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Accompagnée d’une délégation d’élus locaux et de parlementaires de la Franche-Comté septentrionale, la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY se rendra d'ici peu dans la capitale afin d’y rencontrer le ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE. L’objectif de cet entretien, peut-être celui de la dernière chance, sera de faire pencher la balance en faveur du site de Belfort et d’y maintenir les compétences et les savoir-faire du groupe industriel, fabriquant de turbines à gaz.

BELFORT : Maintenir coûte que coûte la compétitivité et l’emploi dans le secteur de l’industrie. C’est l’un des credo essentiels qui motive l’action de la première Dame de la Région Bourgogne Franche-Comté.

Et au regard de l’actualité, propre à la société GENERAL ELECTRIC, implantée sur le Territoire de Belfort, l’élue régionale est plus que jamais déterminée à tirer toutes les ficelles possibles afin de sauvegarder l’activité économique et les emplois induits de cette entité.

Présent en France depuis un siècle, le groupe GENERAL ELECTRIC emploie près de 16 000 collaborateurs dans des secteurs d’activité liés à l’énergie. Son chiffre d’affaires s’élève à 7 milliards d’euros. Le site de Belfort accueille le centre technologique destiné à la conception de turbines à gaz 50hz ; il est aussi le siège de la joint-venture entre GE et Alstom Nucléaire.

Prenant le taureau par les cornes, Marie-Guite DUFAY a interpellé directement le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno LE MAIRE, sur ce délicat dossier.  

Car avec ses quatre mille quatre cents salariés, la première unité de production de GENERAL ELECTRIC, localisée à Belfort, doit survivre aux aléas complexes de la conjoncture.

Récompensée de ses efforts, la présidente de la Région a obtenu une audience auprès du ministre. Celle-ci interviendra à Paris, la date et l'horaire restant à déterminer. L’élue régionale ainsi qu’une délégation de parlementaires et élus franc-comtois auront alors tout le loisir de faire part de leurs craintes et de leurs espoirs face au représentant du gouvernement.

Interrogée à ce propos, Marie-Guite DUFAY est on ne peut plus claire dans ses intentions :  

« La sauvegarde de ces emplois passe par une diversification des activités du site, notamment dans le secteur de l’aéronautique, le nucléaire (dans sa composante démantèlement et grand carénage) et des filières d’avenir autour de l’hydrogène. L’Etat doit prendre la mesure de la situation et se positionner en stratège pour attirer des investisseurs. La Région Bourgogne-Franche-Comté, le territoire du Nord Franche-Comté, le département du Territoire de Belfort, sa communauté d’agglomération et ses parlementaires appellent aujourd’hui le gouvernement à actionner un véritable plan de bataille pour sauver le site de Belfort, son écosystème performant et ses emplois, c’est l’objet de cette rencontre… ».

Un plaidoyer juste pour une noble cause. Sera-t-il entendu par le pensionnaire de Bercy ?

 


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A l’étude depuis plus d’un an, le projet des « Incroyables comestibles » connaîtra une nouvelle phase de sa mise en application lors d’une journée spéciale consacrée à la nature en ville ce samedi 04 mai. A l’origine de ce projet, la Jeune Chambre Economique locale. Elle souhaite promouvoir par ce biais le développement de l’agriculture urbaine et la végétalisation de la cité. Un concept qui est largement partagé par les élus de la Ville d’Auxerre, associés à cet évènement. Celui-ci bénéficiera, en outre, de la bienveillance de l’instigateur national de ce mouvement, Henri BUREAU. Présent à ce rendez-vous, il détaillera les initiatives concrètes portées à travers l’Hexagone…

AUXERRE : Le personnage figure déjà parmi les sommités incontournables dans son domaine de spécialisation. Secrétaire national de l’Université Populaire de Permaculture, Henri BUREAU effectuera un déplacement très attendu ce samedi 04 mai en territoire de l’Yonne.

Initiateur de ce mouvement citoyen qui fait florès depuis quelques années en France (les « Incroyables comestibles »), ce référent de la discipline livrera un regard d’expert sur ce concept, apparu en Grande-Bretagne dès 2008. Intervenant un peu partout en France, l’exégète est un acteur préférentiel de la permaculture auprès des collectivités, du monde associatif et de divers clubs.   

C’est à Albi, splendide ville universellement de l’Occitanie connue pour sa somptueuse cathédrale, que notre homme a développé le principe des « Incroyables comestibles ». Il est même à l’origine de la Coordination nationale qui régit ce mouvement environnemental novateur.

Localement, Henri BUREAU s’est fait le chantre d’une pédagogie ouverte au plus grand nombre en proposant un module d’initiation à la permaculture dans le cadre des programmes assurés par l’Université pour Tous. Idée qu’il a aussi déclinée auprès du lycée agricole de Fonlabour autour d’un module diplômant en agriculture urbaine et permaculture.

Enfin, et dans un souci de pragmatisme, le spécialiste a conçu la mise en place d’une ferme urbaine de six hectares opérationnelle dans la capitale du Tarn.

