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Désireuse de porter sa société de loisirs créatifs, Pauline MOREAU, jeune femme de 25 ans, atteinte d’une maladie orpheline depuis sa prime jeunesse (une « histiocytose » paralysante contractée depuis l’âge de six mois) tente tant bien que mal de réunir la somme de cinq mille euros auprès de partenaires institutionnels, économiques et de particuliers. C’est le minimum nécessaire à son épanouissement personnel. Car, une fois recueillie, cette enveloppe budgétaire lui permettrait de caresser le rêve le plus abouti de son existence, à travers sa propre structure professionnelle, en ouvrant son commerce…

THIZY : L’emplacement de la future vitrine commerciale est déjà réservé. Le magasin de loisirs créatifs de Pauline MOREAU se situerait au cœur de la ville d’Avallon. C’est là, que cette jeune femme originaire de la Nièvre, installée dans une petite bourgade de l’Avallonnais, y vendrait différents matériels servant à exacerber l’imaginaire et la dextérité manuelle de ses clientes. Encre, papier, tampons, porcelaines, décorations…tout ce qui compte pour les loisirs créatifs trouveraient une place privilégiée dans cette vitrine.

Cerise sur le gâteau, on y achèterait aussi des produits créés dans toute la France et confectionnés par une vingtaine d’artisans, déjà engagés verbalement à ses côtés. Depuis la coutellerie en manche de résine jusqu’aux jolis bijoux insolites à la mosaïque et les services de tasse. Un éclectisme de bon ton et de choix dans ce qui ressemblerait à une petite boutique du bonheur pour la jeune femme.

« J’accueillerai des expositions de peintres, j’animerai aussi des ateliers autour de la carterie et du scrapbooking, confie avec un large sourire, Pauline, l’appellation de la société a été trouvée avec aisance : ce sera MOREAU CREATIONS ! ».

En cours de conception, le site multimédia devrait être fonctionnel fin septembre. Sans parler d’une visibilité active vers les réseaux sociaux. Pauline est dans l’air du temps. Même si celui-ci lui pèse…

Une lettre ouverte destinée à Emmanuel MACRON…

Echafaudant son projet depuis le mois de mai, la jeune femme a conçu un business plan en conformité avec le développement de ce projet conceptuel unique sur la ville. Hormis une mercerie, aucune boutique n’offre à l’heure actuelle cette typologie de prestations dans la sous-préfecture de l’Yonne.

Les besoins financiers ne sont pas excessifs. Loyer, caution, aménagement intérieur du local de 110 mètres carrés, besoins en fournitures constituent le gros des dépenses à venir. Soit un prévisionnel global de 15 000 euros.

« Du fait de mon handicap à 80 %, concède-t-elle avec tristesse, je n’ai pas eu accès aux prêts bancaires. Ni tenant plus et face à l’inertie des réseaux bancaires, j’ai écrit une lettre au président de la République française afin de lui exposer ma situation… ».

Une réponse fut apportée par son chef de cabinet lors d’une discussion téléphonique. Un dossier de demande de subventions a été instruit. Et transmis au préfet de l’Yonne. Ce dernier devait remettre ledit dossier à la DIRECCTE et à Pôle Emploi. Car, il existe des fonds d’intervention à la création de commerces. Interpellée, la Ville d’Avallon s’est engagée à offrir la future signalétique pour indiquer le lieu précis de ce commerce.

Quant à la Région, elle pourrait apporter un subside précieux en prenant en considération que cette activité commerciale possède un attrait avec des activités touristiques, par le biais de la vente de cadeaux. Enfin, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat est montée également au créneau, soutenant le concept, qui pourrait s’inscrire aussi dans la catégorie des métiers d’art.

Parallèlement, Pauline MOREAU n’est pas demeurée inactive. Elle s’est tournée vers une plate-forme de financement participatif, sollicitant au passage les internautes à encourager la pertinence de son projet entrepreneurial. Lancée en juillet, l’initiative n’a rapporté que la modique somme de 560 euros à l’heure actuelle. Un coup d’épée dans l’eau peu convainquant puisque ce sont les amis et les membres de la famille de la jeune femme qui ont daigné mettre quelques euros dans la corbeille.

