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Le président de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne a profité de son temps de parole qui lui était imparti lors d’une séance de travail où était présente l’élue régionale Marie-Guite DUFAY pour brosser un état des lieux de la filière. Celle-ci vit un contexte qualifié de « catastrophique »…

SENS : Aux côtés des représentants de la filière industrielle, à l’instar d’Hervé de ROMEMONT, dirigeant des Moulins DUMEE et responsable du concept « Territoires d’Industrie » sur le département, et de ses collègues des chambres consulaires, le président de la Chambre départementale d’agriculture Arnaud DELESTRE a eu l’opportunité de faire entendre sa voix, et par ricochet celle de la filière agricole, lors d’une réunion de travail organisée en prologue de la signature du partenariat avec le Grand-Sénonais ce mardi (Plan de relance par les EPCI).

Une intervention succincte mais ô combien nécessaire en marge des problématiques observées par les commerçants et l’artisanat, pour rappeler dans quelle situation se meut aujourd’hui le monde agricole, en proie aux pires des difficultés économiques.

La sécheresse aura une fois de plus joué un bien vilain tour cet été aux céréaliers qui ne savent plus à quels saints se vouer pour optimiser leurs maigres récoltes, chétives au beau milieu des champs.

Le changement climatique est loin d’être un leurre comme certains pourraient encore le penser. Il suffit d’écouter les propos alarmistes du président de la chambre consulaire de l’Yonne pour comprendre qu’il y a urgence à prendre le sujet à bras le corps.

Un message qui a été reçu cinq sur cinq par la présidente de la Région qui n’a eu de cesse de rappeler, notamment, le besoin de consommer différemment en privilégiant les circuits courts de la distribution, qui favorisent les petits producteurs locaux au niveau du maraîchage.

 


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Les observateurs du cénacle politique émettaient de sérieux doute quant à la réélection potentielle du secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE dans son fief de l’Yonne aux sénatoriales. Or, avec 52,56 % des suffrages obtenus au second tour, et malgré l’alliance LR/UDI pour faire chuter l’unique représentant Icaunais au sein du gouvernement, force est de constater qu’il n’y aura pas eu de réel suspense pour l’attribution du deuxième poste de sénateur dans l’Yonne…

AUXERRE : Ils n’étaient que deux membres du gouvernement CASTEX engagés ce dimanche dans la course des sénatoriales. Sébastien LECORNU, qui a été réélu dans l’Eure. Et le régional de l’étape pour la Bourgogne Franche-Comté, l’Icaunais Jean-Baptiste LEMOYNE.

Malgré des résultats plus que mitigés du parti présidentiel, La République en Marche, aux récentes municipales, les paris étaient grands ouverts par les « bookmakers » de la vie politique qui ne donnaient pas cher de la peau du secrétaire d’Etat en charge du Tourisme dans ce contexte si particulier, pollué entre autres par l’omniprésence du coronavirus.

En outre, l’intérêt croissant de Jean-Baptiste LEMOYNE pour la ville de Biarritz et ses opportunités politiques d’y jouer un rôle public de tout premier plan à l’avenir aurait pu refroidir les velléités positives des grands électeurs de l’Yonne, invités à s’exprimer lors de ce vote dominical.   

Or, à la lecture des résultats définitifs communiqués par les services de la préfecture, il n’en est rien.

 

 

 

Non seulement, le membre du gouvernement se succède à lui-même dans cette fonction de sénateur où il ne siègera pas dans l’immédiat. C’est sa suppléante, Marie EVRARD, conseillère départementale du canton de Migennes qui en assumera la tâche.

Mais, de plus, le score, même s’il a été obtenu au second tour de scrutin, ne permet aucune contestation possible de la part de ses adversaires : 52,56 %. Mobilisant ainsi 524 grands électeurs sur les 1 116 inscrits.

Jean-Baptiste LEMOYNE coiffe donc de plusieurs longueurs d’avance le candidat LR/UDI Gilles PIRMAN (41,93 %) et de très loin, la représentante des forces de gauche et des écologistes, Florence LOURY (5,52 %).

Autre succès rencontré en Bourgogne par La République en Marche qui est à signaler : celui du sénateur sortant de Côte d’Or, François PATRIAT, président du groupe LREM au Sénat qui l’a finalement emporté sur ses adversaires qui le voyaient perdant.

