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La très belle victoire obtenue par le ressortissant d’Outre-Quiévrain permet à la Belgique de succéder à la France dans cette épreuve âprement disputée du championnat du monde des maîtres d’hôtel. Nos voisins du plat pays peuvent savourer leur titre avec délectation en ayant coiffé les représentants tricolores sur le fil, eux qui n’ont pu accéder au titre suprême. Sans l’once d’une contestation et au grand dam de nos compatriotes…Deuxièmes ex-aequo, Elsa JEANVOINE et Valentin MEROT, le régional de l’étape, ont échoué de peu mais ils réalisent en substance le concours quasi parfait…

AUXERRE : Cette fois, il n’y a aucune ambiguïté à avoir, la Belgique tient bel et bien sa revanche sur les Français ! Certes, elle ne s’applique pas à la pratique du ballon rond. Mais, elle survient dans un tout autre domaine qui, sur le papier et dans les faits, restait jusque-là l’apanage des Tricolores : les arts de vivre appliqués à la gastronomie.

Nos deux valeureux candidats, Elsa JEANVOINE et Valentin MEROT, qualifiés pour cette édition palpitante des championnats du monde des maîtres d’hôtel, s’en souviendront à leurs dépens.

Malgré leurs prouesses techniques sur la manière de découper une volaille, de dresser une table en respectant minutieusement les codes de présentation et la façon de flamber un dessert avec une justesse frisant parfois la perfection, ils n’ont pu rivaliser avec leur homologue belge. L’irrésistible et charismatique Jeff VAN HONNACKER aura tout balayé sur son passage tel une tempête chargée d’embruns venue de la Mer du Nord.

Volubile, poussant le sens de la relation à l’autre avec expertise lors de ses passages successifs face au jury, ce garçon talentueux a eu reçu les suffrages positifs d’exégètes es arts de la table et de la gastronomie. Celles et ceux qui constituaient l’exceptionnel jury, composé de fines gâchettes du savoir-vivre à la française, devant rendre son verdict inéluctable.

 

 

 

Tension palpable à l’énoncé des résultats…

 

Que le souriant japonais YAMAMOTO accède à la troisième marche du podium fut déjà une révélation en soi. Mais eu égard à la dimension internationale prise depuis plusieurs années par la gastronomie nippone, cela ne faisait que confirmer l’appétence de ces jeunes gens pour la cuisine moderne et le sens du décorum qui y est associé.      

La tension était palpable dans les salons d’honneur de la préfecture de l’Yonne qui accueillait cette remise de distinctions intercontinentales en présence de concurrents nord-américains, asiatiques et africains. Mais, en parfait maître de cérémonie de circonstance, Serge GOULAIEFF, lui-même MOF de la discipline, égrena les patronymes des deux candidats ex-aequo, que ne purent départager les inflexibles membres du jury.

Et là ce fut la douche froide dans le camp français puisque nos deux représentants, Elsa JEANVOINE et Valentin MEROT, se contentèrent de la seconde place. Malgré leurs accessits obtenus dans deux des quatre catégories. L’amère désillusion se figea sur les visages attristés de ces brillants compétiteurs qui n’auront pu semer le trouble dans l’esprit conquérant du nouvel élu, le Belge Jeff VAN HONNACKER.

Comme le chantait si bien jadis le chanteur belge Salvatore ADAMO dans le tube « Mais laisse tes mains sur mes hanches » (« oui tu l’auras ta revanche… ») ; c’est en triomphateur que le nouveau champion du monde a pu lever les bras au ciel pour saluer sa victoire.

 

 


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Seul représentant de la Bourgogne Franche-Comté à s’être qualifié pour le difficile exercice qui pourrait le sacrer meilleur maître d’hôtel de la planète, le professionnel du Relais Bernard LOISEAU intègre le panel très hermétique des favoris. Il représente une sérieuse opportunité pour la délégation tricolore de remporter le titre suprême. Sachant que la France aura avec la présence d’Elsa JEANVOINE, une autre carte maîtresse à jouer…

AUXERRE : Opposé à une douzaine de candidats aux origines internationales diverses et cosmopolites au lycée des métiers Vauban, le talentueux premier maître d’hôtel du Relais Bernard LOISEAU à Saulieu (Côte d’Or), « Le Côte d’Or », double étoilé Michelin, n’est pas venu au mondial de sa discipline professionnelle qu’il affectionne pour y faire de la simple figuration.