Faire bouger les lignes en s’appuyant sur les médias…

« Je veux être utile à la société, clame-t-elle avec véhémence, ce projet est un combat contre tous les immobilismes qui touchent les valides et surtout les invalides ! Monter cette entreprise est un projet vital pour moi. Sinon, je vais couler alors que j’ai une folle envie de me lancer dans cette aventure… ».

Remontée tel un coucou suisse, Pauline ajoute dorénavant le culot à sa quête légitime. En requérant le soutien des médias et des commerçants.

La chaîne de télévision TF1 que la jeune femme a contacté est prête à dépêcher une équipe de tournage à l’ouverture de son commerce. France Télévision possède déjà les rudiments de l’information. La presse régionale a assuré le relais nécessaire auprès de l’opinion publique. Quant aux commerçants de cette zone géographique (Avallon et L’Isle sur Serein), la plupart ont eu accès à l’information en la faisant circuler parmi leurs réseaux de proximité.

Aujourd’hui, il manque une somme de 6 000 euros pour démarrer de manière objective l’activité. Handicapée moteur au niveau des membres inférieurs, Pauline MOREAU ne conçoit pas l’once d’une seconde de ne pas travailler et de ne pas vivre comme les valides en pleine possession de leurs moyens.

Sa passion des loisirs créatifs est plus forte que tout. Elle l’a aidée à surmonter une montagne d’épreuves emmagasinée durant les douze années de chimiothérapie que la jeune femme a subies pour se soigner de cette maladie rare. Trois personnes en France sont atteintes de cette pathologie qui ne toucherait que des femmes. Sans qu’il n’y ait l’ombre d’une explication rationnelle de la part des scientifiques.

Son ultime combat est clairement identifié dans sa tête. L’ouverture de la société « MOREAU CREATIONS » et rendre pérenne et opérationnel ce futur commerce qui pourrait surfer de façon positive sur le marché très porteur des loisirs créatifs…


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Initiée par le Crédit agricole Champagne Bourgogne, l’opération en faveur de l’entrepreneuriat a repris du service après une pause estivale sur les départements de l’Aube, de la Côte d’or et de l’Yonne. C’est la ville de Sens qui a accueilli le 12 septembre la première session de ce dispositif qui offre l’opportunité chaque mois aux porteurs de projets de pouvoir rencontrer l’ensemble des acteurs de la création/reprise d’entreprise.

SENS : Quels que soient leurs profils ou leurs projets, qu’ils soient affiliés en qualité de clients ou non à l’établissement bancaire, les futurs entrepreneurs de la région ont la possibilité de se rendre aux Cafés de la Création, afin d’y rencontrer les partenaires de l’entrepreneuriat.

L’heure de la rentrée avait donc sonné ce mercredi 12 septembre au restaurant l’Ecu à Sens. Le complexe recevait les bénéficiaires de ces échanges nourris et constructifs, devant les renseigner sur les démarches à suivre. On le sait : créer ou reprendre une affaire professionnelle n’est pas un challenge ordinaire. Parfois, il se compare avec un vrai parcours du combattant.

A chaque édition, ce sont toujours une dizaine de partenaires institutionnels et économiques qui se prêtent à cet exercice. Celui-ci, réalisé en tête-à-tête, privilégie la discrétion et la simplicité.

Des rendez-vous réguliers pour aider les porteurs de projets…

Pour cette reprise de la formule, instaurée depuis deux saisons par les équipes entreprise du Crédit agricole Champagne Bourgogne, les participants habituels n’avaient pas dérogé à leurs saines habitudes. Chambre de Commerce et d’Industrie, Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Ordre des Avocats du Barreau, Ordre des Experts-Comptables, Chambre des Notaires, Sécurité sociale des indépendants, INITIACTIVE 89 ou Pôle Emploi étaient représentés dans le restaurant du Sénonais.

Les prochaines séances se dérouleront comme à l’accoutumée tous les deuxièmes mercredis du mois, à savoir le 10 octobre entre 8h30 et 11h00 à Avallon à la Brasserie du Chapeau Rouge ; le 14 novembre (même horaire) à la Brasserie de la Renaissance à Auxerre et le 12 décembre (horaire identique) au restaurant L’Ecu à Sens.

