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Favoriser le retour à l’emploi des décrocheurs : tel est le credo bien affirmé des représentants de la Région. De nouvelles initiatives devraient être mises en place dès cet automne par l’exécutif afin de solutionner ces problématiques de société…

 

DIJON (21) : C’est en substance le message fort véhiculé par la quatrième vice-présidente de la structure institutionnelle Sylvie LAROCHE. Invitée d’honneur d’un plateau débat concocté autour de la Semaine de l’Emploi à Sens par la communauté du Grand Sénonais, l’élue de Dole a égrené les initiatives déclinées par le pouvoir régional en faveur des demandeurs d’emploi.

Elle devait lourdement insister sur le besoin de formation par le biais de l’alternance et l’apprentissage. Partant du postulat qu’il existe une sérieuse inadéquation entre la formation, le besoin des entreprises et le territoire, Sylvie LAROCHE souhaite apporter de nouvelles bases de réflexion à l’avenir pour harmoniser les différentes initiatives. Des réflexions concrètes sont à l’étude et devraient être dévoilées dès les premières semaines de la rentrée.

La région Bourgogne Franche-Comté confirme ainsi son totale engagement dans la lutte contre les problématiques liées à l’emploi et au décrochage des scolaires qui concerne de plus en plus de jeunes gens qui ne trouvent plus leur compte dans l’approche pédagogique traditionnelle définie par l’Education nationale…


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L'ADIE est fortement impliquée dans les zones rurales françaises. En 2016, plus de 25 % des personnes financées et accompagnées par cet organisme y ont créé leur microentreprise, dont près de 9 % dans le seul secteur agricole. La notion de proximité prend ainsi toute son importance en milieu rural car la pauvreté y est plus cachée qu’en milieu urbain.

DIJON (21) : C’est pourquoi l’Agence de développement et des initiatives économiques a choisi d’être proactive sur la question de la mobilité en ouvrant des antennes en zone rurale. Elle y anime des permanences chez des partenaires locaux et va à la rencontre de porteurs de projet géographiquement isolés grâce à des antennes mobiles.

Avec le soutien de la Fondation Daniel et Nina CARASSO, de la Fondation CARREFOUR et du Fonds ADIE, l’organisme a lancé à l'été 2015 un projet pilote de développement d’une filière alimentaire durable en Bourgogne Franche-Comté. L’ambition de ce projet est de réunir producteurs, transformateurs et distributeurs sur un même territoire, afin de revitaliser les zones rurales concernées et accompagner la réinsertion de 50 créateurs d'entreprise en trois ans dans le secteur local de l’alimentation bio ou raisonnée.

Les bénéficiaires de l’ADIE qui contribuent à cette nouvelle filière de proximité mettent en place des pratiques agricoles innovantes Ils pratiquent le commerce équitable, les circuits courts, ou garantissent la qualité nutritionnelle de leurs produits, œuvrant ainsi au développement économique local ainsi qu’au maintien du lien social.

Le projet a déjà permis l’inclusion économique et sociale de 27 personnes en situation de précarité confrontées aux problématiques de « l’hyper ruralité » (enclavement, faible densité de population, manque d’équipements et de services…). Le microcrédit accompagné de l’ADIE leur a apporté les moyens de créer leur propre activité près de chez eux dans le domaine de l’alimentation durable. « Nous poursuivons nos efforts en 2017 afin de mobiliser davantage d’entrepreneurs et de partenaires sur ce projet innovant ont confié les responsables de l’organisme depuis la capitale de la Bourgogne Franche-Comté…


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Chargée du développement Pôle agricole de la Maison Familiale Rurale, Christelle ADAM, monitrice, initie de multiples opérations auprès des jeunes pensionnaires de VILLEVALLIER. En faveur de la mobilité. Dès la classe de seconde, les apprenants mettent le cap hors du territoire vers le Jura. Ils y découvrent une agriculture différente avec la filière lait, depuis la production à la transformation menant à l’AOC Comté…

 

VILLEVALLIER : Accueillis par des maîtres de stage soucieux de partager leurs connaissances et savoir-faire, ces jeunes gens bénéficient d’un partenariat d’excellence avec la Maison familiale d’AMANGE. Seize adolescents ont profité cette année de ce séjour autour des valeurs du travail et de la convivialité…

Dans le cadre du programme européen ERASMUS, près d’une vingtaine d’élèves ont pu poser leurs valises en Espagne lors de trois semaines d’immersion dans une école familiale agricole. La GALICE est une région favorable à cette initiative. Au cœur de la péninsule ibérique, les Icaunais et leurs moniteurs ont découvert la pratique de l’agriculture intensive en vivant au rythme local. L’enseignement devait porter sur les effets de la PAC (politique agricole commune) et les investissements en exploitations.