Lui qui avait déjà survolé avec brillance les sélections nationales, aux côtés de la seconde chance hexagonale qualifiée Elsa JEANVOINE, revient au même endroit qui l’avait consacré en mai dernier.

Est-ce à dire à la vue de ses circonstances géographiques particulières que les deux prétendants français à ce sacre universel de maître d’hôtel au sommet de son art bénéficieront de ce petit quelque chose supplémentaire pour prétendre glaner le titre ?

C’est possible. Non seulement, Elsa et Valentin avaient beaucoup apprécié l’accueil et les conditions de travail qui leur avaient permis au printemps de finir aux deux premières places qualificatives pour le challenge planétaire. Mais, en outre, ils profiteront des encouragements nourris du public de supporters qui, drapeaux en main et cocardes tricolores à la boutonnière, ne manquèrent pas d’encourager leurs poulains !

 

 

 

 

Un début de compétition sous le signe de la flamboyance…

 

Concentré, dirigeant à la perfection sa brigade de commis qui l’aidèrent à suivre ce parcours de titan lors de cette matinée faste articulée autour de quatre challenges, Valentin MEROT aura fait montre dès le premier passage  d’une réelle dextérité face au jury franco-ukrainien de l’épreuve du flambage de dessert. Il travailla une recette de sa composition à base de figues.

A trente ans, le régional de l’étape était naturellement soutenu avec fierté par toute la maison Bernard LOISEAU qui a vu en cette sélection mondiale de son jeune prodige, « un témoignage du haut niveau de qualification, de passion et d’exigence de ses collaborateurs… ».

Ce n’était que le début matinal de ce chemin complexe et technique, qui le mènera peut-être à la consécration ?

 

 

 

 


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Le montant des irrégularités dans l’Yonne atteignait au terme de l’année 2018 une somme vertigineuse qui s’élevait à 938 000 euros. Réaliste pour les résultats de l’année en cours, la Caisse primaire de l’Assurance maladie prévoit de dépasser la barre d’1,3 million d’euros. Pourtant, les irréductibles réfractaires à la civilité et au respect d’autrui ne restent pas impunis. Dans le cadre du CODAF, aux côtés de partenaires institutionnels bien décidés à résorber ces pratiques malsaines, le vénérable organisme poursuit sa lutte. Avec pugnacité et efficience…

AUXERRE: Comment échapper à la récurrente problématique de la fraude à la protection sociale qui resurgit tel un marronnier chronique de la presse people chaque année à l’heure des bilans d’automne ?

Pas si simple d’éradiquer de manière définitive ce singulier problème qui concerne l’ensemble des caisses départementales de l’organisme en France. L’Yonne, malheureusement, ne déroge pas à la règle de ce constat de pratiques irrégulières et vénales dans sa relation avec son cœur de cible, à savoir ses 273 000 assurés sociaux où figure pléthore de strates sociétales : étudiants, actifs, retraités, travailleurs indépendants, etc.

Initiant des prestations proches du milliard d’euros, couchant sur des factures plus de cinq millions d’actes à l’année, le casse-tête n’est même plus chinois pour les services régulation et santé (et surtout comptables) de l’institution départementale.

Passer à travers les mailles du filet est tellement tentant par simple atavisme ou par profonde inadvertance que l’on ne peut envisager de s’y soustraire dans certains des cas. Certes, pas tous, fort heureusement car dans l’option contraire, il y a belle lurette que la CPAM aurait déposé le bilan et aurait rejoint la liste noire des structures organisationnelles ayant passé de vie à trépas !

 

 

Des résultats de plus en plus performants pour stopper l’hémorragie…

 

Toutefois, diverses procédures existent pour que chaque euro aille à son bon destinataire en respectant la règlementation en vigueur. En interne, un service ad hoc prend en charge les signalements, mène des investigations minutieuses et réalise différents contrôles, y compris à domicile.

Cette année, la Caisse primaire de l’assurance maladie a poursuivi, voire renforcé sa politique rigoureuse de détection et de sanction à l’égard des comportements frauduleux.

La méthodologie employée est classique. La CPAM de l’Yonne écoute avec grand intérêt les remontées informatives de ses agents mais aussi des assurés sociaux. Le signalement de tiers sous le sceau de la transparence et non de l’anonymat ne signifie pas pour autant qu’il y ait eu délation.

