert dans des biens des domaines…

 

Thierry BRET

 

 


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Question sémantique, il a de l’imagination à revendre, le service communication de l’Agglomération de l’Auxerrois ! Après les appellations « AuxR_Parc » et « AuxR_Green », apparues ces derniers mois dans le landerneau, c’est au tour de la petite dernière de ces « marques » locales, « AuxR_Eau », de s’illustrer de la plus belle des manières lors de la signature du nouveau contrat de délégation de service public (DSP) d’eau potable et d’assainissement du territoire entre l’intercommunalité et SUEZ.

 

AUXERRE: Que d’eau, que d’eau ! Il était judicieux de faire ainsi référence à ce liquide si précieux, facilitateur de vie, en pleine période de canicule et sous la chaleur étouffante qui accueillait les signataires de la nouvelle DSP, validée entre l’Agglomération de l’Auxerrois et l’opérateur, SUEZ. Il fallait posséder de bonnes ressources oratoires pour pouvoir ainsi s’exprimer sans transpirer dans une pièce à température ambiante – c’est-à-dire très chaude ! – sur un tel sujet, donnant soif ! D’ailleurs, les signataires de cet accord pérenne sur la durée disposaient devant eux de récipients bien garnis à ras bord de ce fameux liquide, vedette incontestable de la journée, afin de se désaltérer entre deux prises de parole à la tribune !

 

Priorité au schéma directeur de l’assainissement à long terme

 

De l’eau, cela coule de course, il en aura été abondamment fait mention durant cette longue présentation où les élus de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois en charge du dossier, Pascal BARBERET (assainissement) et Michaël TATON (eau potable), ouvrirent le bal des explicatifs. Chacun à sa manière évoquera les tenants et aboutissants de ce dossier. Plutôt ambitieux, côté chiffres.

« Dans sa volonté de construire un schéma directeur de l’assainissement à long terme, au cours de ces cinq prochaines années, c’est 1,4 million d’euros qui sera investi pour des travaux de remise à niveau ainsi qu’une surveillance accrue du réseau par SUEZ, précisa le vice-président Pascal BARBERET, en charge de l’assainissement.    

Objectif in fine de ces chantiers : la modernisation des réseaux – de la pure logique quand on connaît les pertes importantes imputables à des fuites de ce salvateur liquide dont nous avons grand besoin -, la réduction de la consommation de la part de l’ensemble des utilisateurs raccordés au réseau, et surtout de l’optimisation de la qualité du produit. « C’est un beau challenge qui débute, conclura enthousiaste Pascal BARBERET.

 

 

De nouveaux compteurs plus précis sur la consommation réelle

 

Plus technique dans ses propos, Michaël TATON, vice-président de l’intercommunalité en charge de l’eau potable, aborda ensuite le renouvellement du réseau et le nécessaire remplacement de 150 kilomètres de conduite sur les 740 kms que compte le réseau communautaire, avec un objectif de rendement de 85 % dès 2031 contre 75 % à l’heure actuelle.

« Cela devrait nous permettre d’économiser 14 millions de mètres cubes d’eau sur la durée du contrat, soit l’équivalent de trois ans de consommation du territoire ! ».

D’ailleurs, tous les ans, la CA de l’Auxerrois procède au renouvellement de 1 % de son réseau de distribution d’eau, soit près du double de la moyenne nationale. Un investissement annuel de 4 millions d’euros de  travaux, c’est-à-dire 80 millions d’euros à injecter au cours des deux décennies à venir.

 

 

 

Puis, Michaël TATON mit l’index sur l’installation d’une nouvelle génération de compteurs permettant de suivre en temps réel la consommation. Nom de code de l’appareil : la « télé-relève » !

« Les consommateurs bénéficieront d’une facture au plus juste de la réalité, ajouta l’élu, en accédant à une gamme de nouveaux services, notamment l’alerte en cas de fuite… ».