 


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Parce que le gouvernement veut agir très vite en faveur du développement du tourisme en France, le futur Comité interministériel en liaison avec cette thématique se penchera sur les besoins en recrutement dans cette filière. En déplacement dans l’Yonne lors de l’inauguration d’un nouveau complexe hôtelier (IBIS BUDGET Auxerre Centre), le Secrétaire d’Etat à l’Europe et aux Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, a évoqué la stratégie mise en place par l’exécutif afin de pallier aux cruels manques qui pénalisent la corporation…

AUXERRE : Priorisation à l’emploi qualifié ! C’est le mot d’ordre du prochain rendez-vous dans les sphères étatiques, la tenue d’un Comité interministériel devant être organisé d’ici la fin de l’année, en faveur de la filière du tourisme. De passage à Auxerre, le Secrétaire d’Etat à l’Europe et aux Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, a esquissé en filigrane la composante du futur ordre du jour qui pourrait satisfaire à terme les professionnels de ce secteur d’activité.

L’accent devrait être mis sur l’apprentissage et la formation linguistique des personnels. Celles et ceux qui exercent leur métier au sein de structures d’accueil de ressortissants internationaux, à savoir l’hôtellerie et la restauration.

Dépasser la barre des 100 millions de visiteurs d’ici 2020

Conscient des difficultés actuelles rencontrées par les professionnels en recherche de collaborateurs qualifiés, le Secrétaire d’Etat a rappelé que la filière touristique offrait toujours un ascenseur social pour celles et ceux qui s’y aventuraient avec professionnalisme.

L’ensemble des acteurs de la filière sera invité à réfléchir aux travaux de ce comité interministériel. Une initiative collaboratrice qui s’inscrit dans une pure logique de partage des connaissances.

L’Etat français souhaite accueillir 13 millions de touristes supplémentaires d’ici 2020 en visant comme objectif de dépasser le cap des cent millions de visiteurs étrangers. Un challenge que le Secrétaire d’Etat à l’Europe et aux Affaires étrangères prend à cœur. La France demeure, il est vrai, la première destination planétaire pour des millions de personnes. En 2017, 87 millions de touristes en provenance des cinq continents avaient foulé le sol de l’Hexagone…

 

 

 

 


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Cruel dilemme à vivre pour les chefs d’entreprises en ce début de rentrée 2018. Alors que leurs carnets de commandes regorgent d’heureuses opportunités de pouvoir faire fructifier le chiffre d’affaires de leur société industrielle, le besoin en recrutement de collaborateurs qualifiés ne peut être honoré de manière convenable, et ce dans les meilleurs délais : faute de candidats sérieux et motivés ! Inéluctable, cette problématique récurrente mine jour après jour le moral de ces décideurs économiques, pourtant créateurs de richesses et de solutions en matière d’emploi. Néanmoins, dans l’Yonne, et comme le confirme le secrétaire général de l’UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie) et du MEDEF, Claude VAUCOULOUX, tout est mis en œuvre à l’échelon du Pôle Formation 58/89 et de ses partenaires pour trouver les solutions optimales en cette période qui se présente sous ses meilleurs auspices économiques…

AUXERRE : Calme, parfaitement détendu derrière son bureau, Claude VAUCOULOUX s’accorde le temps de l’analyse pour évoquer la situation présente. Celle qui se rapporte à cette période d’ordinaire si délicate de septembre, synonyme de redémarrage des activités professionnelles. Que l’on ne se méprenne pas : dans l’Yonne, la rentrée 2018 possède un dénominateur commun avec les vendanges vécues par les viticulteurs ! Elle se présente tout comme la récolte de raisins sous de très bons auspices. Chose qui ne fut pas le cas au cours de ces dernières années. Cette fois-ci, la donne change : les carnets de commandes en hausse confirment une excellente orientation.

« Les projets culminent sur certains secteurs de l’activité industrielle, explique le secrétaire général de l’UIMM et du MEDEF départemental, à titre d’exemples, je citerai les domaines du transport, du ferroviaire, de l’aéronautique ou de l’automobile. Pour ce dernier point, les ventes optimales réalisées par les constructeurs nationaux ces derniers mois boostent la majorité de sous-traitants et d’équipementiers de la filière… ».

Accompagner les entreprises dans leur démarche de recrutement

Un effet gigogne profitable aux entreprises qui se convertit positivement auprès des services de maintenance, des bureaux d’étude et du besoin en automatisation. Oui, mais toutefois, y aurait-il un hiatus dans ce tableau un peu trop idyllique ?