Les professionnels de l’organisme en charge de ces enquêtes croisent ensuite leurs renseignements pour débusquer les auteurs volontaires ou par mégarde de ces paiements douteux qui prêtent à interrogation.

Récemment, il est avéré que des malversations ont été constatées via l’emploi abusif des cartes VITALE. Mais si la fraude existe dans le département de l’Yonne, elle demeure somme toute marginale. Soit moins de 0,001 % !

Rappels à l’ordre, avertissements, réduction des remboursements : la convocation des assurés après contrôle de leurs arrêts de travail engendre parfois quelques désagréables surprises. Le développement de nouveaux programmes de contrôles facilite l’amélioration des méthodes de détection.

Au niveau de l’Hexagone, la Caisse primaire de l’assurance maladie a stoppé un équivalent de 2,4 milliards d’euros d’activités illégales. Rien que pour l’exercice 2017, l’organisme a initié 8 077 actions contentieuses. Soit 8 % de mieux que l’année précédente.

 

 

Des contrôles exercés en collaboration avec d’autres organismes…

 

Dans l’Yonne, le taux d’absence consécutif à un contrôle initié par un arrêt de travail s’élève à 34.5 %. Une hausse par rapport à l’exercice antérieur qui progresse de près de dix points ! Même si le constat est orienté à un léger ralentissement de ces abus, il s’avère que le territoire de l’Yonne offre une vision plus élevée que la moyenne régionale, voire nationale.

En matière d’assurance maladie, les contrôles concernent en règle générale les établissements de soins, les professionnels de santé et les assurés. Précisons que pour les employeurs, les vérifications découlent davantage de la branche recouvrement avec les URSSAF.

Mais, l’étroite osmose collaborative qui prévaut entre les différents organismes permet de découvrir les fraudes, notamment en matière d’indemnités journalières.

Une fois le forfait découvert, la CPAM n’a plus qu’à porter plainte contre tout assuré qui percevrait des indemnités journalières tout en exerçant une activité non autorisée.

Le premier organisme payeur du département de l’Yonne observe enfin une sensible hausse du nombre de dossiers à traiter en 2019 (93) pour un montant estimé à approximativement d’1,348 million d’euros.

Toutefois, les professionnels de santé exercent de leur côté des pressions considérables pour endiguer les brebis galeuses contrevenantes à ne plus fauter dans le système.

C’est pourquoi, la CPAM a décidé de rejoindre le CODAF (Comité opérationnel départemental antifraudes), placé sous l’égide de la préfecture et des procureurs de la République, pour faciliter la coordination locale des actions.

 

 

 

 

 

 


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L’actualité agricole a tenu le haut du pavé, partout en France mais aussi sur le territoire de l’Yonne au cours de la semaine écoulée. Revendications visibles dans les rues, conférence sur les vertus de l’agro-écologie, assemblée générale de la coopérative YNOVAE : le milieu de l’agro-alimentaire s’est signifié à notre bon souvenir de consommateur aiguisé que nous sommes. Cerise sur le gâteau : la venue de la présidente nationale de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) à Auxerre a ponctué de très belle manière cette semaine « verte et environnementale » vitrine promotionnelle idéale contre les zélateurs de l’agribashing…

AUXERRE : Christiane LAMBERT est en colère et le fait savoir à bon escient ! Peu avare en commentaires explicites sur le sujet de prédilection qui l’anime au quotidien, à savoir la défense des intérêts de sa corporation, la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) ne lésine pas sur le temps de parole à accorder aux journalistes lors d’une conférence de presse. Plus d’une heure d’entretien où tous les thèmes liés à l’actualité du moment ont pu être balayés sans langue de bois.

De passage dans la capitale de l’Yonne, ce vendredi 29 novembre, la « wonder woman » du monde rural a pu s’expliquer longtemps avec les médias sur les motivations essentielles qui la poussent à mener bec et ongles ce combat de la dernière chance face à un gouvernement de moins en moins inflexible. Un combat qu’il est nécessaire de remporter car il y a péril en la demeure.

Mardi 03 décembre, la syndicaliste à la tête d’une exploitation porcine laissera de côté son emploi du temps professionnel pourtant bien garni afin de regagner Paris en vue d’une rencontre qui se présente déjà comme capitale avec le Premier ministre.