Une déclinaison du concept dans plusieurs quartiers d’Auxerre…

Après une phase analytique sur la faisabilité de ce projet, les membres de la JCE se sont rapprochés des organismes et structures susceptibles de participer à cette aventure pour le moins insolite. Les retours ont été positifs. Plusieurs quartiers de la capitale de l’Yonne ont montré leur appétence à se lancer dans ce défi. Ils cherchent à mettre à disposition des bacs-potagers, des espaces pour y cultiver des légumes en pleine terre et promouvoir la valorisation des espaces verts.

Rive Droite, les Rosoirs, le Centre, les Brichères, les Piedalloues, Saint-Julien/Saint-Amâtre, Saint-Siméon, Saint-Gervais/Brazza et le Port de plaisance se sont mobilisés avec réel intérêt pour cette réappropriation du végétal en zone urbaine.

Même les scolaires sont entrés dans la danse ! Les établissements élémentaires de la ville ont participé aux premiers semis des futurs légumes, intégrant cette initiative, ludique à ses débuts, à leur projet pédagogique. Prouvant que cette initiative heureuse est bien l’affaire de tous !

 


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C’est dans une zone de chalandise très dynamique et prometteuse, en périphérie de Lyon, que la filiale française du groupe d’Outre-Rhin a choisi d’ouvrir son nouveau point de vente. Inaugurée officiellement le 24 avril, la structure complète l’offre globale du spécialiste de la vente de produits chimiques, de fixation, d’outillage et de consommables techniques, leader de la distribution multicanale.

VAULX-EN-VELIN (Rhône) : Le projet aura été de longue haleine. Dans sa phase d’élaboration et de positionnement. Devant l’accélération croissante des attentes de sa clientèle et au développement de la digitalisation dans les relations commerciales, l’ingénierie de BERNER France a capitaliser sur son expérience, vieille d’un demi-siècle, pour évoluer à travers ce nouveau concept de magasin.

Implantée dans l’Yonne depuis 1969, la déclinaison hexagonale du groupe allemand s’est forgée au fil du temps une solide réputation auprès des professionnels de la mobilité, de la construction et de la maintenance industrielle. C’est-à-dire son cœur de cible.

Aujourd’hui, BERNER France pèse 238 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise recense 1 500 collaborateurs dont mille commerciaux qui font fructifier un portefeuille de plus de 100 000 clients.

Ouvrir une structure de la sorte dans le département du Rhône répondait à un besoin stratégique. Comme le précise Didier GOGUELIN, directeur général de la filiale française.

« Ce projet s’inscrit dans notre stratégie « omnicanal », c’est-à-dire du vendeur terrain à l’e-commerce qui vise à nous rapprocher de notre clientèle. Nous cherchons tous à améliorer l’expérience client. Nos clients sont aujourd’hui en contact constant avec notre marque, que ce soit via notre centre de relations client, notre commercial terrain, l’appli web, le site marchand ou nos supports imprimés tel que le catalogue. Le point de vente doit fonctionner de la même manière et c’est pourquoi nous voulions créer un parcours client simple, homogène et familier. En entrant dans le magasin, le client fait le lien avec la marque, ses produits et services grâce à la cohérence entre tous les points de contact ».

Un concept résolument ouvert vers l’humain

Attaché à la dimension humaine, la vitrine commerciale lyonnaise a été pensée dans cet état d’esprit. L’espace de vente en libre-service s’étend sur 300 mètres carrés et créé une ambiance plus accessible et plus proche. Pour permettre au visiteur de se repérer simplement dans le magasin, les gondoles centrales ne dépassent pas 1,50 mètre. Quant à la signalétique, elle est colorée et épurée. Cela contribue à donner une image structurée du magasin. Tout a été imaginé pour faciliter la compréhension de l’offre qui est proposée par univers produits.

Le point de vente dispose de salles de réunion. Elles faciliteront le lien avec la force de vente itinérante régionale, qui en profitera pour organiser des réunions d’équipes, des journées techniques ou des séances de formation sur site. Comme le précise Christian LEJET, directeur commercial Construction, « Le but d’ouvrir un magasin est d’une part de renforcer notre image de marque et notre ancrage local et d’autre part d’affirmer notre proximité avec nos clients et prospects… ».

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Dans le point de vente, sis 15 rue Jacques Tati à Vaulx-en-Velin, quatre collaborateurs dont le responsable accueillent les clients, uniquement professionnels. Ces derniers évoluent dans les différents univers en libre-service et peuvent s’adresser à tout moment aux conseillers du magasin pour bénéficier de leur expertise produits ou leur demander des informations sur les services proposés exclusivement en boutique. In-situ, les salariés peuvent réaliser des devis et ouvrir de nouveaux comptes en toute autonomie pour plus de réactivité et de gain de temps. Les commandes spéciales se gèrent avec le savoir-faire du siège à Saint-Julien-du-Sault.