« Les entrepreneurs éprouvent la plus grande difficulté à trouver du personnel ! Pourtant, ils sont en quête d’ingénieurs, de techniciens de bureau d’étude, d’électromécaniciens, d’électriciens. Le Pôle Formation des industries de haute technologie forme ces personnes dans ses centres de la Nièvre et de l’Yonne. Seule ombre au tableau, cela requiert du temps. Nous pouvons affirmer aujourd’hui que l’industrie fournit de très belles capacités en termes de progression de carrière. De notre côté, nous essayons de préconiser des solutions qui permettent à l’entreprise de bénéficier de nouveaux savoir-faire » ?

Servir de repérage en amont des besoins…

Faisant feu de tout bois avec les services de l’Etat (en particulier ceux de Pôle Emploi via la signature d’une charte spécifique signée chez l’industriel NOGUES au printemps), la Maison de l’Entreprise avec le concours de son Pôle de formation 58/89 propose des actions concrètes auprès des demandeurs d’emploi déjà qualifiés d’un bon niveau.

« En utilisant l’outil « Job Evolution », nous effectuons un vrai travail en amont qui sert de repérage approprié pour les entreprises ayant des besoins de recrutement. Nous guidons ce public vers la qualification. Le cycle se termine par l’obtention d’un référent, le CQPM métallurgie ».

La démarche s’avère pertinente. Une réflexion prospective sur les métiers d’avenir y est entreprise. Sachant que la filière industrielle vivra une grande période de mutation à brève échéance et que 50 % des jobs qui seront opérationnels d’ici une trentaine d’années ne fonctionnent pas encore. Voire, ils ne sont pas clairement identifiés.

« La priorité des entreprises industrielles s’assimile à l’obtention d’avancées technologiques permettant de réduire la pénibilité sur le lieu de travail tout en améliorant la qualité. C’est, en quelque sorte, le transfert d’un niveau de compétences acquises hier vers celles de demain en intégrant des données informatives très éloignées de celles d’aujourd’hui. Dans un laps de temps très court, la cobotique pénètrera davantage le monde des PME. Les industriels exprimeront alors le besoin de responsabiliser des personnes hautement qualifiées dans le cadre de la fabrication et la conception de produits, parfois uniques…Face aux exigences accrues du monde professionnel, il est indispensable de préparer l’école et les centres de formation à cette réalité afin de donner des caps vers les compétences ».

250 000 emplois créés chaque année d’ici 2025…

Depuis bien longtemps, le phénomène n’était pas arrivé en France. Une séquence favorable à la création de nouveaux emplois plutôt qu’à se résoudre à les détruire. Cet apport de nouveaux postes sera massif, prévient-on. Environ 250 000 emplois chaque année d’ici 2025.

« Exit les années galères, renchérit Claude VAUCOULOUX stoïque, conséquence directe de la crise américaine de 2008. Les choses ne devraient pas s’écrouler de but en blanc. A l’heure actuelle, nous observons une phase de pallier intéressante où les entreprises connaissent une recrudescence du nombre de commandes même si elles ne peuvent pas produire plus qu’elles ne peuvent. Certes, les Cassandre profèrent toujours le pire en matière d’évolution. Il est vrai que le contexte international s’agite beaucoup depuis quelque temps et enregistre de nombreux soubresauts. Cependant, notre industrie tient le cap. Elle possède ainsi les ingrédients nécessaires. Cela lui permet de faire face et de s’adapter à ces différentes situations… ».

Le Pôle Formation 58/89, de son côté, a fait le choix stratégique de miser sur l’avenir. D’une part, en investissant une enveloppe de 4 millions d’euros dans l’acquisition de nouvelles technologies et des outils performants. Une base solide servant à la transmission des savoirs auprès des nombreux apprenants qui fréquentent les sites répartis dans la Nièvre et dans l’Yonne.