Fruit d’une âpre négociation obtenue avec les conseillers agricoles de l’Elysée et de Matignon au terme de la journée de revendication de mercredi, ce rendez-vous avec Edouard PHILIPPE et le ministre de l’agriculture Didier GUILLAUME peut-il augurer de l’adoption de préconisations judicieuses et pertinentes ?

 

Ne pas suivre les propos hystériques des politiques en campagne électorale…

 

Pas un jour ne passe en effet sans que le milieu agricole ne souffre de manière concrète et brutale dans sa chair. Placé sous haute vigilance, le secteur est en proie à de profondes désespérances humaines pouvant aboutir au drame. Conspuant le nouveau phénomène disruptif de l’agribashing, largement répandu par les réseaux sociaux, la présidente de la FNSEA n’a pas caché sa virulence et son émotion contre ces fauteurs de trouble de l’ordinaire qui retranchent les professionnels dans leur isolement.

Mercredi dernier, à Paris mais aussi dans la plupart des grandes agglomérations de l’Hexagone, les agriculteurs sont descendus dans la rue afin d’y manifester leur mécontentement mais aussi pour y faire entendre leur désarroi.

Plus de mille tracteurs ont ainsi bloqué les deux voies de circulation du boulevard périphérique qui contourne de la capitale au grand dam des forces de l’ordre, qui se sont contentés d’observer sagement la situation.

Comme devait le signifier Christiane LAMBERT, la présence de ces manifestants agricoles en nombre n’aura occasionné ni scènes de violence ni pillage dans les rues adjacentes de la capitale.

Lassés des incertitudes économiques qui planent au-dessus de leur tête, les agriculteurs ayant suivi la feuille de route de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs (JA) n’en rejoindront pas nécessairement les cortèges qui arpenteront les rues des métropoles françaises le 05 décembre prochain. Quant à participer au mouvement social imputable aux Gilets jaunes, il existe une frontière vers laquelle la dynamique présidente ne souhaite pas franchir.

Dénonçant la politisation de ces mouvements sociaux, dont celui prévu le 05 décembre, Christiane LAMBERT ne désire pas associer le syndicat de professionnels dont elle représente les valeurs à des phénomènes de masse qui ne cessent de prôner le chaos et la destitution de telle ou telle représentant institutionnel ou politique.

En outre, la dirigeante syndicaliste rappelle que les exploitants agricoles sont avant tout des chefs d’entreprises devant faire fonctionner leur modèle économique.

 

 

Faire confiance aux décisions de l’agence de sécurité sanitaire…

 

Bref, pour elle, il sera plus important de s’entretenir avec le pensionnaire de Matignon dès mardi en lui faisant part des doléances actuelles qui ont pour nom l’agribashing, la hausse des revenus, les attentes de la Politique agricole commune (PAC) européenne ou l’approche pratique des ZNT, ces fameuses zones de non-traitement aux pesticides, sujet à bon nombre de griefs et d’atermoiements parmi les représentants de la filière.

Sur ce dernier point – l’une des clés de voûte des revendications actuelles avec les revenus -, Christiane LAMBERT rappelle qu’il faut se fier pour y voir plus clair aux décisions émises par les scientifiques. Et non aux propos hystériques de bon nombre d’élus qui agissent au nom de leurs coteries personnelles dans un cadre de pré-campagne électorale.

« Je préfère m’en remettre aux décisions fournies par des organismes ayant des compétences sur ces sujets à l’instar de l’ANSES, devait-elle ajouter, en citant la fiabilité des travaux de l’agence de sécurité sanitaire.

Christiane LAMBERT qui avait répondu par l’affirmative à l’invitation de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire et de ses dirigeants (Daniel COLLAY, président de la Caisse régionale, Eric GELPE, directeur dudit établissement, Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l'Yonne, Jacques BLANCHOT, directeur d'établissement Yonne) s’est également entretenue au terme de ces échanges avec les leaders départementaux de la FNSEA (Damien BRAYOTEL), des Jeunes agriculteurs et de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Arnaud DELESTRE.