 

 


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La vie est-elle un conte de fée ? Walt DISNEY projette souvent une vérité en arrière-plan qui reflète judicieusement le côté obscur de notre société. Présentement, la vie augure de se poser devant un bon remake de « La Belle au bois dormant » pour se détendre. Oups ! Cette animation aux allégories de multiples messages capte mon attention toute particulière à cet arrêt sur images qui se juxtapose à la situation frénétique et anxiogène que nous subissons actuellement : le pouvoir de l'intention…

TRIBUNE : « Savez-vous ce qui fait un grand chef ? ». C’est la capacité à installer la peur au sein de son peuple et à se servir de cette peur contre ses ennemis... Donc, j'ai  colporté cette histoire de sorcière diabolique et de princesse qu'elle avait ensorcelée. Peu importe qui a réveillé la « Belle au bois dormant » : tout le monde était terrifié et l'histoire finit par devenir une légende... je l'ai fait pour l'esthète.

Et maintenant… voyons les conséquences salvatrices de l'aparté « covidien » dans le quotidien de tout à chacun qui a pour le plus grand nombre réveillé et éveillé des consciences sur des envies d'un renouveau. Ce temps de pause a eu comme effet boomerang de s'intérioriser, et d'observer la préface de son histoire. Qui l'a écrite ? Nous ou la société ?

Actuellement, tout changement est précurseur d'appréhension. Mais miser sur le bon curseur du cœur est salvateur, garant d'une écoute intérieure fiable et stable. C'est un engagement envers soi-même pour être un bon guerrier spirituel, et actuellement être bien armé émotionnellement est une notion de survie pour combattre et contrecarrer les illusions de tout ce fracas et chaos illusoire ambiant.

Amplifié le matin, le midi, le soir par des informations anxiogènes de militantismes de la peur.

 

La foi en soi est l’adage de cette nouvelle existence…

 

Les autres sujets sociétaux sont obsolètes. Naturellement, l'humain est attiré par toutes les nuances d'angoisses liées à l'insécurité. Alors, les éditoriaux en remettent des couches pour masquer la réalité : celle de s'écouter en son âme et conscience. Donc, mettre une certaine distance à cette épopée virale en est le bien-fondé pour une bonne santé.

La voie d'une dualité va vouloir s'interposer pour tronquer le bon chemin à appréhender. Mais, sa voix intérieure va guider en toute justesse et finesse tous les pare-feu à cet enfumage. Chaque individu est acteur de ses réussites et de ses échecs. Bien sûr, cet événement est venu entraver la réalisation d'un projet peut-être, mais souvent la vie ajuste une autre direction qui en sera la solution.

La vie est au service d'une belle cause, libérer les cœurs en manque de ferveur. La vie se conditionne à la joie, à la patience, à la tolérance et c'est ce qu'elle est en train d'enseigner à tout initié qui voudra s'y hasarder.

Un nouveau livre est en train de s'ouvrir. C'est à chacun d'y marger la tonalité de ses aspirations et intentions dans ses chapitres à l'influence de ses propres valeurs. C'est un retour à toutes ses ressources, sources de belles réalisations personnelles. Nous vivons une période de transformation où la foi en soi et en la vie en est l'adage.

 

Le port du masque : un faux sentiment de sécurité…

 

Une monarchie parlementaire, la Suède, se démarque de cet engouement en abordant une stratégie politique, sanitaire et sociale différente sur deux paramètres.

Tout d'abord, elle oriente sa communication sur un autre axe et invective à la confiance. Une ligne éditoriale diamétralement opposée à notre champ de conscience. Puis, dans le secteur industriel, elle privilégie la préservation de son économie : une providence à la réussite d'un bon moral.

Cette quête si atypique à positiver est relayée par un référent, Anders TEGNELL, médecin suédois, et épidémiologiste d'état à l'Agence suédoise de la santé publique qui temporise toutes les restrictions engagées dans les pays occidentaux. Notamment, le port du masque qu'il assimile à un « faux sentiment de sécurité » et à l'importance de l'ouverture des écoles pour la jeune génération qui doit rester active pour « maintenir sa santé psychiatrique et physique… ».

 

In fine, il y a l'authenticité…

 

Oui, ce virus fait partie de notre quotidien. L'accepter est une prudence à homologuer mais continuer à vivre est une attitude inhérente à notre survie émotionnelle et économique.

