Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
puisaye forterre
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_small.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png
Puisaye Forterre

Toujours la forme, Yves CHEVILLON ! L’ancien directeur général de l’Action régionale d’EDF en Bourgogne Franche-Comté n’a pas effectué son come-back professionnel, lors de la traditionnelle cérémonie des vœux de l’entité il y a quelques jours à Dijon, dans l’une des spécificités très prisées de la Cité de la Gastronomie, la « Cave ». Pourtant, il a eu droit aux honneurs de son successeur, Carmen MUNOZ-DORMOY qui lui a remis la médaille du travail or en reconnaissance de son engagement…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le temps s’est écoulé depuis sa prise de fonction en septembre 2018 en qualité de délégué régional EDF en Bourgogne Franche-Comté. Un poste localisé dans la capitale des ducs de Bourgogne. C’était hier ou presque et cependant rien n’a changé pour Yves CHEVILLON, toujours bon pied bon œil, au fait de l’importante actualité du groupe qui commercialise de l’énergie et des services énergétiques.

Souriant, détendu, ayant laissé la cravate de côté, le préretraité était même au centre de tous les intérêts lors de la traditionnelle séance de vœux de la structure régionale qui avait invité un parterre de personnalités, issues de la sphère institutionnelle, partenariale et économique de Côte d’Or. Il eut même droit à prendre la parole ! Normal, la dynamique Carmen MUNOZ-DORMOY devait honorer au terme de son intervention l’actuel secrétaire général de la Ligue contre le Cancer de Côte d’Or. Une activité qui occupe pleinement l’emploi du temps du futur retraité…

Après avoir passé dix années de son existence à la tête d’EDF Commerce tant en Bourgogne Franche-Comté que dans le Grand-Est, Yves CHEVILLON aura été durant toutes ces années de présence à l’action régionale d’EDF BFC un interlocuteur investi et engagé en faveur de la transition énergétique, le cheval de bataille du groupe que Carmen MUNOZ-DORMOY prit soin de rappeler lors de son discours précédant la remise de la distinction.

« J’ai constaté qu’un certain nombre de chantiers sur lesquels j’avais eu l’occasion de travailler se sont finalisés ou sont en cours de l’être, expliqua l’heureux récipiendaire de cet objet en or, des chantiers qui me laissent aujourd’hui de beaux souvenirs d’activité… ».

 

 

Ayant quitté ses fonctions il y a un an et demi, Yves CHEVILLON a avoué sans ambages dans un large sourire que son emploi du temps était surbooké !

« Je n’ai plus de temps à moi, et comme le disait Montaigne, « il faut se prêter à autrui et ne se donner qu’à soi-même ! ».

Et le sympathique personnage de se promettre de lever le pied à l’avenir pour mieux revenir lors de ces rendez-vous officiels, pour y trinquer avec plaisir aux côtés de tous ses amis. Ils étaient très nombreux en effet à l’applaudir à la fin de sa brève allocution, heureux de présenter la précieuse médaille à l’auditoire !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Président du Conseil de surveillance du centre hospitalier de Sens, l’édile local, Paul-Antoine de CARVILLE, s’est plié au jeu de la traditionnelle cérémonie des vœux aux personnels et aux partenaires de l’établissement, lors d’une rencontre publique, placée également sous le sceau de la convivialité, jeudi au beau milieu de l’après-midi. Un exercice où le maire de capitale septentrionale de l’Yonne a rappelé la nécessité d’avoir une forte connexion entre l’hôpital et la municipalité…

 

SENS : Avant que la directrice du Centre hospitalier de Sens Véronique ROBIN ne présente avec moult détails et slides à l’appui la rétrospective et les projets de son établissement devant une belle assistance de praticiens et de personnels, c’est Paul-Antoine de CARVILLE, premier élu de la commune, qui ouvrit le bal, au pupitre, de cette traditionnelle cérémonie des vœux, comme en il est de coutume chaque année.

Un exercice que l’élu trentenaire maîtrisa à la perfection, y joignant également quelques notes d’humour alors que le contexte qu’il soit économique et sociétal, comme il devait le rappeler, ne berce pas vraiment dans l’optimisme.