Avant de réviser ses dossiers en vue de se préparer à l’entretien avec le Premier ministre de mardi…

 

 

 


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Les résultats de cette épreuve hors norme ne seront divulgués qu’en fin d’après-midi sous les ors de la préfecture de l’Yonne ce lundi 02 décembre. Auparavant, les dix finalistes de ce premier championnat du monde concocté en terre de l’Yonne se seront affrontés avec élégance et savoir-faire pour obtenir le meilleur des suffrages de la part d’un jury d’exception. Valorisant ainsi ce métier noble et stratégique de maître d’hôtel, clé de voûte de la filière des arts de la table et de la gastronomie…

AUXERRE : La course aux étoiles et aux paillettes universelles pour ces esthètes des arts de vivre et du bien-vivre débutera dès potron-minet ce lundi 02 décembre parmi les salles aptes à accueillir ce type d’évènementiel au lycée des métiers Vauban.

Même si les premières épreuves de ce rendez-vous international ne commenceront qu’au neuvième coup de pendule, gageons que les dix candidats en lice dans cette compétition de haute volée seront fin prêts au niveau mental et physique bien avant cet égrenage de l’horloge les rapprochant du moment fatidique.

Quatre disciplines, et non des moindres, attendent ces talents déjà confirmés de la filière de l’hôtellerie/restauration. La mise en valeur d’une table à partir d’éléments décoratifs imposés par le cahier des charges de ce concours requiert un sens de l’esthétisme avéré. D’autant que les courageux prétendants au sésame suprême devront faire preuve d’audace et de créativité. Puisqu’ils auront le loisir d’accommoder la thématique du jour d’une sélection d’objets et d’éléments de leur initiative.

Seconde subtilité tout aussi réjouissante à aborder : la découpe. A partir d’un plat préparé en cuisine et servi devant les membres du jury, les concurrents traiteront le sujet avec doigté, finesse et technique. D’autant que les critères d’élégance, de rapidité, d’efficacité et de réponses judicieuses aux interrogations que ne manqueront pas de poser les exégètes de la corporation qui auront à noter les candidats, favoriseront la notation finale de l’épreuve.

Pendant que les sélectionnés de ce championnat s’affaireront sur ces ateliers, d’autres auront déjà pu tester leur sagacité sur l’épreuve de créativité.

Celle qui consiste à flamber un dessert, imposé il va de soi, où les alcools permettant la caramélisation du produit seront désignés par avance. Mais, le candidat pourra laisser libre cours à son imaginaire pour tenter de passer l’obstacle !

La quatrième circonvolution amènera les dix finalistes à commercialiser à leurs clients (les membres du jury) deux plats extraits d’un menu imposé. Un exercice de style oratoire où il sera nécessaire de vanter les qualités gustatives des plats, avec aisance et amabilité, dans une langue qui leur est étrangère de manière naturelle !

Bref : un concours d’éloquence à la gloire des arts de vivre et de la gastronomie sans doute déterminant dans l’attribution du titre.

 

 

Une quinzaine de nationalités distinctes pour cet évènement…

 

Initialement prévu à Bordeaux, ce championnat du monde des maîtres d’hôtel se déroule pour la première fois dans l’Yonne, accueilli par l’un des établissements pédagogiques reconnus par ses pairs, le lycée des métiers Vauban à Auxerre.

Le 06 mai dernier, le centre de formation de la filière hôtelière avait été le théâtre des sélections nationales pour ce mondial.

Deux jeunes gens, Elisa JEANVOINE, qui officie à l’Azimut de Courchevel, et le premier maître d’hôtel du Relais Bernard LOISEAU à Saulieu, Valentin MEROT s’y étaient distingués en obtenant l’accessit pour aller plus loin dans leur quête au Graal suprême.

Précisons que ce championnat sera véritablement d’une envergure planétaire avec pas moins une quinzaine de nations représentées entre les talentueuses jeunes pousses et les représentants du jury.

On notera aussi la présence de sacrés pointures de la profession dont Gil GALASSO (MOF, lycée hôtelier de Biarritz, François PIPALA (MOF, restaurant Paul Bocuse), Loïc GLEVAREC (de la maison Hennessy à Cognac), Romuald FASSENET, le chef étoilé du Mont-Joly dans le Jura ou le local de l’étape, Sébastien CAVAILLES, MOF qui œuvre au lycée Vauban.

Capucine VIGEL, responsable de l’établissement et son pygmalion sur l’aspect organisationnel de ces épreuves, Serge GOULAIEFF, lui-même MOF de la discipline en 2004, assisteront à ce concours avec beaucoup d’intérêt accueilli dans leurs murs.

 

 


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