 


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Le Sénonais Julien ODOUL et le franc-comtois Jacques RICCIARDETTI, élu du Doubs, représenteront les intérêts de la Bourgogne Franche-Comté sur la liste du Rassemblement National aux prochaines élections européennes du 26 mai. Leur investissement officiel a été rendu public il y a quelques jours par les instances suprêmes de la formation politique, créditée de 23 % dans les sondages…

PARIS : Le chiffre 31 pourrait-il sourire au président du groupe Rassemblement national qui siège au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le Sénonais Julien ODOUL ?

Investi il y a quelques jours par la présidente du parti, Marine Le PEN, le jeune stratège du RN y occupe un positionnement idéal qui peut lui permettre de nourrir quelques espoirs au soir du 26 mai.   

Membre du bureau national du RN, délégué de la présidente du parti dans le département de l’Yonne, l’élu icaunais ne sera d’ailleurs pas le seul candidat à défendre les intérêts du territoire régional sur cette liste.

C’est le franc-comtois, originaire du Doubs et maire de Tressandans, le vice-président du groupe RN à la Région Jacques RICCIARDETTI qui constitue l’autre pôle d’intérêt régional à suivre de près lors de ce scrutin. Ce dernier se présente à la 49ème place.

Ces deux militants et responsables politiques reçoivent ainsi les fruits de leur engagement quotidien aux côtés de la présidente du Rassemblement national. Une implication qui se décline par un regain de l’enracinement local, observé lors des précédentes élections, qu’elles soient présidentielles ou législatives.

Pour les porte-voix du RN, ces élections européennes s’avèrent cruciales à bien des égards au moment où la France traverse une crise sociale particulièrement complexe et assujettie à bon nombre de décisions européennes.

 


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Présenté par les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, l’amendement déposé dans le cadre de l’examen de la loi d’orientation des mobilités propose de confier aux acteurs de terrain, en particulier le préfet de département et le président du Conseil départemental, le soin de décider, au cas par cas, de la vitesse autorisée sur le réseau routier, dans la limite de 90 km/h. Le texte est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Mettra-t-il enfin un terme à ce long feuilleton qui n’en finit pas de durer ?

PARIS : Depuis le 01er juillet 2018, date à laquelle le gouvernement a décidé l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur le réseau routier secondaire, il ne se passe pas un jour où le flou artistique qui règne en maître absolu autour de ce dossier, ne ressurgisse à la surface médiatique et ne soit comparable à un véritable casse-tête chinois pour l’exécutif.

Il est vrai que prendre la décision de réduire de dix kilomètres par heure ladite vitesse, soit de 90 à 80, ne pouvait engendrer une cote de sympathie naturelle à ce projet quelque peu alambiqué. Et pour le moins inattendu…

Même si celui-ci était défendu bec et ongles dès le début par le Premier ministre. Instigateur du concept, Edouard PHILIPPE avait déjà utilisé les forceps pour « vendre » l’idée au président de la République, guère convaincu par la pertinence de cette suggestion forcément impopulaire.

La mobilisation sociale de la mi-novembre n’aura pas manqué de cibler ouvertement cette baisse généralisé de la vitesse sur les routes françaises et de l’inscrire parmi le lot des revendications privilégiées.

Avec en toile de fond, un argument tangible se rapportant aux habitants des territoires ruraux : leur pénalisation assurée puisque ne disposant pas d’alternative possible pour se déplacer autrement dans leur vie de tous les jours.

Faciliter l’arbitrage par le préfet et le président d’un conseil départemental…

Or, les choses évoluent, semble-t-il, autour de ce texte législatif. Ce lundi 29 avril, lors de la séance de l’Assemblée nationale où les parlementaires examinaient le projet de loi d’orientation des mobilités, les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, sont donc montés au créneau : ils ont présenté l’amendement numéro 305.

L’exposé du texte, signé en tandem par les élus de l’Yonne, demande une justification formelle et chiffrée de cette mesure perturbante pour les automobilistes.

« Si la diminution du nombre de victimes d’accidents de la route est un objectif essentiel de toute politique de sécurité routière, il reste toutefois à démontrer que cette mesure contraignante et applicable à un réseau routier de 400 000 kilomètres ait pu y contribuer…écrivent de concert les députés icaunais.

S’en suivent deux alinéas. Le premier concerne le rôle du président du Département. Ce dernier, par arrêté motivé, fixerait la vitesse maximale autorisée pour les routes départementales, celles qui ne possèdent pas de séparateur central et hors agglomération, dans la limite de 90 km/h.

Le deuxième définit l’intervention du représentant de l’Etat dans le département. Ainsi, le préfet pourrait, en concertation directe avec le président du Conseil départemental, fixer la vitesse maximale autorisée pour les routes nationales et selon les conditions similaires au précédent alinéa. Une manière intelligente de gérer au cas par cas et selon les typologies de ces routes du réseau secondaire la mise en application de la loi. L’amendement est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Beaucoup croisent aujourd’hui les doigts pour que cet additif soit au final retenu par le Parlement…et applicable sur les routes de France.

 


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