Ses propos en témoignent : « le niveau national est assez inquiétant, puisque nous n’avons toujours pas de Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) voté pour 2025, c’est historique ! Auparavant, on savait que ce serait compliqué, mais là, les gouvernements successifs, les ministres successifs ne viennent pas nous aider à projeter l’hôpital et à imaginer le niveau d’activité que nous devrions avoir… ».

 

Une petite flèche vers le CHU de Dijon

 

Puis se tournant vers le représentant départemental de l’Agence Régionale de Santé (ARS) Damien BORGNAT – il est assis au premier rang et écoute très attentivement le discours de l’élu -, Paul-Antoine de CARVILLE y alla de sa petite critique envers le Centre hospitalier universitaire de Dijon.

« Nous avons un CHU qui ne nous regarde pas assez, selon moi, et qui a tendance à beaucoup regarder Dijon et ce qui est autour ! Au niveau régional, d’année en année, nous sommes soumis aux aléas de la venue des internes avec son lot de bonnes et mauvaises surprises… ».

Avec de tels paramètres, difficile en effet de l’avis de l’édile de pouvoir s’appuyer sur cet échelon pour projeter le centre hospitalier vers une direction convenable. Puis, l’analyse du maire de Sens s’attarda sur le niveau départemental.

« On le sait, il y a eu par le passé des tentatives de rapprocher des GHT (Groupement Hospitalier du Territoire), poursuit-il, il y a deux dynamiques qui sont différentes et il est préférable de continuer à travailler sur notre pôle nord, celui-ci s’organise progressivement avec Joigny et Villeneuve-sur-Yonne, plutôt que de parier sur un grand département qui serait éloigné de la réalité de nos territoires… ».

Puis, l’orateur évoqua l’établissement dont il a pu découvrir tous les arcanes depuis sa nomination à la présidence du Conseil de surveillance en saluant le travail pugnace des équipes de soignants et administratives.

« Tant au niveau national que régional, et aussi local, ce sont des couches d’instabilité qu’il faudrait stabiliser. Tant qu’elles ne le seront pas, ce sera très compliqué pour notre hôpital, malgré une très bonne gestion et une activité en progression, de stabiliser l’ensemble… ».

 

 

 

Le symbole fort de la nouvelle maternité à Sens

 

Une nécessité d’apporter de la confiance et de la stabilité aux équipes professionnelle que ne manqueront pas de relayer les représentants de la presse, venus en nombre sur cet évènement.

Côtés bonnes nouvelles (heureusement il y en avait aussi !), Paul-Antoine de CARVILLE mentionna la remontée de l’activité hospitalière : « nous retrouvons des niveaux d’activité que nous avions connu par le passé malgré le combat de tous les jours des équipes très investies, c’est ce qui contribuera à redresser l’hôpital…. ».

Mais, il y aussi la venue de nouveaux professionnels de santé. Ce qui permet de stabiliser le niveau de services et de les rendre durables.

« Je voudrais également vous féliciter pour la certification, fruit d’un travail collectif, long et intense, ajouta le maire, un résultat qui facilitera l’accueil de nouveaux professionnels à Sens, des cadres, des infirmiers, des médecins, des aides-soignants… ».

Le « Pôle Femme Mère Enfant », inauguré au printemps 2024, fut l’un des évènements majeurs ayant marqué 2024. L’orateur ne put se soustraire à en faire mention lors de sa prise de parole.

« Investir dans une maternité, c’est un symbole extrêmement fort pour une collectivité, dira Paul-Antoine de CARVILLE, notamment avec soixante-dix naissances de plus cette année. Une réelle dynamique au vu du contexte démographique que nous connaissons en France… ».

Une perche tendue pour rappeler la grande campagne fécondation du Président de la République, lancée courant 2024. « Cela n’aura pas trop fonctionné globalement en France, mais chez nous, on a eu pas mal de naissances et même moi, j’y ai contribué personnellement ! ».

Rires de la salle tout en rappelant que le jeune maire de Sens est l’heureux papa depuis deux mois d’un joyeux bambin qui rythme ses nuitées de la prise salvatrice et gourmande de biberons, dès ses premiers cris affamés !