« C’est une approche réelle des mécanismes économiques…précise Christelle ADAM, les retours sont très positifs car l’accueil sur place se veut chaleureux et humain ».

Les résidents de la MFR de VILLEVALLIER vivent un projet exceptionnel, parsemé de visites culturelles et de connaissances professionnelles. Le tout servi avec une ouverture d’esprit favorable à l’Europe. Mieux : des cours en espagnol devraient se développer très prochainement. Il y a peu, la MFR de l’Yonne a reçu une quinzaine de jeunes élèves ibériques dans ses murs. Une vraie réciprocité dans ces échanges nourris d’amitié et de civisme. Les maîtres de stage espagnols, eux, viendront en France au mois d’août.

« D’ailleurs, remarque Yannick VILLAIN, responsable de l’établissement, certains jeunes retournent sur le lieu de leur stage en villégiature dès qu’ils le peuvent. Ils en profitent même pour prendre part aux travaux agricoles ! ».

Ce cycle pédagogique étendu au monde s’étendra dès 2018 aux classes de terminale. Un concept similaire avec l’Allemagne est en phase d’analyse avec ce même état d’esprit participatif. Des contacts se sont développés auprès de l’office franco-allemand de la jeunesse. Différents appels à projets permettront de déterminer la destination précise de cette future collaboration. Mais, on évoque la région de la Hesse.

Quant aux thématiques abordées, elles concerneraient les revenus agricoles, la rentabilité des exploitations, les marges brutes et surtout les circuits de distribution. Un axiome important pour la MFR de VILLEVALLIER qui a initiée en 2015 le développement d’une antenne de « la Ruche qui dit oui ». L’évaluation et la notation des élèves par rapport à cette nouvelle dimension à l’international seraient possibles à terme…L’inscription de nouveaux élèves est toujours possible !


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La promotion WALKYRIE de l’IFAG prête à mener des combats en faveur de l’entrepreneuriat : ces récompenses traduisent le potentiel des filières en alternance étudiées dans l’Yonne…

 

AUXERRE : Baptisée d’un curieux patronyme évoquant les références guerrières des peuplades nordiques européennes, les 19 étudiants de la promotion WALKYRIE de l’IFAG Auxerre ne présentaient aucune disposition belliqueuse lors de la cérémonie protocolaire liée à la remise de leurs diplômes. Présidée par Dominique LEMAIRE, directeur général du réseau national IFAG France, cette manifestation, chargée en émotion et respectueuse des traditions dignes des grandes écoles, rassemblait parents, tuteurs et étudiants dans l’amphithéâtre du Pôle Formation des Industries technologiques Nièvre Yonne Bourgogne. La remise de ces précieux diplômes ponctuait ainsi leur cursus pédagogique.

Présente dans une quinzaine de villes françaises et sur l’île de la Réunion, l’école de management et d’entrepreneuriat répond à un double objectif dans son enseignement : former de futurs créateurs/repreneurs d’entreprises ainsi que des cadres dirigeants. Son niveau de formation correspond à des diplômes post-bac + 5. Précurseur en 1996 puisque ce fut le premier établissement du réseau à avoir proposé la pratique de la formation par l’apprentissage, l’IFAG Auxerre offre aujourd’hui la possibilité à 80 % de ses élèves de développer l’alternance en entreprise, à l’aide de contrat d’apprentissage ou de contrat de professionnalisation.

Directrice adjointe du Pôle de Formation 58 89, et directrice de l’IFAG Auxerre, Véronique RIGUET ne tarissait pas d’éloges sur les vertus de cet enseignement qui prépare à la vie active avec réussite.

Si l’élue municipale, Sarah DEGLIAME PELHATE rappelait avec un zeste d’humour les origines sémantiques du nom de baptême de la promotion, elle ne pouvait s’empêcher de saluer l’importance d’atteindre le Graal en décrochant ce précieux sésame, un atout idéal pour intégrer le monde du travail.