« L’un de nos objectifs est d’encourager l’émergence de l’innovation auprès des PME, ajoute le porte-parole de l’UIMM et du MEDEF, un programme précis existe et offre la possibilité aux entrepreneurs de ces petites et moyennes structures de pouvoir accéder et de partager des connaissances avec une école d’ingénieur mais aussi des doctorants. La mise en relation avec des laboratoires s’inscrit dans une suite logique de ce processus. C’est le moyen idoine de répondre aux besoins de ces métiers qualifiés du tissu industriel. Nous nous situons sur des métiers à pré requis importants. Sachant qu’une partie de la population est également éloignée de l’emploi. Dans tous les secteurs de l’économie, on entend parler de difficulté de recrutement. En toile de fond, le principal argument qui est avancé, c’est le problème de l’attractivité. Mais, je m’interroge sur ce point : qu’est-ce qui est attractif de nos jours ? Pour aller plus loin dans cette réflexion, quels sont les critères qui prennent en ligne de compte cette attractivité des métiers ? Tout cela est très subjectif, en vérité… ».

Les nouveaux paradigmes de la jeune génération

De retour de Paris des vingtièmes « Universités d’été du MEDEF » auxquelles il participait il y a quelques jours, notre interlocuteur s’est nourri de ces sessions pédagogiques et informatives pour faire le plein d’enthousiasme et de dynamisme par rapport à ses nombreuses missions.

« Nous devons être confiant dans la jeunesse, lâche-t-il sans l’once d’une hésitation, et l’accompagner vers le monde de l’entreprise. Les choses évoluent. Nous assistons à des modifications comportementales et sociologiques majeures autour de nous. Le rapport de force s’est inversé. Une large frange de la population choisit sa destination dans le cadre d’une carrière. L’offreur, a contrario, ne choisit plus les demandeurs. Les jeunes d’aujourd’hui ont adopté de nouveaux paramètres qui ne sont pas comparables avec les nôtres, ceux que l’on a connus par le passé… ».

Rappelant que le nombre de jeunes désireux d’endosser l’habit de patron d’entreprise était significativement supérieur à l’heure actuelle que par le passé. Et que la question basique de la rémunération ne possédait plus la même dimension revendicative qu’autrefois.

« Désormais, les jeunes de la génération Y parlent de réalisation de soi et d’un choix de vie assumé… ».

Une réalité qui a tout naturellement rattrapé le terrain des entreprises industrielles y compris dans le landerneau régional.

 


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Acteur majeur de la distribution automobile, le groupe JEANNIN renforce sa force de frappe suite à l’acquisition de cinq nouvelles concessions sur la zone géographique du nord-est de la Bourgogne Franche-Comté. Dorénavant bien implanté sur le département limitrophe de la Seine et Marne, porte d’accès à l’important marché francilien et à celui de la capitale, JEANNIN AUTOMOBILES peut nourrir de sérieuses ambitions à l’avenir pour pérenniser un outil de travail né en…1940 !

AUXERRE : Comprenant désormais plus de 370 collaborateurs, le groupe JEANNIN AUTOMOBILES, fleuron de la distribution régionale de véhicules motorisés sur le secteur nord-est, poursuit son inexorable ascension.

La période estivale aura été très prolifique pour la structure familiale dirigée par Yves JEANNIN puisque l’entreprise a ajouté à son escarcelle cinq nouvelles vitrines commerciales sur le seul département de Seine et Marne. Une zone à privilégier avec soin pour la société nord-bourguignonne, puisqu’elle représente la porte d’entrée obligatoire afin de titiller les envies consuméristes de la clientèle parisienne et celle de l’Ile de France.

Courant juillet, JEANNIN AUTOMOBILES a acté l’acquisition de trois concessions (SKODA, MAZDA et SUZUKI) auprès du vendeur, la société SMDA opérationnelle depuis 28 ans.

Une culture d’entreprise tournée vers l’humain…

Une opportunité intéressante pour l’enseigne qui distribue désormais huit marques (les trois précédemment citées auxquelles il faut ajouter VOLKSWAGEN et sa filiale utilitaire, AUDI, SEAT et NISSAN). Précisons que les vingt-trois collaborateurs de ces concessions ont été intégrés parmi les effectifs du puissant distributeur multimarques.

Rayonnant sur l’Aube, l’Yonne et la Seine et Marne, le groupe a réitéré cette opération de rachat le lundi 03 septembre dernier. Cette fois-ci, cela concernait les concessions SEAT de Meaux et de Melun qui élargissent ainsi l’offre commerciale de la société. Toujours sur ce même département de Seine et Marne, décidément très convoité.

A l’instar de la précédente transaction du mois de juillet, les 24 employés de la société GUEUDET ont rejoint de facto la force humaine du groupe auxerrois qui n’en a sans doute pas terminé avec ses objectifs de croissance externe…


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