 

Pas de cannibalisation entre les collectivités pour se piquer les médecins !

 

Subtil, le maire en profitera au vu de son expérience personnelle de remercier les professionnels de l’hôpital, aux petits soins pour les jeunes mamans !

Avant de conclure, Paul-Antoine de CARVILLE fit un détour du côté de l’hôpital  Saint-Jean dont la chapelle est en état de vétusté.

« La directrice de l’établissement, Véronique ROBIN, a fait un travail important avec les services de l’ARS et la Fondation du Patrimoine, afin de sécuriser le site et évacuer les personnes qui y étaient en résidence, et dans un second temps de travailler à un plan de financement pour réussir à sauvegarder l’édifice religieux… ».

La réouverture des chambres de cet hôpital est prévue. « Dès que l’on pourra voter les fonds, précisa le maire, on pourra lancer les travaux au fur et à mesure pour pouvoir sécuriser et réinstaller les personnes… ».

Mais, en toile de fond, l’élu a aussi évoqué la reconversion future de ce bâtiment du fait de son ancienneté.

Quant à la « cannibalisation au nord de l’Yonne » qui verrait à ce que les collectivités se « piquent » entre elles les médecins désireux de s’installer, il n’en est pas question, selon le maire de Sens. Conséquence : un seul groupe travaille entre Villeneuve-sur-Yonne, Joigny et Sens et dans l’intérêt de ses 130 000 habitants. Une étape politique franchie de manière positive, malgré les différences d’opinion ! Le symbole idéal de la réalité politique fonctionnelle, au service des citoyens, uniquement !

 

Thierry BRET

  


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Construire les villes à la campagne où l’air y est plus pur », l’humoriste Alphonse ALLAIS en rêvait, Chevannes l’a fait ! Une commune où il fait bon vivre et qui a su dans le même temps se doter d’un tissu économique lui assurant son développement. Elu maire en 2020, Dominique CHAMBENOIT entend bien poursuivre son action en ce sens, comme il l’a rappelé à ses concitoyens venus en nombre samedi soir à la salle polyvalente pour la traditionnelle cérémonie des vœux…

CHEVANNES : S’il est des maires qui s’affranchissent de présenter leurs vœux à la population sous prétexte d’un climat international anxiogène, il n’est pas certain que le maire de Chevannes acquiesce à cette vue de l’esprit, à en juger par les mots introductifs de son allocution : « ce temps de partage est toujours un plaisir, un moment de convivialité partagé. Il me réjouit d’autant qu’il intervient dans un contexte national et international empreint d’incertitudes et de tensions… ». Mesurant d’autant la chance de vivre ici et pouvoir continuer à travailler au quotidien pour le développement de la commune, « afin qu’elle demeure exceptionnelle par la qualité de vie qu’elle offre. C’est la ligne que nous nous sommes fixés en 2020 et que nous nous astreignons à mettre en œuvre au quotidien… ».

Un mandat qui, après deux années COVID et un contexte difficile compte tenu de la baisse annoncée des dotations attribuées aux collectivités, « ne s’écoule pas vraiment comme un long fleuve tranquille… ». Pas question pour autant de baisser les bras, « un mandat municipal n’est pas à la recherche d’une hypothétique gloire, c’est avoir le sens de l’intérêt général et la volonté de faire avancer sa commune dans un développement harmonieux où chacun trouve sa place… ». Mais que serait la vie d’un village sans ressources économiques ? Différentes vidéos présentées ont mis à l’honneur quelques acteurs locaux, au premier rang desquels bien sûr, la boulangerie de Laurent BISSON, sacrée en 2024 « Meilleur boulanger de France » par M6, mais aussi la station-service réouverte après trois ans de mise en sommeil, ou encore, les ateliers de retouche et confection, nouvellement créés au cœur de la commune.