Toute renaissance et tout bouleversement doivent souvent être traversés dans la douleur.

Si cette initiation permet d'accéder à notre propre bonheur, il est l'heure de s'écouter et de s'autoriser à rêver aux contes de mille et une possibilités.

 

Lyvia ROBERT

 


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La corporation souffre de la crise sanitaire. Comme tout le monde, me direz-vous ! A ceci près que la précarité, voire la misère, guette nombre d’entre eux. En plus, ils sont privés de travail pour un temps  indéterminé. Le plan de relance a prévu deux milliards d’euros pour la culture. Mais, peut-on parler de relance pour un secteur aussi vaste que flou dans ces contours. Au-delà des artistes, les emplois induits par la culture sont vitaux pour le pays : transports, logements, restauration, hôtellerie, tourisme…Un large pan de l’économie en déshérence.

TRIBUNE : Le secteur culturel représente plus de 600 000 emplois ! Rien qu’en Bourgogne-Franche-Comté, on recense 1 532 employeurs faisant appel à au moins un intermittent, dont 310 en Côte d’Or et 190 dans l’Yonne, pour un total de plus de 6 millions d’euros. Toujours sur notre territoire, c’est aussi 18 421 contrats de travail dont 5 234 en Côte d’Or et 1 600 dans l’Yonne. Des sources statistiques qui datent quelque peu puisque élaborées en 2011.

De plus en plus, les contrats d’interventions artistiques concernent des compagnies ou des associations : un contrat représente plusieurs artistes. Des machinistes, caméramans et autres preneurs de sons, sont aussi concernés par le statut d’intermittent. 

Le problème de notre emblématique ministre de la Culture, Roselyne BACHELOT, c’est qu’elle n’a aucun pouvoir sur les deux milliards d’euros alloués à son ministère. C’est-à-dire le montant réel, l’échelonnement de l’aide…Bercy maîtrise seul ce budget qui demeure discrétionnaire…

Prévoir l’avenir ! Un spectacle vivant, une pièce de théâtre… ça se prépare, ça se monte,…il faut répéter, organiser…Il est difficile de décider d’un spectacle à partir de janvier ou de mars qui peut à tout moment être annulé. Comment, dans ces conditions, lancer des milliers de billets à la vente ?

Les intermittents du spectacle coûtent un milliard en assurance chômage. Toutefois, il existe des restrictions aux droits : si l’intermittent ne rassemble pas 507 heures de travail, il ne touche rien, ou presque. Le régime social du personnel intermittent fut créé pour les artistes du cinéma en 1936 !

Précisons également qu’un intermittent technicien gagne en moyenne 2 590 euros et 2 020 euros pour un artiste. C’est le problème des moyennes : il prend en compte des cachets démesurés. La majorité des artistes aimerait gagner ne serait-ce que la moitié de ce cachet !

 

Une artiste, régionale de l’étape, Nathalie GUERAUD, livre son sentiment

 

Nathalie GUERAUD est une vraie saltimbanque, une véritable artiste, fan de poésie et de Christian BOBIN. Comédienne, c’est sa vocation, c’est donc joyeusement qu’elle se  jette dans le théâtre, sur la scène, aux côtés de  Molière

Avec beaucoup de passion, elle va très vite conjuguer sur les planches, la comédie et le chant. En 1993, elle obtient le Grand Prix de la SACEM. Toujours curieuse de la vie comme de son art, Nathalie s’aventure avec bonheur dans le théâtre contemporain, le « seule-en-scène », le travail de clown, la mise en scène, avec quelques incursions dans le cinéma.

Elle choisit de travailler en territoire rural, en particulier sur la transmission de la poésie et de la lecture à voix haute. Direction l’Auxois, en Côte d’Or. Depuis 2005, elle organise le « Printemps des Poètes en Auxois », avec la Cie L’Enchantement de la Mandarine. Au programme : ateliers, lectures, brigades d’intervention poétique, spectacles...

Pour marquer, les dix ans de cette manifestation, elle concocte un livre, intitulé « Le Ca-sert-d’os du caméléon », riche en témoignages d’acteurs du territoire
et récemment, "Eclat(s)", son premier texte poétique, publié aux éditions L’Atelier des Noyers.