Quant au prix, s’il est évalué à 0,68 centimes d’euro au m3, il engendre une hausse de 6 euros par mois pour les familles. Pas sûr que cela satisfasse vraiment les plus démunis de ces foyers qui peinent à niveler vers le haut leur pouvoir d’achat. Réponse de Pascal BARBERET à ce propos : « un fonds de solidarité pour les usagers ayant du mal à régler leurs factures va se mettre en place, il s’élèvera à 20 000 euros par an… ». Sera-ce tout de même suffisant compte tenu de la conjoncture ?

 

 

Un plan d’investissement global de 140 millions d’euros…

 

Quant à Crescent MARAULT, pour qui l’accès à la qualité de l’eau pour tous est une priorité, il est fier au nom du territoire de cette opportunité élaborée avec le concours du groupe SUEZ.

« Alors que des ruptures d’approvisionnement en eau vont se multiplier en France dans les années à venir, expliqua le maire-président de l’Auxerrois, les élus de l’agglomération ont fait le choix de proposer une eau de qualité premium qui soit en permanence disponible. Cette stratégie s’engage dans le long terme en innovant notre système de distribution et de gestion de l’eau potable pour les vingt prochaines années… ».

Puis, exposant les chiffres, Crescent MARAULT rappellera que 98 millions d’euros seront ainsi investis par l’intercommunalité de l’Auxerrois et 42 millions d’euros par SUEZ, représenté par son directeur général Eau France, Arnaud BAZIRE, composant  un plan d’investissement global de 140 millions d’euros sur cet ambitieux projet.

Deux nouvelles usines de production d’eau potable verront également le jour et mises en service d’ici le terme de 2026. Equipées d’une nouvelle technologie novatrice – l’emploi d’osmose inverse basse pression – elles permettront d’obtenir une eau sans goût de chlore et nettement moins calcaire que celle qui coule aujourd’hui des robinets. Une vraie catastrophe pour les appareils électroménagers encrassés des familles de l’Auxerrois !

Voilà donc une histoire d’eau dont Auxerre pourra s’enorgueillir à l’avenir, dixit son édile, tant au niveau de l’attractivité, de la libération, de l’innovation et de la fierté. En sus, une marque d’eau, propre à celle qui sortira désormais du robinet, est envisagée par la collectivité ! C’est sûr : on en a déjà l’eau à la bouche !

    

Thierry BRET

NB : le prochain volet de ce reportage sera consacré à la présentation de SUEZ et à sa stratégie sur ce projet…

 

 


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En marge de la conférence de presse consacrée à la rentrée des collégiens de l’Yonne ce mardi, le Conseil départemental qui possède les compétences légitimes sur le sujet explore la possibilité de créer, tôt ou tard, un campus éducatif dans la localité de Puisaye. Projet novateur pour notre territoire, celui-ci s’inspirerait de ce qui se pratique avec réussite dans l’Eure, où à Mesnil-en-Ouche, ce complexe offre un environnement propice aux études, tout en mutualisant les coûts…

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Et pourquoi pas la mutualisation ? Le plus souvent synonyme de rationalisation financière dans bien des cas. L’idée fait plus que son chemin du côté de la Puisaye, puisque les études liées à la création d’un nouveau concept expérimental en matière de concentration scolaire ont débuté. Une information qui a été donnée par le premier vice-président du Département, le maire de Pont-sur-Yonne, Grégory DORTE, lors de la conférence de presse, inhérente à la rentrée des collèges 2023.

Créer un campus éducatif dans l’agglomération de Puisaye n’a rien d’un poisson d’avril ! D’autant que le concept existe déjà et que les services du Conseil départemental de l’Yonne s’y sont penchés en l’examinant de près, dans la commune de Mesnil-en-Ouche, située dans le département de l’Eure, en Normandie.

De l’aveu même de Grégory DORTE – peut-être l’a-t-il découvert de visu lors d’un déplacement ? – cette infrastructure fonctionne très bien. De quoi s’agit-il précisément ? Du regroupement sur un même lieu (le même bâtiment aussi après qu’il ait subi des modifications usuelles) d’une école maternelle, élémentaire, primaire et…collège ! Du quatre en un, en vérité !