 

2024 a été marquée par la visite de la présidente de l’Assemblée nationale

 

Retraçant les différents évènements festifs ayant émaillé la vie de Chevannes tout au long de l’année écoulée, qu’ils soient sportifs, culturels, ou sociaux, Dominique CHAMBENOIT a rappelé que la commune avait eu l’honneur d’accueillir le 13 septembre dernier, la présidente de l’Assemblé nationale en personne, Yaël BRAUN-PIVET. Une visite qui s’inscrivait dans la politique d’ouverture sur les territoires et lui a fait rencontrer trois heures durant, les responsables et usagers du bus France Services ainsi que plusieurs commerçants et professions libérales. L’attractivité d’un territoire passe aussi par sa volonté à étoffer son parc locatif et résidentiel. C’est ainsi qu’une vingtaine de logements sociaux allant du T2 au T5 seront proposés à la location courant 2025, dans le cadre du nouveau programme national de renouvellement urbain, porté localement par l’Office Auxerrois de l’Habitat. Parallèlement, DOMANYS, principal bailleur social du département, a lancé son projet de « Résidence Sérénitis », soit la construction d’une dizaine de pavillons à destination de seniors, qui s’est concrétisé par le dépôt du permis de construire en fin d’année dernière. Autre domaine d’envergure, mais « gourmand » en argent public : la voirie. Chevannes en compte 52 km et de nombreux secteurs, suite à des fissures apparues, sont à réparer, en dépit d’un contexte budgétaire serré : « il apparait essentiel aujourd’hui plus que jamais, que nous devons rester vigilants sur la gestion communale afin que chaque euro dépensé soit un euro bien pensé…».

 

La galette royale de la famille BISSON !

 

Petit coup de gueule en passant, au sujet des dépôts sauvages, encore trop nombreux et qui « empoisonnent », dans tous les sens du terme, la commune dans son combat contre les incivilités : « des actes irresponsables et irritants perpétués par une poignée d’indélicats et abiment jour après jour notre joyau comme le plus cher du « bien vivre ensemble ». Dominique CHAMBENOIT considérant que si elles dégradent l’environnement et ternissent l’image du village, « les chevannais n’ont pas à supporter ces incivilités visuellement et financièrement… ». Continuer à faire de Chevannes une commune active et attractive est l’affaire de tous et le cap fixé pour 2025 reste le même, « il faut travailler ensemble pour un avenir meilleur ». Le premier édile usant d’une métaphore appropriée en ces temps de « Vendée Globe », pour étayer ses propos : « le pessimiste se plaint du vent quand l’optimiste se dit que le vent va tourner et qu’il doit réajuster ses voiles. Alors bien sûr, il y a des impatiences. Certains ne voient que l’arbre qui cache la forêt… ».

Attachée à son histoire et son identité, mais résolument tournée vers l’avenir, la commune offre à ses habitants un cadre de vie exceptionnel, dont chacun doit prendre soin, comme l’a rappelé l’élu, dans ses mots de conclusion : « sachons apprécier ce qu’elle nous offre, sachons la protéger et la respecter ». Des propos ayant sans aucun doute, recueilli l’adhésion du public présent à en juger par les applaudissements nourris qui ont suivi. A moins que ce ne soit pour saluer l’arrivée annoncée de la traditionnelle galette accompagnant le vin d’honneur ponctuant la soirée… ?

Galette « royale » s’il en est, confectionnée comme il se doit par le « roi » des boulangers, Laurent BISSON, son fils Léo et son épouse Laurence, présente dans la salle. La gourmandise aidant, la République sait parfois avec bonheur, s’effacer au bénéfice de la royauté !

 

 

 

 

Des chevannais « heureux » !

 