 

 

Quelles sont les difficultés rencontrées par les intermittents depuis le mois de janvier ?

 

Jusqu’au jour du confinement général, à partir du mois de mars, tous les spectacles ont été annulés. Nous nous sommes posé beaucoup de questions : pourquoi des élections maintenues et de petits spectacles annulés ? « Le Printemps des Poètes » de Semur fut logiquement supprimé ! Plus de six mois de préparation (trouver les partenaires, les acteurs du projet,…) : tout un concept de longue haleine réduit à néant… Aujourd’hui, tout est en stand-by.

Certaines communes s’engagent malgré tout. Certaines ont pu reporter des spectacles plutôt que de les annuler simplement. Cet été, au débotté,  quelques spectacles ont pu avoir lieu, en extérieur, mais avec une épée de Damoclès sur la tête : la préfecture peut tout annuler la veille… Aujourd’hui je prends le risque du « Printemps des poètes ». Il faut être créatif, inventif sur la façon dont cette manifestation, à caractère national, peut se dérouler localement. Il faut trouver des formes nouvelles de spectacle et axer l’essentiel sur la rue.

 

 

Le confinement n’a pas été le même pour tout le monde. Que dire du Puy-du-Fou, du festival d’Avignon ?

 

Aujourd’hui, l’ « économique » prévaut toujours sur l’humanisme ! Le Puy-du-Fou représente pour les artistes un non-sens, voire une incompréhension totale. Je n’entre pas dans des considérations politico-partisanes mais comme tous mes collègues, dans une approche de logique et de cohérence.  A titre d’exemple, à l’Opéra de Paris, on a tenté de régler des interventions d’intermittents sur la base de figurations alors qu’il s’agissait de rôles !

Aujourd’hui, l’unique logique d’une manifestation, c’est la rentabilité immédiate. Pour le festival d’Avignon, de nombreuses possibilités pouvaient être offerte avec la partie « In » du festival. Oui Avignon pouvait, sous certaines conditions, être maintenu !

 

 

Que pensez-vous des deux milliards d’aide à la culture ?

Je n’y connais rien ! Nous nous demandons simplement : d’où vient tout cet argent ? Comment on va le rembourser ? Depuis des lustres, on nous rebat les oreilles qu’il n’y a pas d’argent ! Et d’un seul coup, de la monnaie comme s’il y en pleuvait, nous tombe dessus ! Mais, il faudra bien rembourser un jour ! Quid de toutes ces inégalités liées à la crise ? Je ne pense pas uniquement aux artistes, mais à tous les pauvres et les déshérités laissés sur le bord de la route !

Existe-t-il une solidarité active entre les artistes ?

Le système est solidaire par essence. On ne peut pas inventer le travail. Toutefois, il arrive que l’on propose un artiste sur une intervention possible, par solidarité. La solidarité est ponctuelle, individuelle, personnelle et jamais nous refusons un bol de soupe à un ami.

Que se passe-t-il en Bourgogne ?

De nombreuses communes, ont, cet été, offert des spectacles gratuits en extérieur. Attention : spectacles gratuits ne veut pas dire non rémunérés pour les artistes ! Les engagements signés et annulés sont le plus souvent reportés. Certains engagements ont pu être honorés grâce à des enregistrements. J’ai pu ainsi effectuer quelques interventions à caractère culturel, préenregistrées et diffusées à la demande. La Bourgogne, c’est surtout une dynamique culturelle prégnante. Certaines villes sont dans cette dynamique, et dans ce cadre, c’est toute la ville qui est portée par cela ! Dijon est une ville fer de lance : cet été on pouvait sortir presque tous les jours ! Semur-en-Auxois a organisé des spectacles presque toutes les semaines : une ville à la hauteur de ces choix culturels. A Bussy-le-Grand, le musée Gorsline a organisé des animations en extérieur afin de garder le contact avec le public. On pourrait citer de nombreux spectacles « vivants » qui ont su maintenir ce lien indispensable entre le public et les artistes.

Aujourd’hui, que souhaitez-vous ?

Je construits des projets artistiques sans savoir s’ils aboutiront. Ce n’est pas grave, quand il y a de la vie, il y a aussi de la prise de risque ! Plus globalement, je souhaite à tous et à chacun de garder de l’énergie de plus en plus, encore et toujours, de préserver les échanges humains : le partage nourrit chacun. La culture permet de réfléchir autrement et c’est une forme de découverte de soi… « Ecrire, c’est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l’ouvrir » disait Christian BOBIN.