 

Un concept élaboré en « bonne intelligence »

 

Accueillant environ 260 élèves dont une trentaine d’internes (on peut y adosser effectivement un internat), le nouveau campus de la localité normande fait déjà office de référence dans le landerneau pédagogique hexagonal. Un projet qui a vu le jour il y a peu, ayant reçu la bénédiction urbi et orbi du Conseil départemental de l’Eure, de l’Académie de Normandie et de la commune d’accueil.

Autant dire que les mêmes ingrédients pourraient se décliner à l’avenir dans l’Yonne, si le bilan des études en cours se révélait positif à la conceptualisation du projet.

Elaboré en « bonne intelligence », la réalisation si elle voyait le jour nécessiterait une enveloppe budgétaire d’environ 8 à 10 millions d’euros pour construire et aménager ce complexe dans la localité de Puisaye. Une déclinaison qui pourrait ensuite s’exporter vers d’autres sites pédagogiques de la ruralité, à l’instar d’Ancy-le-Franc.

Ambitieux, le projet repose sur la réussite scolaire des élèves : le leitmotiv de la gouvernance départementale, assumée par son président Patrick GENDRAUD.

En filigrane, regrouper sur un seul et unique complexe pédagogique les jeunes apprenants serait également favorable à la maîtrise des coûts et à la réduction des dépenses. Le nerf de la guerre de toute institution par les temps qui courent !

Une piste qui n’est donc pas à négliger au Conseil départemental…

 

Thierry BRET

 


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Ce n’était un secret de polichinelle pour personne. Et les rumeurs allaient bon train depuis quelques temps parmi les alcôves de la vie publique icaunaise. Transparent et sincère lors de sa prise de parole, le président du Conseil départemental de l’Yonne effectuait ce mardi en fin de matinée sa rentrée politique et institutionnelle à Saint-Sauveur-en-Puisaye. Lors de la traditionnelle conférence de presse, inhérente à la vie éducative et aux collèges où il a rassuré son auditoire sur son état de santé.

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Son rire, un peu grave, résonne à maintes reprises dans les enceintes de la salle de cours sonorisée du collège de Puisaye, alors que la chaleur plombe déjà l’assistance. Une fois le déroulé explicatif propre à l’exercice oratoire du jour – un point non exhaustif sur la rentrée scolaire et les perspectives évolutives des collèges dans l’Yonne, Patrick GENDRAUD, à la tribune, ne peut s’empêcher de clore son intervention, menée de bout en bout de manière impeccable et chiffres à l’appui sur le sujet, sur son…état de santé. Une pirouette personnelle, plutôt inattendue pour un homme public, devant un parterre d’élus et de représentants institutionnels, attentifs aux déclarations et visiblement surpris.

« Je vais bien… ». La petite phrase semble au demeurant banale et anodine – elle est très usuelle dans la relation à l’autre lorsqu’elle est employée au quotidien -, mais là précisément, dans le contexte, elle semble peser lourd de signification.  

« Je vais bien, je vais bien…répètera à plusieurs reprises le président de l’exécutif icaunais, un sourire aux lèvres et le plaisir de partager ces mots avec qui veut les entendre dans la salle.

 

 

« Oui, j’ai eu de gros problèmes de santé survenus au début de l’été, concèdera-t-il – Patrick GENDRAUD avait été absent des dernières séances plénières du Conseil départemental en juin, remplacé par le premier vice-président Grégory DORTE qui avait alors évoqué en session une intervention chirurgicale – mais aujourd’hui, je suis en pleine forme ! ».

Et de remercier toutes celles et ceux de ses camarades d’hémicycle, mais pas seulement, l’ayant soutenu et apporté du réconfort durant ces moments toujours pénibles à aborder : « je ne l’oublierai jamais… ».

« Tout le monde a été très sympa avec moi ! Maintenant, je reprends tranquillement le cours de mon existence d’homme public. C’est ma vie et c’est le moteur qui m’anime… ».

Au vu de sa prestation du jour et de son large sourire, nous voilà rassurés ! Patrick GENDRAUD a repris du poil de la bête face à l’adversité, au service de ce qu’il aime le plus, servir la cause de ce territoire de l’Yonne qu’il affectionne tant…

Thierry BRET

   

 


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