Ils se prénomment Marie-Pierre, Franck, Yohann et son alter ego patronymique et totalisent à eux quatre près d’un siècle de présence dans la commune. Des chevannais heureux ? « Alors là, vous en avez un troupeau ! ». Investi dans plusieurs associations, Franck apprécie notamment cette volonté de travailler les uns avec les autres, à l’image de son club vététiste œuvrant de concert avec le centre de loisirs local. Un village qui est tout sauf une « cité dortoir » : « même si beaucoup travaillent sur Auxerre, il y a ici un vrai tissu économique, un réel tissu associatif, avec plus d’une trentaine d’associations différentes et tout le monde joue le jeu, que ce soient les habitants ou les commerçants ». Une réelle vie de village, que l’on peut sans doute retrouver un peu plus loin, aux frontières de Forterre ou de Puisaye, mais « des communes qui n’ont pas les mêmes équipements ni les mêmes commerces ». Marie-Pierre, son épouse, tient le même discours, listant les avantages à demeurer ici : « un village calme, avec toutes les commodités, à dix minutes à peine d’Auxerre. Médecins, kinés, dentistes, podologue, pharmacie, boulanger, coiffeur, alimentation…, on a tout sur place et c’est important d’être autonome ». Sans oublier les deux restaurants, rajoute Franck : « dont l’un à mon avis va finir étoilé… ». Pour savoir lequel, ne reste plus qu’à les tester ! Membre de l’équipe municipale, Yohann a l’humour contagieux et une réponse toute trouvée à la question de savoir la place qu’occupe la commune au sein de l’agglomération auxerroise : « c’est plutôt l’inverse et c’est à l’agglo de trouver sa place à Chevannes ! » (Rires). Tout est dit… 

 

 

Après M6, Chevannes sous les feux de France Télévisions

 

Invité surprise de la soirée : le journaliste Jean-Claude ALLANIC, bien connu des téléspectateurs pour avoir fait toute sa carrière sur France 2 et qui compte des attaches amicales à Chevannes. Il a notamment co-écrit un ouvrage avec Christophe PAYMAL. Mais que peut bien raconter un journaliste parisien à propos d’un village dont par définition, ses habitants en savent plus que lui sur le sujet ? Reprenant les propos de son ami Christophe, il réussit au moins à faire rire la salle : « s’il fallait que les journalistes ne disent rien quand ils ne savent rien, il n’y aurait plus de journalistes…». Parole d’expert ! S’interrogeant sur la rue de la gare présente dans la commune, sans n’y avoir jamais trouvé une gare : « il est vrai qu’elle a été fermée en 1952… ». Avec ce petit cours d’histoire donné au passage sur l’année 1515 qui, comme chacun le sait, n’est pas seulement synonyme de Marignan, mais est aussi la date où les seigneurs de Chevannes prélevèrent un nouvel impôt s’élevant à un vingtième des récoltes de grains en vue d’édifier l’église du village : « à l’époque au moins, on savait à quoi servaient nos impôts ! ». A l’heure d’Internet et de Wikipédia, difficile d’imaginer qu’il fut une époque, pas si lointaine, où les journalistes n’avaient pour alimenter leurs informations, « que de laisser traîner leurs oreilles, de préférence dans les cafés. D’où un certain taux d’alcoolisme dans la profession ! ». Une profession que Jean-Claude ALLANIC a su exercer avec talent et sans modération aucune !

 

Dominique BERNERD

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les travaux d’aménagement des quais de l’Yonne et de la place du 1er RVY ont débuté depuis le mercredi 22 janvier 2025, par des opérations de préparation. Dès lundi, et ce, pour une durée minimum de deux semaines, un décroutage et une mise à niveau du terrain nécessiteront d’occuper un espace allant de l’arrière du marché couvert au restaurant Le Tempo.

 

JOIGNY : Une modification provisoire du stationnement est à prendre en compte, y compris durant les marchés des mercredis et des samedis (29 janvier, 1er février, 5 février, 8 février). Les commerçants du marché pourront stationner leurs véhicules sur la place de la gare routière qui leur sera réservée.

Le stationnement des visiteurs sera redéployé sur d’autres sites ; une signalétique avec un fléchage sera installée en ce sens en divers endroits de la commune. Les possibilités de stationnement sont : rive gauche (quai de la Butte, quai du Port-au-Bois, rue des Sœurs-Lecoq, quai de l’Hôpital, avenue Gambetta…), sur les quais, avenue Roger-Varrey, sur les boulevards du Nord et Lesire-Lacam…

 

 

Après cette première phase, le champ de foire provisoire sera aménagé afin de constituer une aire de stationnement aux visiteurs du marché. A partir de mi-février, les travaux se poursuivront par secteurs, en commençant par l’arrière du marché puis en allant vers l’est. Le stationnement des commerçants du marché sera maintenu durant plusieurs mois sur la place de la gare routière. Pendant toute la durée des travaux, le restaurant « Le Tempo » restera ouvert. Un accès sera aménagé pour s’y rendre…