 

 

Propos recueillis par Jean-Paul ALLOU  

 


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Il était attendu depuis fort longtemps par les épicuriens. Désormais, l’opus trône en tête de gondole dans toutes les librairies dignes de cette appellation. Et ce, depuis le 23 septembre, date de sa publication officielle. C’est dans un lieu chargé d’histoire, l’Abbaye de Cîteaux, qu’a été dévoilée il y a quelques jours la première mouture de ce condensé de bonnes adresses et de plans sympas. Un ouvrage, certes, à destination des amateurs de nectars et de grands crus. Mais, aussi pour celles et ceux qui privilégient l’oenotourisme parmi leurs priorités ludiques et culturelles…

SAINT-NICOLAS-LES-CITEAUX (Côte d’Or) : Après les vignobles du sud de la France et ceux, mythiques, de la Gironde, le Routard pose enfin ses valises en Bourgogne et dans le prolongement vers le Jura limitrophe pour y consacrer le troisième coup de cœur scriptural de sa nouvelle collection, faisant référence aux nobles produits de la viticulture.

Une agréable opportunité pour passer au crible et dans ses moindres détails ce qui se fait de mieux dans l’une des filières économiques prégnantes de ce territoire : le vin.

En 224 pages, et pour la modique somme de 14 euros, « Le Routard Oenotourisme en Bourgogne/Jura » offre l’excellente occasion à son lectorat de s’immerger dans l’un des terroirs les plus connus et reconnus au monde. Grâce à des adresses soigneusement sélectionnées sur le terrain, le plus souvent labellisées « Vignobles & Découvertes ».

Le projet est né d’un fructueux partenariat concocté avec le soutien de plusieurs acteurs prépondérants de ce tourisme vert qui ne cesse de croître d’année en année.

Soit Bourgogne Franche-Comté Tourisme et les agences de développement touristique issus des cinq départements concernés par ce guide pédagogique : la Côte d’Or, le Jura, la Nièvre, la Saône-et-Loire, et l’Yonne.

 

 

Découvrir la diversité de ces vignobles reconnus dans le monde

 

Labellisés au patrimoine de l’UNESCO avec ses « Climats de Bourgogne », notre contrée possède des noms de prestige qui font miroiter les yeux parfois embués de plaisir des oenophiles, à l’instar de Chambertin, Romanée-Conti, Clos de Vougeot, Côte de Nuits, etc.

Mais, ces belles références ne doivent pas faire oublier la diversité de ces vignobles qui s’étirent du nord au sud et d’est en ouest. Depuis l’an 1098, et l’édification de l’Abbaye de Cîteaux d’où est partie cette soif inextinguible autour du vin grâce au labeur passionné des moines, la Bourgogne de la viticulture brille de mille feux aux quatre coins du globe.

On aura donc apprécié le symbole fort de ce lancement, dans les murs séculaires de la salle de l’Oratoire, en présence de l’économe des lieux, Frère Benoît et de l’édile de la commune. Mais, aussi de Loïc NIEPCERON, président de BFC Tourisme et des responsables des agences touristiques départementales.

A travers ses dix vignobles labellisés « Vignobles & Découvertes », l’ouvrage nous invite à la compréhension millimétrée et complexe de cette mosaïque de terroirs aux arômes et saveurs incomparables. Mettant en valeur le travail des vignerons, la visite de leurs caves, mais aussi de balades dans leurs vignes et de visites patrimoniales et culturelles alentour…

La présentation des cépages et les clés offertes pour mieux s’imprégner des appellations font de ce guide millésimé 2020 un grand cru à mettre entre toutes les mains.

Au nom de cet art de vivre à la française où on l’aime se retrouver autour d’un verre pour en déguster le contenu, humer son parfum, en apprécier ses couleurs, avant de l’avaler doucement avec précaution et le comparer en guise de partage avec un autre de ces nectars dont les vignerons ont le secret…

 

 

En savoir plus :

Le Guide du Routard Oenotourisme en Bourgogne et Jura

Editions Hachette

224 pages,

14 euros

Paru depuis le 23 septembre 2020

 


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