Quant à la représentante du Conseil départemental de l’Yonne, Valérie LEUGER, elle adressait ses félicitations à l’ensemble des lauréats, insistant sur le parcours courageux de ces étudiants qui ne devaient pas ménager leurs efforts pour aboutir à la réussite.

« Vous êtes tous des gagneurs ! » : c’est par cette locution dynamique que le vice-président du Pôle Formation des Industries technologiques Nièvre Yonne Bourgogne, Bernard MACHAVOINE, devait débuter son intervention. Insistant sur le succès des étudiants mais aussi celui des parents ayant soutenu leur démarche, il ne devait pas manquer d’évoquer ce partenariat indispensable à toute réussite pour les jeunes gens optant pour l’alternance entre le monde de l’entreprise (le tutorat), l’établissement déclinant les formations et l’appétence de l’étudiant à vouloir étancher sa soif de connaissances à tout prix.

En ce sens, poursuivait-il, « le Pôle Formation des Industries technologiques de Bourgogne et l’IFAG Auxerre vivent une complémentarité réciproque depuis tant d’années qui permet aux étudiants de réaliser leurs projets de manière optimale ». Bernard MACHAVOINE devait ajouter depuis son pupitre : « Il est important qu’en qualité de nouveaux diplômés, vous ne cessiez de promouvoir avec force la qualité de l’enseignement dispensé à l’IFAG, un établissement au-dessus du lot… ».


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Le secteur de l’arboriculture de l’Yonne vit une fois de plus dans la tourmente avec le retour de conditions météorologiques délicates, entre gel, pluie et sécheresse. Avec comme conséquence immédiate de renforcer le malaise persistant autour de la filière…

 

AUXERRE : Déjà durement éprouvée par la prolifération de parasites (une variété de mouches très nuisibles) qui entraîne la dégradation des fruits, la filière arboricole ne cesse d’enregistrer de mauvais résultats au plan économique depuis plusieurs saisons.

Sur 380 hectares de culture fruitière exploitée sur le COULANGEOIS, près de 220 ont été sinistrés à la suite de la période de gel au printemps. Pire : de 5 à 10 hectares d’arbres fruitiers ont dû être arrachés à l’issue de cette triste période peu propice au développement des végétaux. Le problème qui demeure aujourd’hui est le développement de la monoculture pour quelques professionnels qui restent 100 % arboricoles sur leur exploitation. D’où une réelle ambiguïté pour aborder l’avenir en toute sérénité.

Non couvert par le risque assurantiel, le gel n’est pas considéré comme une calamité agricole. Pourtant, il est devenu en l’espace de plusieurs saisons l’ennemi invisible et tant redouté des arboriculteurs mais aussi des viticulteurs. Ces derniers n’hésitent pas à employer de grands moyens pour réchauffer et protéger les plants de vigne face aux rigueurs mortifères du froid.

Autre souci à aborder pour les professionnels : les banques face à cette situation répétitive due à la recrudescence des phénomènes météo lâchent progressivement les exploitants. D’autant que les indemnités tardent à être perçues par les victimes de ces aléas climatiques. Alors que l’enveloppe de l’Etat s’élève à 300 000 euros au plan national. Récemment, la présidente de la région Marie-Guite DUFAY affirmait « qu’elle s’engagerait auprès de la Préfecture de Région pour tenter d’accélérer le processus d’attribution de cette dotation salvatrice.. ».

Interpellée par les arboriculteurs lors d’un déplacement dans l’Yonne, la présidente de la Bourgogne Franche-Comté souhaite que la Région trouve des facilités, permettant de créer un système d’avances remboursables dès que possible. Une solution qui se pratique déjà chez nos voisins du Centre Val de Loire.

Cette nouvelle crise impactant la filière arboricole menace aussi les emplois induits par la filière. Les 500 postes saisonniers devraient fondre comme peau de chagrin et ne laisser la place qu’à une centaine d’emplois cette saison à cause de cette météo perturbatrice. Question qui prend désormais tout son sens : le cri de détresse des agriculteurs sera-t-il entendu. Voir pris en considération par les plus hautes sphères institutionnelles de notre territoire ?


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