 

Communiqué de la Ville de Joigny

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il est sur tous les fronts, le sénateur de l’Yonne, Jean-Baptiste LEMOYNE ! L’ancien ministre dont on aperçoit la silhouette sur de nombreuses cérémonies des vœux qui ponctuent l’actualité institutionnelle, voire politique, de notre territoire en ce mois de janvier n’en est pas moins toujours aussi actif au Palais du Luxembourg. Vice-président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, l’élu de l’Yonne est intervenu dans l’hémicycle pour donner sa position sur le budget défense de la France…

 

PARIS : Il a même cité le général BIGEARD lors de son intervention ! Prenant la parole à la tribune du Sénat, Jean-Baptiste LEMOYNE a évoqué la nécessité de s’adapter à l’environnement stratégique du moment, donnant son opinion sur le budget de la défense qu’il qualifie de « budget respectueux des forces et du vote parlementaire ».

Se référant au célèbre militaire qui ne pratiquait pas comme chacun le sait la langue de bois, l’élu icaunais s’est fendu d’une formule pour le moins croustillante : « il  faut être souple comme le cuir mais trempé comme l’acier, pour être et durer… ».

Rendant hommage à l’engagement des femmes et hommes qui ont sacrifié leur vie pour le pays et à leurs familles, l’ancien ministre n’a pas manqué de rappeler le contexte inédit de la politique hexagonale, en regrettant que « depuis quelques mois, on a l’impression que dans un autre hémicycle, la volonté est plus de jouer aux quilles avec le gouvernement que de légiférer dans l’intérêt de la Nation ».

 

Un budget militaire en hausse en 2025

 

Alors, ce budget de la défense lui correspond-il quant à ses orientations ?

Réponse de l’intéressé à la tribune du Sénat : « il est bien l’affirmation d’un choix, celui du respect de la trajectoire financière inscrite dans la dernière loi de Programmation militaire, du respect des votes des parlementaires… ».

Jean-Baptiste LEMOYNE  en aura profité pour attirer l’attention de ses collègues sénateurs sur l’enjeu du « statut spécifique des militaires pour l’avenir structurel des forces et un défi de ressources humaines de taille… ».

Quant au « Plan Fidélisation 360 » – ce dispositif a été présenté par le ministre des Armées Sébastien LECORNU en mars 2024 soit une série de mesures destinées à fidéliser les effectifs militaires et civils dans les armées -, l’élu de l’Yonne en a salué toute la pertinence, « dans une société où l’engagement potentiel de la vie n’est plus une évidence… ».

 

 

De même, l’orateur est très attaché à l’importance du soutien aux entreprises de la Base industrielle et technologique de défense (BITD). « Il est nécessaire d’encourager les PME et TPME de défense qui investissent dans l’innovation, devait-il insister, ainsi que sur la révolution quantique et l’intelligence artificielle… ».

Depuis 2017, les budgets successifs de la défense s’inscrivent dans une volonté de réparation. Cela s’est traduit par une hausse budgétaire continue, passant de 32 milliards d’euros à 50 milliards d’euros en 2025. Malgré une situation financière des plus contraintes pour l’exécutif.

Mais, comme le précise Jean-Baptiste LEMOYNE, « la sécurité des Français et les crédits de la Défense ne seront pas une variable d’ajustement… ».

 

Un cocorico pour les militaires sportifs ayant pris part aux JO

 

Enfin, ultime clin d’œil, à l’année antérieure et à son évènement majeur qui aura occupé les esprits de tous les Français à l’été 2024 (les Jeux de Paris), le sénateur bourguignon a chaleureusement remercié tous les sportifs de haut niveau qui évoluent au sein de nos armées.

« Ils ont remporté 30 % des médailles tricolores lors de ces Jeux, et beaucoup se sont distingués notamment l’Icaunaise Eugénie DORANGE qui nous a emmenée dans la petite finale en canoë C2 ! ».

Un petit cocorico à son département de prédilection que le sénateur n’aura pas manqué de faire, du haut de la tribune sénatoriale !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil